Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 19

  • Amiens (80) : malgré l’interdiction, un match de foot rassemble plus d’une centaine de personnes dans un stade de quartier

    Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2020

    Par  le 17/05/2020
     

    Samedi soir, 16 mai, une centaine de personnes étaient rassemblées au stade Soufflot, également appelé stade Virgile Dufosse, à Amiens pour un match de foot. Un rassemblement interdit puisque la pratique des sports collectifs en extérieur n’est toujours pas autorisée. Selon france3-regions, la police est intervenue dans un climat hostile. Selon Le Courrier picard « la Police nationale et les agents de la Ville ne sont pas intervenus ».

    Ça a beau être grand un terrain de foot, difficile de garder ses distances avec les autres quand on est un spectateur campé derrière les barrières en béton typiques de stades de quartier. […]

    Alertée par des habitants, la police nationale est venue une première fois sur place pour disperser ce rassemblement interdit. Les sports collectifs ne sont en effet toujours pas autorisés par les règles du déconfinement, même pratiqués en extérieur. « Deux équipages sont arrivés sur place pour constater la réalité de ce rassemblement, nous explique-t-on au commissariat d’Amiens. Cette première intervention s’est faite dans un contexte très hostile. Les agents sont donc revenus avec davantage d’effectifs. On a alors dispersé tout le monde dans le calme« . Et d’ajouter : « on ne tolèrera pas que tels rassemblements se reproduisent. On ne tolèrera pas que des gens, par leur inconscience, mettent en péril la santé des autres« .

    france3-regions

    Voir Le Courrier-picard

  • Coronavirus. Oise : la justice suspend le couvre-feu mis en place dans 3 villes après des violences urbaines

    Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2020

    Par  le 17/05/2020

    Le tribunal administratif d’Amiens, saisi par la Ligue des droits de l’homme, a ordonné samedi la suspension du couvre-feu appliqué dans trois communes de l’Oise pour prévenir l’épidémie du Covid-19, estimant que ces mesures portaient une «atteinte grave» à «la liberté fondamentale d’aller et venir».

    Le tribunal, dans son ordonnance dont l’AFP a obtenu copie, a considéré notamment que si les «violences urbaines» et les «assemblements sauvages» ayant eu lieu dans ces trois communes, où ils risquaient de «contribuer à la dégradation sanitaire», peuvent justifier des «mesures appropriées (…) dans les secteurs où ils se déroulent», une «interdiction générale de circulation sur l’ensemble» des communes n’était pas en revanche «une mesure justifiée et proportionnée». […]

    «En réalité, il est apparu que, sous couvert d’urgence sanitaire, ce qui justifiait ce couvre-feu était une problématique sécuritaire. On ne peut contourner la finalité sanitaire par un couvre-feu sécuritaire. Cette décision marque le coup des limites des pouvoirs des préfets, même dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire», a déclaré l’avocat de la LDH, Patrice Spinosi.

    cnews via fdesouche

  • Les Franco-Algériens bloqués en Algérie appellent à l’aide : « Notre vie est en France »

    Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2020

    Pépite trouvée sur France Bleue : le titre en lui-même est un summum de contradiction.

    Les Franco-Algériens bloqués en Algérie appellent à l’aide : « Notre vie est en France »
    Depuis le 17 mars, les voyages entre la France et l’Algérie sont suspendus après la mise en place du confinement en France. Des habitants d’Occitanie sont toujours bloqués en Algérie, ils demandent de l’aide pour rentrer chez eux.

    Que sont-ils venus faire en Algérie si leur vie est en France ? Ne sont-ils pas également chez eux en Algérie puisqu’ils disposent de la nationalité algérienne ?

    On relève l’utilisation des termes « catastrophe », une attente « difficile à supporter », le sentiment même d’être « prisonnier »… Pour des personnes qui ont choisi de se rendre librement en Algérie, cela semble assez cocasse ou exagéré.

    Les prénoms des personnes interrogées semblent assez improbables : Laura, Nina et Ben. Nous prendrait-on pour des jambons ?

     

    Source : contre-info.com

  • Le Coronavirus, crise existentielle pour Georges Soros

    Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2020

    Auteur : 

    Le milliardaire mondialo-progressiste George Soros a proclamé le 11 mai dernier que la pandémie du coronavirus était la crise de son existence entière, celle qu’il attendait et qui rendait possible une révolution sociétale, inimaginable en d’autres circonstances.
    Une seule chose était certaine à ses yeux dans l’après-pandémie : il n’y aurait pas de retour possible au monde d’avant. Quant au reste, la forme que prendraient les nations et les alliances, c’était un mystère qui restait  à découvrir.
     
    Même avant que la pandémie ne s’abatte sur le monde,  j’avais déjà  compris que nous vivions des temps révolutionnaires, où ce qui paraissait impossible ou même inconcevable en temps normal devenait non seulement possible, mais d’une nécessité absolue “, a-t-il déclaré sans autre forme d’explication dans une interview accordée au magazine “Project Syndicate”, auquel il est lui-même un contributeur régulier.
     
    Emmanuel Macron avait eu des mots identiques le jour de l’annonce du confinement national et l’on ne peut qu’être frappé de la ressemblance entre les deux discours, qui paraissent tirés d’un même scénario.
    Ce qui interpelle aussi, c’est le don de divination surprenant manifesté par les deux hommes. Car le sens des choses se comprend d’ordinaire de manière rétrospective plutôt que prospective, à moins d’être prophète ou devin. En l’occurrence, on a l’impression d’un épilogue écrit à l’avance, ou d’un livre lu à partir de la fin.
    Ce qui intrigue enfin est le ton apocalyptique et messianique pour parler du monde nouveau qui devra  naître des décombres de l’ancien, après le saut dans le grand trou noir. Et là nous voyons nos chers mondialistes, qui se croient si subtils dans leurs gros sabots, nous ramener encore une fois leur fameuse théorie du “désordre constructeur”.
     
    Soros a poursuivi : “Puis est arrivé le COVID-19, qui a totalement bouleversé la vie des gens et a rendu nécessaires des changements comportementaux significatifs. Il s’agit d’un événement sans précédent qui ne s’est probablement jamais produit dans cette combinaison. Et il met réellement en danger la survie de notre civilisation”.
     
    Soros avait pourtant connu la Seconde Guerre mondiale durant sa jeunesse.  Et le monde avait connu des pandémies autrement plus mortelles que celle du COVID-19, comme celle de la grippe espagnole. Pourtant, celle crise-ci n’était, selon lui, comparable à aucune autre antérieure.
    “Nous apprenons très vite, et nous en savons maintenant beaucoup plus sur le virus qu’au moment de son apparition, mais nous tirons sur une cible mouvante parce que le virus lui-même subit des mutations rapides”.
    Et pourtant rien n’est moins sûr. Des scientifiques de haut niveau, systématiquement censurés sur la toile, affirment qu’il est inexact de parler de mutations du virus, dans la mesure où il n’y a jamais eu de virus proprement identifié, mais seulement des pathologies ou syndromes disparates que l’on a recouverts de l’appellation de COVID-19 pour des raisons d’opportunisme politique.
     
    Soros estimait qu’il faudrait beaucoup de temps pour mettre au point un vaccin. Et que même après en avoir développé un, nous serions contraints d’apprendre à le changer chaque année, « parce que le virus changera très probablement. C’est ce que nous faisons chaque année avec le vaccin contre la grippe », a-t-il ajouté.
    Certes, mais à ce détail près que l’on n’immobilise pas la planète entière chaque fois que la grippe sévit.  Qu’en sera-t-il si le terrible COVID-19 revient l’hiver prochain, faudra-t-il encore mettre les pays en état d’arrêt total ? Ou bien quelqu’un aura-t-il enfin l’idée de comparer les chiffres, ceux de l’INSEE ou de l’OMS, pour se rendre compte qu’ils n’ont pas bougé depuis l’année précédente ? Et que la seule chose qui a changé a été la mise en scène brutale et exhibitionniste de drames intimes, avec instrumentation éhontée de la mort et de la souffrance des victimes et de leurs familles ?
     
    Georges Soros voyait cette crise rapprocher à terme les gens et les États-nations, mais seulement quand les gens auraient surmonté leurs peurs et vaincu leurs réflexes de repli.
    L’Europe, surtout, qui du fait qu’elle était une « Union incomplète », était d’autant plus vulnérable.
     
    Y a-t-il encore quelqu’un pour croire à l’histoire de la chauve-souris ?
    La chauve-souris, serait-ce George Soros et ses acolytes mondialistes ?
     
  • Médias : pourquoi ils aiment les Français confinés

    Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2020

    Médias : pourquoi ils aiment les Français confinés

    Médias : pourquoi ils aiment les Français confinés

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Les médias n’aiment pas le déconfinement. Ils n’aiment pas la circulation de la liberté. Ils adorent le téléspectateur passif.


    La peur, meilleure alliée de l’idéologie dominante

    Celui qui, cloitré et vautré sur son canapé, consomme au-delà du raisonnable l’information-désinformation en continu. C’est bon pour l’audience. C’est bon pour matraquer l’idéologie médiatique. Cette idéologie a un allié principal : la peur. Quand on a peur, ce qui reste d’esprit critique disparait comme une vulgaire barrière immunitaire. L’immunité à la propagande médiatique a objectivement et fortement reculé.

    Dernier exemple : les foyers d’infection — pardon, les clusters — du week-end en Dordogne et dans la Vienne. La délectation médiatique vis-à-vis de ces deux épisodes est révélatrice. Grande joie à montrer du doigt, depuis Paris, ces bouseux de la zone verte qui se croyaient à l’abri. Comme par hasard à 48 heures du déconfinement, on a trouvé de quoi terrifier et annoncer une deuxième vague du virus, alors qu’il ne peut y avoir éventuellement de deuxième vague que plusieurs jours après le déconfinement, mais pas avant. On annonce en fait ce que l’on souhaite : la poursuite d’une opinion craintive et captive.

    En Dordogne il y a eu bien d’autres clusters dont un particulièrement important dans un camp de « gens du voyage » c’est à dire de Roms ou de Gitans. Ces clusters n’ont inquiété personne et n’ont pas été médiatisés car ils n’étaient pas politiquement corrects. Comme par hasard, on n’en a pas trouvé en banlieue — non, en en Dordogne. Car pendant l’épidémie, la manipulation médiatique continue, et plus fort que jamais.

    Il faudrait faire une étude sur le nombre de sujets concernant la Seine-Saint-Denis par rapport au reste de la France. On a presque l’impression que seul ce département et ses populations intéressent le gouvernement et les médias de connivence immigrationiste. La Seine-Saint-Denis a été volontairement hypertrophiée en oubliant l’essentiel, soit l’absence de responsabilité totale de populations en France, mais hors la France. Qu’elles s’infectent entre elles, finalement ,c’est leur problème, mais elles sont maintenant déconfinées comme tout le monde et circulent à toute heure.

    La France d’« Intouchable »

    Pour les médias, c’est clair la France du confinement, c’est le scénario du film « Intouchable ». Un pays de vieux Blancs sauvés par des immigrés et accessoirement par des femmes. Le monde réel aurait donc plus vite que prévu rejoint leur mondé rêvé. Sauf que tout cela est dû à un prisme déformant et à une sélection arbitraire dans ce qui est montré. Où sont passé les médecins d’origine européenne ? Ils pérorent encore un peu sur les plateaux télés où l’on veille à la diversité, mais on ne les voit jamais à l’hôpital. A l’hôpital il n’y a que le personnel admirable et coloré qu’on applaudit tous les soirs. Les reportages se sont multipliés sur les issus de l’immigration qui ont sauvé notre système et ces ingrats de Français de souche. Même mise en avant des métiers féminisés, l’infirmière plutôt que l’infirmier sauf membre d’une encore minorité visible. L’épidémie aura permis à l’idéologie médiatique de se répandre, et pas à moindre bruit mais avec une virulence accrue. Personne n a pu y échapper car quand on voulait s’informer sur le virus — et qui ne le voulait pas ? — on était en permanence manipulé et instrumentalisé, même par le biais des publicités recyclées « déconfinement »

    Il est donc urgent de retrouver nos libertés et de se déconfiner des médias. Certes, il y a un risque, mais il ne doit pas nous empêcher de vivre en hommes libres à l’esprit critique. Il faut retrouver le courage de demander des comptes aux coupables d’une gestion désastreuse de cette épidémie et à leurs complices médiatiques. Ils n’ont pas su nous protéger, mais ils se sont servi de leur incompétence pour renforcer leur totalitarisme idéologique. Et ce virus-là ne disparaîtra pas avec les beaux jours.

    Pierre Boisguilbert
    13/05/2020

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Domaine public