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  • Normale Sup : des élèves demandent l’interdiction de certains couloirs de l’internat aux «hommes cisgenres»

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2022

    Alors que les «conscrits», les nouveaux admis à l’École normale supérieure à Paris, feront leur rentrée dans quelques jours, le 5 septembre, les discussions des normaliens poursuivent leur cours tumultueux : la rue d’Ulm est peut-être à la veille, en effet, d’une décision importante aux allures de singulier retour en arrière. Des élèves et association de l’école demandent l’interdiction de certains couloirs de l’internat aux «hommes cisgenres», c’est-à-dire les hommes qui se considèrent comme des hommes, selon un néologisme formé par l’écrivain transsexuelle Julia Serano.

    Celui-ci était jusqu’ici indistinctement ouvert aux normaliens des deux sexes, sans séparation géographique entre les couloirs des filles et ceux des garçons. Les élèves de l’École qui le souhaitent peuvent même demander à vivre à deux dans une même chambre. Mais, désormais, certains couloirs pourraient bien être prochainement interdits aux «hommes cisgenres». En clair, il s’agirait du retour à une non-mixité, partielle ou totale. Cela à la demande d’élèves et d’associations de l’ENS qui s’inquiètent d’une plus grande vulnérabilité des femmes ou des personnes appartenant à des minorités sexuelles, du fait de la présence d’hommes dans les couloirs de l’internat.

    Selon le compte rendu, consulté par Le Figaro , une première élève a soutenu que certains de ses condisciples avaient établi l’an passé des « listes de baisabilité » . Elle a alors réclamé le droit, pour les internes qui le souhaitent, d’avoir leur chambre dans un couloir non mixte. « Plus tard dans l’AG, elle affirme en réponse à certains arguments qu’il ne faut pas exclure la possibilité que tous les hommes soient des violeurs » , précise sobrement le compte rendu. Les discussions s’échauffent, un autre élève estime à son tour que « l’ENS en tant qu’institution a le devoir de donner à ceux qui le souhaitent une chambre en non-mixité » . D’autres objectent que cela n’irait pas sans poser d’importantes difficultés, puis s’interrogent : les garçons auraient-ils malgré tout le droit de traverser le couloir pour se rendre d’une partie du bâtiment à une autre ? Les trans seraient-ils admis ? Et les « non-binaires » ?  […]

    Si elle était finalement actée, l’instauration d’une non-mixité à l’internat de l’ENS constituerait néanmoins un surprenant clin d’oeil à l’histoire : alors que l’école s’est retrouvée plongée, il y a un demi-siècle, au coeur des événements de Mai 68 dans le Quartier latin, comment ne pas songer en effet que la révolte étudiante était née, à l’époque, de la revendication des garçons de Nanterre de pouvoir entrer dans les dortoirs des filles ? C’était du reste le point de départ de l’altercation du 8 janvier 1968 entre le ministre de la Jeunesse et ses Sports, François Missoffe, et le jeune Daniel Cohn-Bendit, lequel reprochait au gouvernement de ne pas tenir compte des « problèmes sexuels des jeunes » . […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Le Père Théophane torturé par les sbires du SBU, la police politique du régime corrompu de Zélinski !

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    LE PÈRE THÉOPHANE, TORTURÉ PAR LE SBU,

    ÉLECTROCHOCS ET SUPPLICE DE L’ENTONNOIR

    Laurent Brayard pour le Donbass Insider décortique ce système quasi- maffieux à travers un entretien du Père Théophane qui va nous conduire de nouveau dans les méandres les plus sordides de l’Ukraine, les prisons du SBU, les arrestations politiques, les caves où furent torturés les prisonniers, les méthodes de tortures similaires à ce qui fut pratiqué par la Gestapo ou d’autres polices de régimes totalitaires dans l’histoire.

    Les activités de la police politique du SBU ont été soigneusement évitées en Occident, même par les associations des Droits de l’Homme comme Amnesty International, ou des organisations politiques comme l’ONU. Et pourtant, encore plus que les bataillons de représailles et la frange néonazie et bandériste qui existe dans l’armée ukrainienne, ici nous sommes en face d’un système de surveillance des citoyens ukrainiens, d’arrestations arbitraires, d’assassinats politiques, de répressions et tortures visant les populations sur tout le territoire de l’Ukraine.

    Le Starets du monastère avait vu la guerre du Donbass.

    Le Père Théophane est né à Donetsk en 1977 et a consacré jusqu’alors son existence à Dieu depuis de longues années. Il vivait et officiait dans le Monastère Nikolo-Vassilievski dans le village de Nikolskoye, tout près de la ville de Volnovakha. Actuellement le monastère se trouve en zone de guerre et a été en grande partie détruit par les Ukrainiens (11 avril 2022), par un intense et criminel bombardement n’ayant pour but que de ravager l’édifice. Rappelons que ce dernier dépend du Patriarcat de Moscou et que l’Ukraine mène également en douce une vraie guerre de religion depuis bien avant le début de l’agression du Donbass. Le monastère est une fondation récente, puisqu’il fut créé en 1998, et était le plus grand monastère construit en Ukraine après la chute de l’URSS.

    Le Père Théophane raconte :

    « J’ai vécu paisiblement dans ce lieu, et je suis arrivé au monastère en 2001. Mais depuis longtemps en Ukraine se déroulaient des persécutions contre nous, des exactions, des vols et occupations illégales d’églises et même des assassinats de prêtres qui furent commis par les ultranationalistes ukrainiens. Cela a commencé pendant les années 90, dans l’Ouest et le centre du pays, des prêtres ont disparu et ont été tout simplement assassinés, mais tout cela a été passé sous silence. J’ai vite compris dès le premier Maïdan en 2004, que nous ne pouvions rien espérer que du mal de ces événements, et au commencement du second Maïdan, dans l’hiver 2013-2014, j’ai su que nous marchions à la guerre, cela ne pouvait finir que comme cela. Vous savez nous avions un saint homme dans le Monastère, un Starets, un homme qui avait des révélations et voyait le futur. Il avait vu et prédit qu’il y aurait la guerre et ses paroles m’avaient beaucoup impressionné. Ce mal qui grandissait dans l’Ouest de l’Ukraine était un drame auquel nous assistions impuissants tous les jours, et puis les événements se sont accélérés. Il y avait de toute façon depuis longtemps cette dualité en Ukraine, entre l’Ouest qui avait fait d’autres choix, et nous les populations russes. Pendant les élections nous l’avions vu, jusqu’à celle de Ianoukovitch. Alors quand ils sont arrivés j’ai décidé que je ne pouvais que m’engager dans la résistance. Des troupes de l’armée ukrainienne sont apparues dès le mois d’avril autour du monastère, tandis que tout le Donbass s’enflammait ».

    Le résistant torturé dans les cachots de Marioupol par le SBU.

    Pendant près d’une année le Père Théophane a donc servi dans la résistance des insurgés républicains du Donbass. Il est difficile de concevoir qu’à notre époque, des hommes et des femmes puissent en Ukraine avoir suivi le même chemin que d’autres avant eux, pendant la Seconde Guerre mondiale. De la même manière ces gens ont pris des risques énormes pour faire du renseignement, s’organiser, se rassembler et transmettre des informations capitales. Notre gouvernement en France l’a oublié, mais dans des circonstances similaires une minorité de Français a choisi de ne pas courber l’échine, de rester debout, de lutter pour l’indépendance de notre pays. Ici le Père Théophane fit le même choix et renseignait l’État-major des forces républicaines à Donetsk, il raconte :

    « J’ai fait du travail de renseignement, j’avais quand même une couverture et des possibilités, même si bien sûr nous étions suspects pour le régime de Kiev. Pendant une année j’ai collecté des informations sur les unités, les positions, les armes, les équipements et je communiquais tout cela pour les nôtres à Donetsk. C’était dangereux, nous étions toutefois relativement tranquilles, les soldats ukrainiens et les ultranationalistes ne sont pas venus nous déranger, mais cela n’a pas duré. J’ai été dénoncé par quelqu’un et arrêté le 3 mars 2015, non loin du monastère, par des agents de la police politique du SBU. Lorsqu’ils sont venus m’arrêter, ils ont aussi pillé ma maison, elle est aujourd’hui en partie détruite par les bombardements. J’avais une collection de médailles de toutes les époques, et des artefacts historiques… tout cela me fut pris et volé, y compris des maquettes, ou des objets de la période soviétique. J’ai été conduit en voiture à Marioupol et interrogé et torturé pendant 5 jours. Ils m’avaient conduit dans les bâtiments du SBU, les interrogatoires se déroulaient dans les caves, quatre hommes m’interrogeaient et me violentaient. Les questions pleuvaient, mais avec la foi en Dieu, j’ai eu la force de tenir bon. Ils m’ont frappé avec des tubes sur le corps, les membres, le dos et la tête. J’avais des menottes sans chaîne au milieu qui me paralysaient complètement. Les mains dans le dos, je ne pouvais pas bouger. Elles étaient tellement serrées au maximum, que même maintenant 7 ans après j’ai une faiblesse aux poignets. Ils me battaient plusieurs heures de suite, parfois avec une grande mèche de perceuse notamment sur les mains. Les coups pleuvaient et ils voulaient que j’avoue tout ce que je savais et me faire signer un document d’aveux, parfois d’ailleurs mensonger. J’ai subi aussi longuement le supplice de l’entonnoir, on me versait quantité d’eau dans la gorge et avec ces menottes je n’avais aucun moyen de pouvoir me relever ou de réagir. Quand ce n’était pas la baignoire, c’était les électro-chocs avec un taser, j’ai reçu ainsi des centaines de chocs. Entre les interrogatoires j’étais enfermé dans une cellule au sous-sol, il y avait deux prisonniers enfermés avec moi. Au total je pense que nous étions à ce moment une dizaine dans les geôles, mais des hommes étaient régulièrement emmenés et d’autres arrivaient. L’un des prisonniers était là depuis déjà pas mal de temps, il était en train de devenir fou car il entendait les tortures subies par les autres prisonniers, c’est quelque chose de très éprouvant. Lors des interrogatoires je ne voyais rien, j’avais toujours un sac sur la tête, et ce qui m’a sauvé c’est la prière. Avec les autres détenus que j’incitais à me rejoindre, nous avons récité beaucoup de prières qui étaient un immense réconfort dans notre situation. Finalement on m’a sorti de là pour un simulacre de procès et je fus emmené à Kharkov, toujours dans une prison du SBU où je suis resté 6 jours. La chance que j’ai eu est que j’ai pu bénéficier d’un échange peu de temps après à la mi-avril, je n’étais resté prisonnier en tout et pour tout qu’environ six semaines. Les Ukrainiens n’ont accepté de m’échanger que contre… 16 prisonniers que les Républicains détenaient, des soldats pour la plupart. Mais beaucoup de gens ont subi cette captivité des mois durant, des centaines, des milliers. Je connais le cas d’un Russe, André Sokolov qui était venu en RPD à l’invitation du Ministère de l’énergie pour mettre ses connaissances techniques et faire des audits de plusieurs usines. Il fut capturé à un barrage routier et maintenu en captivité dans des conditions terribles pendant deux années. Pour ma part je suis sorti de cette épreuve et je prie toujours pour tous les prisonniers que détiennent les Ukrainiens, parfois depuis des années ».

    Au bout du chemin la victoire.

    Une fois libéré le Père Théophane est resté à Donetsk où réside encore sa mère qui est âgée. Il n’a jamais pu retourner dans son Monastère qu’il faudra reconstruire. Mais ce temps viendra et il affirme que la Russie aidera à le reconstruire, qu’il sera encore plus beau que par le passé. Il attend ce moment et participe à de nombreuses missions humanitaires, pour porter secours aux civils se trouvant sur le front et dans les zones les plus dangereuses. Il n’a pas oublié de livrer son témoignage, pensant qu’il est très important que cette vérité se diffuse le plus long possible. A la libération de Marioupol, il eut le privilège de pénétrer avec des journalistes et activistes dans les locaux sinistres du SBU, là même où il avait été torturé. Il put y retrouver une paire de menottes exactement similaires à celles qui l’avaient si cruellement fait souffrir et la fameuse mèche de perceuse, longue d’environ 30 cm. Selon lui les Russes devront pousser pour libérer tous les territoires où se trouvent des populations ethniques russes. Elles attendent dans l’angoisse depuis longtemps leur libération. Une libération de cette Ukraine dont les médias et gouvernements occidentaux cachent la vraie nature depuis si longtemps :

    « la victoire est inéluctable, il faudra prendre tous ces territoires, mais laisser l’Ouest du pays devenir ce qu’il pourra. Historiquement de toute façon cette région fut une partie de l’empire des Habsbourg, et également de la Pologne. Ce que j’ai vécu n’est rien, ce qu’ils ont fait dans le Donbass et dans l’Est de l’Ukraine a été et est terrible, la masse de souffrances est énorme, personne ne pourra l’oublier. Nous pourrons nous les hommes leur pardonner, mais au bout du chemin il y aura pour eux le tribunal de Dieu, et aucun d’entre eux ne pourra y échapper ».

    Source : Donbass Insider

  • Le nombre des avortements pratiqués légalement en Pologne a été dix fois moindre en 2021 qu’en 2020

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2022

    Le nombre des avortements pratiqués légalement en Pologne a été dix fois moindre en 2021 qu’en 2020

    C’est le fruit de la nouvelle législation qui protège davantage la vie de l’enfant à naître. Selon le ministère de la santé, le nombre d’avortements est tombé à 107 (cent-sept) l’année dernière. En France c’st 230 000…

    Fin octobre 2020, le Tribunal Constitutionnel (TC) polonais a jugé que l’avortement eugénique était inconstitutionnel. Jusqu’à la publication de l’arrêt du 22 octobre 2020, le droit polonais prévoyait que le droit à la vie était protégé dans la phase prénatale, à l’exception de 3 circonstances décrites dans la loi sur la planification familiale.

    En vertu de ces dispositions, l’avortement était autorisé dans le cas d’une grossesse résultant d’un viol, d’une menace pour la vie ou la santé de la mère et également dans une situation de « forte probabilité d’anomalie grave et irréversible du fœtus ou de maladie incurable menaçant la vie ». A la suite de la publication de l’arrêt du TC, ce dernier cas a été supprimé.

     

    « La loi fonctionne et a permis de sauver des personnes concrètes », déclare Magdalena Korzekwa-Kaliszuk, avocate et psychologue, présidente de la Fondation du groupe Proelio. Les années précédentes, le nombre d’avortements enregistrés par le ministère de la Santé était de 1 076 (en 2018 et 2020) et de 1 110 en 2019.

    Selon Magdalena Korzekwa-Kaliszuk, si la loi n’avait pas été modifiée à la suite de l’arrêt de la Cour, l’année dernière également, un millier d’enfants auraient perdu la vie avant leur naissance en Pologne, principalement en raison d’une suspicion de trisomie 21.

    « Une bonne loi a une influence positive sur l’attitude des gens. D’une part, elle renforce la conviction que le droit à la vie ne doit pas dépendre du diagnostic d’un état pathologique. D’autre part, le fait de ne pas pouvoir tuer un enfant pour des raisons eugéniques signifie que les médecins n’auront plus aucune raison de suggérer ou même de faire pression sur les parents pour qu’ils avortent ».

    En Pologne, comme ailleurs, des pressions ont souvent été exercées sur les femmes pour qu’elles avortent pour des raisons eugéniques.

    Les organisations pro-avortement affirment que, suite à la décision du TC, les femmes polonaises choisissent l’avortement à l’étranger. Selon le député de gauche Joanna Scheuring-Wielgus, ils se compteraient « par milliers ». Mais aucune preuve n’est fournie pour étayer cette affirmation.

     

    Source : lesalonbeige

  • Fresnes (94) : en mai dernier, le directeur organisait au sein de la prison une “démonstration de Freestyle Moto” et le tournage de clips de Fianso et de Rim’K dans le cadre de la “Shtar academy”, déclenchant la colère des surveillants

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2022

    fdesouche

    Merci à Bouli

    Le projet Shtar Academy porté par notre ami Mouloud Mansouri est en pleine tempête. Pour ceux qui ne connaissent pas le concept, petit rappel : il s’agit d’enregistrer un album dans une prison avec des prisonniers talentueux en compagnie de rappeurs de renom. Le premier album a vu le jour en 2014 plutôt encouragé par l’administration pénitentiaire. Un grand concert avait même été organisé au sein même de la prison de Toulon pour fêter la sortie du projet. L’édition 2022 suit le même principe, mais le clip du feat avec Fianso pose problèmes. En effet, certaines images ont été tournées à l’intérieur même de la prison de Fresnes, déclenchant la colère des surveillants comme l’explique Stéphane Wulleman, secrétaire local du syndicat pénitentiaire des surveillants non-gradés (SPS) dans les colonnes du Parisien.

    “Ce clip fait du bruit à la prison de Fresnes auprès du personnel. Nous avons été très étonnés que cela puisse être tourné dans cette prison emblématique. Nous pensions que l’on verrait des ateliers, une cour de promenade, détaille le syndicaliste, avant de rentrer dans les détails. Mais là, on aperçoit l’entrée, des coursives dans le bâtiment D3, une cellule, un véhicule de l’administration, sans parler d’une scène qui fait penser à une fouille rectale… Dans ce dernier cas, il y a des procédures précises. Cela a choqué aussi bien les surveillants que les gradés.”

    L’administration pénitentiaire se veut plus mesurée de son côté.

    “Il faut prendre une certaine distance, dédramatise d’emblée l’administration pénitentiaire. C’est un clip ! Ce n’est pas un documentaire […] C’est l’aboutissement d’un projet qui s’inscrit dans le cadre de la prévention de la récidive. Cela demeure une action au long cours où plusieurs détenus participent à des ateliers d’écritures. C’est un travail qui permet de suivre les détenus et de les voir s’ils peuvent s’investir de manière sérieuse.”

    Réaction quasi similaire du côté de Mouloud Mansouri, instigateur du projet et ancien détenu lui-même.

    On ne s’est octroyé aucun droit. Il y a énormément d’endroits où nous n’avons pas pu tourner pour des raisons de sécurité et c’est normal […] La culture peut ouvrir des chemins vers la réinsertion. C’est un vrai travail effectué avec eux. D’ailleurs un détenu est en train de signer avec une maison de disques et travaille sur un disque.”

    Si aucun blocage n’intervient, la sortie du prochain album de la Shtar Academy est prévue pour le 26 septembre 2022.

    Generations

  • Notre-Dame de Paris : L’enquête sur l’origine de l’incendie bientôt classée sans suite ? (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2022

    20/08/2022

    Selon Le Canard enchaîné, les trois magistrats chargés de l’information judiciaire sur les causes du sinistre pourraient ordonner un non-lieu, faute d’éléments susceptibles de privilégier les différentes pistes d’accidents.

    L’enquête sur l’origine de l’incendie de Notre-Dame de Paris aurait du plomb dans l’aile. Pendant que le chantier de restauration de la cathédrale avance à cadence soutenue, la procédure judiciaire censée déterminer les causes de la catastrophe pourrait faire l’objet à l’automne d’une ordonnance de non-lieu, a appris cette semaine Le Canard enchaîné.

    Faute d’éléments, aucun responsable de l’incendie ne pourrait être identifié avec certitude et encore moins mis en examen, laisse entendre une source de l’hebdomadaire. «Le dossier va être classé car il nous est impossible de savoir si c’est la piste du mégot ou celle du court-circuit électrique qui est la bonne», a déclaré un magistrat du parquet cité par Le Canard. En ajoutant : «S’il y avait eu des victimes, la situation serait différente».

    (…) Le Figaro


    14/04/2022

    Si aucune conclusion n’a été dévoilée à ce stade, de nombreuses enquêtes – judiciaire et administrative notamment – ont déjà été menées pour déterminer ce qui a pu provoquer le terrible incendie qui a partiellement détruit Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019. Que sait-on, trois ans après le drame ?

    (…)

    PLUSIEURS DÉFAILLANCES MISES EN CAUSE

    Selon certaines sources proches du dossier, la piste d’une «défaillance électrique depuis un compteur utilisé pour actionner les ascenseurs du chantier» serait désormais avancée. Et ce, alors même qu’il reste encore de nombreuses expertises à mener.

    Les centaines d’auditions de témoins réalisées ces derniers mois auraient d’ailleurs permis de relever un certain nombre d’autres défaillances liées à la sécurité de l’édifice, notamment dans son dispositif d’alarme.

    (…) Pour autant, si elle n’est «pas privilégiée», «l’hypothèse d’une intervention humaine volontaire ne peut pas être totalement écartée avec certitude à ce stade des investigations», a fait savoir une source policière à l’AFP ce mercredi 13 avril.

    «Celles de l’imprudence d’un fumeur ou d’une imprudence de chantier par utilisation d’un outil générateur d’étincelles notamment restent également à l’étude», a ajouté cette source.

    (…) De son côté, Mgr Patrick Chauvet n’a que très peu d’espoir de retrouver un coupable, et ne s’en préoccupe guère. «Depuis le début», le recteur-archiprêtre de Notre-Dame de Paris se dit convaincu que l’incendie est dû à «une suite de coïncidences malheureuses».

    Interrogé à ce sujet, celui qui n’a pas quitté le cathédrale depuis l’incendie assure «faire confiance à la police judiciaire», qui «a fait le travail. «Cela m’étonnerait que l’on retrouve la personne responsable, monsieur untel ou société unetelle», a-t-il ainsi confié.

    (…) CNews