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  • La surpopulation était un mythe : la démographie va s’effondrer

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2020

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    La surpopulation était un mythe : la démographie va s’effondrer

    La population mondiale pourrait décliner dès la deuxième moitié du siècle pour atteindre 8,8 milliards en 2100, soit deux milliards de moins que les projections de l’ONU, selon une étude du Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) à Seattle (financé par la Fondation Bill et Melinda Gates), publiée mercredi 15 juillet dans The Lancet. A prendre donc avec des pincettes

    Ce déclin sera lié en grande partie à la culture de mort par la contraception, qui va faire baisser le taux de fécondité à 1,66 enfant par femme en 2100 contre 2,37 aujourd’hui. Ainsi, la Chine pourrait perdre près de la moitié de ses habitants (1,4 milliard aujourd’hui, 730 millions en 2100). L’Asie et l’Europe devraient perdre des habitants. Elles abritent une grande partie des 23 pays qui devraient voir leur population réduite au moins de moitié :

    • Japon (128 à 60 millions),
    • Thaïlande (71 à 35),
    • Espagne (46 à 23),
    • Italie (61 à 31),
    • Portugal (11 à 4,5),
    • Corée du Sud (53 à 27)

    La France échapperait à cette chute (65 à 67 millions), sans doute en raison de l’immigration… En effet, l’Afrique subsaharienne pourrait voir tripler sa population (1 à 3 milliards), tirée notamment par le Nigeria (206 à 790 millions d’habitants), qui deviendrait en 2100 le deuxième pays le plus peuplé au monde derrière l’Inde, mais devant la Chine.

    Christopher Murray, directeur de l’IHME (et sans doute promoteur du grand remplacement), estime :

    «  Nous estimons que plus tard dans le siècle, les pays qui ont besoin de travailleurs migrants devront rivaliser pour attirer ces migrants  »

    Des immigrés qui viendraient principalement d’Afrique subsaharienne et du monde arabe, qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts selon Yann Moix…

     

    Source : lesalonbeige

  • Afrique, le confinement et le tribalisme tuent plus que le Covid. Silence des Black Lives Matter

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2020

    A l’heure où le mouvement Black Lives Matter manifeste, bien souvent violemment volontairement, un peu partout dans le monde occidental pour proclamer que « la vie des noirs compte », on aimerait qu’il aille aussi le dire en Afrique, terre d’origine de ces mêmes noirs. Parce que là-bas la vie des noirs, elle ne compte pas beaucoup…, moins que dans cet Occident honnis.

    Et la crise du coronavirus en a donné une preuve supplémentaire. L’épidémie et les mesures de contrôle de sa prévention ont permis le déclenchement d’une vague de violence contre les femmes et les enfants dans de nombreux pays africains. Les écoles et les associations qui les défendent ayant été fermées dans de nombreux États, la chaîne de contrôle des familles a été rompue.

    C’est le triste constat fait par le quotidien italien La Nuova Bussola Quotidiana  :

    « Au Nigéria, les gouverneurs des 36 États qui composent la fédération ont déclaré l’état d’urgence non pas à cause de la pandémie, mais à cause du nombre de viols, qui a connu une nette augmentation depuis le début du confinement. ‘’Les cas croissants de crimes de viol haineux sont effrayants – a déclaré l’archevêque de la capitale Abuja, Mgr Ignatius Ayau Kaigama – la culture du viol est aussi répugnante et répréhensible que déshumanisante.‘’ Il y a 717 cas signalés, un toutes les cinq heures. Beaucoup, certainement beaucoup plus, sont ceux qui ne sont pas signalés, soit parce que les gens ont peu confiance dans le système judiciaire, soit parce que les victimes et les familles veulent éviter la stigmatisation sociale. Une enquête nationale sur la violence à l’égard des enfants réalisée en 2014 a révélé qu’une femme sur quatre a été victime de violences sexuelles enfance, dans 70% des cas plus d’une fois. Seulement 5% ont demandé de l’aide et seulement 3,5% l’ont obtenue. Les femmes qui pourraient porter plainte et qui peuvent se faire entendre risquent d’être tuées. Entre le 28 mai et le 1er juin, deux étudiantes universitaires ont connu ce sort ».

    En Afrique du Sud, la situation n’est pas plus brillante :

    « Les violences sexuelles et les meurtres, qui ont toujours été à des niveaux très élevés, ont encore augmenté pendant le confinement, à tel point que la Conférence épiscopale d’Afrique australe a invité toutes les paroisses et instituts religieux à s’interposer avec un message clair et péremptoire: ‘’Dieu dit «non» à la violence infligée par les hommes aux femmes et aux enfants. Dieu a créé tout notre être: cœur, esprit et corps.‘’ Le président de la république Cyril Ramaphosa a qualifié le phénomène de ‘’deuxième pandémie faisant rage dans le pays‘’. ‘’Nous sommes au milieu non pas d’une, mais de deux pandémies dévastatrices‘’, a-t-il déclaré le 17 juin dernier, prononçant des mots durs de condamnation contre les violeurs et les meurtriers. Au cours de la première semaine de détention, la police a reçu plus de 87 000 signalements de violence contre les femmes et les enfants. »

    En Sierra Leone, la situation est si alarmante qu’elle est décrite comme une ‘’Peste‘’, aggravée d’autant plus par la séquestration peut-on lire dans l’article cité :

    « des milliers de femmes violées et tuées chaque année, avec la circonstance aggravante que la plupart des crimes restent impunis. Le dernier épisode remonte au 17 juin. Une fille de cinq ans, Kadijah Saccoh, a été violée à plusieurs reprises puis étranglée. La première dame, Fatima Jabbe Bio, a lancé une campagne contre la violence sexuelle et – une autre forme de violence – contre les mariages précoces : ‘’Enlevez vos mains de nos filles‘’. Des milliers de personnes ont manifesté dans la capitale Freetown contre le meurtre de la petite Kadijah. »

    Et la litanie  de ces violences africaines de continuer :

    « En Éthiopie et au Kenya, la fermeture des écoles et l’isolement ont également coïncidé avec une énorme augmentation des viols d’enfants, phénomène qui était déjà largement répandu auparavant. Dans trois hôpitaux de la capitale éthiopienne, Addis-Abeba, 101 garçons et filles violés, certains par des membres de leur famille, ont été hospitalisés en avril et mai. ‘’Le problème est que, contrairement à l’ouverture des écoles, les viols ne sont découverts que lorsque les filles tombent enceintes – expliquent les autorités sanitaires – et de nombreux hommes contraints de rester à la maison se tournent désormais vers leurs enfants.‘’

    « Au Kenya, depuis la fermeture des écoles mi-mars dans le cadre des mesures prises pour contenir le Covid-19, il y a eu une augmentation considérable des grossesses de filles mineures. Selon les données publiées par le ministère de la Santé, plus de 4 000 ont été enregistrées dans l’une des 47 provinces du pays depuis le début de l’année. Les dirigeants politiques de nombreuses provinces ont appelé à l’intervention du gouvernement. Ce qui inquiète davantage les autorités, c’est que, dans de nombreux cas, les auteurs sont des parents des filles. De plus, même au Kenya, il est certain que le phénomène est beaucoup plus répandu qu’il n’en émerge car les grossesses de mineures ne sont souvent pas signalées. La situation est d’autant plus critique qu’avant la pandémie, avec 82 pour mille grossesses, le pays avait l’un des taux de grossesse infantile les plus élevés au monde. »

    Pour l’instant, il ne semble pas que les Black Lives Matter s’intéressent à cette augmentation des violences en Afrique dont les plus faibles sont les victimes, ni d’ailleurs à l’esclavage endémique qui y règne.

    Alors, « la vie des noirs » compte-elle vraiment pour ce mouvement d’extrême-gauche ?

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Déclaration de politique générale du Premier ministre : Tout est songe et mensonge.

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2020

    La République démocratique, indivisible, laïque et désormais écologique a ses grands-messes avec leurs rites, leur faux encens parlementaire et leurs homélies. En prononçant ce mercredi devant l'Assemblée nationale son discours de politique générale le Premier ministre Jean Castex en aura été un officiant qui se voulait lyrique et qui ne fut que pompeux.

    Aucune de ses promesses ne peut être prise au sérieux. Ni celle du renforcement des "territoires" que nous préférons, nous autres, appeler Provinces, ni celle d'une relance économique grâce à un carnet de chèque miraculeux fait d'argent magique et de monnaie de singe, ni celles de reconstruction sociale, de sauvetage de notre système de santé, de redémarrage de notre industrie, de lutte contre la délinquance, les violences urbaines et l'islamisme; pas plus que celle du redressement budgétaire, matériel et moral de nos armées.

    En creux, sans en être conscient, Castex a dessiné l'échec du Système et dénoncer la perversité du régime. Il en sera pourtant, sous la responsabilité de son Président, le continuateur. En tout cas jusqu'à la prochaine Présidentielle, seul objectif d'Emmanuel Macron.

    "Rien n'est vrai, rien n'est faux, tout est songe et mensonge, illusion du coeur qu'un vain espoir prolonge" écrivait Lamartine.

    Ce discours fut celui du mensonge assumé et de l'illusion d'un régime dont tout indique qu'il ne se prolongera plus longtemps.

    Par quoi sera-t-il remplacé? C'est tout l'enjeu des années qui viennent. Tout est possible désormais: le pire, l'abominable, comme le meilleur.

    Jean-François Touzé.
    Délégué général du Parti de la France.

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  • C’était un 15 juillet : la libération de Jérusalem par les Croisés

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2020

    Les croisades constituent l’une des plus belles manifestations de la générosité de l’âme française.

    Le vendredi 15 juillet 1099, les croisés libèrent la ville de Jérusalem des mains des musulmans. Ils ont quitté l’Europe occidentale trois ans plus tôt et effectué une interminable et périlleuse marche pour répondre à l’appel du pape Urbain II, reprendre aux Infidèles le tombeau du Christ et y permettre à nouveau les pèlerinages.

    Pendant le siège, plusieurs tentatives avaient été faites, mais furent toutes repoussées. Trois machines de siège furent terminées et amenées près des murs dans la nuit du 14 juillet. Elles permirent la conquête de la ville sainte.
    Godefroy de Bouillon devient Advocatus Sancti Sepuchri (Avoué du Saint Sépulcre) le 22 juillet, refusant d’être « roi » dans la ville où mourut le Christ.

    Le 12 août, Godefroy conduisit une armée, avec la Sainte Croix qui venait d’être découverte à Jérusalem, combattre l’armée fatimide  (égyptienne), qu’il écrasa à Ascalon (ou Ashkelon), bien qu’elle fut très supérieure en nombre.

    Après la victoire, la plupart des croisés considérèrent leur vœu accompli et retournèrent en Europe.
    Cependant, leur succès permit la création du royaume latin de Jérusalem.
    Pour creuser le sujet, on pourra lire avec profit le livre de Jacques Heers : Libérer Jérusalem, la première croisade (disponible ici, ainsi qu’en format de poche).

     

    Source : contre-info

  • Les feux d’artifices du 14 juillet…

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2020

    Les feux d’artifices du 14 juillet…

    À Paris comme en province, tirs de mortier, incendies et affrontements avec la police se sont multipliés.

    • À Montbéliard, des policiers ont été visés par des tirs de mortiers d’artifice, pouvant être mortel ou causer de sévères blessures et brûlures. Un suspect de 18 ans a été interpellé.
    • Évreux, huit gendarmes mobiles ont été blessés par des jets de projectile. L’incendie d’une voiture s’est propagé à une maison dont les habitants ont dû être évacués. Il n’y aurait eu aucune interpellation
    • Paris un incendie s’est déclaré dans un appartement du 13e arrondissement alors que les habitants du secteur se plaignaient de tirs de feux d’artifice intempestifs.
    • À Nanterre, un gymnase a été incendié. Plusieurs individus ont contraint un chauffeur à descendre du bus avant de jeter des engins incendiaires à l’intérieur.
    • À Talant (dans la banlieue de Dijon), les pompiers ont dû intervenir non loin d’habitations pour éteindre un incendie déclenché par des tirs dans des broussailles.
    • Les banlieues des grandes villes, en l’occurrence les régions parisienne, lyonnaise et lilloise, ont été les plus touchées. Des voitures ont ainsi été brûlées à Roubaix (Nord). Des feux d’artifice sauvages ont été observés dans plusieurs arrondissements lyonnais. Des feux, incendies de voitures et tirs de mortiers ont eu lieu à Villeurbanne, Vaulx-en-Velin et Vénissieux. À Rillieux-la-Pape, des groupes se sont opposés aux forces de l’ordre avec jets de projectiles et ripostes de gaz lacrymogènes.
    • Dans les Hauts-de-Seine, Suresnes et Villeneuve-la-Garenne, marquées par des violences urbaines pendant le confinement, ont été touchées. Comme Saint-Denis, Villetaneuse, Aubervilliers ou Bobigny en Seine-Saint-Denis ou encore les 12e, 14e, 15e, 18e, 19e et 20e arrondissements de Paris.

    Plus de cinquante individus ont été interpellés à Paris et ailleurs en Île-de-France avec au moins sept gardes à vue à Paris. Et au moins quatre policiers ont été blessés dans les Yvelines et l’Essonne.

     

    Quant au ministère de l’Intérieur, aux abonnés absents, il se félicite de la baisse de l’accidentalité (sic) routière.

     
    Source : lesalonbeige