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  • Malgré son emploi, Éric dort dans sa voiture. Ce Varois de 59 ans lance un appel : “Tout ce qu’il me faut, c’est un lit et une douche”

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022

    Un emploi logé lui ayant été refusé, ce travailleur de 59 ans a su rebondir dans un magasin de Saint-Tropez. Mais il ne trouve de logis et lance un appel aux bonnes âmes.

    Comme tous ses collègues, Éric Bodart, 59 ans, se lève tôt pour mettre en rayon les produits du Super U de l’avenue du général Leclerc puis s’assure que les rayons restent bien achalandés tout au long de la journée.

    Mais contrairement à ses camarades, une fois sa journée menée à bien, Éric ne regagne pas son logement pour prendre une bonne douche fraîche.

    Sans domicile, le quinquagénaire rejoint plutôt son véhicule, une Renault 19 stationnée sur le parking ensablé de la Bouillabaisse, à Saint-Tropez.

    La voiture, âgée de près de 30 ans, fait ainsi office de logis. Jusqu’à la tombée de la nuit, Éric parvient encore à s’accommoder de l’ennui grâce à la lecture. Mais une fois plongé dans le noir, commencent ses déboires.

    “Je me suis accroché”

    Je suis à l’étroit là-dedans, je ne peux même pas m’allonger complètement pour dormir”, regrette le travailleur. “En plus, j’ai dû mal à réellement me reposer car il y a du bruit une bonne partie de la nuit avec les établissements alentour.”

    (…) “Je n’ai pas réussi à trouver de logement dans mon budget”, signale-t-il simplement.

    Aujourd’hui, Éric lance un appel aux bonnes âmes: “Si quelqu’un dispose d’une petite dépendance, d’une chambre à louer. Tout ce qu’il me faut, c’est un lit et une douche. Eventuellement de quoi me faire à manger. Je ne demande pas la clim’”, s’amuse-t-il, avant de se faire plus sérieux. “À mon âge, j’ai besoin d’un endroit où je puisse m’allonger et me reposer. Pour ne pas arriver fatigué au travail lematin.”

    Car s’il pouvait utiliser les sanitaires de la capitainerie du port jusqu’à tout récemment, Eric n’y a désormais plus accès. Alors, il se douche sur la plage de la Bouillabaisse.

    “Mais je ne peux pas utiliser de savon ici”, souligne-t-il. Volontaire, il propose ses services en plus d’un loyer modeste. “Jardinage, bricolage, je sais faire. Entretien de propriété, j’ai déjà fait dans les Hautes-Alpes”, assure-t-il.

    ”Ponctuel et volontaire”

    Quentin Rivet, directeur du Super U de Saint-Tropez insiste sur le fait qu’il “ne regrette absolument pas d’avoir donné sa chance à ric”. Mettant un point d’honneur à souligner “sa ponctualité”, “son volontarisme” ou encore “les heures supplémentaires faites sans rechigner en cas de besoin”.

    Var matin via fdesouche

  • Hautes-Pyrénées : Deux professeurs d’un collège de Tarbes, un homme de 55 ans et une femme de 32 ans, ont été exécutés par balles (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022

    L’auteur présumé « est en fuite, il n’a pas pu être interpellé pour l’instant », a précisé à l’AFP le procureur de Tarbes, Pierre Aurignac, sans donner de précisions sur son identité. Un important dispositif a été déployé pour tenter de retrouver l’auteur des coups de feu mortels. Des contrôles et des barrages routiers sont en place et la zone était hier soir survolée par un hélicoptère de la gendarmerie.

    DES AUTOPSIES ATTENDUES

    La femme, qui avait 32 ans, a été retrouvée lundi en fin d’après-midi gisant dans une rue de Pouyastruc par des voisins qui ont alerté les gendarmes. Arrivés sur place, ces derniers ont découvert un homme de 55 ans, décédé dans sa maison, quelques mètres plus loin. L’alerte a été donnée par une habitante de la commune, voisine de l’une des victimes. Selon nos confrères de La Dépêche du Midi, elle aurait vu un motard faisant des allers et retours devant le domicile de son voisin. L’homme parti, la riveraine a alors aperçu le corps d’une femme à l’extérieur de la maison.

    Marianne


    Deux enseignants d’un collège tués par balle dans les Hautes-Pyrénées

     

    […]

     

    Un homme et une femme, tous deux enseignants dans un collège de Tarbes, ont été tués par balles dans un petit village des Hautes-Pyrénées : le premier chez lui et la deuxième dans une rue à proximité, a-t-on appris mardi 5 juillet 2022 auprès du parquet, qui a ouvert une enquête pour double homicide.

    L’auteur présumé « est en fuite, il n’a pas pu être interpellé pour l’instant », a précisé à l’AFP le procureur de Tarbes, Pierre Aurignac, sans donner de précisions sur son identité.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur Ouest France

  • "Gang des Traoré" : quand est-ce qu'on arrête son "cirque" ?...

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022

    lafautearousseau

    "Gang des Traoré" : quand est-ce qu'on arrête son "cirque" ?... Mattthieu Valet a raison (sur CNews) : "Assa Traoré, condamnée pour atteinte à la présomption d’innocence des gendarmes, ne s’est pas gênée pour cracher sur eux devant la Gendarmerie, hier. Il y a un mois, avec sa clique, elle bloquait le tribunal de Paris... ça doit cesser". Oui, ce très mauvais  "barnum" doit cesser ! Ce n'est pas la police qui tue, c'est la racaille !...

    (extrait vidéo 1'33)

    https://twitter.com/mvalet_officiel/status/1543697835195092993?s=20&t=vdWidTB7oePfsXYZtW6jww

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  • 1925 : Naissance de Jean Raspail

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022

      
    Si tous ses romans son attachants, bouleversants parfois (Le jeu du Roi...), les jugements et points de vue sur l'oeuvre et le style de Raspail dépendront, forcément, de chacun de ses lecteurs.
     
    Il est un de ses romans, cependant, qui sort, en quelque sorte de la littérature, par la vision prophétique des choses qu'il proposa, et ce dès le printemps 1973 : Le Camp des Saints.

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    Quatrième de couverture (réédition de 2010) :

    Nous sommes tous les acteurs du Camp des Saints...
    Dans la nuit, sur les côtes du midi de la France, cent navires à bout de souffle se sont échoués, chargés d'un million d'immigrants. Ils sont l'avant-garde du tiers-monde qui se réfugie en Occident pour y trouver l'espérance. À tous les niveaux, conscience universelle, gouvernements, équilibre des civilisations, et surtout chacun en soi-même, on se pose la question trop tard : que faire ?
    C'est ce choc inéluctable que raconte Le Camp des Saints.
    Paru pour la première fois en 1973, Le Camp des Saints est le livre qui a fait connaître Jean Raspail au grand public. Il révélait la fascination de l'auteur pour les causes perdues et les peuples disparus, une fascination qu'on continuera d'observer à travers la suite de son oeuvre.
    "Y a-t-il un avenir pour l'Occident ?" demandait-il à l'époque. Certains ont été choqués par la façon dont la question était posée, d'autres, en France comme à l'étranger, ont parlé d'oeuvre prophétique.
    "On n'épousera ou on n'épousera pas le point de vue de Jean Raspail, pouvait-on lire sur la quatrième de couverture de la première édition. Au moins le discutera-t-on, et passionnément". En 2010, ce débat n'a rien perdu de son actualité.
     
     
     
    Royaliste de coeur et de  raison, il accorda, en 1978, un très intéressant entretien au mensuel Je suis Français, (entretien réalisé par François Davin et Pierre Builly).
     
    Il participa également deux fois au Rassemblement royaliste des Baux de Provence, où il prononça deux discours : vous pouvez écouter l'un d'eux dans notre note du 5 février 2015.
     
    Le 17 juin 2004, Jean Raspail publia une tribune dans Le Figaro, intitulée "La patrie trahie par la République", dans laquelle il critiquait la politique d'immigration menée par la France. Il fut attaqué en justice par la LICRA pour "provocation à la haine raciale", mais fut relaxé par une décision de la 17ème chambre du tribunal de grande instance de Paris en date du 28 octobre.
  • La Covid repart: échec absolu d’une folie à 600 milliards

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022

    lesmoutonsrebelles

    Les coûts de la politique sanitaire

    Le confinement des premiers mois a été évalué par Laurent Cappelletti, professeur au CNAM. Dès avril 2020, il l’estimait à un coût mensuel de 150 milliards d’euros. Il avait raison. L’accroissement de l’endettement de la France de 700 milliards résulte bien de cette première folie, même s’il tient marginalement à quelques autres facteurs. L’ardoise sanitaire, c’est environ 600 milliards. En plus du confinement, les vaccinations représentent quelques milliards aussi. 146 millions de doses ont été administrées pour un prix compris en 15 et 20 euros la dose selon les périodes. La seule vaccination a coûté entre 2,3 et 2,8 milliards d’euros. Concernant les tests, bien mal nommés anti-Covid, le simple mois de décembre et ses 28 millions de tests ont couté un milliard d’euros à l’assurance maladie. Le ministre des Comptes publics reconnaissait un mois plus tard que les tests anti-Covid coûtaient 1,5 milliard pour le mois de janvier. Deux mois de tests ont coûté 2,5 milliards. Pourquoi faire ? La politique sanitaire représente donc une hystérie de plus de 600 milliards d’euros.

    Un ministre des Finances amnésique

    Et nous entendons un ministre des Finances parler de « cote d’alerte » avec près de 3 000 milliards d’euros de dettes, soit 114,5% du PIB. Peut-il rendre des comptes sur sa responsabilité et ses résultats, puisqu’il a contribué à son accroissement abyssal ? Nous étions en 2017 à 2 200 milliards de dettes, soit 98 % du PIB. Peut-il expliquer le ratio d’efficacité de cette dépense inédite dans l’histoire économique de la France ?

    La valeur concrète de cette folle dépense

    Prenons la mesure de cette dépense sanitaire faramineuse. Rappelons que le fonctionnement annuel d’un hôpital départemental s’estime dans une fourchette de 250 à 350 millions d’euros. Ce sont donc 2 000 hôpitaux fonctionnant pendant un an où 100 hôpitaux départementaux fonctionnant pendant 20 ans. 600 milliards, c’est 15 ans du budget de la défense (un peu moins de 40 milliards en 2021) ou 10 ans du budget de l’éducation nationale (55 milliards en 2021). Un tel sacrifice jamais engagé dans les dépenses publiques de la France exige un résultat rapide et parfait, à la hauteur de la dépense et des promesses exposées comme des certitudes de foi par tous les spécialistes, non ? Nous avons tous en mémoire l’agressivité, le scientisme des certitudes, l’arrogance et le mépris du ministre Véran en particulier. 600 milliards, pourquoi faire ?

    La nullité du résultat

    Or, cette dépense inouïe a-t-elle obtenu un résultat à la hauteur, soit l’éradication rapide du virus ? Non, puisque nous parlons d’une 7ème vague, que des personnes meurent encore de cette maladie, même si, fort heureusement, ce ne sont pas des milliers par jours. Mais ce confinement initial nous a-t-il libéré de la maladie ? Non. Le 2e confinement ? Non. La vaccination a-t-elle fonctionné ? Non, puisqu’aujourd’hui les chiffres démontrent que les malades sont des vaccinés ainsi que les hospitalisés. Charlatanisme, escroquerie ? Et les tests ont-ils été utiles ? Non plus, puisque la maladie demeure. Alors à quoi ont servi ces 600 milliards de dépenses publiques ? Et nous n’avons pas aujourd’hui la capacité de mesurer le coût des effets indésirables. Il risque d’être élevé.

    La liberté démocratique d’inventaire des responsabilités

    Est-il possible dans une société libre et démocratique de demander à nos nouveaux élus d’ouvrir une commission d’enquête transparente, voire populaire, pour exiger des réponses sur les responsabilités de ces engagements de dépenses faramineuses ? Il y a là plusieurs enjeux. Celui de ne jamais reproduire une telle folie. Celui de sanctionner les ministres, voire le président à la hauteur de cette absolue folie. Celui, enfin, de solder cette dépense par des mesures et sanctions financières à l’encontre de ceux qui ont profité, voire corrompus : Union européenne, laboratoires, actionnaires des laboratoires, États complices, etc.

    L’enjeu majeur est de se libérer de cette emprise irrationnelle de quelques-uns sur le destin du plus grand nombre. Ils ont démontré qu’ils ne savaient rien. Nous avons maintenant la preuve que la dépense était irrationnelle, non pertinente et aujourd’hui sans résultat. Il est urgent de changer radicalement de paradigme. C’est cela le progrès, non ? Du moins, c’est une obligation avant de demander au Français de se sacrifier encore alors qu’il faut solder cette dette en la recouvrant auprès des auteurs de cette hystérie.