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  • Coronavirus : La stratégie de la terreur

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2020

    Coronavirus : La stratégie de la terreur

    Le site Benoît et moi a traduit un article italien d’Aldo Maria Valli, qui dénonce l’entreprise terroriste du coronavirus ; terroriste car il s’agit de semer une terreur certaine au sein de la population, en faisant craindre l’arrivée d’une seconde vague qui nécessiterait un reconfinement. Obliger le port du masque en France, dans les lieux publics clos, à partie du 1er août (et pourquoi pas avant ??), relève de la même stratégie visant à entretenir l’hystérie collective. Extraits :

    […] Le patient asymptomatique est celui qui est testé positif au Sars-CoV-2, mais qui ne présente aucun symptôme de Covid-19. Eh bien : un patient qui est positif pour le Sars-CoV-2 mais qui ne présente aucun symptôme de Covid n’est tout simplement pas malade du Covid. Point final. Et il est tout à fait clair qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter de l’état de santé d’une personne qui n’est pas malade. Untel devrait-il aller chez un médecin pour traiter une maladie qu’il n’a pas ? Un médecin doit-il traiter Untel pour une maladie qu’il n’a pas ?

    Par conséquent, la lugubre litanie de la protection civile qui, chaque jour, égrène le nombre de personnes infectées n’a pour effet que de semer et de perpétuer une angoisse injustifiée parmi les Italiens (angoisse pathogène, elle), laissant croire que chaque jour, il y a plusieurs dizaines de nouveaux patients atteints de Covid. Ce n’est pas le cas : ces chiffres nous indiquent seulement combien de personnes ont été enregistrées au cours des dernières 24 heures parmi les positifs au test du Sars-CoV-2 ; comme nous savons que la grande majorité d’entre elles sont asymptomatiques, nous savons aussi – comme je l’ai souligné – que la grande majorité d’entre elles ne sont pas des patients atteints de Covid.

    Le professeur Zangrillo a bien expliqué que « infecté » ne signifie pas « malade » :

    « En Italie, il y a des foyers, mais ce ne sont pas des foyers de maladie. En Italie, nous avons une série de foyers qui doivent être contrôlés et identifiés, mais ils ne sont pas équivalents à un foyer de maladie. J’ai parlé à Naples, où il y a eu la finale de la Coupe d’Italie [de football] [le 17 juin dernier] et la peur d’un rassemblement et il n’y a pas un seul malade au Cotugno ou au Monaldi [deux grands hôpitaux de Naples, ndt] ». Et cela parce que, précisément, à la présence d’un test positif, « correspond l’absence de la maladie ».

    Les patients asymptomatiques ne présentent aucun symptôme, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas malades, car la charge virale – et la capacité de réplication relative du virus – est si faible qu’ils ne tombent plus malades:

    « La charge virale dépend également de la capacité de réplication du virus. Les virologues observent à partir des tests que le virus a perdu cette capacité ».

    La situation est donc la suivante : la plupart des personnes déclarées positives au Sars-CoV-2 (c’est-à-dire les fameux « asymptomatiques ») ne sont pas atteintes de Covid, les autres sont « paucisymptomatiques », c’est-à-dire qu’elles présentent des symptômes légers comparables à ceux d’un rhume ou d’un syndrome para-grippal léger. Tout médecin sait qu’il y a de nombreuses épidémies de rhumes et de syndromes para-gripaux légers dans toute l’Italie chaque année, 365 jours par an, mais personne ne songerait à forcer la population à adopter des mesures prophylactiques de masse telles que l’application d’un masque, le respect de la distance sociale et l’assainissement ou la désinfection des espaces communs.

    En Italie, une terreur injustifiée entraîne la prolongation injustifiée de mesures hygiénico-prophylactiques manifestement anormales par rapport à l’ampleur réelle de la menace en place (espérons que les évêques en prendront également note).

    Compte tenu de tout cela, il n’est pas difficile de comprendre que depuis des semaines, personne ne meurt plus du Covid (et que par conséquent les chiffres qui informent quotidiennement des morts « de Covid » sont trompeurs). Ceux qui sont comptés chaque jour parmi les morts de Covid ne sont pas des morts de Covid, ils étaient seulement positifs au test mais sont morts d’autres pathologies. Le professeur Zangrillo l’a bien précisé il y a quelque temps :

    « Aujourd’hui, je lis : 44 décès de plus en Italie, une personne entre à l’hôpital avec un infarctus du myocarde, on lui fait passer un test pour savoir si elle est positive ou non pour le Covid, mais entre-temps la situation clinique se détériore, elle entre en salle d’opération mais ne s’en sort pas, et malheureusement elle meurt au bout de deux jours. Cette personne est signalée à la Défense civile comme cas de Covid mais elle est décédée d’une autre manière. »

    Bref : depuis quelque temps, les personnes qui ont été comptées parmi les morts de Covid sont mortes de quelque chose de tout à fait différent, ou tout au plus sont des patients si gravement immunodéprimés et souffrant d’une ou plusieurs maladies graves que – malheureusement – ils seraient morts même s’ils avaient attrapé un rhume ou l’un des nombreux syndromes para-grippaux mentionnés plus haut, qui circulent inlassablement dans notre pays chaque année.

    Il vaut la peine d’écouter le professeur Tarro, une sommité internationale de la virologie, qui balaie tout alarmisme stupide. Sur la comparaison entre le Covid et la grippe espagnole:

    « C’est une absurdité colossale. Sur le plan scientifique, ce sont des comparaisons insoutenables ».

    Sur la tristement célèbre « deuxième vague en automne » et la crainte relative:

    « Sans blague ! C’est tout ce qu’il y a à dire. Peur de quoi? En supposant qu’il y ait quelques cas ici et là, on sait comment traiter ce virus. Les médecins qui font bien leur travail savent comment le traiter. Je dis plus : non seulement il n’y aura pas de deuxième vague à l’automne, mais comme le Sars CoV2 est maintenant pratiquement mourant et qu’il touche à sa fin, je renouvelle mon invitation à tous de jeter leurs masques: ils ne sont plus nécessaires« . […]

     

    Source : lesalonbeige

  • En 2019, plus de 272 000 catholiques allemands ont choisi de sortir de l’Église

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2020

     le 

    En 2019, plus de 272 000 catholiques allemands ont choisi de sortir de l’Église

    La crise se poursuit dans l’Eglise en Allemagne et ce n’est pas la tentation schismatique d’une partie de l’épiscopat qui va résoudre ce sujet.

    En 2019, 272 771 catholiques allemands ont choisi de sortir de l’Église et de cesser de payer l’impôt ecclésiastique, tandis que les protestants ont connu une désaffection équivalente, avec 270 000 fidèles de moins. Fin 2019, les catholiques étaient un peu plus de 22,6 millions, représentant 27,2 % de la population, au coude à coude avec les protestants luthériens, qui sont environ 20,7 millions. Le nombre d’ordinations sacerdotales dans les 27 diocèses catholiques allemands s’élève à seulement 57 pour cette année (contre plus de 100 en France). En 2000, il y avait encore 154 consécrations. Dans les décennies 1960-1970, on en comptait plus de 300 annuellement.

    Le nombre de 57

    Le père Hans Langendörfer, jésuite et secrétaire général de la conférence épiscopale allemande, s’inquiète :

    « Ces chiffres m’effrayent et m’inquiètent car ils montrent que notre message, qui parle de la liberté de l’Homme et de sa connexion avec Dieu, n’est plus reçu. Nous avons besoin d’une analyse ouverte et honnête pour comprendre cette perte de lien. »

    Stephanie Springer, présidente de la communauté protestante de Hanovre, y voit la marque de la sécularisation de la société et de l’individualisme croissant.

    « L’année dernière, quand nous avons cofinancé un navire de sauvetage de migrants en Méditerranée, certains de nos membres ont ouvertement manifesté leur désapprobation et déclaré vouloir sortir de notre institution. Autrefois, les fidèles s’accommodaient des décisions de leur Église, même s’ils n’étaient pas d’accord. »

    Les chrétiens en ont assez du suicide collectif.

    En France, les chrétiens qui quittent l’Eglise le font sans bruit. Même si le constat est là. En Allemagne, pour sortir de l’Eglise, il faut le déclarer officiellement pour ne plus avoir à payer l’impôt ecclésiastique. Evidemment, cela se voit très vite… Que l’argent des fidèles soit utilisé pour enlaidir des églises, passe encore, mais financer l’immigration, c’est la goutte d’eau de trop. L’impôt religieux représente 8 à 9 % de l’impôt sur le revenu.

    Georg Bier, spécialiste du droit ecclésiastique à l’université de Fribourg, précise :

    « L’Église ne parvient plus à répondre aux questionnements des individus et à donner du sens à leur vie. Ils se demandent alors s’ils veulent continuer à donner de l’argent à une institution dans laquelle ils ne se reconnaissent plus. »

    Et si l’Eglise se recentrait sur les sacrements et l’annonce de l’Evangile ?

     

    Source : lesalonbeige

  • Manque de diversité

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2020

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    Manque de diversité

    Libération a publié un torchon, comme d’habitude, pour se plaindre du manque de diversité parmi les officiers français.

    On attend le papier sur l’homogénéité de la rédaction de Libération…

    Et dans les prisons, ça manque aussi de diversité, mais ce n’est pas la même…

     

    Source :lesalonbeige

  • Interview de Macron: un petit maître en marche vers le néant.

    Publié par Guy Jovelin le 14 juillet 2020

    Depuis son élection, Emmanuel Macron a pris l'habitude de prendre de vitesse son Premier ministre fraîchement nommé et d'intervenir quelques jours ou quelques heures avant sa Déclaration de politique générale prononcée devant l'Assemblée nationale. En 2017, il le fit depuis la tribune du Congrès réuni à Versailles en exposant le 3 juillet, veille du discours solennel d'Edouard Philippe, la politique que le gouvernement serait chargé d'appliquer.

    Cette pratique institutionnalisée du court-circuitage révèle un caractère faible, tourmenté, cahotique, nettement marqué par une volonté maniaque de contrôle de type obsessionnel et compulsif.

    Cette année, c'est en renouant avec la recette réchauffée de ses prédécesseurs de l'interview du 14 juillet, qu'il aurait voulu faire, à quelques jours du discours de Jean Castex devant la prétendue représentation nationale, la nouvelle démonstration de "qui décide et qui exécute".

    Les Français n'auront vu et entendu qu'un Président dépassé et flottant.

    Cet entretien télévisé particulièrement vide de sens et de contenu, ne fut, en effet, qu'un long survol semé de profonds trous d'air d'une situation politique, sanitaire, économique et sociale que le Président de la République ne maîtrise en aucune façon.

    Approximatif, hésitant, décalé presque égaré, éthéré et lunaire, Emmanuel Macron est demeuré flou et évasif. Il voulait imposer l'idée qu'il était un chef mais nos compatriotes ne s'y trompent plus qui savent d'instinct qu'au delà des parures de la République et des postures, Il n'est qu'un élément parmi d'autres d'un Système global. Les vraies décisions ne sont pas de son ressort.

    Macron vient de montrer qu'il avait perdu la main. Le régime va donc se chercher une nouvelle incarnation. Il serait temps que le peuple français se trouve quant à lui une nouvelle voie.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du Parti de la France.

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  • 98,2 % de réussite au BAC en Seine-Saint-Denis « et ça tombe bien »

    Publié par Guy Jovelin le 14 juillet 2020

    Par  le 13/07/2020

    98,2 % de réussite au bac en Seine-Saint-Denis : « Ça arrange bien l’Education nationale… »

    C’est 10,7 points de plus que l’an passé. Et ça tombe bien : selon la FCPE 93, le système n’aurait pas su gérer les redoublants alors que le cursus à partir de la première a été complètement réformé.

    Plus 10,7 points en un an ! D’après les résultats publiés ce lundi par l’académie de Créteil, 98,2 % des élèves scolarisés en filière générale en Seine-Saint-Denis ont obtenu leur baccalauréat après la session de rattrapage (contre 98,4 % au niveau national). L’an passé, ils n’étaient que 87,5 % à avoir réussi l’examen dans le département.

    Partout en France, les taux de réussite sont en forte hausse par rapport à la session 2019.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien via fdesouche