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  • À Orléans, une descendante du frère de Jeanne d’Arc incarnera la sainte de la patrie en 2022

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2022

    La nouvelle Jeanne des fêtes johanniques d’Orléans s’appelle Clotilde Forgeot d’Arc. Sélectionnée par le comité Jeanne d’Arc parmi neuf candidates, elle succède à Raphaëlle Camphuis, désignée en 2020 et Jeanne pendant deux ans après l’annulation de la 591e édition. Clotilde Forgeot d’Arc, orléanaise de 15 ans, élève en seconde au lycée Sainte Croix Saint Euverte, sera donc celle qui incarnera Jeanne d’Arc lors des festivités du 29 avril au 8 mai, aux côtés de ses deux jeunes pages Thibaut Gaborit et Paul Augustin Chompret.

    (…)

    Cadette dans une fratrie de trois enfants, Clotilde est une sportive. Après avoir pratiqué l’escrime, elle fait aujourd’hui de la natation à Saint Jean de Braye. La jeune orléanaise est aussi engagée comme seconde de patrouille aux Guides d’Europe, et participe au sein de sa paroisse, Saint-Vincent, à la formation des jeunes. “Je m’étais engagée aussi en début d’année pour rendre visite à des personnes âgées, mais avec le Covid ça n’a pas été possible”, ajoute-t-elle. Autant de cordes à son arc qui ont joué en sa faveur. Il ne lui reste plus qu’à apprendre à monter à cheval avant le traditionnel défilé.

    (…)

    Impossible, aussi, de passer à côté de son nom de famille. Car en effet, Clotilde Forgeot d’Arc est descendante de Pierre d’Arc, un frère de Jeanne d’Arc. “Elle porte un nom, mais ce n’est pas ce nom qui a déterminé notre choix. Elle est là parce qu’elle est Clotilde, pas parce qu’elle est d’Arc”, insiste la présidente du comité. Du côté de la jeune orléanaise, aussi, ce nom n’a pas déterminé son choix. “C’est vrai que quand on voit mon nom de famille, on me dit régulièrement ‘ah tu descends de Jeanne d’Arc”, s’amuse-t-elle. “Mais ce n’est pas du tout pour ça que j’ai postulé.” De son côté, son père, Benoît, y “voit un super clin d’œil de l’histoire”.

    www.francebleu.fr via fdesouche

  • Blois : Norredine A., vêtu d’une djellaba, interpellé dans la basilique avec un couteau de cuisine et un coran. Le procureur ne veut l’inculper que pour port d’armes

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2022

    Un attentat djihadiste a-t-il été déjoué mardi 25 janvier dans la basilique Notre-Dame de la Trinité de Blois ? […]

    Selon nos informations, un individu de type “nord-africain”, Norredine A., a été interpellé mardi 25 janvier par la BAC dans la basilique Notre-Dame de la Trinité de Blois et placé en garde-à-vue. Il était 16 h 45, lorsque ce dernier pénétrait dans le sanctuaire. Alerté par le comportement suspect de cet homme vêtu d’une djellaba, un employé de la basilique ne manquait de le surveiller dans ses allées et venues. Après que cet homme eut demandé à un bénévole s’il était le prêtre, il prenait place dans le chœur, pourtant réservé au clergé. Bientôt prié de quitter les lieux, l’individu, mutique, sortait de la basilique avant de revenir quelques minutes plus tard.

    La fouille de l’individu permettait de découvrir un Coran et un long couteau de cuisine encore dans son étui. Placé en garde à vue, son logement était dans le même temps perquisitionné. Inconnu de la SDAT et de la DGSI, l’homme n’était pas fiché S. En revanche, il était connu pour des délits. Un loup solitaire ? L’homme se prétend “prince de Jérusalem”. « Un taré de
    plus ! », confiait une source proche de l’enquête.

    Reste que ce n’est pas la première fois que la basilique Notre-Dame de la Trinité de Blois est visée. Et plus particulièrement son recteur. Le père Vincent, absent au moment des faits, nous a confié au téléphone « son inquiétude ». Ce dernier a déjà été contraint de déposer plainte ces derniers mois après avoir reçu des menaces explicites sur son téléphone.

    Alors que s’est-il joué mardi après-midi dans la basilique Notre-Dame de la Trinité de Blois ? Un attentat djihadiste au couteau a-t-il été déjoué par miracle ? Selon nos informations, le procureur de Blois a demandé au commissariat de le traiter pour simple port d’armes sans informer la police judiciaire. À ce stade, le parquet national antiterroriste (PNAT) ne s’est toujours pas saisi de cette affaire.

    Valeurs Actuelles via fdesouche

  • Jurisprudence et promotion de la GPA

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2022

    Jurisprudence et promotion de la GPA

    Le site du barreau de Toulouse revient sur le jugement de la cour d’appel de Versailles du 13 octobre 2020 mettant en demeure l’hébergeur informatique OVH de rendre inaccessible sur le territoire français un site proposant aux Français des prestations de mères porteuses (en l’occurrence le site de la société espagnole Subrogalia), suite à la plainte des Juristes pour l’enfance. On y lit notamment:

    Les juges relèvent en l’espèce que « le contenu du site était à l’évidence « manifestement illicite » en ce qu’il contrevenait explicitement aux dispositions de droit français – dépourvues d’ambiguïté – prohibant la gestation pour autrui ». « Il incombait donc à la société OVH d’agir promptement ».

    La responsabilité de l’hébergeur est donc retenue.

    Une décision judiciaire qui pourrait faire jurisprudence notamment contre les sites diffusant de la pornographie.

     

    Source : lesalonbeige

  • Assises du Var : un Algérien de 17 ans, arrivé clandestinement en France en 2018, jugé pour deux viols et deux agressions sexuelles

    Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2022

    La deuxième session de l’année de la cour d’assises du Var s’est ouverte ce lundi en formation dite “des mineurs” afin de juger A., ressortissant algérien âgé de 17 ans au moment des faits qui lui sont reprochés.

    Le jeune homme, arrivé en France sans papier en 2018 après un périple via la Turquie, la Grèce et l’Italie est accusé de deux viols et deux agressions sexuelles, commis à Toulon et La Seyne entre le 27 juillet 2018 et le 24 février 2019.

    (…) Var-Matin via fdesouche

  • Aux États-Unis, la percée de Lia Thomas, une nageuse transgenre qui pulvérise tous les records de natation féminine, crée une vive polémique

    Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2022

    Lia Thomas enchaîne depuis des mois les performances dans les bassins universitaires américains. Mais cette nageuse transgenre se retrouve au centre d’une vive controverse, accusée d’être injustement avantagée parce que née homme.

    La polémique, qui pose à nouveau la délicate question de la place des sportifs transgenres, a déjà poussé la NCAA, l’organisation régissant le sport universitaire, puis USA Swimmings, la fédération américaine de natation, à promettre un nouveau règlement.

    Le tout sur fond d’offensive d’hommes politiques conservateurs. «Nous interdirons aux hommes de participer à des compétitions féminines», a ainsi lancé Donald Trump, le 15 janvier, lors d’un meeting dans l’Arizona.

    Sans la nommer, mais en la qualifiant au masculin, l’ancien président a ensuite pointé Lia Thomas, étudiante de 22 ans à l’Université de Pennsylvanie et membre de l’équipe féminine de natation depuis septembre 2021, après avoir concouru chez les garçons.

    Dans l’une de ses rares interviews, sur le podcast «TheSwimSwam», elle explique avoir réalisé qu’elle était «trans» à l’été 2018 mais avoir d’abord voulu continuer à nager chez les hommes. «Cela m’a causé beaucoup de détresse (…). Je n’étais plus capable de me concentrer sur la nage, sur les études, sur mes amis», a-t-elle raconté. Elle entame sa transition en mai 2019, avec un traitement hormonal.

    Pour sa première saison chez les femmes, Lia cartonne. Début décembre, à Akron (Ohio), elle réalise les meilleures performances de l’année sur 200 yards (183 mètres) libre (1’41’’93) et sur 500 yards (457 mètres) libre (4’34’’06). Samedi, à Harvard (Cambridge, Massachusetts), elle a encore brillé en remportant les 100 et 200 yards libre.

    L’étudiante respecte les règles de la NCAA, qui autorisent les femmes transgenres à concourir après un traitement de suppression de la testostérone pendant au moins un an. Pas suffisant pour certains, surtout dans un sport de puissance comme la natation, parce que sa transition a été entamée après la puberté.

    Des temps proches

    «Lia est sur-performante dans les épreuves féminines», a écrit le Women’s sports policy working group, qui revendique de défendre le sport féminin, dans un courrier à la NCAA. Il se fonde sur une étude, non encore publiée dans un journal scientifique, qui a passé en revue les temps de la nageuse.

    «Ses temps post-transition à ce jour (…) restent trop proches de ses meilleurs temps pré-transition dans les épreuves masculines, par rapport à l’écart de performance entre les athlètes masculins et féminins» en sport universitaire, ajoute le groupe, qui compte dans ses rangs l’ancienne quadruple médaillée olympique de natation (Los Angeles, 1984), Nancy Hogshead-Makar.

    (…) 20min.ch via fdesouche