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  • Justice : Refus d’obtempérer, course poursuite… La remise en liberté du chauffard multirécidiviste surprend même son avocat

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2022

    Présenté ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Paris, cet homme, qui a blessé un policier dans sa fuite sur 12 kilomètres entre la capitale et le Val-d’Oise, a été remis en liberté dans l’attente de son procès, malgré son casier judiciaire fourni. À la stupéfaction du parquet et même de son avocat.

    Après une rocambolesque course-poursuite, un chauffard de 36 ans a été présenté, ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Paris. Le trio de magistrats a ordonné sa remise en liberté en attendant son procès qui se tiendra le 13 septembre. Zaccaria est soupçonné d’avoir, dans la nuit de mardi à mercredi à la porte de Clichy (XVIIe), commis un refus d’obtempérer et blessé un fonctionnaire de police qui s’accrochait à son véhicule en le traînant sur plusieurs mètres.

    Le Parisien via fdesouche

  • 12 aberrations sur l’inflation colportées par les médias

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2022

     
    Inflation Déflation (Crédits : CC0 pixabay, image libre de droits)
     
    Publié le 13 août 2022
    A+
     
     

    L’inflation s’est accélérée en juillet pour atteindre 6,1 % sur un an, selon l’Insee.

    L’inflation est de retour

    C’est une erreur de penser que ce que l’on appelle communément « inflation » se résume simplement à l’augmentation des prix à la consommation.

    L’inflation ne doit pas se définir comme une augmentation des prix à la consommation, mais comme une augmentation de la masse monétaire. L’augmentation des prix à la consommation n’est que l’un des symptômes de l’inflation, tout comme l’est l’augmentation du prix des actifs.

    Cette distinction est importante. Il en découle que l’inflation n’est pas « de retour » mais bien présente depuis plusieurs années. Elle l’est d’autant plus significativement depuis la mise en œuvre de politiques monétaires accommodantes qui alimentent les hausses de prix des actifs. Preuve en est la phénoménale augmentation du prix des marchés financiers et immobiliers au cours des douze dernières années.

    L’inflation est transitoire

    Il est de bon aloi pour les gouvernants de rassurer les populations quant à la nature temporaire du phénomène inflationniste.

    Nous sommes beaucoup plus pessimistes à ce sujet.

    En effet, les autorités se trouvent aujourd’hui face à un dilemme cornélien. D’une part, laisser s’envoler les prix à la consommation, ce que le public appelle « inflation » ; de l’autre, relever drastiquement les taux d’intérêt1 directeurs des banques centrales afin de réduire le le volume du crédit alimentant l’augmentation des prix. Encore faudrait-il pour ce faire avoir une marge de manœuvre budgétaire. Une hausse des taux de la BCE aurait non seulement des répercussions négatives sur la croissance économique anémique, mais  renchérirait aussi le service de la dette, alors que celui-ci est déjà à peine supportable.

    L’IPC reflète fidèlement l’évolution des prix à la consommation

    En France, le niveau des prix à la consommation est publié mensuellement par l’INSEE. Son indicateur IPC (Indice des Prix à la Consommation) reflète l’évolution des prix du panier moyen des ménages.

    Par exemple, lorsque le prix d’un paquet de café moulu vendu 1 euro augmente de 2 centimes d’un mois à l’autre, l’INSEE intègre cette hausse proportionnellement au poids relatif du café dans le panier moyen des ménages.

    Si vous ne buvez pas de café, tant pis pour vous. C’est le principal reproche que l’on peut faire à l’IPC. Le panier moyen des ménages n’est pas forcément le vôtre. Il est celui d’un ménage imaginaire. De fait, l’INSEE en exclut un grand nombre de produits et services, comme les véhicules d’occasion, les primes d’assurance, les crédits immobiliers, les services de plomberie ou d’électricité, les travaux d’agrandissement ou de rénovation de logement, etc.

    L’IPC est une mesure très arbitraire des prix des biens à la consommation.

    Si l’IPC est stable, cela signifie que les prix à la consommation le sont également

    Le deuxième reproche que l’on peut faire à l’IPC tel que le calcule l’INSEE est que cet indice ne prend pas en compte les évolutions des habitudes de consommation des ménages.

    Par exemple, supposons que le panier moyen contienne une ligne « litre de jus d’orange ». Supposons par ailleurs que le cours de cet agrume s’envole et que, corollairement, le prix moyen du litre de jus d’orange en grande distribution passe de 1,25 euro à 7,50 euros. Il est fort probable que les ménages n’achèteront plus (ou réduiront fortement leur consommation) de jus d’orange. Puisqu’il n’est plus consommé, l’INSEE considère que ce produit n’est plus représentatif du panier moyen et ne le prendra plus en compte dans ses calculs de l’indice des prix à consommation. Bonne nouvelle pour l’indice lui-même qui affiche ainsi une étonnante stabilité alors que le prix de certains produits a dans les faits fortement augmenté.

    Certains prix ne changent pas, il n’y a donc pas d’inflation

    Les prix à la consommation sont influencés par des facteurs non seulement monétaires mais aussi réels. Parmi ces derniers, relevons l’augmentation de la productivité. En effet, les entrepreneurs cherchent à satisfaire au mieux leur clientèle. Ils sont constamment à la recherche de méthodes de production plus efficaces ou de produits plus innovants répondant toujours mieux aux attentes du marché. Dans une économie de marché libre, l’innovation exerce naturellement une pression à la baisse sur les prix : soit parce que le prix de la marchandise est effectivement réduit, soit parce qu’on trouve des marchandises à des prix identiques offrant davantage de fonctionnalité ou de meilleure qualité. À titre d’illustration, nous avons tous constaté que le prix des ordinateurs portables proposés aujourd’hui est nettement plus bas qu’il y a 20 ans. Alors même que ces ordinateurs sont nettement plus sophistiqués qu’au début du siècle.

    Grâce aux gains de productivité et sans intervention des autorités monétaires, les consommateurs devraient connaître une augmentation progressive de leur pouvoir d’achat.

    A contrario, dans le cas où l’inflation monétaire est manifeste, la baisse des prix engendrée par les gains de productivité peut ne plus être observée. La baisse des prix et l’inflation peuvent se compenser. Les prix ont l’air stables mais, sans intervention, ils auraient baissé.

    L’inflation générale des prix est causée par des phénomènes géopolitiques

    Les tensions internationales peuvent effectivement provoquer la hausse de certains prix. Considérons que si un événement géopolitique obère une partie de la production mondiale de blé, il est certain que, si la demande reste identique, le prix du kilo de blé augmentera. Toutefois, cet événement ne peut pas causer une augmentation générale des prix. Tout simplement parce que, schématiquement, si un individu perçoit un salaire identique et qu’il acquiert le kilo de farine plus cher, il disposera conséquemment de moins d’argent pour consommer du sucre. Si la demande du sucre se réduit, son prix baissera.

    Si les prix augmentent de concert, c’est qu’il y a une inflation monétaire.

    Milton Friedman, chef de file de l’École monétariste, résume cela parfaitement : « L’inflation est toujours un phénomène monétaire ».

    Nos enfants rembourseront la dette créée par l’inflation

    Au temps de l’empereur Constantin, l’inflation s’expliquait principalement par la volonté des autorités de rogner les pièces d’or pour pouvoir en fabriquer plus.

    De nos jours, si les méthodes des autorités monétaires sont différentes, les effets sont les mêmes. La Banque centrale europénne achète les obligations souveraines des États européens, ce qui leur permet d’émettre de nouvelles obligations finançant ainsi toujours plus de dépenses publiques. L’endettement public en France qui atteint aujourd’hui près de 130 % du PIB, est le résultat d’une dette créée ex-nihilo et non d’une richesse créée en contrepartie par un prêteur.

    Dans le second cas, il y aurait effectivement une facture importante à rembourser à terme. Dans le premier, la facture, présentée aux épargnants, sera graduelle et prendra la forme d’augmentation des prix à la consommation et d’une augmentation du prix des actifs.  Rien d’étonnant à ce que ses effets ne soient pas immédiats, Richard Cantillon a démontré que l’inflation était progressive : les prix augmentent d’abord au point d’entrée de la monnaie, ce qui creuse les inégalités entre ceux qui ont accès au crédit et ceux qui n’y ont pas accès.

    Il n’y a que deux façons de rembourser notre dette : taxes et inflation

    Les taxes et l’inflation seraient les deux seuls moyens de rembourser notre importante dette publique. Or, l’inflation est aussi une taxe sur l’épargne (voir point 10).

    Concédons néanmoins qu’il y a que deux moyens de rembourser notre dette : les taxes connues de tous et celles dissimulées aux yeux de tous.

    Pour augmenter le pouvoir d’achat des ménages, il faut mettre en œuvre un nouveau « quoiqu’il en coûte »

    Dans un article précédent, nous exprimions nos craintes concernant les conséquences sociales du « quoiqu’il en coûte » en soutenant qu’il entraînerait une paupérisation durable de la population française.

    Nos inquiétudes n’étaient pas infondées. Le très bien nommé « quoi qu’il en coûte » coûtera très cher (cf. point 10) aux épargnants. Si d’aventure les autorités monétaires persévéraient dans une politique d’expansion monétaire, le coût à supporter serait in fine encore plus élevé.

    2 % d’inflation annuelle est bon pour l’économie

    Certains économistes considèrent qu’une petite dose d’inflation peut être bénéfique pour l’économie. Ils soutiennent, à juste titre, que si les prix à la consommation augmentent, les salaires suivront.

    Il est effectivement probable que si un entrepreneur améliore sa marge opérationnelle en profitant d’une hausse du prix de vente de ses produits, il sera incité à relever les émoluments de sa force de travail. Toutefois, notons que les salariés subissent défavorablement cette situation puisqu’il peut y avoir un délai entre la hausse des prix à la consommation constatée et l’ajustement de leur salaire.

    Mais cette réalité occulte le problème de fond causé par un niveau d’inflation annuel à 2 %.

    Illustrons-le à l’aide d’un exemple :

    Imaginons qu’en année 1, les prix à la consommation soient les suivants :

    Café : 2 euros
    Ticket de cinéma : 10 euros
    Voiture : 10 000 euros

    Et que le salaire versé par une entreprise à son employé soit de 2000 euros mensuels.

    En supposant une inflation de 10 %, nous aurions les prix suivants en année 2 :

    Café : 2,20 euros
    Ticket de cinéma : 11 euros
    Voiture : 11 000 euros
    Salaire : 2200 euros

    À première vue, on constate que la situation est identique. C’est oublier l’épargne accumulée par ce travailleur. Si celui-ci disposait de 10 000 euros d’épargne en année 1, il dispose toujours de 10 000 euros d’épargne en année 2. Cependant, la deuxième année, il ne peut plus s’acheter une voiture. Son épargne a été amputée de 10 %.

    L’inflation est une taxe sur l’épargne qui ne dit pas son nom.

    Que son niveau soit de 2 ou de 10 %, préconiser un niveau d’inflation positive comme étant bénéfique pour l’économie, c’est recommander une taxe sur capitaux accumulés des épargnants quel que soit leur niveau de revenus et quelle que soit leur richesse.

    L’inflation est mauvaise pour les riches et bonne pour les pauvres

    L’inflation comme nous l’avons établi (point 10) est une taxe sur les épargnants.  Elle touche indistinctement tous les épargnants quel que soit leur niveau de richesse. Toutefois, les classes les plus favorisées peuvent modifier leur portefeuille d’investissement en allouant leur épargne vers des actifs corrélés positivement avec l’inflation. En outre, ils disposent d’une capacité d’endettement que n’ont pas les classes sociales les plus fragiles.

    Les classes sociales les plus fragiles, les classes populaires et les classes moyennes, disposant d’une épargne moindre seront les dernières à bénéficier de ces mesures monétaires et verront en premier leur pouvoir d’achat diminuer.

    Les politiques monétaires accommodantes, responsables de l’inflation, sont des mesures anti-pouvoir d’achat.

    Les gouvernements feront tout pour lutter contre l’inflation.

    Contrairement aux apparences, les politiques monétaires laxistes (accommodantes) ont plusieurs avantages pour les gouvernements :

    Elles réduisent de facto la valeur réelle de la dette déjà émise.

    Elles permettent d’émettre de nouvelles dettes en réduisant le service de la dette.

    Elles permettent d’augmenter les revenus de l’État (augmentation de la TVA, de l’impôt sur les sociétés, puis de l’impôt sur le revenu), alors que les prestations sociales sont peu ou pas augmentées (ou alors très tardivement).

    Elles permettent de démontrer aux électeurs que le gouvernement agit.

    En d’autres termes, les politiques monétaires accommodantes renforcent le pouvoir des dirigeants. Il pourrait être naïf de croire que les États s’attèlent sérieusement à réduire leur emprise économique.

    Nous terminons notre court exposé par cette citation de John Maynard Keynes, l’instigateur de ces politiques inflationnistes :

    « Par un processus continu d’inflation, le gouvernement peut confisquer, secrètement et sans être observé, une part importante de la richesse de ses citoyens » – Les conséquences économiques de la paix (1919)

    Un article publié initialement le 13 juillet 2022.

     
    1. Le Président de la FED au début années 1980, Paul Volcker, choisit cette politique afin d’enrayer l’inflation galopante aux États-Unis supérieure à 14 %. En mars 1980, il releva le taux directeur jusqu’à 20 % alors qu’il n’était que de 6,5 % deux ans plus tôt. Il est vrai que le niveau de l’endettement public était bien inférieur à ce qu’il est aujourd’hui. 
  • La France s’effondre et les médias regardent ailleurs

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2022

    La France s’effondre et les médias regardent ailleurs

    Par Michel Geoffroy, auteur de Immigration de masse. L’assimilation impossibleLa Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ Cet été nos médias se sont polarisés sur les incendies, la canicule, les orages, le climat. Hydratez-vous ! Attention aux incendies ! Attention aux orages ! Attention à la variole du singe ! Vigilance sur les routes ! Vigilance orange, rouge ! Vigilance partout ! La machine à trouille médiatique a fonctionné à plein, comme au temps du Covid, mais en mode estival.

    Une façon de préparer l’opinion aux mesures coercitives qui seront prises à la rentrée au prétexte d’économiser l’énergie ou de préserver la planète : par exemple l’instauration d’un pass-carburant comme au Sri Lanka ? Ou une nouvelle taxe sur l’énergie comme en Allemagne ?  Une façon aussi d’éviter que le temps de cerveau disponible ne prenne conscience de certains faits. Lesquels ?
    Voici un petit résumé des faits qui, curieusement, n’ont pas passionné cet été nos médias de grands chemins :

    Le déclin économique français

    – Notre pays a affiché un déficit record de 71 milliards d’euros au premier semestre 2022, soit 20 milliards de plus qu’au premier semestre 2021. Le déficit du commerce extérieur de biens atteint, quant à lui, 122 milliards.

    – La France a perdu sa première place d’exportateur net d’électricité entre janvier et juin 2022, selon un rapport de l’analyste de données énergétiques EnAppSys paru le 10 août. La France est passée d’exportateur net à importateur net. De 21,5 TWh d’exportations nettes l’année dernière, la France est désormais déficitaire, de 2,5 TWh.

    – Le ministre de l’économie du Brésil a déclaré que la France était désormais une puissance économique insignifiante pour son pays « Nos échanges commerciaux avec vous (la France) s’élevaient à 2 milliards de dollars en 2000, autant que la Chine. Aujourd’hui, c’est 7 milliards avec vous et 120 milliards avec la Chine. Vous devenez insignifiants pour nous ».

    L’insécurité se porte bien, merci

    – Attaques contre les commissariats de Vitry sur Seine (1er août), de Compiègne (7 et 8 août), émeutes à Limoges (3 et 4 août), agressions au couteauaugmentation des refus d’obtempérer de 20 % en deux ans selon les chiffres officiels, des rodéos urbains.

    – Mais heureusement le gouvernement a rapatrié les familles de djihadistes, comme l’avaient demandé le patron, c’est-à-dire les Etats-Unis (35 enfants et 16 mères) !

    Le gouvernement des juges au secours de l’immigration et de la censure

    – Le tribunal de l’Union européenne a confirmé le 27 juillet que l’interdiction de diffusion de RT France et de Sputnik n’était pas attentatoire à la liberté d’expression puisque « temporaire ».

    – Le Conseil d’État a jugé le 1er juillet 2022 que le traçage des viandes abattues selon le rituel hallal n’était pas une information obligatoire à donner au consommateur.

    – La Cour de justice de l’union européenne a jugé le 1er août, contre le gouvernement italien, que « les bateaux d’organisations humanitaires qui font du secours en mer ne peuvent pas être contrôlés par l’État où elles débarquent. À moins qu’il n’y ait ‘un risque évident de danger pour la sécurité, la santé ou l’environnement’. »

    – Le Conseil Constitutionnel a validé le 13 août la loi obligeant les hébergeurs à retirer les contenus jugés « terroristes » par le gouvernement, sans intervention d’un juge, sous peine de sanctions extrêmement lourdes.

    – Le tribunal administratif de Paris a suspendu le 5 août, en urgence, l’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen vers le Maroc, fiché S, estimant qu’elle porterait une « atteinte disproportionnée » à sa « vie privée et familiale ». Pour mémoire, la Turquie a expulsé un peu plus de 59 000 migrants en situation irrégulière jusqu’à présent cette année, en hausse de 136 % par rapport à la même période l’an dernier, selon les chiffres officiels. En France le taux d’exécution des OQTF ne dépasse pas 10 %…

    Le grand remplacement n’existe pas

    – Selon l’Insee en 2019-2020, en France, 29,6% des 0-4 ans sont d’origine extra-européenne sur trois générations (immigrés, enfants d’immigrés, petits-enfants d’immigrés) contre 7,6% des 60-64 ans et 3,1% des personnes âgées de +80 ans.

    – La démographe Michèle Tribalat a déclaré au journal le Figaro du 8 août que « si le gouvernement peut encore décider du nombre d’étrangers qu’il accueille pour motif économique, tout le reste doit entrer dans le cadre des directives et règlements de l’UE. Cette dépossession a été consentie. Jamais la France n’a posé des exigences qui auraient conduit à un compromis, ce qu’ont fait le Danemark, le Royaume-Uni, l’Irlande et la Pologne. Le Danemark a ainsi bénéficié d’un droit de retrait sur le pilier justice et affaires intérieures et de protocoles spéciaux, notamment sur les questions migratoires ».

    La diplomatie française hors-jeu

    – Emmanuel Macron « au nom de la France » a donné son accord à l’entrée de la Finlande et de la Suède dans l’OTAN, donc à la poursuite de l’extension de cette organisation e Europe, malgré les mises en garde de la Russie.

    – C’est par l’entremise de la Turquie que les exportations de céréales en provenance d’Ukraine, notamment à destination de l’Afrique, ont repris, pas de la France.

    – L’armée française a quitté le Mali le 16 août, illustration de la perte d’influence de la France dans cette région.

    – Le chef d’état-major de la Marine a déclaré devant l’assemblée nationale le 27 juillet que « contre la marine chinoise, nous gagnerons si nous nous battons ensemble, en coalition »La Marine française veut donc mourir pour Taïwan ?

    – Mais, bonne nouvelle, le gouvernement va désigner un « ambassadeur aux droits des LGBT+ » !

    La propagande ukrainienne en difficulté

    – La chaîne CBS a publié un reportage illustrant le trafic auquel donnent lieu les livraisons d’armes occidentales à l’Ukraine affirmant que seulement 30 % de ces livraisons atteignaient leur destinataire final. Devant les réactions du ministre ukrainien des affaires étrangères, Dmytro Kuleba, CBS a été contraint de censurer son reportage.

    – Amnesty International a publié un rapport dénonçant la politique de boucliers humains conduite par l’armée ukrainienne ; le 7 août l’organisation a regretté que ce rapport ait provoqué des réactions négatives ; le 8 août le journal Le Monde écrivait que « toute vérité n’est pas bonne à dire à n’importe quel moment » …

    – L’agence Bloomberg a publié le 11 août un article intitulé : « Poutine a gagné la guerre de l’énergie sur les marchés ».

    ***

    Rien d’important donc, pour nos médias !

    Michel Geoffroy
    17/08/2022

     

    Source : polemia

  • La rédaction française d’AJ+, succursale d’Al Jazeera, s’attaque à Saint-Nicolas-du-Chardonnet et à la Fraternité Saint-Pie X

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2022

    Auteur : 

    Prenant le relais de l’attaque menée il y a quelques jours par les réseaux gaucho-maçonniques contre l’abbé Chautard, c’est au tour du média qatari AJ+  de se déchaîner contre le catholicisme traditionnel dans le seul but de détourner cette fois l’attention des préoccupations légitimes à l’égard de la présence de réseaux islamistes sur le territoire français.

    La vidéo ci-dessous assemble des extraits de sermons de nombreux prêtres de la Fraternité Saint-Pie X et cherche à attiser la furia gaucho-maçonnique à l’encontre de l’église Saint-Nicolas-du Chardonnet. La séquence a pour titre « Séparatisme : une église proche de l’ultra-droite en plein centre de Paris ». Au passage, la séquence évoque aussi Civitas.

     

    AJ+, un « outil de soft power » du Qatar, pays islamique

    AJ+ est un média par internet lancé en 2014, faisant partie du groupe d’Al Jazeera Media Network, et dont le siège est au Qatar. Ce média est diffusé en quatre langues : anglais, espagnol, arabe et français. Il propage de courtes vidéos via les réseaux sociaux, comme YouTube, Facebook ou Twitter, et vise les « personnes qui ont un mode de consommation de l’information différent » et les plus jeunes.

    Interrogée en 2018 par Libération, la directrice de la rédaction Dima Khatib, explique vouloir « être la voix de tout le monde », et « offrir plus d’espace aux moins privilégiés, faire entendre la voix de ceux qui n’en ont pas ».

    La ligne éditoriale de la rédaction française fait régulièrement la part belle aux revendications du lobby LGBT+, aux discours antiracistes et écologistes. Un positionnement très éloigné de la politique islamique menée au Qatar !

    La rédaction française d’AJ+ a donc pour mission de saper les fondements de la société française et de la civilisation chrétienne tout en préparant le terrain à l’islamisation de la terre de France. Les vidéos d’AJ+ font la promotion des indigènes de la République, du voile islamiques et de Tariq Ramadan ». Dénonçant cette succursale francophone d’Al Jazeera comme « un instrument du soft power de l’émirat du Golfe », l’hebdomadaire Marianne avait relevé qu’une enquête de la chaîne sur les conditions de travail des ouvriers dans l’émirat qatari s’était transformé en « un spot promotionnel pour le Qatar. »

    Le journal Libération avait également désigné ce média comme un « outil de soft power » du régime de Doha.

     

    Source : medias-presse.info

  • «Aujourd’hui, le but est de rentrer chez soi vivant»: les forces de l’ordre confrontées à ce danger de tous les instants

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2022

    Trois policiers contraints d’ouvrir le feu sur un véhicule refusant un contrôle le 4 juin, dans le 18e arrondissement de Paris. Un gendarme renversé puis traîné par un motard en infraction dans la nuit du 4 au 5 août, à Guérande. Avec parfois de terribles issues, les refus d’obtempérer sont omniprésents dans le quotidien des forces de l’ordre. Le risque, omniprésent, pèse lourd sur le moral.

    «Pour un simple contrôle ou une opération de prévention routière, les gens n’hésitent plus à prendre la fuite. La plupart sont déjà connus des services. Ils ne sont pas en état de pleine conscience et n’ont aucun égard pour ceux qui les entourent», constate Bertrand, 40 ans, capitaine de gendarmerie, commandant d’escadron départemental de Sécurité routière. Depuis le début de sa carrière, commencée il y a seize ans, il observe une augmentation des dangers pris par les chauffards. Zigzags dans des ruelles escarpées lors d’une course-poursuite, feinte de s’arrêter pour mieux accélérer ensuite, quitte à percuter un civil ou un homme en uniforme… […]

    Le Figaro via fdesouche