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  • Seul 1% des hébergés dans les centres d’urgence d’Emmaüs sont français (Rediff)

    Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2022

    30/01/20

    Toutefois, les chiffres donnés dans le rapport d’activité de l’année 2017 par Emmaüs Solidarité donnent une photographie assez claire et inquiétante de l’état présent de notre pays. Ainsi, parmi les 22.355 personnes suivies en 2017 par Emmaüs dans le cadre de l’accompagnement social des 60 structures d’hébergement et de logements adaptés, seules 3 % d’entre elles étaient de nationalité française et 2 % ressortissantes d’Etats-membres de l’Union européenne. Ce qui signifie donc que 95 % des personnes accompagnées venaient de pays non membres de l’Union européenne ! On compte d’ailleurs 95 % de célibataires et une très large majorité d’hommes (19.397, soit 86,76 % des effectifs).

    La tendance est encore plus marquée pour ce qui concerne les personnes hébergées dans les 18 centres d’urgence présents en France, puisque ces dernières se recrutent à 98 % dans des pays non membres de l’Union européenne ! Même les centres d’hébergement et de réinsertion sociale sont concernés par le phénomène, alors que leur mission diffère très largement, accueillent 66 % de personnes issues de pays hors de l’Union européenne. C’est proprement colossal. À savoir qu’un Centre d’hébergement et de Réinsertion Sociale est un établissement accueillant des personnes stabilisées pendant une durée de deux ans en moyenne où elles seront prises en charge par des équipes sociales correspondant en moyenne à un travailleur social pour 12 hébergés contre 25 en Urgence.

    (…) L’incorrect


    29/01/20

    Rapport d’activité 2017 d’Emmaüs

    Page 25

    Le rapport dans son intégralité (pdf)

  • Policier attaqué au couteau dans une cité de Toulon : un clandestin tunisien de 18 ans condamné à 3 ans de prison ferme

    Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2022

    L’auteur d’un coup de couteau esquivé ce samedi par un policier a été jugé selon le mode de la comparution immédiate.

    Rayan Mrabet, 18 ans, a été condamné à trois ans de prison ferme ce lundi après-midi à Toulon. Ce jeune Tunisien en situation irrégulière a été reconnu coupable de violences avec arme contre un policier.

    Jugé selon le mode de la comparution immédiate, le prévenu avait été interpellé ce samedi soir dans la Tour 78 de la cité de La Beaucaire…

    (…) Var-Matin via fdesouche

  • Braquages en série à Elbeuf (76) : commerçants angoissés, policiers fatigués, élus sans réponse… un suspect “d’origine africaine” arrêté

    Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2022

    Un homme de 28 ans a été interpellé et placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête ouverte sur une série de « braquages de proximité » commis dans l’agglomération d’Elbeuf-sur-Seine, en Seine-Maritime.

    Le suspect a été appréhendé peu avant minuit, cette nuit de jeudi à vendredi, alors qu’il rentrait chez lui dans le centre-ville d’Elbeuf. La brigade anticriminalité (BAC) avait placé son domicile sous surveillance depuis quelques heures. L’homme, très grand et d’origine africaine, avait été identifié préalablement par les enquêteurs suite aux recoupements et éléments recueillis lors des investigations (audition des victimes, exploitation de la vidéo-surveillance, enquête de voisinage, mode opératoire…).

    (…) Info Normandie


    Un nouveau braquage a eu lieu le 18 janvier 2022 à Cléon (Seine-Maritime). Le 7ème en 7 semaines sur le territoire elbeuvien. Derrière ces méfaits, probablement le même homme. Une enquête est en cours. Les commerçants vivent dans l’angoisse. Elus et syndicats demandent des renforts de police « dès maintenant ».

    (…) Un homme déterminé mais calme, armé d’un revolver et d’une lacrymogène, qui œuvre à l’ouverture ou à la fermeture des magasins : le scénario est quasi identique à chaque fois. Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit bien du même individu pour les cinq braquages ayant eu lieu à Elbeuf. Concernant les deux autres événements dans les communes voisines (à Caudebec en décembre, et à Cléon ce mardi 18 janvier), il y a pour l’instant trop peu d’éléments pour l’affirmer.

    L’angoisse des commerçants

    Il serait exagéré de dire qu’une psychose a gagné la ville. Mais certains commerçants nous confient travailler la boule au ventre. Des dispositions ont donc été prises dans tous les magasins touchés.

    Mais aussi la colère de voir ces braquages se répéter. “Un braquage, deux braquages, admettons. Mais là on est sur une série dont on ne voit pas la fin. Et ça ce n’est pas supportable.On compte surtout sur une présence policière renforcée dans les rues d’Elbeuf. On a besoin d’être rassuré.”

    (…) Les conséquences de ce manque d’effectif sont nombreuses. Moins de patrouille, mais également moins d’intervention. “Je vais vous donner un chiffre, explique M. Desguerre. “Un weekend, à Rouen, il n’y a pas si longtemps, sur des centaines d’appel, même pas 1/3 a été suivi par un déplacement de Police secours. Puisqu’on n’avait pas les effectifs pour envoyer quelqu’un”. 

    (…) France 3

  • Accusé de tentative d’agression sexuelle, Bourdin écarté temporairement de RMC et BFMTV (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2022

    Jean-Jacques Bourdin visé par une plainte pour tentative d’agression sexuelle

    23/01/22

    Visé par une plainte pour tentative d’agression sexuelle, Jean-Jacques Bourdin se retire des antennes de BFMTV-RMC. Cette décision est consécutive à une demande de sa direction. Elle a été prise « pour ne pas porter préjudice au fonctionnement quotidien de BFMTV et de RMC », indique la direction dans un communiqué rendu public ce dimanche.

    (…) Le Parisien


    15/01/22

    Une ancienne journaliste de RMC accuse Bourdin d’avoir tenté de l’embrasser dans la piscine d’un hôtel lors d’un voyage de presse à Calvi, en Corse. Des faits probablement prescrits que l’animateur conteste et qui sont en cours d’analyse par le parquet de Paris.

    www.leparisien.fr

  • Le Pin (44) : Deux frères tabassent un couple, qui leur demandait de cesser leur rodéo dans le village. “Ici on n’est pas dans une cité !”, aurait dit la femme avant de se faire agressée

    Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2022

    Les deux frères qui avaient roué de coups un ancien photographe de presse et son épouse dans la petite commune du Pin (Loire-Atlantique), le 11 octobre 2020, ont été condamnés  mardi 18 janvier 2022 par le tribunal correctionnel de Nantes pour leurs « violences aggravées ».

    Le photographe et son épouse avaient eu une altercation ce jour-là avec A. et S., âgés de 23 et 28 ans, après s’être plaints des « nuisances sonores » répétées de leur quad et de leur moto-cross dans leur village.

    Au départ, l’ancien photographe de presse voulait pourtant juste « engager un dialogue » avec ces deux jeunes qui faisaient « des roues arrières » rue du Sapin, a relaté la présidente du tribunal correctionnel de Nantes.

    Mais leur « dialogue de sourds » avait rapidement dégénéré quand l’aîné des deux frères avait traité de « connard » le photographe et avait donné « un coup de pied dans le ventre » de son épouse pour la repousser. « Casse-toi, si ça se trouve tu as le Covid », lui aurait alors lancé S., selon la déposition faite par les plaignants.

    (…) L’aîné des deux frères avait effectivement « bondi » sur le photojournaliste après qu’il eut voulu défendre son épouse : il avait reçu « une dizaine de coups très efficaces » de ces deux frères qui « savaient manifestement se battre », avait-il rapporté.

    « Elle ne faisait que de gueuler “Retournez dans votre quartier, ici on n’est pas dans une cité”, que c’était toujours les mêmes et qu’on les connaissait », s’est offusqué cette fois-ci S.

    (…) Les habitants du village interrogés par les gendarmes ont décrit les plaignants — qui s’étaient vu prescrire dix et quinze jours d’incapacité totale de travail — comme un couple « fiable », « gentil » et « sans problèmes ».

    Ils ont aussi confirmé que les deux frères « font les fous » et « des roues arrières » sur les routes de la commune « depuis plusieurs années ».

    Aucun témoin de la scène n’avait par ailleurs confirmé l’existence des prétendues « insultes racistes » dont les deux frères auraient été victimes. « C’est pas étonnant, dans un village qui vote à 80 % d’extrême-droite », a réagi S. – alors que le score de Marine Le Pen au second tour des élections présidentielles de 2017 était en réalité de 36,21 %.

    (…) Les deux frères ont finalement été condamnés à six mois de prison avec sursis (…)

    Actu.fr via fdesouche