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  • Biomilq, financé par Bill Gates et George Soros, veut créer des cellules productrices de lait humain

    Publié par Guy de Laferrière le 26 décembre 2022

    Auteur : 

    Du « lait humain » produit dans un laboratoire par une société soutenue par Bill Gates et d’autres milliardaires mondialistes pourrait être disponible d’ici trois à cinq ans, a déclaré Leila Strickland, cofondatrice de Biomilq, à CNN Business.

    Ce monde selon le Nouvel Ordre Mondial est de plus en plus artificiel, comme en témoigne la nouvelle lubie de quelques oligarques. BIOMILQ travaille sur la création de cellules productrices de lait humain, de la même manière que de la viande a été produite en laboratoire.

    La startup BIOMILQ, basée en Caroline du Nord, a reçu un investissement de 3,5 millions de dollars de Breakthrough Energy Ventures, un fonds lancé par Bill Gates et George Soros, avec le soutien de Jeff Bezos, PDG d’Amazon, Mark Zuckerberg de Facebook et Richard Branson, fondateur de Virgin, Reid Hoffman de Linkedin, Jack Ma d’Alibaba ou encore Michael Bloomberg.

    L’équipe de BIOMILQ travaille à la production de lait humain artificiel en utilisant du tissu mammaire humain et du lait donné par des femmes. Les femmes qui ont donné du tissu mammaire et/ou du lait maternel ont reçu en échange des bons d’achat à dépenser dans le grand magasin Target.

    La direction de BIOMILQ est persuadée de parvenir à mettre sur le marché ce lait maternel artificiel dans les trois à cinq prochaines années. Pour atteindre son objectif, l’entreprise doit encore réussir à développer des cellules à plus grande échelle et à moindre coût qu’elle ne le fait actuellement. BIOMILQ devra également obtenir une approbation règlementaire attestant que le produit est sans danger pour les nourrissons.

    Entre l’utérus artificiel et le lait humain artificiel, le meilleur des mondes n’est plus de la science-fiction mais une abomination qui se met en place dans l’indifférence quasi générale.

     

    Source : medias-presse.info

  • La France n'a besoin ni de Turcs ni de Kurdes. Dehors ! Outside ! Raus ! Dışarıda !

    Publié par Guy de Laferrière le 24 décembre 2022

    Hier à Paris, trois Kurdes ont été flingués par un multirécidiviste répondant au nom de William Malet.
    S'en sont suivis un délire politico-médiatique sur le caractère raciste de ces meurtres ainsi que le fantasme d'une appartenance de son auteur à « l'extrême-droite », mais aussi des émeutes orchestrées par la grouillante communauté kurde de Paris.
    Pour éviter tout ce désordre, une seule solution : renvoyer tout ce petit monde régler leurs querelles ancestrales chez eux. La France n'a besoin ni de Turcs ni de Kurdes. Dehors ! Outside ! Raus ! Dışarıda !
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
    Peut être une image de une personne ou plus, personnes debout, foule et plein air
     
     
     
  • Révisionnisme et wokisme américain : Black Panther, Wakanda forever, un film de science fiction, qui accuse la France de piller le Mali

    Publié par Guy de Laferrière le 24 décembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Un film qui insulte la mémoire des soldats français

    qui sont morts pendant la guerre du Sahel.

    Voici comment les studios Disney-Marvel nous présentent ce film qui est une charge ignoble, injuste et insultante contre la France :

    « Dans “Black Panther: Wakanda Forever” de Marvel Studios, la Reine Ramonda, Shuri, M’Baku, Okoye et les Dora Milaje se battent pour protéger leur nation de l’intervention des puissances mondiales suite au décès du Roi T’Challa. Alors que le peuple s’efforce d’aller de l’avant, nos héros vont devoir s’unir et compter sur l’aide de la mercenaire Nakia et d’Everett Ross pour faire entrer le royaume du Wakanda dans une nouvelle ère. Mais une terrible menace surgit d’un royaume caché au plus profond des océans : Talokan.

    Ce second chapitre des péripéties de Black Panter, film dédié à un héros afro-américain sorti en 2018,  vient de dépasser les 3 millions d’entrées en France. Il va largement contribuer au lavage de cerveau des spectateurs français – ou vivant en France – à qui l’éducation nationale a déjà appris à faire repentance sur notre passé colonial.

    En effet, notre pays y est ouvertement accusé de piller le Mali. Nos confrères de l’incorrect.org nous livrent l’analyse d’un phénomène inédit dans la guerre de l’information avec Loup Viallet, économiste et géopolitologue, auteur de La Fin du franc CFA (2020) et d’Après la paix (2021).

    Qu’avez-vous pensé des scènes de Black Panther : Wakanda forever où est représentée la France ?

    Les scènes que j’ai vues de cet opus de Black Panther sont gravissimes. Wakanda Forever est un film révisionniste, une fake-news superproduite à l’américaine. Sous couvert de science-fiction, il fait directement écho à la guerre du Mali, dont il livre une interprétation ahurissante.

    La France y est représentée comme une puissance néocoloniale qui fait intervenir ses mercenaires au Mali sur un motif fallacieux afin de pouvoir y piller un métal fictif rare, le « vibranium ».

    Le film met ainsi en scène une accusation directe de la France par la reine du Wakanda à l’occasion d’un sommet des Nations-Unies imaginé à Genève, ainsi qu’une tentative de raid des forces armées françaises sur un centre de traitement du vibranium (qui ressemble furieusement, à l’uranium, métal non rare importé par l’industrie nucléaire française en toute régularité depuis le Niger, le Kazakhstan et le Canada), situé au Mali. […]

    Les scénaristes servent-ils une vision politique ? 

    Le précédent opus Black Panther portait déjà un discours extrémiste sur les relations internationales et sur le continent africain en particulier, le Wakanda étant dépeint comme le modèle fictif d’un pays africain qui n’aurait pas connu la colonisation. Le parti pris de Disney était clair : sans l’Occident, l’Afrique serait le continent le plus développé du monde.

    Wakanda Forever s’inscrit dans cette vision néo-coloniale complètement mythifiée de l’Afrique et cible particulièrement la France en portant à l’écran devant des dizaines de millions de spectateurs les plus grands mensonges de la désinformation anti-française en Afrique. […]

    C’est la convergence des luttes entre le wokisme de Disney, les mensonges des panafricanistes, les hallucinations des décoloniaux et des indigénistes, et la propagande anti-française du colonialisme russe en Afrique. La sortie en salles de Wakanda Forever donne une résonance mondiale à tous ces conspirationnismes.

    Comment situer ce phénomène dans la guerre de l’information ? 

    Wakanda Forever a déjà réuni plus de trois millions de spectateurs en France. Considérant que le précédent opus avait rencontré l’un des plus grands succès au box-office de l’histoire du cinéma, l’on peut être certain que cet épisode-ci aura des répercussions catastrophiques. Il légitime la haine de la France partout dans le monde, justifie les mouvements communautaristes à l’intérieur de notre pays, justifie les actions de déstabilisation menées contre notre pays, ses représentants et ses ressortissants à l’extérieur de nos frontières, il nie ouvertement la réalité de la guerre du Sahel, contribue à renforcer la junte malienne… Il insulte enfin la mémoire des soldats français qui sont morts pendant la guerre du Sahel, en présentant comme des terroristes et des voleurs ceux les qui ont combattu […].

    C’est un nouveau coup porté contre la France par un pays, les USA, qui se dit être notre « ami ». Le « révisionnisme » frappe parfois là où on ne l’attendait pas…

    Macron devrait, au moins, exiger des autorités américaines qu’elles fassent des excuses aux familles des soldats tués pour protéger un pays, ou plutôt ses dirigeants corrompus,  qui finalement, ne le méritaient pas.

    Source : incorrect.org

  • Financement US massif de l’opposition hongroise : silence de la presse

    Publié par Guy de Laferrière le 23 décembre 2022

    Financement US massif de l’opposition hongroise : silence de la presse
     
     

    En Hongrie, le fiasco Péter Márki-Zay, candidat malheureux et maladroit aux élections législatives d’avril 2022, n’en finit plus. Cet été, Márki-Zay a reconnu que son mouvement avait reçu des fonds d’une ONG américaine, une enquête judiciaire a été ouverte dans la foulée, alors que le Parlement hongrois vient de rendre public un rapport des services de renseignement sur ce soutien financier. Une affaire bien peu relayée dans les médias de grand chemin…

    Des sommes colossales

    Il est au total question de plus de 7 millions d’euros. Dans le coup : une ONG américaine, Action for Democracy, liée à la National Endowment for Democracy, aux liens avérés avec la CIA. Et une belle brochette de grands défenseurs de la démocratie : l’ancien Premier ministre Bajnai, un ancien ministre des renseignements sous le socialiste Gyurcsány, un informaticien israélien, le conseiller aux affaires internationales de l’actuel maire éco-socialiste de Budapest (qui travaille pour Action for Democracy), ou encore une entreprise de conseil fondée par Madeleine Allbright.

    Mais la vieille garde socialo-libérale nie en bloc, et Márki-Zay prend tout. Ce dernier admet le soutien financier, mais il explique qu’il a été accordé à son mouvement (le MMM — Mouvement Hongrie pour Tous) et non à un parti pour une campagne électorale, ce qui ne contreviendrait pas à la loi.  Une argumentation pour le moins bancale. Comment se peut-il par ailleurs que les partenaires de coalition n’aient pas eu vent de sommes qui représentent plus de la moitié du budget de campagne ? Quiconque connaît le fonctionnement d’une campagne électorale sait que c’est impossible.

    Vous avez dit ingérence ?

    Que l’opposition hongroise soit soutenue depuis les États-Unis est un secret de polichinelle. Mais l’ampleur des montants (environ le tiers du plafond légal fixé pour les candidats au second tour de la présidentielle française) est étonnante. Pas de quoi émouvoir les belles âmes pour autant. On évoque l’affaire, mais en faisant le minimum syndical. Il y a pourtant assez de matière pour soutenir l’hypothèse d’une ingérence étrangère dans le processus électoral hongrois. Imaginons un seul instant que des montants pareils aient transité vers des proches de Viktor Orbán depuis des pays moins recommandables que les États-Unis. Qui plus est en période campagne électorale !

    Quand les sommes arrivent de Washington et au nom du combat pour la démocratie, c’est comme s’il ne se passait rien. On se demande presque si le respect de la loi ne devient pas secondaire. Tout est bon pour faire tomber l’affreux Orbán, y compris des reportages suintant l’amateurisme. En réalité, les vrais dirigeants de l’opposition savaient très tôt dans la campagne qu’Orbán ne tomberait pas aux élections d’avril. Tout mettre sur la nullité du figurant Márki-Zay leur est une aubaine. Mais alors pourquoi faire transiter des sommes pareilles en sachant pertinemment qu’Orbán était imbattable en avril ? Plus qu’une ingérence, cette affaire n’a‑t-elle pas été un moyen pour les hommes de l’ombre de la gauche hongroise de faire un coup de fric ? Nous n’en savons rien, mais cette hypothèse est bien moins bancale que l’argumentaire des intéressés.

    Silence de la presse de grand chemin

    Quoi qu’il en soit, très peu d’articles dans la presse bien-pensante occidentale, pourtant d’ordinaire si prompte à se passionner pour la Hongrie. Tout au plus un article sous forme de revue de presse de Joël Le Pavous dans le Courrier international. Silence radio dans le camp du Bien.

     

    Source : ojim.fr

  • Cinéma : pour la 1ère fois depuis 1945, aucun film français ne va figurer dans le Top 10 du box-office annuel national

    Publié par Guy de Laferrière le 23 décembre 2022

    Source : fdesouche