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  • Immigration : près d’un tiers de la population toulousaine d’origine extra-européenne ?

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

    Immigration
    Sur l'agglomération toulousaine, les mineurs extra-européens représentaient 4,1 % de la population, contre 23,1 % en 2015. © France Stratégie

    Si les statistiques ethniques sont interdites en France, une plateforme du gouvernement compare depuis cinquante ans, la proportion de la population d’origine extra-européenne.

    Si certains refusent toujours de parler de grand remplacement, les statistiques publiées par France Stratégies, organisme rattaché à Matignon, démontrent une nouvelle fois l’existence de ce phénomène démographique. Fdesouche a récemment partagé la partie de l’étude cartographique relative à l’évolution de la proportion d’enfants immigrés ou enfants d’immigrés extra-européens parmi les moins de 18 ans entre 1968 et 2015.

    L’évolution par commune dans l’agglomération toulousaine

    Pour l’agglomération toulousaine, le nombre d’enfants immigrés, ou dont au moins un des deux parents est un immigré extra-européen, a quasiment été multiplié par six. D’une moyenne de 4,1 % en 1968, nous sommes passés à 11,4 % en 1982, 17,5 % en 1999, pour atteindre 23,1 % en 2015. Il y a une cinquantaine d’années, des villes comme Toulouse, Blagnac, Colomiers, Cugnaux, Portet-sur-Garonne ou Muret comprenaient entre 0 et 7 % d’enfants extra-européens. Il y a 5 ans, leur proportion était de 30% pour Ramonville, 29 % pour Toulouse, 25% pour Blagnac, 24 % pour Colomiers, 22 % pour Portet-sur-Garonne, 21 % pour Saint-Alban, 20 % pour Muret, 19 % pour Cugnaux et pour Aucanville, etc. D’autres communes telles que Launaguet, Saint-Jory, Fonbeauzard, Plaisance-du-Touch recensent également entre 14 et 21 % d’extra-européens parmi les moins de 18 ans. Pour leur compte, Villeneuve-Tolosane, Seysses, Tournefeuille, Pibrac, Cornebarieu, Balma ou bien encore Saint-Orens hébergent entre 7 et 14 % d’enfants extra-européens. Seules les communes de Quint-Fonsegrives et Léguevin ne dépassent pas le seuil de 7 % de mineurs extra-européens (respectivement 7 % et 5 %).

    La répartition dans les quartiers de Toulouse

    La même étude permet de constater la répartition des mineurs immigrés par quartier au sein même de Toulouse. Si la part d’enfants extra-européens dans le centre-ville varie entre 12 % (pour les Carmes) et 18 % (pour les Minimes), elle atteint plus de 20% dans les quartiers de l’Île du Ramier, La Vache ou Bonnefoy, plus de 30 % à Purpan, La Cépière, Basso Cambo, Rangueil, Soupetard, Croix-Daurade, et 40 % pour les Izards. Dans le secteur sud (Mirail, Bagatelle, Bellefontaine), ils représentaient déjà, en 2015, entre 60 et 80 % des résidants.

    Lire aussi : Jean-Eudes Gannat : « 98% des habitants de Lesbos sont aujourd’hui contre l’immigration, car ils en ont fait les frais »

    Le rapport général de France stratégies conclut que, « du fait de la hausse de leur part dans la population, les moins de 18 ans vivant avec au moins un parent immigré extra-européen vivent plus souvent dans des quartiers où ils sont majoritaires parmi les moins de 18 ans : c’est le cas de 38% d’entre eux en 2015, contre 17 % en 1990. Mais ceux qui vivent avec deux parents immigrés non-européens − dont la part est stable dans le temps − vivent rarement et de moins en moins souvent dans un quartier où ils sont majoritaires (4 % en 2015, contre 10% en 1990). »

    Notons au passage que nos confrères de Lenguadoc-info révèlent, pour leur part, que presque 40 % des moins de 18 ans vivant à Montpellier ne sont pas d’origine européenne. Ils constatent par ailleurs que si la proportion des mineurs immigrés ou enfants d’immigrés européens a pratiquement été divisée par deux. Cette baisse est encore plus importante à Toulouse. La ville rose accueillait 14,7 % d’enfants de parents immigrés européens en 1968 contre seulement 6,3 % en 2015.

    Des estimations éclairantes mais partielles

    L’étude apporte un bon éclairage sur l’évolution démographique que connaît la France, mais elle demeure partielle en raison de l’interdiction des statistiques ethniques. Elle ne comprend que les moins de 18 ans immigrés ou dont les parents sont immigrés et exclut, de fait, tous ceux dont les parents détiennent la nationalité française. D’autres données permettent alors de compléter le tableau de l’évolution démographique. Les chiffres concernant le dépistage de la drépanocytose, une maladie génétique du sang qui touche quasi-exclusivement les personnes extra-européennes, apportent une vision plus proche de la réalité. Ainsi, Laurent Obertone avance dans La France interdite que 42 % des nouveau-nés, DOM compris, ont fait l’objet d’un dépistage en 2016. La moyenne était de 34,16 % pour la région Midi-Pyrénées sur cette même année.

    Lire aussi : Drépanocytose. 34 % des naissances en Midi-Pyrénées sont d’origine extra-européenne

    Il convient aussi de souligner que les immigrés non-européens âgés de 25 à 54 ans représentaient 3 % de la population de l’agglomération toulousaine en 1968, 6,8 % en 1990 et 11,8 % en 2015. En revanche, les statistiques concernant les plus de 54 ans sont absentes de l’étude de France stratégies. L’importance de la transformation démographique ne peut être entièrement comprise si l’on ne prend pas en compte le vieillissement de la population autochtone et son contraste avec la jeunesse des immigrés extra-européens.

    Enfin, les données les plus récentes de l’étude concernent 2015, l’année de la grande crise migratoire qui a incité l’Union européenne à instaurer les quotas de répartition de migrants. En France, l’immigration a nettement augmenté depuis cette époque. 262.000 titres de séjour ont été délivrés en 2017, 256.000 en 2018 et plus de 276.000 en 2019. En comparaison, le nombre de titres de séjour octroyés en 2015 était de 212.000. Le nombre des demandeurs d’asiles dépassent, à lui seul, la barre des 140.000 pour l’année 2018 et celle des 154.000 pour 2019, dont 110.000 mineurs. À ces statistiques officielles, il faudrait encore ajouter un recensement des clandestins. L’étude publiée par France stratégies doit donc être considérée comme purement indicative de l’évolution en cours.

     

    Source : infos-toulouse

  • Gouvernement Castex. Des grandes gueules pour masquer l’ennui

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

     

    Gouvernement Castex. Des grandes gueules pour masquer l’ennui

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Il faudra juger Jean Castex aux actes. C’est ce qu’il demande et il a bien raison, surtout que, pour le moment il ne peut compter sur le verbe. Ses interventions sont laborieuses et ennuyeuses, chose étonnante alors que se multiplient les coachs entraînant à une parole convaincante. C’est sans doute pour pallier cette absence de charisme verbal, qui était connue, que son gouvernement a été enrichi de grandes gueules.

    Le retour de Bachelot

    C’est ainsi que sont respectivement nommés à la Justice et à la Culture Eric Dupont-Moretti et Roselyne Bachelot. Les deux ont un point commun : Ils ont juré les yeux dans les yeux aux journalistes que jamais au grand jamais, ils n’accepteraient un poste au gouvernement. Ils l’ont fait dans un grand éclat de rire. Décidément la soupe est bonne et la vanité gouverne les hommes et les femmes à parité égale. Roselyne Bachelot, la femme aux masques, tient une belle revanche sur un départ peu glorieux de son dernier poste ministériel — la Santé. Entre temps elle s’était transformée en amuseuse donneuse de leçon sur les médias et dans la presse. Son apport à la culture a été très limité, même si elle a cru bon d’interpréter au théâtre Les Monologues du vagin, histoire de prouver combien elle était féministe et branchée.

    Mâles blancs

    Pour l’avocat anti-magistrats devenu leur ministre de tutelle, le pari est encore plus insensé. L’homme est très fort dans son domaine mais la façon dont il s’est laissé chahuter et déstabiliser par les députés lors des questions au gouvernement est étonnante. Personne ne l’avait averti que les interruptions n’étaient entendues que par lui et pas par les téléspectateurs et qu’il ne fallait donc pas en tenir compte ? Cette impréparation politique sur un classique est stupéfiante.

    L’arrivée de Darmanin n’est pas du même registre. On peut se demander si Gérald si fier de dire, alors que personne ne le demandait, qu’il se prénommait aussi Moussa, est vraiment la bonne personne pour lutter contre l’islamisme politique ! On est toujours dans le doute sur les intentions du président, attendons donc le 14 juillet. Mais ce qui est incompréhensible, c’est l’aveuglement dont témoigne cette nomination : on fait comme ci notre république n’avait pas déjà accepté le totalitarisme des minorités au nom de l’idéologie de la repentance et de la victimisation.

    En outre, nommer un Darmanin désigné comme violeur par une dame (cette dernière fût-elle pas très nette), c’était bien sûr agiter un drapeau rouge devant les chiennes de garde et autres féministes de combat radical. A cela s’ajoute les propos sexistes du ministre de la justice qui vont lui être rappelés au quotidien. Avec ce couple de mâles blancs obligés un temps de cohabiter, cela va être l’enfer pour Marlène Schiappa. On nous permettra un sourire peu charitable.

    Ce gouvernement a un casting qui va permettre des attaques à la chaine, avec la complaisance bien sûr des médias. Ils sont pour le moment sous le charme de la nouveauté mais on sent déjà les réticences. Sur les pensées supposées, il n’y a pas de présomption d’innocence. Le sérieux insipide de Castex ne suffira pas longtemps à protéger ses ministres médiatiques de la médiocratie dominante. Qui a vécu par les médias périra par les médias.

    Le remaniement sera dénoncé comme trop blanc et machiste, il l est déjà. Contraint donc à donner des gages aux minorités agissantes, il risque d être paralysé avant même d’avoir commencé à agir.

    Pierre Boisguilbert
    15/07/2020

    Source : Correspondance Polémia

  • PMA : le gouvernement veut passer en force

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

    Auteur : 

    Le gouvernement a décidé de passer en force et a inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la deuxième lecture du projet de loi sur la bioéthique qui se déroulera en séance publique à partir du 27 juillet.

    Cette décision est d’autant plus absurde que le Sénat, qui ne siège pas en septembre, ne pourra examiner le texte avant l’automne. Elle traduit la volonté idéologique du gouvernement de profiter de l’été pour faire adopter coûte que coûte le projet de loi par un hémicycle clairsemé et de museler l’opinion publique puisque pour des raisons sanitaires, les rassemblements publics de plus de 5000 personnes demeurent interdits à l’heure actuelle.

    Sur le fond, le texte qui va être discuté en deuxième lecture aggrave les transgressions déjà votées à l’automne dernier. Outre la PMA sans père et la création d’embryons chimères mi-homme mi-animal ainsi que d’embryons transgéniques, le projet de loi élargit le recours au diagnostic préimplantoire permettant d’éliminer les embryons porteurs d’une anomalie chromosomique (DPI-A) et légalise la technique de la fécondation in vitro à deux mères dite ROPA (réception de l’ovocyte du partenaire) qui éclate la maternité entre deux femmes : la donneuse d’ovocytes d’un côté et la gestatrice de l’autre, pour que les deux femmes puissent également se revendiquer mères du même enfant, tout en évinçant la paternité.

     

    Source : medias-presse.info

  • Cours anti-racistes et anti-blancheur prescrits pour les Blancs

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

    On vit décidément une époque renversante !

    Une ultime folie sévit aux Etats-Unis parmi les bien-pensants : prescrire pour les Blancs des cours anti-racistes, qui s’avèrent être substantiellement anti-blancs.

    Il n’a pas suffi au maire démocrate, libéral-féministe, de Seattle, Jenny Durkan, de laisser aux mains des Blacks Lives Matter, Antifa et autres groupuscules d’extrême-gauche la zone occupée autour de Capitol Hill, dénommée CHOP, pour une « expérience urbaine et sociale » qui a vite tourné au cauchemar, il lui faut maintenant convoquer les Blancs, directeurs d’école, policiers, travaillant dans la culture, à des cours d’anti-racismes « pour mettre fin à la supériorité raciale intériorisée et à la blancheur »des employés blancs.

    Sans rire, les citoyens convoqués par Durkan ont été informés que les « prétendues qualités blanches » sont désormais considérées comme « offensantes et inacceptables » pour les autres minorités vivant à Seattle et qu’il faut donc y renoncer. Parmi ces prétendues « qualités des blancs », il y aurait « le perfectionnisme, l’intellectualisme, l’arrogance, le paternalisme, la recherche du bien-être, l’objectivité et l’individualisme ».

    L’initiative du maire laisse littéralement sans voix et fait comprendre qu’aux États-Unis, certains soufflent dangereusement sur le feu de la guerre raciale : les démocrates et leur moralisme progressiste hypocrite, qui va jusqu’à menacer le concept même de citoyenneté, en organisant des cours pour les citoyens avec une couleur de peau spécifique et déterminée. C’est le racisme des antiracistes qui, pour l’intolérance, n’a rien à envier aux pires racistes. Il suffit de lire, pour s’en convaincre, la suite de cette authentique illusion libérale.

    En fait, ce que la ville de Seattle demande aux Blancs dans ces cours est de « se débarrasser de leur blancheur ». Dans le document remis par la municipalité aux citoyens, il est dit que « les Blancs doivent renoncer à la terre et à la garantie de leur sécurité physique ». Parce que, selon le document, « les Blancs maintiennent le système » ne pensant qu’à eux « en nuisant ainsi aux personnes de couleur ». Les Blancs, selon les auteurs de l’initiative, aimeraient « justifier leur supériorité pour masquer leurs peurs, leur honte ou leur culpabilité ».

    La dérive idéologique de la bien-bien-pensance anti-raciste atteint des sommets de racisme anti-blanc !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

    Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.

    C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution- et il en annonçait bien d’autres…

    « Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)

    Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
    La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.

     

    Source : contre-info