Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 41

  • En Uruguay, la justice donne 48 heures à Pfizer pour dévoiler le contenu chimique de son vaccin anti-covid

    Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2022

    Les ennuis commencent pour Pfizer en Amérique latine. Alors qu’une nouvelle vague covid est annoncée dans presque tous les pays d’Europe, le géant américain risque gros en Amérique du Sud où la justice d’un pays exige qu’il dévoile le contenu de son vaccin. C’est du moins l’information que notre média a obtenue ce lundi de plusieurs sources fiables.

    En effet, d’après le média Telesur, la justice uruguayenne a exigé lundi 04 juillet que le gouvernement de ce pays dévoile les contrats signés avec le géant pharmaceutique américain. Selon les informations obtenues par ce média, la décision du juge Alejandro Recarey s’explique par une plainte déposée par des parents qui demandent toute transparence avant que leurs enfants ne soient vaccinés.

    « Le magistrat demande à connaître les termes de la négociation et s’il existe des clauses d’indemnité ou d’impunité. Au même moment, le décret exige que soient divulguées les informations sur la composition biochimique des vaccins contre le Coronavirus », rapporte Telesur.

    L’information a été confirmée par le média uruguayen, M24.com.uy. D’après cette source, ce mercredi 06 juillet à 9H00, les autorités sanitaires du pays sont convoqués pour s’expliquer sur les termes des contrats signés avec Pfizer, mais également sur le contenu du vaccin qui sera bientôt administré aux enfants de ce pays.

    Il faut dire que si la justice venait à dévoiler les termes des accords signés avec Pfizer, ce serait un coup dur pour le laboratoire américain qui refuse catégoriquement de fournir quelconque information sur ses vaccins. D’ailleurs, c’est l’une des conditions qu’il impose aux États.

    En tout cas, à peine révélée, l’affaire commence déjà à faire grand bruit sur les réseaux sociaux.

    https://twitter.com/chantalattia/status/1543715050506133504

     

    source : Nouveau Monde

  • Quand la propagande de guerre occidentale finit par admettre le réel

    Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2022

    À coups d’informations tronquées, de souhaits stériles, de rafistolages tordus, d’annonces grandiloquentes, depuis 131 jours, ces médias tentent de faire gagner l’Ukraine, leur favori. Ce faisant, leur pensée unique – ou leur unique pensée – s’écarte du réel, à tel point que l’atterrissage devient dangereux.

    Le 5 juillet 2022, le JT de France 2 a fini par atterrir et admettre que les Russes avaient en grande partie conquis le Donbass. Qu’on soit pro ou anti-russe, les faits sont têtus et se fichent des fictions de la bien-pensance.

    Regarder la réalité en face n’a jamais été le fort de notre information mainstream et de ses producteurs. C’est la mort dans l’âme, comme s’il était défait, que Laurent Delahousse, ce Cloclo de l’info, admet que les troupes ukrainiennes se disloquent dans le sud de l’Ukraine. Une sorte de défaite personnelle incongrue sur le service public, théoriquement neutre, théoriquement destiné à toutes les opinions…

    Source

  • « On va vous faire brûler, sortez les cocktails ! » : des policiers attaqués par une dizaine d’individus à Grigny (91), de nombreux tirs de mortiers d’artifice lancés (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2022

    « On va vous faire brûler ! », « Sortez les cocktails ! », « Vive l’année 2016 ». Voici, selon les éléments que nous avons pu recueillir, les cris entendus par des policiers en intervention dans le quartier de la Grande Borne, à Grigny (Essonne), lundi soir. Une référence à l’attaque des policiers brûlés de Viry-Chatillon, où des fonctionnaires avaient été pris à partie à coups de pierre et de cocktails molotov par seize jeunes masqués en octobre 2016 dans le même quartier. Deux policiers avaient été grièvement brûlés. Pour ces faits, cinq mineurs ont été condamnés sur les treize renvoyés aux assises pour tentative de meurtre.[…]

    Si les caillassages et les guets-apens restent fréquents à la Grande Borne, les références claires à l’attaque de 2016 le sont moins depuis le procès des assaillants. Désormais majeurs, une partie d’entre eux se trouve en détention ou a quitté le quartier. Mais d’autres, plus jeunes, prennent le relais. « C’est un quartier où l’on n’intervient pas n’importe comment, remarque un représentant du syndicat Alliance 91. En 2016, les autorités avaient mis le paquet pendant un an. Les trafiquants avaient été obligés de changer leur point de deal ! Mais depuis, rien ne change, il y a toujours une notion de guet-apens permanent pour les policiers ».

    Le Parisien


    Deux équipages de policiers ont été violemment agressés dans le quartier de la Grande-Borne à Grigny (Essonne), par une dizaine d’individus ce lundi soir, alors qu’ils venaient de terminer une intervention, rue de la Plaine.

    “Ils ont essuyé de nombreux tirs de mortiers d’artifice”, explique une source proche de l’enquête. Des agressions aux mortiers devenues courantes en Essonne ainsi que dans les autres départements de la région parisienne. Les policiers répliquent par des moyens lacrymogènes et des tirs de lanceur de balle de défense (LBD).

    Mais le groupe d’agresseurs menace de mort les forces de l’ordre en hurlant : “On va vous faire brûler ! Sortez les cocktails, vive l’année 2016 !” rapporte cette même source. Une référence sans équivoque à l’attaque des policiers à Viry-Châtillon cette année là, dans laquelle deux d’entre eux avaient été très grièvement brûlés.

    (…) “‘On va vous faire brûler – sortez les cocktails – vive l’année 2016′” sont les propos scandés par des individus hier soir à Grigny, tout en arrosant copieusement les forces de l’ordre, en tirs de mortiers”, déplore de son côté le syndicat Alliance Police Nationale de l’Essonne, dans un communiqué sur Facebook. L’organisation félicite également les équipages de police qui sont intervenus et ont procédé à cette arrestation.

    Actu 17

  • Immigration : l’Allemagne veut régulariser des dizaines de milliers d’immigrés déboutés du droit d’asile

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2022

    Le gouvernement allemand a adopté mercredi 6 juillet un projet de loi ouvrant la possibilité de régulariser des dizaines de milliers de personnes immigrées bien intégrées en Allemagne, mais sans permis de séjour durable dans ce pays. Ce texte, une promesse de la coalition au pouvoir depuis fin 2021, vise à faciliter l’intégration des étrangers dits «tolérés», qui ne peuvent pas être expulsés mais n’ont pas le droit de travailler.

    Approuvé mercredi en conseil des ministres par le gouvernement d’Olaf Scholz, il concerne environ 130.000 étrangers vivant en Allemagne depuis au moins cinq ans mais ne pouvant y faire de projets à long terme faute de disposer d’un titre de séjour permanent. «Ces personnes, qui ont trouvé leur cadre de vie en Allemagne grâce à une longue durée de séjour, doivent se voir ouvrir une perspective en matière de droit de séjour et se voir offrir une chance de réunir les conditions nécessaires à un séjour légal», peut-on lire dans le texte du ministère de l’Intérieur.

    Elles pourront obtenir un permis de séjour d’un an, le temps pour elles de prouver notamment qu’elles peuvent se prendre en charge financièrement. À l’issue de cette période d’essai, elles pourront recevoir un titre de séjour définitif. Le regroupement familial pour ces personnes doit en outre être facilité, selon le projet gouvernemental.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Les deux France

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2022

    Il y a deux France en France. C’est ce que viennent de m’exposer des amis qui ont fait près de 1 000 km à bicyclette dans le centre nord de notre pays. La bicyclette, kilomètre par kilomètre, est le meilleur moyen de découvrir ces réalités qui font la vie quotidienne. Ces cyclo-observateurs ont ainsi découvert la France rurale, la France profonde, celle qui vient des siècles passés. Les habitants, généralement modestes, sont aimables, serviables, détendus. Ils paraissent ne pas avoir de souci écrasant. Ils sont accueillants, décontractés et donnent l’impression de vivre heureux dans la simplicité quotidienne.

    L’alimentation est bonne et pas chère. On peut faire un bon repas pour 30 euros. Les hôtels, parfaitement tenus, affichent également des prix abordables.

    Sans doute, nos campagnes ne sont pas épargnées par la délinquance, mais il s’agit d’une délinquance liée à la nature humaine. La gendarmerie, présente partout, est là pour agir avec efficacité. Dans la France rurale, il est encore possible de vivre sans crainte, paisible et confiant.

    Dans la France urbaine, et donc plus peuplée, c’est tout autre chose. C’est aussi la France, mais c’est une France qu’il vaudrait mieux ne pas connaître.

    Le mot-clé qui caractérise cette France-là, c’est l’insécurité. L’insécurité dans tous les domaines.

    D’abord l’insécurité physique. Il suffit d’ouvrir le journal chaque jour, pour apprendre qu’une ou plusieurs personnes ont été tuées à coups de couteau – plus tout ce qui n’est pas publié. Et on commence de bonne heure. Je lis dans le « Figaro » du 13 juin qu’un gamin de 13 ans a assassiné sa petite amie du même âge. On note aussi que le coup de couteau est souvent suivi d’un Allah ouakbar.

    Les graves incidents qui viennent d’avoir lieu au Stade de France illustrent cette insécurité. On ne s’y reconnaît pas entre Français, Anglais et migrants de toutes origines qui cherchent à s’entretuer. La police elle-même, constamment agressée, a pour consigne de faire preuve de « discernement ». Elle n’a évidemment pas le droit de « tirer dans le tas », ce qui fait qu’agitateurs et agresseurs de toutes origines – ils sont maintenant des millions en France bénéficiant le plus souvent d’allocations officielles – sont pratiquement assurés de l’impunité. Il faut donc s’attendre à de nouveaux incidents de cette nature, qui vont du coup de couteau à l’émeute.

    À cette insécurité physique s’ajoute l’insécurité administrative et d’abord fiscale. On sait que l’impôt sur le revenu et la consommation vous enlève au moins 60 % de votre revenu. S’y ajoute l’impôt immobilier qui peut pratiquement s’approprier la presque totalité de votre patrimoine à la suite de procédures sans fin. Je connais le cas d’un contribuable aux prises avec l’administration discale depuis 10 ans. À ce train-là, la population française se divisera en deux : les fonctionnaires fiscaux et les assujettis qui paieront pour être contrôlés ! Nous serons en Absurdie. N’y sommes-nous pas déjà ?

    Dans cette France-là, on trouve bien sûr des restaurants. Ils sont même très nombreux, certains affichant des menus à 355 euros (sans la boisson). Les clients qui s’y rendent sont ceux qui ont pu échapper au fisc. Ils doivent être très peu nombreux. Ce sont surtout les étrangers, y compris les Chinois, qui arrosent leur menu de quelques bonnes bouteilles de cognac, comme autrefois Mao lui-même. S’offrir quelques bonnes et très onéreuses bouteilles de cognac facilite paraît-il l’élaboration d’une bonne doctrine socialiste…