Publié par Guy Jovelin le 14 février 2021
Source : medias-presse.info
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Publié par Guy Jovelin le 14 février 2021
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 14 février 2021
Comme Médias Presse Info l’écrivait il y a quelques instants, les informations inquiétantes se succèdent au sujet des effets secondaires du vaccin anti-Covid d’AstraZeneca. C’est maintenant l’hôpital de Saint-Lô qui vient d’annoncer la suspension de la vaccination AstraZeneca en raison de vingt de ses soignants ayant signalé des effets secondaires.
Sur la cinquantaine de membres du personnel vaccinés, c’est donc un peu moins de la moitié qui souffrent de fortes fièvres, dont certaines frôlent les quarante degrés. D’autres effets secondaires sont également signalés ; certains soignants sont en arrêt maladie.
“Trois vaccinés hier en service néphrologie et ça donne trois arrêts de travail aujourd’hui”, confie une source proche de l’hôpital.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 14 février 2021
Auteur : Pierre-Alain Depauw
Un rapport détaillé produit par l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), un service officiel dépendant du gouvernement britannique, a détaillé tous les effets secondaires suspectés, y compris la mort, rapportés par le personnel médical ou les personnes ayant reçu au moins un vaccin anti-Covid-19 entre début décembre 2020 et le 31 janvier 2021. Les deux vaccins actuellement en usage au Royaume-Uni sont Pfizer / BioNTech et AstraZeneca. Ils ont été autorisés par l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) du pays.
La MHRA a reçu 143 rapports britanniques de suspicion d’effets indésirables du vaccin Pfizer / BioNTech dans lesquels le patient est décédé peu de temps après la vaccination, 90 rapports pour le vaccin Oxford University / AstraZeneca et 3 pour lesquels la marque du vaccin n’était pas spécifiée. La majorité de ces rapports concernaient des personnes âgées ou des personnes atteintes d’une maladie sous-jacente.
Le rapport incluait dans ses documents auxiliaires les informations selon lesquelles 5 fausses couches ont été signalées après l’utilisation du vaccin Pfizer et 3 après le vaccin AstraZeneca.
La MHRA recueille les rapports de tout effet secondaire suspecté après injection d’un vaccin anti-Covid. 20.319 rapports ont été recueillis à la fin janvier, signalant un total de 59.614 effets indésirables suspectés, concernant le vaccin Pfizer et 11.748concernant le vaccin AstraZeneca, qui n’a été injecté que depuis le 4 janvier 2021.
Au 31 janvier, selon les estimations, 6,6 millions de premières doses du vaccin Pfizer et environ 3 millions de premières doses du vaccin AstraZeneca avaient été administrées au Royaume-Uni. En outre, un demi-million de secondes doses, principalement du vaccin Pfizer, ont été utilisées.
Constat intéressant et inattendu, les effets secondaires des deux vaccins seraient «plus légers» et «moins fréquents» chez les personnes âgées de plus de 75 ans.
Or, la vaccination britannique a jusqu’à présent concerné principalement les personnes âgées britanniques de plus de 75 ans, puis les professionnels de la santé. Le rapport Yellow Card indique que «l’écrasante majorité» des effets secondaires surviennent peu de temps après la vaccination :
Pour les deux vaccins, la très grande majorité des rapports concernent des réactions à l’endroit de l’injection (bras douloureux par exemple) et des symptômes généralisés tels que des maladies “pseudo-grippales”, des maux de tête, des frissons, de la fatigue, des nausées (mal au cœur), de la fièvre, étourdissements, faiblesse, douleurs musculaires et rythme cardiaque rapide. Généralement, ceux-ci surviennent peu de temps après la vaccination et ne sont pas associés à une maladie plus grave ou durable.
Cependant, il y a eu des rapports sur des dommages plus graves associés au vaccin, notamment l’anaphylaxie et la paralysie de Bell. Aujourd’hui, 130 «effets indésirables spontanés associés à une anaphylaxie ou des réactions anaphylactoïdes» en Grande-Bretagne ont été signalés pour le vaccin Pfizer, et 30 pour le vaccin AstraZneca. La paralysie de Bell, qui implique une paralysie faciale ou un affaiblissement des muscles faciaux, a été signalée 99 fois pour le vaccin Pfizer et 15 fois pour le vaccin AstraZneca. La MHRA refuse d’en tirer des conclusions, affirmant que parce que cette maladie «peut également se produire naturellement, une association avec le vaccin n’est pas encore confirmée.»
Le rapport de conclusion indique qu’une «gamme» de «rapports isolés ou séries de rapports» d’autres effets indésirables graves suspectés ont été signalés.
Un total de 59.614 effets secondaires suspectés ont été enregistrés après l’utilisation du vaccin Pfizer / BioNTech.
Le lien avec l’analyse du vaccin Pfizer montre clairement
Un total de 42.649 effets secondaires suspectés ont été enregistrés après l’utilisation du vaccin AstraZeneca.
Le lien avec l’analyse du vaccin d’Oxford indique :
. 202 troubles sanguins après l’inoculation, dont 171 cas de ganglions lymphatiques modifiés
. 406 troubles cardiaques rapportés, notamment des palpitations (214) et une accélération du rythme cardiaque (141)
. 203 troubles de l’oreille, dont des douleurs auriculaires (88), des vertiges (41) et des niveaux variables de perte auditive (31)
. 456 références à des troubles oculaires, dont 191 rapports de douleur oculaire, 53 cas de vision trouble et 8 de cécité
. 4.693 troubles gastro-intestinaux, parmi lesquels 2.320 cas de nausées, 479 cas de diarrhée, 862 cas de vomissements et 235 cas de douleurs abdominales
. 15.644 «troubles généraux» signalés, dont 2.658 étaient de la fatigue, 4.562 étaient de la fièvre, 2.971 étaient des frissons, 100 étaient des douleurs à l’endroit de la piqure, 579 étaient des «maladies de type grippal»
. 90 troubles du système immunitaire, encore une fois principalement des réactions d’hypersensibilité (39) et anaphylactiques (28)
. 695 infections signalées, dont 42 cas de Covid-19 lui-même, 358 cas de grippe et 74 infections des voies respiratoires supérieures
. 491 troubles métaboliques, dont 430 étaient une perte d’appétit
. 5.427 troubles musculaires et tissulaires, dont 1.983 cas de douleurs musculaires et 1.281 douleurs articulaires
. 9.328 troubles nerveux, dont 5.112 céphalées, 1.207 cas d’étourdissements, 40 convulsions et 5 cas de paralysie
. 3 fausses couches
. 748 troubles psychiatriques ont été signalés, dont l’insomnie (195), l’état confus (92) et les hallucinations (64)
. 112 troubles rénaux et urinaires
. 83 problèmes aux organes de reproduction et au sein rapportés
. 1.030 troubles respiratoires signalés, 282 étaient des cas de difficulté à respirer, 209 des maux de gorge et 169 des cas de toux
. 2.052 troubles cutanés signalés, en particulier une transpiration excessive (615), des éruptions cutanées (271) et des démangeaisons (224)
. 337 troubles vasculaires
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 14 février 2021
Le professeur Raoult, publie l’analyse des des données de mortalité INSEE, par tranche d’âge, entre 2000 et 2020 :
« Aucune surmortalité chez les moins de 65 ans !
Légère surmortalité chez les 65-75 ans (mais inférieure aux taux de mortalité des années 2000).
Surmortalité chez les plus de 75 ans. »
https://twitter.com/raoult_didier/status/1359851301232852992
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 14 février 2021
La ministre suédoise de la Santé, Lena Hallengren, a annoncé lors d’une récente conférence de presse l’intention du gouvernement de fournir un «certificat de vaccination numérique» aux résidents qui reçoivent un vaccin anti-COVID-19, leur permettant de «voyager à l’étranger en vacances ou pour rencontrer un être cher ».
La ministre s’est dite convaincue qu’un «certificat de vaccination est probablement aussi souhaitable que de se faire vacciner», ce qui laisse entendre que l’identifiant numérique pourrait devenir nécessaire pour accéder aux voyages internationaux, ainsi que pour les activités quotidiennes telles que les courses et les repas au restaurant.
Anders Ygeman, ministre suédois du développement numérique, a déclaré que «l’objectif du gouvernement est que le travail aille le plus rapidement possible et que l’infrastructure numérique sera en place d’ici l’été», plus précisément le 1er juin.
«Lorsque la Suède et les pays qui nous entourent commenceront à s’ouvrir, il sera probablement nécessaire d’avoir un certificat de vaccination pour voyager et participer à d’autres activités», a-t-il déclaré, faisant référence à des entreprises, ainsi qu’aux restaurants, établissant une exigence de preuve de vaccination avant d’autoriser l’accès à leur établissement.
Le ministre danois des Finances, Morten Bodskov, a suggéré que «dans trois ou quatre mois, un passeport numérique corona sera prêt à être utilisé, par exemple, pour des voyages d’affaires», a rapporté l’Associated Press.
Le ministre a fait remarquer que le retour des voyages est «absolument crucial» pour rétablir la stabilité économique du pays et faire rouvrir les entreprises. À cette fin, les citoyens danois pourront accéder à un site Web d’ici la fin de ce mois précisant s’ils ont reçu ou non un vaccin COVID-19. En plus de cela, le «passeport» numérique, selon Bodskov, sera «le passeport supplémentaire que vous pourrez avoir sur votre téléphone portable et attestant que vous avez été vacciné».
Lars Sandahl Sørensen, PDG de l’industrie danoise de la Confédération, a suggéré que les «passeports vaccinaux» seraient un outil réclamé durant longtemps, déclarant que les citoyens «bénéficieront du passeport corona pendant de nombreuses années» puisqu’ils «autoriseront les voyages et la participation à la vie culturelle au Danemark.”
Ces déclarations ont suscité un vif émoi au Danemark où d’importantes manifestations se tiennent chaque semaine contre un tel projet.
Source : medias-presse.info