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À moins de 650 jours de la cérémonie d’ouverture, l’État va devoir muscler son jeu. Défi majeur se dressant à la moitié du second mandat d’Emmanuel Macron, l’organisation des Jeux olympiques de Paris est un réel sujet d’inquiétude chez les Français. Le chaos de la finale de la Ligue des champions au Stade de France, le 28 mai, a laissé de profondes traces. Le dernier baromètre Fiducial/Odoxa pour Le Figaro révèle en effet que 58 % de nos compatriotes doutent de la capacité du gouvernement à assurer la sécurité de ce grand rendez-vous de 2024 et celui, en novembre 2023, de la Coupe du monde de rugby.
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Dans le détail, les craintes des Français sont identifiées. Davantage qu’une tragédie de grande ampleur, les sondés craignent que les forces de l’ordre ne soient pas à la hauteur dans la prévention des vols (67 %) et des débordements (62 %) liés aux portiques forcés ou encore aux jets d’objets. Dans une proportion analogue, six Français sur dix disent craindre des affrontements entre supporteurs ou avec des casseurs. Un chiffre que l’on peut mettre en relation avec la récente percée du hooliganisme autour des enceintes sportives. En revanche, les sondés pensent majoritairement (60 %) que la sécurité devrait être garantie sur le front des attentats. Pour les analystes, les Français «anticipent probablement un contrôle drastique à l’entrée des stades et l’efficacité des services de renseignement».
Cette vidéo relayée sur Twitter en avril dernier offre un rare aperçu de la très discrète filière de recrutement de pilotes occidentaux par la Chine communiste, alors qu’elle se prépare à un potentiel conflit avec les États-Unis dans le détroit de Taïwan. « L’instructeur » trahit un accent français dans les bribes filtrant de la vidéo de ces pilotes en perdition dans la Chine profonde. Le Figaro est en mesure de confirmer qu’il s’agit bien d’un ancien officier chevronné de l’armée de l’air française, qui s’est éjecté avec son «élève» chinois, après un accident de chasseur JL-10. Un «mercenaire» recruté à grand prix pour accélérer la formation des pilotes chinois et leur apprendre, de l’intérieur, les tactiques employées par les armées de l’air de l’Otan.
Cette campagne agressive de recrutement se poursuit, comme le révèle le témoignage exclusif d’un ancien pilote de l’aéronavale, récemment approché via une mystérieuse entreprise basée en Afrique du Sud. « L’offre était très alléchante. Ils cherchent des instructeurs qualifiés pour l’appontage sur porte-avions », explique François (prénom modifié), ancien pilote de Super Étendard sur le Charles de Gaulle. Un contrat à environ 20.000 euros par mois, net d’impôts, pour former les instructeurs chinois sur place pendant trois ans, proposé par l’agence Test Flying Academy of South Africa (TFASA). Plus que les juteux cachets offerts par le Qatar à ses instructeurs étrangers. «J’ai failli tenter l’aventure. Ce n’est pas une opportunité courante d’avoir un chasseur entre les mains, et là on me propose le manche d’un J-11», confie le quadragénaire, en référence au chasseur chinois dérivé du Sukhoi 27.
Ce globe-trotter a déjà été instructeur dans plusieurs pays, notamment en Afrique. L’officine sud-africaine, pilotée par des Britanniques, sert de paravent aux ambitions aériennes chinoises, ciblant des «pilotes en manque d’adrénaline», juge un ancien militaire français. Plusieurs pilotes de chasse ont opéré en Chine ces dernières années, dont un ancien des forces stratégiques, selon nos informations.
Wokisme au Royaume-Uni: la Royal Air Force discriminerait les hommes blancs afin d’améliorer sa diversité (MàJ: des douzaines d’ex-pilotes britanniques forment des pilotes en Chine, “une menace pour les intérêts britanniques”)
19/10/2022
Tous les anciens militaires britanniques, qui ont accepté de former des pilotes militaires chinois, “améliorent très certainement les connaissances et les capacités militaires de la Chine”, a déclaré un responsable.
La Chine a recruté des dizaines d’anciens pilotes militaires britanniques pour enseigner aux forces armées chinoises comment vaincre les avions de guerre et les hélicoptères occidentaux dans le cadre d’une “menace pour les intérêts britanniques”, ont révélé des responsables.
Un fonctionnaire a déclaré qu’une trentaine d’anciens pilotes d’avions à réaction, mais aussi d’hélicoptères – attirés par des salaires annuels d’environ 240 000 £ – se trouvent actuellement en Chine pour former des pilotes pour l’Armée populaire de libération, dans ce qu’un analyste de la défense a décrit comme une stupéfiante atteinte à la sécurité nationale.
Un officier supérieur retraité de la Royal Air Force a déclaré : “Wow… c’est épouvantable. Mais à quoi pensaient-ils ?”
Pékin s’efforce activement d’embaucher de nombreux autres pilotes militaires, anciens ou en activité, et d’autres spécialistes de la RAF, de la Royal Navy et de l’armée britannique, ainsi que du personnel d’autres nations occidentales, a déclaré le responsable occidental.
La situation est si grave que le service de renseignement du ministère de la défense a publié mardi une “alerte menace” pour mettre en garde le personnel militaire actif et ancien contre de telles approches.
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La Chine recherche des pilotes ayant une longue expérience du pilotage d’avions de guerre britanniques et d’autres avions de l’OTAN, notamment les avions de chasse Typhoon et Tornado et le jet de saut Harrier, qui opérait autrefois à partir de porte-avions britanniques, afin d’enseigner à ses pilotes la meilleure façon de contrer leurs capacités, a déclaré le responsable occidental.
“Il ne s’agit pas de former des pilotes chinois sur des avions à réaction occidentaux. Il s’agit de prendre des pilotes occidentaux de grande expérience pour aider à développer les tactiques et les capacités de l’armée de l’air chinoise”, a déclaré le fonctionnaire.
“Il s’agit en fait pour les Chinois de comprendre ce que seraient les tactiques les plus récentes, les approches et les capacités, si l’armée chinoise devait se trouver dans des situations de confrontation avec ce type de moyens.”
Cela inclut également les hélicoptères militaires britanniques tels que les Wildcat et les Merlin.
Il est entendu que la Chine a tenté de recruter d’anciens pilotes qui se sont entraînés sur le jet rapide F35 de cinquième génération, un appareil top secret dirigé par les États-Unis.
Le fonctionnaire a déclaré qu’il pensait que ces efforts n’avaient pas abouti jusqu’à présent. Ces avions – d’une valeur de plus de 100 millions de livres sterling chacun – utilisent une technologie furtive très sensible développée conjointement avec les États-Unis et constituent une cible d’espionnage de choix.
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Francis Tusa, l’analyste de la défense, a qualifié ces révélations de “stupéfiantes”.
“Soyons honnêtes, la Chine est un ennemi”, a déclaré M. Tusa à Sky News.
“Et donc, nous avons des sujets britanniques qui ont décidé que leurs intérêts seraient mieux servis en enseignant à notre ennemi comment nous vaincre. C’est incroyablement effrayant”.
Résumé Simone Moriconi, Giovanni Peri, Riccardo Turati CESifo, Munich, 2022
Document de travail CESifo n° 9859
Nous analysons si les immigrants de deuxième génération ont des préférences politiques différentes de celles des citoyens du pays d’accueil, toutes autres choses égales par ailleurs. En utilisant des données sur le comportement de vote individuel dans 22 pays européens entre 2001 et 2017, nous caractérisons chaque vote sur une échelle gauche-droite en utilisant la position idéologique et politique du parti à partir de la base de données Manifesto Project. Dans la première partie de l’article, nous caractérisons l’ampleur du “biais de gauche” dans le vote des immigrants de deuxième génération, après avoir contrôlé un large ensemble de caractéristiques individuelles et de facteurs inobservables des pays d’origine et de destination. Nous trouvons un biais de gauche significatif chez les migrants de deuxième génération par rapport aux natifs observés de manière identique, similaire en magnitude à l’association entre le biais de gauche et l’éducation secondaire, ou le fait de vivre dans des zones urbaines. Nous montrons ensuite que ce biais de gauche est associé à des préférences plus fortes pour l’intervention du gouvernement afin de réduire l’inégalité économique, ainsi que pour l’internationalisme et le multiculturalisme.
Ces voleurs à qui les enquêteurs reprochent quatorze faits ciblaient les Peugeot 2008, 3008, des Toyota RAV 4 et des Citroën DS7. Six jeunes âgés entre 19 et 30 ans ont été interpellés mercredi en Seine-et-Marne. L’un d’eux a été placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement.
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Leur mode opératoire consiste à sillonner les quartiers résidentiels du Val-de-Marne, des Yvelines, de l’Essonne et de Seine-et-Marne pour repérer et voler des voitures qui correspondent à une forte demande : des Peugeot 2008, 3008, des Toyota RAV 4 et des Citroën DS7. À peine ces SUV sont-ils démarrés qu’ils sont directement acheminés en Belgique et en Allemagne pour y être revendus à des receleurs. La Clio fait partie du convoi. Du nord de l’Europe, ces véhicules sont ensuite exportés par des porte-conteneurs vers l’Afrique. Au total, 14 faits sont reprochés à cette équipe : 10 vols et quatre tentatives.
Le dossier est ficelé et mercredi 19 octobre, une vague d’interpellations est déclenchée. Les suspects sont arrêtés et placés en garde à vue. Les perquisitions sont fructueuses puisque les militaires mettent également la main sur 1,1 kg de résine de cannabis, 600 g d’herbe de cannabis, 3 000 euros en espèces et 4 voitures utilisées pour repérer les SUV à dérober. Six de ces auteurs présumés ont été déferrés jeudi pour être jugés en comparution immédiate. L’audience est renvoyée au 23 novembre. L’un des prévenus a été placé en détention provisoire. Les autres sont sous contrôle judiciaire.
Selon la Provence, Amar M., 58 ans, a écopé de six ans de prison ferme pour avoir percuté et tué Charlotte Berthoux , 26 a,s interne en médecine, le 22 septembre 2021. Il était poursuivi pour homicide involontaire aggravé par au moins deux circonstances : l’excès de vitesse et le délit de fuite. En plus de sa condamnation, la quatorzième à figurer à son casier judiciaire bien rempli, le quinquagénaire ne pourra pas repasser le permis de conduire durant 8 ans.
La jeune étudiante en médecine, fille de Béatrice Berthoux, élue au Département du Rhône et à la ville de Villefranche-sur-Saône, avait été fauchée par l’automobiliste dans les rues d’Aix alors qu’elle traversait sur un passage piéton. Le chauffard roulait à plus de 140 km/h à bord de son Audi RS6 et ne s’était pas arrêté.
Aux enquêteurs, le quinquagénaire qui roulait sans assurance ni permis avait indiqué ne pas avoir senti l’impact. Avec l’aide d’un complice, il avait pourtant désossé sa voiture quelques jours après l’accident. Ce dernier a écopé de 6 mois de prison.
La présidente du tribunal judiciaire aixois les a forcés à regarder les photos du corps désarticulé de Charlotte, celui-là même qu’Amar M. avait projeté sur plusieurs dizaines de mètres puis laissé agoniser.
Aix-en-Provence – Depuis le drame, dans ces colonnes elle est invariablement “une jeune interne en médecine de 27 ans “. Un simple profil. Pas de prénom, pas d’histoire, pas de visage. Des articles parus ces derniers jours chez nos confrères du Progrès ont permis de lever le quasi-anonymat qui l’enveloppait et de raconter ce destin foudroyé. La piétonne dont la vie s’est brutalement arrêtée le 22 septembre, vers 21 h 15 dans la rue de la Molle s’appelait Charlotte Berthoux.
Avant d’arriver à Marseille, elle avait grandi dans un paysage de coteaux, à Ville-franche-sur-Saône, capitale du Beaujolais, entre un père, chirurgien et une mère, Béatrice Berthoux, devenue une figure de la politique locale à travers ses différents mandats de conseillère régionale, vice -présidente du Département et adjointe au maire.
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Après 10 jours d’investigations menées tambour battant, le conducteur présumé du bolide qui l’a renversée a été mis en examen et écroué samedi dernier pour homicide involontaire aggravé par le délit de fuite. Selon nos informations, il n’avait ni permis valide, ni assurance. Ce Gardannais de 56 ans au passé de voyou compte dans son CV plusieurs séjours en détention dans le cadre de condamnations pour vols avec arme, détention de produits stupéfiants, braquage, recel ou encore proxénétisme. Il serait sorti de prison depuis un ou deux ans et résidait ces derniers temps à Aix, du côté des Pinchinats.
Après les faits, le conducteur présumé s’était rendu chez un ami à Meyrargues afin d’y dissimuler le véhicule incriminé que les enquêteurs ont retrouvé presque entièrement désossé lors de leur perquisition en fin de semaine dernière. L’ami en question, âgé de 47 ans, a également été mis en examen mais laissé libre. Il dit avoir apporté son aide sans savoir que le véhicule avait été impliqué dans un accident. “Il est profondément affecté par cette situation qui le dépasse et dont il n’est pas responsable,” déclare son avocat, Me Adrien Milani. Il pourrait être poursuivi pour dissimulation de traces et indices.