Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 42

  • Mantes-la-Jolie : sorti de garde à vue pour une prise en charge psychiatrique, il met le feu à l’hôpital

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2021

    L’individu a provoqué deux départs de feu lundi après-midi, détruisant totalement une salle de scanner. Les forces de l’ordre, qui l’avaient interpellé un peu plus tôt pour des dégradations sur la voie publique, avaient dû le libérer à cause de son état de santé mentale.

    L’incident n’a fait aucun blessé mais il interpelle tant il est inédit. Un homme de 43 ans a déclenché deux incendies lundi dans l’enceinte du centre hospitalier François-Quesnay. Interpellé en flagrant délit de dégradation volontaire à l’entrée d’une banque, le quadragénaire avait été transporté à l’hôpital le lendemain matin à la suite d’une expertise psychiatrique. « À partir du moment où le discernement est aboli, ce n’est plus de notre ressort, il nous échappe totalement », indique une source policière.

    En fin de journée ce lundi, vers 19 heures, la situation dérape. « Au cours de son hospitalisation en psychiatrie il y a eu un défaut de surveillance et il est parti », explique cette même source. L’homme met d’abord le feu à une poubelle aux urgences entraînant l’évacuation des patients pendant une vingtaine de minutes. Il déclenche également un incendie dans une salle d’ostéodensitométrie du service de radiologie.

    Cette dernière pièce de 15 mètres carrés est totalement détruite, incluant le scanner coûteux qui permettait d’effectuer les radios des patients du bassin mantais. 

    Interpellé une seconde fois à la suite des incendies criminels, le pyromane était de nouveau placé en garde à vue… Avant d’être reconduit au centre François-Quesnay toujours pour les mêmes raisons.

    Le Parisien via fdesouche

  • Audiences : 6,5 millions de téléspectateurs devant le journal de TF1 hier soir, moins de 2 millions face au débat LR, la vidéo de candidature de Zemmour vue à 2 millions de reprises

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2021

    C’était l’interview dans laquelle Éric Zemmour voulait faire oublier le polémiste pour endosser la stature d’un candidat à la présidentielle, quelques heures après avoir (enfin) officialisé sa candidature. Le passage d’Éric Zemmour mardi soir sur TF1 a été largement suivi par les téléspectateurs puisqu’ils étaient plus de 6,50 millions de téléspectateurs devant le 20 heures de Gilles Bouleau, soit une part de marché de 27,9 % selon le site de médiamétrie. Un chiffre très haut qui le place à plus de 1,7 million du JT de France 2.

    (…)

    Le Parisien via fdesouche

  • Ces sportifs qui refusent le « vaccin » expérimental anti-Covid malgré les pressions sur leur carrière professionnelle

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2021

    Le célèbre tennisman serbe Novak Djokovic ne participera probablement pas à l’Open d’Australie en janvier 2022, refusant de se faire injecter le « vaccin » contre le Covid-19. Et il est loin d’être un cas isolé ! De nombreux sportifs de haut niveau sont ouvertement classés « antivax ». Et tant pis si cela met leur carrière en danger.

    Autre star du tennis mondial, le Russe Daniil Medvedev, numéro 2 mondial affiche son désaccord avec la campagne vaccinale…

    Idem pour l’Allemand Alexander Zverev (n° 3) mais aussi le Grec Stéfanos Tsitsipás (n° 4). En août 2021, ce dernier avait déclaré : « Personne n’a fait du vaccin une obligation. À un certain stade, je devrai [le faire]​, j’en suis à peu près sûr, mais jusqu’ici ça n’a pas été obligatoire pour jouer, donc je ne l’ai pas fait, non. »​

    Le footballeur allemand Joshua Kimmich a publiquement déclaré qu’il n’est pas vacciné. Le joueur du Bayern Munich a fait paret de ses « inquiétudes sur le manque d’études à long terme » ​sur les effets de cette « vaccination ».

    Aux États-Unis, en NBA comme en NFL, plusieurs basketteurs ont pris publiquement position contre le soi-disant vaccin. Kyrie Irving, meneur des Brooklyn Nets, de nombreuses fois All-Star et champion NBA en 2016, a farouchement manifesté son refus de se soumettre à l’injection et n’a toujours pas disputé le moindre match de cette saison.

    En football américain, Cole Beasley, joueur des Buffalo Bills, a refusé l’injection, avançant sa « liberté de choisir »​. Idem pour le joueur des Packers de Green Bay, Aaron Rodgers qui a également refusé l’injection et ne porte pas le masque en conférence de presse. Quant à Deandre Hopkins (Arizona Cardinals), il s’est interrogé publiquement sur son avenir en NFL dans de telles conditions.

    Et cette liste est loin d’être exhaustive.

     

    Source : medias-presse.info

  • Académie « française » : l’élection aberrante de Mario Vargas Llosa

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2021

    L’écrivain péruviano-espagnol Mario Vargas Llosa a été élu jeudi à l’Académie française, par les autres académiciens, malgré un âge plus élevé que ne le permettent les statuts, à 85 ans.

    Mais ce n’est pas l’âge du nouvel élu (à l’un des 40 sièges de l’institution) qui est vraiment choquant : bien qu’il parle le français, non seulement cet homme n’est pas français, mais il n’a jamais écrit un seul livre en français !

    Alors, certes, il a écrit des livres qui ont été traduits en français, notamment ses romans érotiques, obscènes, pervers, avec des passages blasphématoires, ce qui est peut-être une qualité pour la majorité des académiciens d’aujourd’hui, mais cela reste absurde.
    A quel titre sérieux cet homme peut-il entrer dans cette illustre institution, fondée par Richelieu, ayant pour vocation d’être la gardienne de la langue française ?

    Il est vrai que l’Académie s’acquitte à présent peu et mal de cette mission, et qu’elle a déjà admis en son sein des personnalités de façon incongrue : Valéry Giscard, Simone Veil…
    L’Académie explique qu’elle a désormais du mal à dénicher des talents : peut-être qu’elle devrait arrêter de choisir ses nouveaux membres en fonction des critères de l’idéologie (gaucho-mondialiste) actuellement dominante, et s’ouvrir aux personnalités de (vraie) droite ?!
    il y a du talent de ce côté-là, et probablement davantage d’amour de la langue française.

     

    Source : contre-info

  • De la transphobie à la transdinguerie !

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2021

    synthesenationale

    3783743325.jpeg

    La chronique de Philippe Randa

    Certes, il y a ceux que les « différences sexuelles » offusquent pour des raisons morales, vouant aux gémonies les homosexuels, qu’ils soient hommes ou femmes et plus encore les « transgenres » qui ne sont ni l’un, ni l’autre ou les deux à la fois ou alors encore même plus si affinités… et ceux qui ne s’y retrouvent plus guère dans toutes les différences revendiquées, depuis que l’on est passé du vocable LGBT à LGBTQIA+ et désormais MOGAI et QUILTBAG, vaste fourre-tout de toutes les espèces humaines connues, reconnues ou en voie de reconnaissance, sinon d’existence : lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexes et asexuelles, bispiritualités, cisgenres, dyadiques, altersexuels, etc., etc., etc.

    Jusqu’à présent, pour le monde de la bien-pensance, les choses étaient simples : d’un côté, les monstrueux, forcément monstrueux, homophobes ; de l’autre, leurs victimes, forcément victimes, tous unis dans la commune reconnaissance de leur sexualité différente. Oui, mais, trop simple, peut-être ! Alors, la nature humaine étant ce qu’elle est, voilà que les lesbiennes se retrouvent désormais dans le collimateur des transgenres qui les accusent de les snober !

    Entendez par là que ces dames qui n’aiment que les dames n’auraient que peu, sinon pas du tout, d’attirance pour les hommes se prenant pour des dames… et qu’elles se montreraient quelque peu récalcitrantes à succomber à leurs charmes : « Ce que je vois dans les clubs, c’est que les jeunes lesbiennes un peu naïves sont essentiellement obligées d’avoir des relations sexuelles avec des personnes qui se décrivent comme des femmes, mais évidemment elles ne le sont pas », a expliqué l’avocate Lucy Masoud (anciennement pompier de son état) au média en ligne Femail… et de poursuivre : « La difficulté, cependant, survient lorsque ces personnes exigent ensuite que les lesbiennes les acceptent comme transsexuel et sortent avec elles. »

    Accusées de transphobie, les demoiselles effarouchées se voient alors exclues pour ce prétexte des sites de rencontres et pour certaines « traitée de transphobe, fétichiste des organes génitaux, perverse et “terf” (excluant la féministe radicale) », nous rapporte de son côté le site LesObservateurs.ch.

    Ah ! que le monde d’antan était donc simple quand les filles naissaient dans les roses et les garçons dans les choux…

    (Ilustration : dessin d’Ignace).

    Lire EuroLibertés cliquez ici