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  • Une extinction massive a déjà commencé selon des scientifiques

    Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2022

    PAR  LE 

    « Nous ne pensons pas qu’il y ait une fin positive ; nous pensons que c’est une sorte de désastre. »

    L’équipe de l’apocalypse

     

    Les phénomènes d’extinction massive ont ravagé la vie sur Terre au moins cinq fois au cours des quelque 450 millions d’années écoulées – et selon les scientifiques, l’humanité a déjà donné le coup d’envoi de la sixième.

    Dans un nouvel article publié dans la revue Biological Reviews et repéré par Vice, une équipe internationale de chercheurs prévient que « la sixième extinction de masse a commencé sur terre et en eau douce semble de plus en plus probable ».

    « Le nier, c’est tout simplement aller à l’encontre de la montagne de données qui s’accumulent rapidement, et il n’y a plus de place pour le scepticisme, en se demandant si cela se produit vraiment », ajoutent-ils.

    Perdre la vie

    L’équipe dirigée par Robert Cowie, professeur de recherche à l’université d’Hawaï, affirme que la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) était trop axée sur la perte d’espèces d’oiseaux et de mammifères – et pas assez sur les invertébrés, un groupe beaucoup plus important.

    La liste rouge de l’organisation, fondée en 1964, est l’inventaire le plus complet au monde des espèces menacées et de leur risque d’extinction. Elle a été utilisée par d’autres chercheurs pour affirmer que nous ne sommes pas en fait confrontés à une sixième extinction massive.

    « Les informations de l’UICN sur l’extinction des oiseaux et des mammifères sont probablement assez précises », a déclaré M. Cowie à Vice. « Cependant, ils n’ont évalué qu’une infime, minuscule fraction des invertébrés tels que les insectes, les escargots, les araignées et les crustacés, qui constituent 95 % de la diversité animale. »

    C’est une situation difficile à laquelle la vie sur Terre est confrontée et qui donne à réfléchir.

    « Nous ne pensons pas qu’il y ait une fin positive ; nous pensons que c’est une sorte de désastre », a déclaré Cowie au Vice, ajoutant que nous devons « préserver autant de ces espèces que possible dans les musées » en attendant.

    Traduction de Futurism par Aube Digitale

  • Covid 19, la fin du bal ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2022


    Le gouvernement a fait adopter le 16 janvier par les parlementaires, le projet de loi de « Renforcement des outils de gestion de la crise sanitaire », qui a fait l’objet de deux saisines auprès du Conseil constitutionnel rejetées, quatre jour plus tard, délai probablement record… On peut raisonnablement penser que ce dispositif légal sera le dernier avatar de l’arsenal répressif du gouvernement, alors même que le variant dit « Omicron » semble signer l’affaiblissement inéluctable de la Covid 19, qui n’est pas autre chose qu’une grippe sévère touchant les plus faibles d’entre nous. Car au fond, on doit s’interroger sur la légitimité de ces mesures de plus en plus coercitives dont l’objectif avoué est en réalité d’éviter d’encombrer les services d’hospitalisation en réanimation.

    L’arsenal législatif et réglementaire

    Selon le dernier texte du 16 janvier, qui a été validé sur l’essentiel par la haute juridiction, toutes les personnes de plus de 18 ans et un mois doivent avoir fait leur injection de rappel dans les temps pour conserver leur certificat de vaccination actif dans le « pass sanitaire », sans quoi leur ancien certificat de vaccination sera considéré comme expiré.

    Il est inutile de rappeler ici les multiples hésitations et changements de pied de la réglementation ; l’inefficacité avérée du confinement, comme du masque porté à l’extérieur, sont autant d’expressions de la versatilité d’un gouvernement adaptant sa politique au gré de l’émotion de l’opinion publique et des avis scientifiques pourtant partagés.

    Le gouvernement cherche évidemment à imposer légalement la vaccination. Le pass sanitaire sert en effet à priver les non vaccinés des libertés élémentaires des citoyens. Le non vacciné ne peut plus profiter de droits fondamentaux, puisqu’il est interdit d’accès à de nombreux lieux publics.

    Mais le dispositif est incohérent, ce en quoi il confirme l’existence d’un « absurdistan » typiquement français. Ainsi dans les transports, vaccination obligatoire dans l’Eurostar, la Grande-Bretagne ayant des règles spécifiques (mais encore plus restrictives). Mais il est possible de se déplacer via les TER et les trains de la banlieue parisienne, ainsi qu’avec les petits trains touristiques, autobus, tramways, métros, téléphériques dont les cabines sont des incubateurs, et autres transports locaux.

    Le pass sanitaire n’est pas réclamé pour entrer dans les services publics, tribunaux, impôts, mairies, administrations, Pôle emploi, Sécurité sociale etc… En revanche, il est indispensable pour accéder à une bibliothèque, un conservatoire ou une salle des fêtes…

    Les bibliothèques sont ainsi interdites d’accès sans pass, sauf la B.N.F… , comme les réceptions de mariage et fêtes privées si elles se déroulent dans un établissement, les séminaires de plus de 50 personnes s’ils se déroulent à l’extérieur de l’entreprise. On se demande quelle est la différence entre ces activités en lieu fermé.

    Et pourtant on savait

    On a su très rapidement que les populations à risques constituaient l’essentiel des victimes de la pandémie. Très vite également, on a constaté les limites de l’efficacité de la vaccination à partir de vaccins ARN, dont le seul effet indiscutable est de limiter la gravité de l’affection, mais en aucun cas de l’éviter ni même d’empêcher la propagation exponentielle du virus. 

    Incapables d’obtenir un consensus par la représentation nationale ou par l’opinion, nos autorités n’auront jamais eu le courage de mettre en place une obligation légale de vaccination pour les populations à risques, c’est-à-dire les personnes âgées ou celles présentant des causes de morbidité. Ces populations sont pourtant faciles à déterminer, par l’état-civil et le réseau de soins. Cette vaccination vaccinale aurait pourtant répondu efficacement à l’objectif sanitaire.

    De nombreux scientifiques affirment que la vaccination généralisée réduit les risques d’apparitions des variants. Manque de chance, c’est pourtant dans les pays au taux de vaccination élevé, comme en Europe, que le dernier variant Omicron a le plus flambé. La France et les Pays-Bas additionnent les records de taux de vaccination et d’infection par le dernier variant !

    On sait, mais jamais en France la campagne de communication sur les « gestes barrière » n’aura été aussi massive alors que toutes les mesures coercitives prises jusque là ont démontré leur inefficacité contre la Covid. Certains commentateurs bien informés affirment même que le gouvernement aurait en réalité décidé de laisser la pandémie s’étendre à la totalité de la population. Cette extension, on le sait, est la seule manière de l’affaiblir notamment par l’immunité collective

    Mais le bal est loin d’être terminé

    À n’en pas douter, le pass sanitaire est fait pour devenir un dispositif qui sera peut-être pérennisé, mais certainement conservé en cas de nécessité. C’est un outil formidable de contrôle sur les populations, qui pourra être remis en vigueur à la première occasion. Et il ne fait pas de doute que nous serons confrontés, dans nos sociétés hyper-urbanisées, à d’autres crises sanitaires. Il suffira alors d’obtenir de la représentation nationale godillot chez nous le remise en vigueur du dispositif, sur simple avis médical des médecins affidés qui pullulent dans nos médias.

    Nos autorités auront réussi à « orwelliser » notre société avec une facilité déconcertante. Tous les outils de surveillance sont en place. Et tous les dispositifs de contrôle du citoyen également. Rien n’empêcherait à terme un État de faire évoluer  un modèle de type TousAntiCovid pour contrôler l’accès de citoyens à l’exercice de leurs libertés individuelles. La montée des dangers et les inéluctables troubles sociaux liés aux déficits démocratiques risquent en effet de générer une demande accrue de contrôle et de répression. Les Français pourraient ainsi admettre la mise en place d’une surveillance des délinquants et des citoyens considérés comme dangereux via leur téléphone portable. 

    Il serait naïf de croire que nous sommes à l’abri de telles mesures. Ainsi le bal pourrait prendre fin, mais seulement en apparence.

     

    Source : 24heuresactu

  • Sur TikTok des influenceurs musulmans rigoristes utilisent les codes des jeunes pour répandre le salafisme et susciter des conversions

    Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2022

    À 27 ans, Charlène n’avait jamais franchi les portes de la mosquée de Lannion (Côtes-d’Armor) jusqu’à ce jour de novembre 2021, où elle a décidé de s’y rendre « en cachette ». Après des mois d’hésitations, elle a fini par contacter l’imam pour lui faire part de son désir de conversion. « Cette envie est venue pendant le premier confinement, après une période difficile », confie-t-elle au téléphone.

    Aujourd’hui musulmane pratiquante, cette employée de boulangerie, non baptisée mais scolarisée dans des établissements catholiques, dit apprécier le « cadre » que lui offre l’islam. Charlène prie quotidiennement, mangehalal et ne boit plus d’alcool. « Je suis les règles qui me semblent les plus justes, qui conviennent le plus à ma personnalité », déclare-t-elle. « Mais je n’imagine pas arrêter de fêter Noël, ou les anniversaires de mon petit garçon. Je sais que ce n’est pas bien, mais on fait tous des bêtises ! » « Pas bien » ? Où a-t-elle entendu que célébrer un anniversaire était un péché ? La réponse tient en deux mots : sur TikTok.

    Si Charlène s’est convertie, c’est d’abord grâce à Redazere, un « tiktokeur » […]

    il dispense des « rappels » (messages pour remémorer aux fidèles un point de théologie ou de pratique), entrecoupées d’images de la série coréenne Squid Game ou de ses vacances au Mexique. Selon l’humeur du jour et les questions formulées en commentaires, ce jeune homme charismatique indique quelle invocation prononcer à l’approche d’un examen, il prône la charité, lance des défis participatifs – comme citer le plus de noms d’Allah en trente secondes –, ou encore affirme qu’écouter de la musique et regarder les femmes n’est pas permis en islam.

    […]

    Un compte comme celui d’« Ilhan.st » permet de réaliser combien ces discours en ligne ont évolué […] 469 000 abonnés […]

    « En tant que musulmans (…), on ne peut pas se permettre de ressembler à des non-musulmans », lance-t-il en réponse à un commentaire critique. « L’islam, c’est un mode de vie. Et n’oubliez pas : l’islam modéré n’existe pas. L’islam que l’on vit, c’est l’islam de l’époque d’anNabi (le Prophète), et on ne peut pas se permettre de le modifier. » Interrogé sur l’existence des dinosaures par un abonné, le tiktokeur botte en touche, arguant qu’il y a « des choses plus essentielles à savoir », et qu’« Allah est le plus savant ». […]

    Plus professoral, Hamid S., 37 ans, est le visage de « Comprends Ton Dîne » […] 500 000 abonnés […]

    Les fêtes d’anniversaire sont déconseillées car « basées sur des fondements païens qui sont en contradiction avec notre religion ». Une autre vidéo le montre décrochant un poster de l’équipe de France de football, au motif qu’il serait « interdit en islam d’accrocher toute sorte de photo qui serait composée de créatures humaines ou animales ». En matière de football toujours : porter un maillot sur lequel figure une croix, comme celui du FC Barcelone, « n’est pas autorisé en islam, tout simplement car la croix du Barça est un symbole religieux ». […]

    Sous une vidéo dans laquelle Redazere affirme qu’il est « super grave » d’effectuer seulement quatre prières sur cinq, un adolescent a écrit : « Reda, à cause de tes vidéos j’ai peur. J’ai que 13 ans et je trouve (…) que je gagne trop de péchés, que je fais pas assez pour Allah. » La capacité de diffusion des vidéos sur TikTok est d’autant plus grande qu’il n’est pas nécessaire d’y rechercher un contenu pour le voir apparaître. Le il « Pour Toi » du réseau social suggère en effet constamment aux utilisateurs de nouvelles vidéos sélectionnées par l’algorithme sur la base de leurs interactions précédentes. « Avant, il fallait être versé dans le salafisme pour aller chercher ces contenus, commente Damien Saverot, doctorant à l’École normale supérieure. Aujourd’hui, on a des influenceurs ne se réclamant pas ouvertement du salafisme qui le diffusent auprès de personnes qui ne le connaissent pas, en prétendant qu’il s’agit simplement de l’islam. Cela contribue à imposer le salafisme comme norme de référence dans l’imaginaire collectif. » […]

    La Croix via fdesouche

  • Le PDG de Pfizer reçoit le « nobel juif », le prix Genesis

    Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2022

    Petite information en passant…

    Après le prix 2021 de l’Atlantic Council qui lui a été remis par Ursula Von der Leyen le récompensant comme « meilleur dirigeant commercial », Albert Bourla, le PDG du géant pharmaceutique Pfizer, est à nouveau sous les feux des projecteurs gratifiants.

    Dans Le monde juif info, on apprend qu’il « est le lauréat 2022 du Prix Genesis, le Nobel juif, pour sa contribution majeure à la lutte contre la pandémie de coronavirus ». Le Prix Genesis annuel d’un million de dollars, surnommé le « Nobel juif » par le magazine TIME, « rend hommage, explique Le monde juif, à des personnes extraordinaires pour leurs réalisations professionnelles exceptionnelles, leur contribution à l’humanité et leur engagement envers les valeurs juives. Le Dr Bourla devient le neuvième lauréat du prix Genesis. Il suit le cinéaste et philanthrope Steven Spielberg, lauréat du Prix Genesis en 2021, et le légendaire militant des droits humains Natan Sharansky, lauréat 2020. »

    Le journal souligne que dans un communiqué la Fondation du Prix Genesis « a félicité le Dr Bourla pour son leadership, sa détermination et surtout pour sa volonté d’assumer de grands risques. Contrairement aux PDG de la plupart des autres grandes entreprises travaillant sur le développement de vaccins COVID-19, le Dr Bourla a refusé des milliards de dollars de subventions fédérales américaines afin d’éviter la bureaucratie gouvernementale et d’accélérer le développement et la production du vaccin. En conséquence, le vaccin COVID-19 de Pfizer a été prêt en un temps record : des mois au lieu d’années ».  

    Dans l’article on apprend également que « le Comité a également noté la fierté du Dr Bourla pour son identité et son héritage juifs, son attachement aux valeurs juives et son soutien à l’État d’Israël » et que ce sera « le président israélien Isaac Herzog [qui] remettra le Prix Genesis au Dr Bourla lors d’une cérémonie à Jérusalem prévue le 29 juin ».

    Le monde juif précise que « conformément à la tradition établie par le premier lauréat Michael Bloomberg, tous les lauréats du Prix Genesis ont choisi de renoncer à la récompense monétaire pour des causes philanthropiques. Le Dr Bourla a demandé à la Fondation du prix Genesis d’attribuer son Prix d’un million de dollars à des projets visant à préserver la mémoire des victimes de l’Holocauste, avec un accent particulier sur la tragédie subie par la communauté juive grecque. »

    Son ascension à ce « Nobel juif » a été saluée par le cofondateur et président de la Fondation du Prix Genesis, Stan Polovets, en ces termes à l’accent messianiste :

    « Dr. Bourla personnifie deux des valeurs juives les plus fondamentales : l’engagement envers le caractère sacré de la vie et la réparation du monde. Et bien que la pandémie soit loin d’être terminée, des millions de personnes sont en vie et en bonne santé grâce à ce que le Dr Bourla et son équipe chez Pfizer ont accompli. »

    A l’opposé de ce chorus de louanges mais plus proche de la réalité, de plus en plus de voix du monde scientifique et médical osent évoquer leur déception face à la « faible » efficacité des vaccins anti-covid, le professeur Eric Caumes en tout premier : « On est déçu car en principe on ne vaccine pas pour six mois mais pour dix ans. Et on est déçu par son efficacité. Le virus circule intensément malgré la vaccination d’une grande partie de la population », reconnaissait au micro de BFMTV le 5 janvier dernier l’infectiologue parisien. Selon lui, la faible efficacité des vaccins développés contre le Covid notamment contre la contamination est une grande déception.

    Le professeur Raoult tient à peu près le même langage en affirmant que la vaccination pour tous « ne contrôle pas l’épidémie, pas du tout », et que « peut-être même que dans un certain nombre de cas » les vaccins « pourraient induire la présence d’« anticorps facilitants » qui peuvent aggraver le risque d’infection.

    Bourla lui-même était bien obligé de reconnaître l’inefficacité de son injection début janvier :

    « les deux doses du vaccin offrent une protection très limitée, voire inexistante. Les trois doses avec un rappel offrent une protection raisonnable contre l’hospitalisation et les décès… moins de protection contre l’infection. »

    Alors la remise de ce « Nobel juif » au vétérinaire Bourla que la Fondation du prix Genesis présente comme un ‘sauveur de l’humanité’ : une récompense méritée ou juste un prix communautaire récompensant un adroit financier ?

    Francesca de Villasmundo  

     

    Source : medias-presse.info

  • Neuf suicides ont déjà eu lieu dans les rangs de la police nationale depuis le 1er janvier

    Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2022

    Neuf suicides ont déjà eu lieu dans les rangs de la police nationale depuis le 1er janvier

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    En moyenne, il est recensé entre 30 et 40 suicides par an. L’année 2019 avait marqué un record avec 50 suicides dans la police. Christophe Castaner avait mis en place différents dispositifs dont la mise en place… d’un numéro unique d’appel permettant aux fonctionnaires d’avoir un accès anonyme, confidentiel et gratuit à des psychologues.

    Mercredi, lors des questions au gouvernement au Sénat, Gérald Darmanin a annoncé avoir décidé de faire évaluer ces dispositifs par « une société de conseil extérieure ».

    Le patron de la police nationale Frédéric Veaux a reçu l’ensemble des syndicats sur cette problématique. Ils ont décidé de « recruter une vingtaine de psychologues dans les endroits les plus difficiles de la police nationale ».

     

    Source : lesalonbeige