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  • Hautes-Pyrénées : des ossements humains découverts dans un mystérieux temple maçonnique abandonné

    Publié par Guy de Laferrière le 02 décembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    La Franc-Maçonnerie : égout collecteur de toutes les perversions

    satanistes par haine des valeurs catholiques qui ont fait la France

    Trois explorateurs ont découvert, vendredi 25 novembre, des ossements humains dans une maison abandonnée, à Trébons, dans les Hautes-Pyrénées.

    Des youtubeurs passionnés d’exploration urbaine (urbex) ont découvert les vestiges de ce qui était un temple maçonnique, dans les Hautes-Pyrénées, près de Lourdes, vendredi 25 novembre au soir.

    Au travers d’une brèche entre un parpaing et des briques, les curieux vont faire leur improbable découverte : « Une galerie souterraine aux proportions impressionnantes. Les murs sont en granit et de grandes voûtes donnent au lieu une ambiance de temple« , se rappelle Jo Urbex, l’un des trois acolytes. Au cœur d’une des pièces, posés sur une dalle et entourés d’un cercle tracé au sol, deux piliers sont disposés. Le lieu semble servir à des cérémonies rituelles, proches de celles qu’on trouve dans la franc-maçonnerie.

    D’autres éléments confirment cette ressemblance, notamment la présence dans une autre pièce de compas, un symbole maçonnique bien connu. Jonathan, Adrien et Dimitri trouvent alors de nombreuses notes manuscrites signées des initiales du propriétaire des lieux : N.K, médecin anesthésiste dans une clinique de Tarbes et décédé cet été à 90 ans. Certains évoquent d’autres loges maçonniques toulousaines et parisiennes, d’autres évoquent la quête de la pierre philosophale ou des protocoles de cérémonies maçonniques.

    Viennent ensuite les découvertes les plus glaçantes : des ossements, visiblement humains, éparpillés au sol. « Nous avons repéré deux mâchoires qui semblaient de plus petite taille que le crâne« , précise Jonathan. Ils y trouvent aussi des cornes de béliers, du matériel médical rouillé… et des lames de microscopes sous lesquelles, semblent avoir été insérés des échantillons de peau de testicules et de reins.

    Le maire de Trébons, Yves Pujo, « stupéfait et un peu choqué« , se rappelle d’une maison en constants travaux dont le propriétaire disait vouloir faire « la maison de ses rêves« .

    Du rêve à la réalité : le cauchemar maçonnique ne rêve que de détruire l’âme de la France par haine de Dieu !

    Sources : AFP / M6 / Sud-Ouest / La Nouvelle République des Pyrénées

  • Vaccin anti-Covid : « le retour de tous les tocards des plateaux de télévision »

    Publié par Guy de Laferrière le 02 décembre 2022

    Auteur : 

    Lu sur le canal Telegram Covid-1984 :

    Le retour officiel de tous les tocards des plateaux de télévision.
    Aujourd’hui, Martin Blachier, dont on avait presque fini par oublier l’existence.
    Blachier, c’était déjà celui qui nous annonçait 80.000 morts au déconfinement en avril 2020.
    Je ne sais pas si il est toujours en couple avec la psychologue Marie-Estelle Dupont, mais leurs soirées doivent être animées (elle, elle récupère les dépressifs et les suicidaires à cause des mesures sanitaires et des campagnes de vaccination).

     

    Source : medias-presse.info

  • Pour Abdelaziz Baraka Sakin « la colonisation arabe était pire que la colonisation européenne »

    Publié par Guy de Laferrière le 02 décembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    « Ils se nient en tant que colons alors que la

    colonisation arabe de l’Afrique était pire que 

    celle des Européens, car ils castraient les hommes »

    L’auteur du « Messie du Darfour », Abdelaziz Baraka Sakin écrivain soudanais, revient avec « La Princesse de Zanzibar », un roman éblouissant d’audace sur une période tragique, celle de l’esclavagisme arabe en Afrique.

    Il nous explique, de passage à Paris, l’origine de ce roman : à l’époque où il s’intéressait à la littérature omanaise, Abdelaziz Baraka Sakin tombe sur deux livres datant de la colonisation des Omanais à Zanzibar. « L’un était les Mémoires de la fille du sultan, l’autre était écrit par un chef militaire qui capturait les esclaves. J’ai été frappé par le fait que la princesse parle de la vie fastueuse des Omanais à Zanzibar, et décrive les Zanzibarites comme des gens qui ne faisaient rien, des paresseux, alors que les Africains faisaient tout, cultivaient la terre, s’occupaient des récoltes, et jusqu’à laver les corps des maîtres. Ce contraste entre ce paradis pour les Omanais et cet enfer vécu chez eux par les Africains m’a interpellé ». 

    Avec sa verve prodigieuse, Baraka Sakin installe son histoire au cœur d’Unguja, l’île principale de l’archipel, alors aux mains des Omanais, où l’esclavage bat son plein, et les Anglais, Français et Allemands se battent pour coloniser Zanzibar. « Mais qu’est-ce qu’ils nous veulent ces Européens ? L’île nous appartient, […] cette terre est à nous, son peuple aussi, nous sommes ses maîtres », s’étonne le sultan au pouvoir !

    L’auteur établit une page des records tous secteurs confondus de ce sultan : « Tout au long de sa vie, sans que l’on puisse en délimiter avec certitude la durée, il tua 883 Africains, 7 Arabes omanais et 20 Yéménites. […] Il vendit 2 779 670 esclaves, hommes, femmes et enfants. Il copula avec 300 esclaves […] ».

    Les épisodes bondissent, suivant les grands chapitres de cette fin du XIXe où tout bouge, autour d’une date que l’histoire a retenue comme la guerre la plus courte : le bombardement de Zanzibar le 27 août 1896 par les Britanniques, dite « la guerre de trente-huit minutes », mais l’auteur fait ici et là des pas de côté à sa guise et toujours en faveur du rythme de la narration, en se démarquant des faits pour décrire, d’une scène à l’autre, l’incroyable violence des Omanais. « Ils se nient en tant que colons alors que la colonisation arabe de l’Afrique était pire que celle des Européens, car ils castraient les hommes », précise Abdelaziz Baraka Sakin.

    Le sultanat d’Oman et le Koweït n’ont pas pardonné à l’auteur sa vision des choses : ce livre, précise sa maison d’édition française (Zulma), est interdit dans ces pays.

    L’esclavagisme fait toujours autant débat, près de deux siècles après son abolition en Europe. Entre les disputes sur les chiffres et les demandes de repentances, Bernard Lugan arbitre et vient remettre certaines pendules à l’heure. Il fait état du bilan des trois traites les plus importantes de l’histoire.

    Et parmi la plus inattendue des traites, celle des Africains entre eux. « Tous les Etats africains du Sahel et les sociétés de la cuvette étaient esclavagistes », affirme l’historien. Selon des chiffres publiés par un chercheur américain, « 7 millions d’esclaves étaient recensés en 1900, dans la seule Afrique occidentale française », rapporte Bernard Lugan. La deuxième traite, celle des arabo-musulmanes « a porté sur 15 à 20 millions de personnes » et s’est étendue de 650 jusque dans les années 1920. « Pour l’Afrique orientale, le seul marché de l’île de Zanzibar a vu passé 1,5 millions d’esclaves« , note l’universitaire qui déplore un discours scientifique peu entendu.

    Plus décriée dans le débat public, la traite des Européens débute pourtant plus tardivement, en 1450 pour s’achever en 1869. « Nous avons pourtant des chiffres précis, il y a un consensus chez les universitaires », souligne Bernard Lugan. « 11 millions de personnes sont concernées », rapporte-t-il. « Ces chiffres ne sont pas là pour minorer ou maximaliser l’une ou l’autre traite. Les scientifiques ne blâment pas, ni ne louent, ils racontent », assure l’historien qui déplore « une compétition entre l’émotion et la science ».

    Face aux différentes polémiques et demandes de repentances, Bernard Lugan rappelle que « toutes les sociétés au monde ont été esclavagistes ». Mais une originalité se distingue parmi elles. « Les seuls qui ont aboli l’esclavage ce sont les blancs », affirme-t-il. « Aucune société asiatique, africaine, américaine n’a aboli l’esclave », assure l’historien.

    Sources : Le Point / Sud Radio / Bernard Lugan

  • Mgr de Kerimel interdit le port de la soutane mais porte une kippa

    Publié par Guy de Laferrière le 02 décembre 2022

    Auteur : 

    Lu sur Riposte catholique :

    (…) j’avoue ne pas comprendre le sens du port d’une kippa en dehors d’une synagogue, et de surcroît sur le parvis d’une cathédrale. Mgr de Kerimel, l’archevêque de Toulouse qui interdit le port de la soutane pour ses séminaristes, entoure, avec Mgr LegrezHaïm Korsia, Grand Rabbin de France

     

    Source : medias-presse.info

  • Circulaire Borne : vers une nouvelle forme de confinement sous prétexte de coupures d’électricité ?

    Publié par Guy de Laferrière le 02 décembre 2022

    Auteur : 

    L’information circule au compte-goutte : une circulaire d’Elisabeth Borne au sujet des coupures d’électricité a de quoi inquiéter tous les Français, surtout quand on découvre l’impréparation apparente aux conséquences que ces coupures vont entraîner. Nous parlons bien d’impréparations apparentes car on peut légitimement penser que le gouvernement nous prépare tout simplement une forme nouvelle de confinement.

    La vidéo ci-dessous vous parle avec un certain humour noir de ce que contient la circulaire Borne. A écouter avec attention d’autant qu’on nous annonce une première simulation pour le 9 décembre.