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Les trois suspects ont réussi à prendre la fuite après avoir agressé les policiers. Les faits sont survenus le même jour que l’attaque des forces de l’ordre à Poissy (Yvelines).
C’est lors d’une patrouille pédestre ce samedi vers 13h30, dans le quartier de La Ramade, à Lormont, près de Bordeaux (Gironde), que des policiers ont été soudainement la cible de quatre tirs de mortiers d’artifice.
Les engins pyrotechniques ont été tirés par trois jeunes individus qui ont rapidement pris la fuite, sans pouvoir être interpellés. L’un des mortiers a explosé juste à côté des fonctionnaires. Une adjointe de sécurité (ADS) a été touchée et légèrement brûlée au niveau de la tête. L’enquête a été confiée au commissariat de Bordeaux.
Jessica O'Donnell (de Blaze Media) a publié récemment une vidéo des parents incitant leur jeune enfant à adopter une identité transgenre.
La vidéo, qui provient d'une organisation appelée "Label Free", est rapidement devenue virale, suscitant de nombreux commentaires alarmés.
Jessica écrit : C’est de la maltraitance [psychologique] d’enfant (child abuse)
Parent hors champ : Donc tu es un garçon transgenre. Tu sais ce que ça veut dire ?
Parent à l’image (apparence de femme et voix d’homme) : Tu es né fille, mais tu te sens garçon, n'est-ce pas ?
(Ici, probablement, l'enfant acquiesce de la tête)
Parent à l’image : Ça veut dire que tu es transgenre. D'accord ? Et c'est bien. C’est juste le mot pour ça.
Tu aimes-tu faire des activités tranquilles, comme les filles, ou tu aimes sauter partout, faire le fou et t'attaquer à tout le monde ?
Enfant : Hum, euh, comme un garçon je pense.
Parent à l’image : (approuve de la tête) Comme un garçon.
L’idée des parents que "sauter et faire le fou" signifie nécessairement qu'un enfant est un garçon a fait réagir de nombreuses femmes :
– J'étais un garçon manqué quand j'étais petite. Heureusement que je n’avais pas des parents dérangés et que j’ai pu devenir une épouse et une mère heureuse et active.
– Où sont les féministes ? […]
D'autres commentateurs ont évoqué l’imagination enfantine :
– Ma petite-fille a traversé une brève phase où elle se prenait pour une voiture. Elle courait par la maison avec une lampe de poche en criant "bip bip" à tout ce qui se trouvait sur son chemin. Et non, nous ne l'avons pas mise au garage ni nourrie à l'essence.
D’autre encore ont relevé ce paradoxe que les mêmes personnes qui dénoncent les stéréotypes sexistes s'appuient sur ces stéréotypes pour déterminer le genre d’un enfant.
Ni l'enfant, ni les parents ne sont identifiés dans la vidéo.
Cependant, Blaire White, une activiste transgenre, affirme qu'un des parents lui a envoyé une lettre de sommation parce qu’elle avait critiqué publiquement leur vidéo.
Le 15 février 1989, la Russie achevait le retrait de ses troupes d'Afghanistan. Quelques mois plus tard, revenant sur cet événement, j'écrivais dans mon premier éditorial d'Espace Nouveau, le mensuel que nous venions de fonder Roland Hélie et moi, ma certitude que ce départ était une mauvaise nouvelle pour le monde blanc car il laissait la place au pire ennemi de l'Europe: l'islamisme.
Omnubilés par la menace soviétique pourtant déclinante — cette menace que nous avions si longtemps et si légitimement combattue de toutes nos forces militantes — ne percevant pas encore que l'emprise communiste sur notre civilisation était en passe, non de disparaitre mais de se perpétuer sous une autre forme et sous d'autres masques — ceux du progressisme, des droits de l'homme et d'un nouvel internationalisme — instrumentalisés par la propagande américaine, intoxiqués par la CIA, influencés par un certain air du temps où se mêlaient archéo-atlantisme de la droite et néo-antistalinisme bien tardif des intellectuels ex maoïstes devenus révisionnistes de la cause des peuples et glorificateurs des moujahidines, ossifiés dans le conformisme de la guerre froide sans voir que le monde était en plein bouleversement, un certain nombre de nos amis me reprochèrent cet article qui établissait pourtant clairement les risques à venir, définissait les enjeux et montrait les intentions à long terme de Washington.
J'avais pourtant raison. La suite l'a malheureusement montré.
Les accusations d’ignominies sexuelles – et la pire de toutes, l’inceste ! – se suivent, se ressemblent, mais les mis en cause ne réagissent pas tous de la même façon. Le silence d’Olivier Duhamel n’a pu qu’accréditer sa culpabilité, alors que l’acteur Richard Berry, accusé – ainsi que son ancienne épouse la chanteuse Jeanne Manson – de viol et d’agressions sexuelles plus de trente ans auparavant par sa fille aînée Coline, a immédiatement clamé son innocence, démenti tout acte incestueux de sa part et écrit au Procureur de Paris pour qu’une enquête soit ouverte, malgré la prescription des faits.
Faisant monter une pression médiatique qui ne demande que cela, Me Karine Shebabo, avocate de la « présumée victime » Coline Berry, n’a pas hésité à affirmer que si l’on interroge le personnel de la protection de l’enfance, membres de la brigade des mineurs ou juges, « ils vous diront qu’à 99,99 %, il est très rare d’avoir des dénonciations mensongères quand on parle d’infractions sexuelles sur mineur au sein des familles. »
Elle se demande par ailleurs quel enfant « inventerait » de telles accusations contre un parent uniquement par vengeance ?
Avec de telles affirmations péremptoires, pourquoi continuer de gâcher l’argent du contribuables à diligenter enquête et procès, la cause étant entendue (à 0,01 % d’erreur, on ne va pas chipoter pour si peu, n’est-ce pas !) : une accusation vaudrait donc automatiquement condamnation.
N’en doutons pas, Me Karine Shebabo aurait fait merveille au procès d’Outreau, resté célèbre pour ses dysfonctionnements, la majorité des accusés ayant été innocentés après plusieurs années de prison ou de détention préventive !
Quant à la famille proche, belle-famille, ex de l’un ou ex de l’autre et « pièces rapportées » – de Josiane Balasko à Jeanne Manson – elle se déchire désormais à qui mieux-mieux dans les médias, soutenant le « présumé coupable » ou la « présumée victime »… et démontrant que les haines, les jalousies et les règlements de compte au sein d’une famille « people » n’ont vraiment rien à envier à ceux d’une famille du fin fond des bords de la Vologne (Affaire du petit Grégory)…