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  • Le Blanc-Mesnil (93): armé d’un sabre et d’un fusil, il fonce sur des fêtards en criant « Allah Akbar »

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2020

    Par  le 20/07/2020

    Un homme âgé de 32 ans a été interpellé dimanche matin au Blanc-Mesnil. Il a été neutralisé par un automobiliste qui l’a volontairement percuté pour le neutraliser alors qu’il fonçait, armé, sur un groupe de fêtards en hurlant allah akbar.

    […]

    « Il a certes crié Allah akbar, mais n’a aucun antécédent judiciaire inquiétant et on n’a rien trouvé d’autre pour l’instant pouvant laisser penser à une radicalisation », reprend-on au parquet de Bobigny

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien via fdesouche

  • l'incendie de la cathédrale de Nantes.

    Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2020

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    Connus pour leur douceur, leur tolérance, leur sens du dialogue, leur refus de tout esprit conflictuel ou de vengeance, Hutu, Tutsi et Twa, les trois ethnies qui peuplent ce beau pays par ailleurs célèbre pour son Parc national des volcans, ses gorilles de montagnes et ses singes dorés qui en constituent la richesse touristique, n'ont jamais été pris en défaut d'humanisme.

    J'ai beau chercher dans l'histoire rwandaise, je ne vois rien qui puisse aller à l'encontre d'une volonté éclairée de "vivre ensemble".
    JFT.

    L’image contient peut-être : une personne ou plus, personnes debout, barbe et plein air
  • « Mon arrière grand-père nigérian vendait des esclaves »

    Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2020

    Au milieu du débat mondial sur les relations raciales, le colonialisme et l’esclavage, certains des Européens et des Américains qui ont fait fortune dans le commerce des êtres humains ont vu leur héritage réévalué, leurs statues renversées et leurs noms retirés des bâtiments publics.

    La journaliste et romancière nigériane Adaobi Tricia Nwaubani écrit que l’un de ses ancêtres a vendu des esclaves, mais affirme qu’il ne devrait pas être jugé selon les normes ou les valeurs d’aujourd’hui.

    Mon arrière-grand-père, Nwaubani Ogogo Oriaku, était ce que je préfère appeler un homme d’affaires, issu du groupe ethnique Igbo du sud-est du Nigeria. Il s’occupait d’un certain nombre de marchandises, dont le tabac et les produits de la palme. Il vendait également des êtres humains.

    « Il avait des agents qui capturaient des esclaves de différents endroits et les lui amenaient », m’a raconté mon père.

    Les esclaves de Nwaubani Ogogo étaient vendus par les ports de Calabar et de Bonny, dans le sud de ce qui est aujourd’hui le Nigeria.
    […]

    L’achat et la vente d’êtres humains chez les Igbo avaient commencé bien avant l’arrivée des Européens. Les gens devenaient des esclaves en guise de punition pour leurs crimes, pour paiement de dettes ou en tant que prisonniers de guerre.

    Arriver à vendre des adultes était considérée comme un exploit pour lequel un homme était salué par des chanteurs de louanges, un peu comme les exploits de lutteurs, de guerre ou de chasse aux animaux comme le lion.

    Les esclaves igbo servaient de domestiques et d’ouvriers. Ils étaient parfois aussi sacrifiés lors de cérémonies religieuses et enterrés vivants avec leurs maîtres pour les soigner dans l’au-delà.
    […]

    Lorsque les Britanniques ont étendu leur domination au sud-est du Nigeria à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, ils ont commencé à imposer l’abolition par l’action militaire.

    Mais en recourant à la force plutôt qu’à la persuasion, de nombreuses personnes locales comme mon arrière-grand-père n’ont peut-être pas compris que l’abolition concernait la dignité de l’humanité et non un simple changement de politique économique qui affectait la demande et l’offre.

    « Nous pensons que ce commerce doit continuer », disait tristement un roi local à Bonny au XIXe siècle.

    « C’est le verdict de notre oracle et de nos prêtres. Ils disent que votre pays, aussi grand soit-il, ne pourra jamais arrêter un commerce ordonné par Dieu ».
    […]

    BBC Africa via fdesouche

  • Chignin (73) : un migrant nigérien blesse quatre gendarmes et une résidente d’un centre d’hébergement

    Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2020

    Par  le 19/07/2020

    Mercredi après-midi 15 juillet, un jeune Nigérien s’est présenté au programme d’accueil et d’hébergement des demandeurs d’asile (Prahdas) de Chignin (860 hab, Savoie), dans l’ancien hôtel F1. Il a demandé à voir l’assistante sociale mais il était dans un état second.

    Apeurée, elle a appelé les gendarmes. Ces derniers ont d’abord essayé de le raisonner en l’incitant à suivre les pompiers. Mais il a refusé et s’est de nouveau montré violent. Il a blessé quatre gendarmes ainsi qu’une résidente. Les militaires ont dû utiliser la force et ont tasé le jeune Nigérien. Il a ensuite été menotté et a été transporté à l’hôpital de Chambéry par les pompiers, escortés par les hommes du Psig (Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie). Une enquête a été ouverte pour violences, dégradations et outrages.

    Le jeune homme était connu des services de gendarmerie. Il y a quelques mois, les gendarmes l’avaient arrêté à la suite de plaintes de riverains signalant un individu ne jouissant pas de toutes ses facultés mentales. Il avait été interné quelques jours au CHU de Bassens.

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Écosse : des centaines de personnes ont assisté aux funérailles du migrant soudanais B. Abadlla, auteur de l’attaque au couteau de Glasgow

    Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2020

    Par  le 18/07/2020

    Écosse – Les personnes présentes pour ces funérailles ont largement dépassé la limite légale, ce qui signifie que la majorité a dû se rassembler dans un parking à proximité.

    Plusieurs centaines de personnes ont assisté aux funérailles d’un homme abattu par la police après avoir poignardé six personnes à Glasgow.

    L’enterrement de Badreddin Abadlla Adam avait lieu au cimetière de Linn à Glasgow à 14 heures cet après-midi, la police a été appelée après qu’une grande foule de personnes se soit réunie en violation des restrictions liés au Coronavirus.

    Le Soudanais de 28 ans a été abattu par des agents après avoir blessé six personnes au couteau, dont l’agent de police David Whyte, âgé de 42 ans, lors de l’attaque du Park Inn Hotel de Glasgow le mois dernier.

    Au moment de son attaque au couteau, Adam était temporairement hébergé à l’hôtel, qui servait de logement pour les demandeurs d’asile.

    Il a été décrit comme un « gars calme, poli et décent » par des demandeurs d’asile résidant également au Park Inn Hotel.

    Sky News via fdesouche