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poutine - Page 17

  • Poutine ordonne aux troupes Russes d’entrer dans l’est de l’Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2022

    • Poutine ordonne aux troupes Russes d’entrer dans l’est de l’Ukraine
    • Poutine reconnaît l’indépendance des républiques séparatistes de Donetsk et de Lougansk
    • Ordonne une mission de maintien de la paix dans ces zones
    • Les dirigeants américains et européens appellent à des sanctions
    • Poutine suggère que l’Ukraine n’est pas un État légitime
    • Poutine Qualifie l’Ukraine de colonie américaine

    Vladimir Poutine a reconnu ce lundi soir l’indépendance des séparatistes pro-russes en Ukraine. Le chef du Kremlin signe des « accords d’amitié et d’entraide » avec les séparatistes prorusses.

    Le Président russe a chargé le ministère de la Défense d’assurer le maintien de la paix dans les Républiques de Donetsk et de Lougansk reconnues ce 21 février par Moscou.

     

    Emmanuel Macron « condamne la décision » prise par Vladimir Poutine de reconnaître les régions séparatistes en Ukraine

    Emmanuel Macron, dans un communiqué publié ce lundi soir par l’Élysée, « condamne la décision prise par le Président de la Fédération de Russie de reconnaître les régions séparatistes de l’est de l’Ukraine ».

    « Il s’agit clairement d’une violation unilatérale des engagements internationaux de la Russie et d’une atteinte à la souveraineté de l’Ukraine. Il demande une réunion d’urgence du Conseil de sécurité des Nations unies ainsi que l’adoption de sanctions européennes ciblées », ajoute la présidence de la République.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Poutine ironise : « A quelle heure débute la guerre ? »

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2022

    Auteur : 

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    A quelle heure est la fin du monde ? Vladimir Poutine plaisante sur la prédiction américaine selon laquelle la Russie devrait débuter l’invasion de l’Ukraine ce mercredi 16 février, demandant s’ils connaissent même l’heure exacte.

    « Parfois, le président Poutine plaisante sur les alarmes des États-Unis et de ses alliés occidentaux au sujet d’une invasion russe de l’Ukraine » et « nous demande de vérifier s’ils ont publié l’heure exacte à laquelle la guerre commencera », a déclaré hier le porte-parole du Kremlin à la presse, Dmitri Peskov. « Il nous est impossible de comprendre la folie de cette information maniaque » des Etats-Unis.

    Bref, la Russie continue de nier vouloir attaquer l’Ukraine et déprécie la lecture américaine. Maria Zakharova, porte-parole du ministère des Affaires étrangères de Moscou, a également parlé de « folie » dans une interview exclusive au média italien Quarta Repubblica lundi 14 février. Les États-Unis et le Royaume-Uni sont « fous, sans morale et falsificateurs », a déclaré Zakharova.

    « Quand on entend des déclarations de la Maison Blanche et de Downing Street que la Russie a l’intention d’attaquer, on se rend compte que seules les personnes qui sont folles, qui sont folles, qui n’ont aucune morale et qui font des falsifications peuvent le déclarer. »

    Et encore :

    « Ils ne comprennent pas notre mentalité : nous sommes des Slaves, nous sommes des gens qui se considèrent comme un peuple unique, car nous avons une histoire commune de plusieurs siècles. »

    Ironie et accusations mises à part, le bras de fer continue. En fait, l’OTAN continue d’exiger un retrait substantiel des troupes russes de la zone frontalière avec l’Ukraine. « Jusqu’à présent, nous n’avons vu aucun signe de désescalade », a déclaré le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, avant d’ajouter une évidente contradiction avec son propos précédent : « il y a des signes de la volonté de Moscou de négocier, qui justifient un optimisme prudent ».

    Le fait est que l’OTAN ne veut pas refuser à l’Ukraine la possibilité d’adhérer, c’est-à-dire qu’elle n’a pas l’intention de « faire des compromis sur les principes de base », car chaque nation à cet égard a le droit de choisir. A l’inverse, Poutine a redit que le Kremlin n’acceptera « jamais l’élargissement de l’Otan à nos frontières, c’est une menace que nous percevons clairement ».

    Cependant pour montrer sa bonne foi, Vladimir Poutine a retiré ses troupes russes de la frontière ukrainienne hier mardi 15 février et déclaré ce même jour, au cours d’une conférence de presse conjointe avec le chancelier allemand Olaf Scholz, qu’il ne souhaitait pas la survenue d’un conflit : « Voulons-nous (d’une guerre) ou pas ? Bien sûr que non », a-t-il ainsi affirmé.

    « C’est pour cela qu’on a avancé nos propositions pour un processus de négociations ».

    De son côté, Olaf Scholz avait auparavant indiqué que la sécurité durable en Europe n’était « possible qu’avec la Russie » et qu’elle ne peut être obtenue contre elle. « Il devrait donc être possible de trouver une solution » à la crise actuelle, a-t-il ajouté car « aussi difficile et grave que puisse paraître la situation actuelle », elle n’est, selon lui, « pas désespérée ».

     

    Si la tension persiste, la fameuse invasion prédite au jour près, le 16 février, c’est-à-dire aujourd’hui, par les Etats-Unis n’a pas eu lieu, faisant mentir une nouvelle fois le camp du Bien et ses médias serviles, -peut-être ceux qui veulent cette guerre pour des raisons de domination mondiale-,  et donnant raison aux dénégations maintes fois répétées de la Russie.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Macron met Poutine en garde

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2022

    Ignace - Macron met Poutine en garde
    Ignace – Macron met Poutine en garde

     

    Source : medias-presse.info

  • Macron aurait refusé un test PCR pour éviter que Poutine ne fasse une armée de clones

    Publié par Guy Jovelin le 12 février 2022

    Le président russe impose depuis le début de la pandémie de coronavirus un protocole très strict à ses visiteurs pour éviter toute contamination.

    Plusieurs d’entre eux, comme le Premier ministre hongrois Viktor Orban ou le président iranien Ebrahim Raïssi, n’ont comme le président français pas pu approcher Vladimir Poutine lors de récentes visites en Russie.

    D’autres, comme le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev ce jeudi, ont été autorisés à lui serrer la main et n’ont pas eu à s’asseoir à l’autre bout d’une table de quatre mètres de long comme Emmanuel Macron, situation qui a suscité de nombreux commentaires sur un possible « message diplomatique » envoyé par le Kremlin.

    Selon les deux sources, le chef de l’Etat français avait été informé par la présidence russe de ce protocole et a pris sa décision en connaissance de cause.

    « On savait très bien que ça voulait dire pas de poignée de main et cette longue table. Mais on ne pouvait pas accepter qu’ils récupèrent l’ADN du président », a expliqué une des sources au fait du protocole sanitaire de l’Elysée.

    « Les Russes nous ont dit que Poutine devait rester dans une bulle sanitaire stricte », a dit la seconde source.

    L’Elysée a confirmé avoir jugé « inacceptable » le protocole sanitaire du Kremlin.

    « Les conditions protocolaires permettant un entretien entre les deux chefs d’Etat avec une distanciation moindre (contact avec serrage de mains et table plus petite) imposaient un protocole sanitaire qui ne nous paraissait ni acceptable ni compatible avec les contraintes d’agenda », a indiqué la présidence française.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Biden le cow-boy va se faire manger sa reine ukrainienne par le fin joueur d’échec Poutine

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2022

    En février-mars 2014, la Russie de Poutine envahissait « en douceur » la région autonome de Crimée après un référendum  auprès de la population locale plébiscitant le rattachement de leur région à la Russie. Il justifia son acte par l’enjeu géopolitique, notamment ses accès directs à la mer Noire qui auraient été compromis avec le nouveau pouvoir ukrainien à la suite de la révolution de Maïdan. A cela, les Américains et l’OTAN voulaient se montrer ferme pour la réponse à apporter en soutien du nouveau pouvoir pro occidental dans la crise de la Crimée et du Donbass qui commençait à s’enflammer. S’en suivirent des déclarations de politiques occidentaux qui bombèrent le torse face au taiseux Poutine. Puis, sur la pression de plusieurs pays dont les USA et la France, l’OTAN décida de monter une force pour soutenir le nouveau gouvernement ukrainien « agressé » par la Russie, notamment dans la région contestée pro-russe du Donbass. En terme militaire, pour monter ce corps expéditionnaire, on réalisa ce que l’on appelle dans le jargon otanien « une conférence de génération de force[1]». En une semaine environ, on trouva facilement un général pour commander et son état-major interarmées très bigarré des 28 nations composant l’OTAN en 2014. Pour les soldats, l’OTAN a mis plus de trois semaines à « générer » une force de 5000 hommes avec toutes les peines du monde. S’en est suivi une glorification des médias grand public du monde occidental sur cette réponse ferme face à l’envahisseur « popov ». Et les Américains étaient prêts à envoyer une force de 8500 hommes en complément (tiens, cela ressemble fort à la proposition américaine de janvier 2022 !). Dans la foulée, s’en rien dire, Vladimir Poutine agissait : Il convoqua le ministre de la Défense russe (qui est un militaire) et lui ordonna de faire un exercice grandeur nature en terrain libre (càd en milieu civil ce que n’ont plus l’habitude de faire par exemple les forces françaises, ni les forces des nations européennes) le long de la frontière ukrainienne dans un délai de…48 heures avec au moins 20000 hommes et une centaine d’avions de combat avec tirs réels d’exercice! C’était la stupeur en Occident, on resta impressionné ! Et patatra, on gesticula, on s’apitoya, on s’émouvait et au bout de deux à trois mois, plus rien. Les médias ont oublié l’affaire. La guerre locale a continué sans bruit. Quelques mercenaires yankees sont venus tout au plus « monitorer[2] » les forces loyalistes ukrainiennes avec du matériel occidental tandis que les russes faisaient de même avec les séparatistes.

    Comparons avec la situation actuelle. Le cow-boy Biden provoque son homologue russe depuis le début de son mandat : le traite « de tueur », le menace de sanction économique supplémentaire, et la dernière, d‘envoyer 8500 GI’s en Ukraine pour éviter soi-disant l’envahissement du pays par les russes, qui s’en moquent éperdument. Biden a la mémoire courte : Les Américains sont sortis il y  a peu d’Afghanistan dans le désordre et sans gloire[3] après plus de vingt ans de conflit inutile puisque les talibans sont revenus au pouvoir. Et Poutine, pour préserver le tampon stratégique de l’Ukraine face à l’OTAN, comme en 2014, demande de nouveau à ses armées de faire un petit exercice en terrain libre avec matériel (pas sur ordinateur au chaud comme souvent dans les nations dites civilisées bien souvent avec uniquement leurs états-majors) le long de la frontière avec 20000 hommes et un centaine d’avion, bien réels ceux-là. Il est assez hilarant de voir la similitude des deux périodes. Le joueur d’échec du Kremlin doit bien se gausser en train de chasser l’élan en Sibérie. Par ailleurs, le cow-boy Biden n’a pas anticipé certains points :

    • Historiquement, l’Ukraine n’est pas une région facile à tenir après l’avoir envahie ;
    • L’armée russe a fait énormément de progrès, tant en matériel, en organisation et en entraînement par rapport à 2008 où ils ont eu du mal à envahir l’Ossétie du Sud, puis la Géorgie ; Et, s’il le faut, la Russie mettra le paquet (elle le peut) pour ne pas se laisser faire ;
    • L’Ukraine est proche logistiquement de la Russie, plus simple à ravitailler par route et par mer ; L’oncle Sam doit franchir un océan et bien 2000 kilomètres sur terre avant d’arriver sur le possible front ou tout amener par air dans les pays limitrophes insérés dans l’OTAN (très cher) ;
    • La Russie joue à domicile, connaît le terrain et la météo, notamment en hiver.

    In fine, comme d’habitude, les Occidentaux vont gesticuler et Poutine gardera son visage de marbre, même si cette situation l’agace depuis le temps. Les nations de l’OTAN auraient tout un tas de contraintes principalement logistiques, de langue et de connaissance du terrain avant de pouvoir combattre des « locaux » habitués aux rudes conditions de cette région. Seule une provocation insidieuse et indirecte de L’OTAN ou de l’Ukraine pourrait provoquer une réponse militaire de Moscou si la ligne rouge est franchie. Je recommande pour cela d’écouter l’émission « Russie, Ukraine, OTAN : l’Europe en danger ? » du samedi politique de TV Libertés du 29 janvier 2022 avec l’interview par Elise Blaise de Madame Caroline Galactéros, géo politologue avertie. Les dindons de la farce seront les européens eux-mêmes, car quand on parle de l’Ukraine, de la peur du Russe à nos portes (elles sont encore loin), on ne parle plus de leurs problèmes intérieurs, de la pression insidieuse sur les salaires, les retraites, les frais de succession, et j’en passe. Les gouvernants « démoncratiques » peuvent plus facilement les tondre sans bruit aux ordres des mondialistes alors qu’ils ont les yeux rivés sur leur smartphone.

    Anatole Castagne

    [1] force generation conference en anglais

    [2] Monitorer : guider l’entraînement, voire plus, guider au combat parfois

    [3] Environ 850 milliards de dollars engloutis, 2465 morts et plus de 20000 blessés. (sources : iCasualties.org et Associated Press)

     

    Source : medias-presse.info