Publié par Guy de Laferrière le 04 août 2024
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Publié par Guy de Laferrière le 04 août 2024
Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022
Les "Anglais" (le mot est de Gérald Darmanin) encore cause de désordres au Stade de France...
1. La vidéo-preuve : les "anglais" forcent l'entrée du stade...
https://twitter.com/JBubecci/status/1566219630687010819?s=20&t=pgrLy1-hhtRbKXVRH6QdwQ
2. L'explication des faits (c'est quand même autre chose !...), par Geoffroy Lejeune (sur CNews) :
https://twitter.com/CNEWS/status/1566475204775247875?s=20&t=pgrLy1-hhtRbKXVRH6QdwQ
Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2021
Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2020
Le controversé «Bonjour-Hi» dans les commerces du centre-ville de Montréal est-il en train de devenir tout simplement «Hi»? Près d’un établissement sur deux nous a accueillis uniquement en anglais lors d’une série de visites avec des caméras cachées menées par notre Bureau d’enquête.
[…]Dans certains cas, il a même été impossible de se faire servir en français, après avoir insisté sur notre préférence pour utiliser cette langue.
[…]Par contre, une autre employée s’est jointe à la conversation et a affirmé que certains de ses collègues préfèrent s’adresser aux clients en anglais, par crainte de représailles.
«On est au centre-ville. Souvent, lorsqu’on accueille des clients en français, certains le prennent personnel et on se fait crier après», a-t-elle rapporté.
Lundi, un sondage Léger publié dans nos pages soulignait que 63 % des répondants étaient préoccupés par la situation du français au Québec.
Aussi, au printemps 2019, un rapport de l’Office québécois de la langue française mentionnait qu’entre 2012 et 2017, le taux d’accueil uniquement en anglais dans les commerces, à l’échelle du Québec, était passé de 12 à 17 %.
Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2019
L’universitaire québécois Yves Gingras juge que l’enseignement supérieur français manifeste une fascination ridicule pour l’anglais, qu’il tient pour la langue des vainqueurs.
Québécois, professeur invité en France chaque année depuis dix-huit ans dans différentes institutions d’enseignement supérieur, j’ai observé avec consternation au cours de cette période, une accélération de la soumission tranquille du monde universitaire, intellectuel et éditorial au nouvel impérialisme linguistique de la langue anglaise. Celle-ci s’impose d’autant plus facilement que ceux qui l’adoptent au nom d’une «internationalisation» ou d’une «globalisation» mal comprises, croient naïvement que cela leur permettra de conserver leur empire intellectuel pourtant révolu. En fait, cette anglicisation rampante est surtout le signe d’un déclin marqué des intellectuels français qui pensent ralentir ou même renverser leur marginalisation en adoptant la langue dominante à laquelle ils ont si longtemps résisté