Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 41

  • L’AFP et le CSA lancent une « bourse Michèle Léridon » pour promouvoir la diversité dans les médias

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2021

    L’AFP et le CSA sont heureux d’annoncer le lancement d’une bourse destinée à contribuer à la diversité dans les médias, et qui portera le nom de Michèle Léridon, ancienne directrice de l’Information de l’AFP puis membre du CSA, disparue brutalement en mai dernier.

    «Michèle tenait à ce que la profession de journaliste représente davantage la société. Nous lui devons les deux bourses de recrutement de l’AFP, toujours d’actualité à ce jour, et auxquelles s’ajoute désormais cette nouvelle porte d’entrée dans notre maison», a déclaré le PDG de l’AFP Fabrice Fries.

    « Les équipes et le collège du CSA sont très heureux de poursuivre, par cette bourse, l’engagement de Michèle en faveur de l’égalité des chances, dans la continuité de l’action du Conseil pour promouvoir la diversité dans les médias audiovisuels », a déclaré Roch-Olivier Maistre, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel.

    En partenariat avec le CSA, l’AFP va désormais accueillir chaque année, pour un CDD de 3 mois, un jeune boursier souhaitant faire carrière dans le journalisme.

    L’AFP et le CSA travailleront pour cela avec l’association La Chance pour la diversité dans les médias, dont les 350 journalistes bénévoles préparent chaque année environ 80 jeunes aux concours des écoles de journalisme.

    Un jury composé de représentants de l’AFP et du CSA aura pour mission de choisir un lauréat parmi les jeunes ayant suivi récemment la formation de La Chance sans avoir pour autant intégré une école de journalisme reconnue par la profession.

    Le nom du premier lauréat de la « bourse Michèle Léridon » sera annoncé en mai 2022.

    CSA via fdesouche

  • Rousseau ou la victoire de la féminité toxique.

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2021

    Sandrine Rousseau, septembre 2021. Le 28 septembre, son adversaire Yannick Jadot obtient 51,03 % des voix au second tour de la primaire écologiste face à elle. Il sera le candidat des écologistes pour l’élection présidentielle 2022. © ISA HARSIN/SIPA Numéro de reportage : 01039152_000019

    Déconstruire, dit-elle

    Mince: seulement 49% d’ultra-dingos parmi les dingos! Ce mardi soir, la radicale Sandrine Rousseau a été battue sur le fil par Yannick Jadot au deuxième tour de la primaire EELV. Mais, pendant la campagne, Rousseau est parvenue à imposer l’écoféminisme dans le débat. Quand elle confie que son homme est “déconstruit”, elle nous dit qu’elle souhaite l’avènement d’un homme en pièces détachées. Analyse.

    Ainsi donc Sandrine Rousseau nous a dit son bonheur de vivre avec un homme déconstruit.

    L’interprétation la plus naïve ou la plus favorable verra là l’idée d’un homme qui, ayant fait l’analyse sans concession des préjugés que ses ignobles ancêtres avaient insidieusement versés en lui, ayant déjoué et neutralisé tout obscur désir de domination virile sur les femmes, n’a plus aucune illusion sur la société ni sur lui-même et se meut désormais dans la vie, dégagé de tous les vices du passé, pur et rayonnant de toutes les vertus contemporaines. C’est le nouvel Homme Nouveau.

    Une déclaration et ses implications

    Et c’est pourquoi Sandrine Rousseau n’a pas dit tout simplement que son mari est un homme qui respecte les femmes. Il s’agit de bien plus que cela, et seul le participe “déconstruit” pouvait rendre toute cette richesse d’implications. Seulement, pour un esprit sensible et tant soit peu imaginatif, ce même participe évoque la fâcheuse image d’un homme en pièces détachées.

    Déconstruire n’est pas détruire, ni analyser. Lorsqu’on détruit, on fait disparaître, et c’est un peu ennuyeux de n’avoir plus rien avec quoi jouer. Quant à l’analyse, c’est une opération plus abstraite, qui doit permettre de comprendre et de caractériser les parties qui entrent dans la composition du tout. Mais déconstruire ! C’est défaire, c’est décomposer non seulement pour comprendre mais bien pour neutraliser. Et ce qui est neutralisé, on l’a à sa main. On peut le ranger dans un tiroir, ou le faire servir à quoi bon vous semble. Déconstruire n’est pas une démarche intellectuelle, mais une offensive morale et psychologique, qui permet à celui qui la mène de prendre le pouvoir, sans merci.

    Partout, des dominants et des dominés

    Tout cela est bel et bon, mais Monsieur Rousseau jouit-il de l’immense bonheur de vivre avec une femme déconstruite ? Sans doute la gent masculine est-elle habitée par de honteux désirs de domination qu’il convient de débusquer et d’anéantir ; mais les femmes ? Ne sont-elles que blanches colombes ou gentilles petites oies ? Certaines compagnes ne sont-elles pas de petits caporaux menant leur homme à la baguette ? Des cheftaines qui harcèlent leurs sous-fifres ? Des mères abusives et toxiques, des amantes perverses ou narcissiques, des Dominas cruelles, des empoisonneuses ? D’impitoyables carriéristes, des présidentes hautaines, avides et sans âme ?

    Pourquoi sommer les mâles blancs de se déconstruire, et pas les femelles ? Serions-nous si différents, quand on nous affirme en même temps que nous sommes si interchangeables ? Quel aveuglement de croire que les abus de pouvoir ont un sexe et une couleur ! Et comme ces métaphores, “homme déconstruit”, “masculinité toxique”, “mâle blanc”, qui réifient ou animalisent l’être humain, signalent l’innocence et le sens du respect de l’autre chez “celles et ceux” qui les emploient !

    Ces vertueux déconstructeurs, qui n’ont de cesse de stigmatiser le désir de domination chez les autres, ont choisi une clé unique d’interprétation du monde humain qui les a précédés. Il semble que pour eux, il n’existe aucun motif d’action hormis les jeux de pouvoir. Ils devraient se demander si ce n’est pas qu’eux-mêmes sont essentiellement mus par ce désir, puisqu’ils ne peuvent en imaginer d’autres. Quant aux vieilleries courtoises, ils les méprisent ou les ignorent. Il ne faut pas se demander pourquoi.

     

    est professeur de lettres dans un lycée de province.
     
  • Des places de parking réservées aux LGBT font polémique en Allemagne

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2021

    Allemagne – Le Conseil municipal de Hanau et l’exploitant du parking « Am Markt » ont inauguré des « Vielfalt-Parkplätze », des places de stationnement réservées aux véhicules de personnes LGBT.

    La majorité politique de la ville de Hanau veut ainsi montrer son soutien au lobby LGBT. Face aux emplacements de parking réservés, les murs ont été peints dans les couleurs de l’arc-en-ciel .

    Mais cette initiative a suscité une importante controverse sur les réseaux sociaux, démontrant comment la politique d’anti-discrimination s’appuie bien souvent sur des pratiques elles-mêmes discriminatoires.

    Précédemment, certaines villes allemandes avaient déjà inauguré des « places de stationnement pour les femmes », réservées aux conductrices.

    Quel sera la suite d’une telle démarche ? Bientôt des emplacements de parkings réservés en fonction de la couleur de peau, de la religion ? Puis des emplacements de parking réservés aux transgenres noirs, d’autres aux homosexuels arabes ou aux bisexuels juifs ?

    Etrange société qui, pour prétendre garantir la lutte contre les discriminations – et en vérité chercher à inverser toutes les normes – organise précisément une société basée sur la ségrégation, sur l’apartheid.

     

    Source : medias-presse.info

  • Devenir légitimiste : un devoir pour tous les Français.

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2021

    Être légitimiste est un devoir, non une fantaisie ou un libre-choix. L’examen objectif de notre histoire ne peut amener qu’une conclusion : le roi de France est Louis XX, choisi par la grâce de Dieu, et il ne demande qu’à être sacré afin de renouer avec la mission millénaire de la France, nouée à travers les promesses du baptême de Clovis.

    Cette réalité comprise, chacun est confronté à un choix : se soumettre à cette réalité, et reconnaître le roi de France comme roi, avec ce que cela implique, lui rendre les honneurs qui lui sont dus, le servir selon son état, ou bien se rebeller contre cette réalité et faire semblant qu’elle n’existe pas.

    Nous ne pouvons modifier la réalité comme elle nous convient. Il ne s’agit pas de savoir si le Roi nous va ou pas, ou si nous préférons autre chose, mais de se soumettre à la réalité de notre pays et de son histoire, du dessein que Dieu lui a donné, à savoir qu’elle ne peut exister pleinement sans son roi, le Lieutenant de Dieu sur terre, qui mène les Français pour accomplir la gesta Dei per Francos, la vocation franque de faire les volontés de Dieu pour l’avènement de Son règne sur cet terre.

    Nous avons toujours la possibilité, par notre libre arbitre, de rejeter le roi, comme nous pouvons renier nos parents et ne pas accomplir nos devoirs de piété filiale, mais cela a des conséquences néfastes : nous nous perdons et nous perdons la France.

    Alors, oui, vous avez le choix : reconnaître notre roi Louis XX pour ce qu’il est, le lieutenant de Dieu sur terre, choisi et élu par Dieu via les lois fondamentales, ou le renier et accélérer la mort d’une France déjà mourante car privée de son bon Roi.

    Allons plus loin : certains disent que les Bourbons ne méritent plus de régner en France car Dieu les a rejetés du trône de France depuis trop longtemps. Nous répondons : Dieu punit plutôt les Français pour leurs crimes en les privant de leur bon roi, et tout nous incombe en dernière instance. Louis XVI a racheté une fois la France et sa famille par son sacrifice christique. Si le bon Dieu nous prive de notre roi c’est bien par nos insuffisances de sujets.

    N’oublions pas que le sacrifice de Louis XVI nous a sauvés, et que la lignée des aînés a miraculeusement maintenu non seulement la flamme de leur mission royale mais surtout la Foi : nous avons aujourd’hui un bon roi bien catholique, avec une belle descendance, une figure de roi et une conscience royale, malgré la révolution conciliaire, malgré le triomphe du monde moderniste et toutes ses mauvaises idées, c’est un miracle !

    Alors, soyons gré pour ce miracle, qui devrait nous inciter à toujours plus prier et œuvrer pour notre bon roi.

    Précisons enfin que le fait que notre roi soit vertueux et bon n’est pas en soi un argument : il pourrait être vilain, vicieux et mauvais, que cela ne changerait rien à notre devoir de sujets ; le roi est roi… qu’il nous plaise ou non !

    Comme notre père est notre père, même s’il nous bat — comme l’expérimentent actuellement les catholiques de toujours avec le Saint-Père… Cela n’est pas une raison pour le renier, sans que cela signifiât que nous devions rester sans rien faire : résister est un devoir.

    Mais pour le temporel, ce problème ne se pose pas : nous avons le roi devant nous, et un bon roi, alors pourquoi tergiversons-nous ?

    Notre devoir est de convaincre tout notre entourage en leur décrivant d’abord la réalité française et en les rappelant à leur devoir de sujet. Il ne s’agit de faire semblant de choisir une réalité ! Ce serait de l’utopie révolutionnaire. Nous sommes des réalistes qui se soumettons à la réalité française, qui est royale. La réalité n’est pas toujours évidente, mais elle ne change pas. Alors, prions pour que de plus en plus de sujets prennent conscience de cette réalité et œuvrent pour la restauration. Sinon nous disparaîtrons, et ce sera bien fait pour nous.

    Sans la coopération active des sujets français et des chevaliers, comment voulez-vous que les choses s’améliorent ?

    Rémi Martin

    Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !

     

    Source : https://www.vexilla-galliae.fr

  • « Il violait sa victime en récitant le Coran » : qui est Sofiane Rasmouk, le preneur d’otages présumé de la prison d’Alençon-Condé ? (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2021

    Sofiane Rasmouk, 33 ans, retiendrait en otage deux surveillants du centre pénitentiaire d’Alençon-Condé (Orne) depuis 10 h ce mardi 5 octobre 2021. Il est décrit comme impulsif et violent. L’homme est incarcéré après avoir été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, avec une peine de sûreté de 22 ans, pour viols et tentative de meurtre.

    Lors de son procès en appel, devant la cour d’assises des Yvelines en septembre 2017, il avait écopé de la peine maximale pour avoir violé deux jeunes femmes, en 2013, à Colombes et La Garenne-Colombes, en région parisienne. Il avait été qualifié de « psychopathe » par les experts, selon un article du Parisien. Son surnom : « le monstre de Colombes ».

    Ce n’est pas la première fois que l’homme, décrit par les sources locales comme « impulsif » et « violent » s’en prend à des surveillants pénitentiaires. En avril 2018, il a été condamné par le tribunal correctionnel de Versailles à six mois de prison ferme pour avoir agressé deux surveillants de la prison de Bois-d’Arcy.

    Selon nos sources, Sofiane Rasmouk fait partie des détenus particulièrement surveillé (DPS) au sein de la prison d’Alençon-Condé.

    (…) Ouest-France via fdesouche