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poutine - Page 19

  • Afghanistan : Poutine ne veut pas que des terroristes « déguisés en réfugiés » viennent en Russie

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2021

    Le président russe Vladimir Poutine a appelé à empêcher un afflux de réfugiés en provenance d’Afghanistan, parmi lesquels pourraient se cacher des «combattants déguisés», à la suite de la conquête du pays par les Taliban.

    En marge de la fête nationale russe du Jour du drapeau ce 22 août, Vladimir Poutine s’est exprimé devant les responsables de Russie unie, le parti politique au pouvoir, en abordant en particulier la situation afghane.

    (…) Plus précisément, le président russe craint que des terroristes ne profitent des migrations. «Mais qui peut être [caché] parmi ces réfugiés, comment peut-on le savoir?», a-t-il souligné, estimant que «des centaines, voire des centaines de milliers ou peut-être des millions» de personnes pourraient vouloir fuir le territoire afghan. «Nous ne voulons pas que des terroristes réapparaissent chez nous, déguisés en réfugiés», a-t-il poursuivi, affirmant que tout serait mis en œuvre pour éviter que ne se reproduise «ce qui s’est passé [en Russie] dans les années 1990 et au milieu des années 2000».

    «A l’époque, il y avait des combats chez nous, dans le Caucase du Nord. Et ces horreurs qu’on voit maintenant en Afghanistan, ces horreurs se déroulaient chez nous, il n’y a pas très longtemps», a-t-il rappelé. C’est donc l’équilibre en Afghanistan que Vladimir Poutine souhaite favoriser. «Nous ferons tout, y compris en collaboration avec nos partenaires occidentaux, pour assurer la stabilité en Afghanistan», a-t-il affirmé. A l’instar de la Syrie qu’il refuse de voir devenir «un foyer de terrorisme», la Russie «ne veut pas de ces éléments en provenance d’Afghanistan ou d’autres pays», a insisté le président russe.

    RT France via fdesouche

  • Poutine interdit le « mariage » gay constitutionnellement

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2021

    Vladimir Poutine, début avril, a signé un amendement constitutionnel déclarant que le mariage est un lien qui n’existe qu’entre un homme et une femme. Un référendum a eu lieu en juillet dernier : 78% des électeurs russes soutiennent cet amendement.

    Cet amendement inséré dans la Constitution entraîne deux conséquences positives. La première : aucune loi ne sera nécessaire pour interdire explicitement les «mariages» entre personnes de même sexe. La seconde : il sera également impossible de proposer une norme pour légitimer le « mariage » gay.

    La Russie résiste à la gaystapo mondiale.

     Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Covid-19. Le vaccin doit-il être démocratique ?

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2020

     

    Covid-19. Le vaccin doit-il être démocratique ?

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Il ferait beau voir que la pandémie mondiale soit vaincue par un vaccin non démocratique ! En écoutant nos médias, on est mis devant le tabou sanitaire : le vaccin sera politiquement correct ou ne sera pas. Il est donc insupportable pour nos journalistes, spécialistes de tout, que le vaccin peut-être salvateur vienne de la Russie.

    Que crève l’humanité plutôt que le dogme absolu !

    La Russie a développé le « premier » vaccin contre le coronavirus, a affirmé Vladimir Poutine lors d’une vidéo-conférence retransmise à la télévision. « Ce matin, pour la première fois au monde, un vaccin contre le nouveau coronavirus a été enregistré », a dit le président, en ajoutant : « Je sais qu’il est assez efficace, qu’il donne une immunité durable. ». Sa fille « a participé à l’expérience », a-t-il indiqué, affirmant qu’elle avait eu un peu de température, « et c’est tout ». Ce vaccin, baptisé Spoutnik, en hommage au satellite soviétique, sera mis en circulation le 1er janvier 2021, selon le registre national des médicaments du ministère de la Santé, consulté par les agences de presse russes. Un milliard de doses ont déjà été précommandées par vingt pays. La production prochaine de milliers de doses de vaccins contre le nouveau coronavirus doit démarrer en septembre en attendant la productions de « plusieurs millions » dès le début de l’année prochaine.

    Immédiatement, on a eu droit au ricanement de ceux à qui on ne la fait pas. Certes, on ne peut pas prendre pour argent comptant tout ce que dit Poutine. Mais le disqualifier d’entrée de jeu en affirmant qu’il est dans sa nature de son régime de ne pas dire la vérité et a de quoi faire rire. N’est-ce pas la France qui assurait ne pas vouloir renverser Kadhafi mais seulement sauver des populations en péril et, plus récemment, insistait sur l’inutilité des masques, entre autres mensonges permanents sur le coronavirus ?

    Cette réaction pavlovienne vis-à-vis de Poutine est intéressante. Elle prouve que, pour nos médias idéologiques, rien ne compte plus que la propagande en faveur du régime dit démocratique. Que crève l’humanité plutôt que le dogme absolu !

    Voilà qui confirme l’aveuglement de nos dirigeants. Quand le pays est mis à feu et a sang au quotidien par une criminalité qu’on n’ose pas nommer, le seul reflexe est de dénoncer ce qui menace la république et la démocratie. Pas une fois vous n’entendez parler de la France. Pour eux ,elle n’existe pas, ils ne savent pas ce que c’est ou ne veulent pas le savoir. Que périsse la France mais que vive ou survive la démocratie ! On est ici au cœur du problème de fond. Nous sommes gouvernés par des idéologues traitres à l’histoire de leur peuple. Contre cette épidémie touchant les élites, aucun vaccin n’est envisageable. La solution risque donc de ne pas être politiquement correcte et peut-être même pas très démocratique. Mais ce sera sans doute, une fois de plus, de la faute à Poutine.

    Pierre Boisguilbert
    14/08/2020

    Source : Correspondance Polémia

  • RUSSIE:  POUTINE OUVRE LA VOIE À SON MAINTIEN AU KREMLIN

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2020

    Si la Cour constitutionnelle donne son aval à la révision voulue par Vladimir Poutine, le maître du Kremlin pourrait en théorie rester deux mandats supplémentaires, soit jusqu'en 2036.

    Vladimir Poutine s'est dit favorable à l'idée de «réinitialiser» le nombre de ses mandats présidentiels à l'occasion de la réforme de la loi fondamentale.

    Vladimir Poutine s'est dit favorable à l'idée de «réinitialiser» le nombre de ses mandats présidentiels à l'occasion de la réforme de la loi fondamentale. Image: Keystone

    Vladimir Poutine a ouvert mardi la voie à son maintien à la présidence après la fin de son actuel mandat. Les députés russes ont adopté la vaste révision constitutionnelle qu'il avait proposée.

    Répondant à la Douma à la proposition d'une députée, le président russe s'est dit favorable à l'idée de «réinitialiser» le nombre de ses mandats présidentiels à l'occasion de la réforme de la loi fondamentale, pour lui permettre de participer aux élections de 2024.

    Il a assuré vouloir que la Cour constitutionnelle autorise d'abord la modification et que les Russes l'approuvent lors du «vote populaire» sur la refonte de la Constitution prévu le 22 avril.

    Selon la Constitution actuellement en vigueur, Vladimir Poutine n'a pas le droit de se représenter en 2024, le texte imposant une limite de deux mandats consécutifs. Ce n'est qu'en laissant en 2008-2012 la présidence à Dmitri Medvedev, et en devenant lui-même Premier ministre, qu'il aura pu effectuer deux fois deux mandats consécutifs depuis son accession au Kremlin en 2000.

    Un pouvoir fort

    Un «pouvoir présidentiel fort est absolument nécessaire à la Russie», a déclaré mardi M. Poutine, 67 ans, jugeant que la stabilité «devait être prioritaire». Pour lui, le pays a besoin de «changement par l'évolution» car il a vécu «assez de révolutions» dans son histoire. Si la Cour constitutionnelle donne son aval, ce qui semble probable, Vladimir Poutine pourrait en théorie rester deux mandats supplémentaires, soit jusqu'en 2036.

    Les députés de la Douma ont dans la foulée adopté cet amendement ainsi que tous les autres proposés par le chef de l'Etat depuis janvier. Un total de 382 ont voté pour, 44 se sont abstenus et aucun n'a voté contre. Une dernière lecture aura lieu mercredi à la chambre basse, avant un vote le même jour au Sénat.

    Valeurs conservatrices

    Vladimir Poutine avait pris tout le monde de court en janvier en annonçant qu'il voulait lancer une révision constitutionnelle, la première depuis l'adoption de la Constitution russe en 1993. Cette annonce avait immédiatement été considérée par les analystes comme une manière de préparer l'après-2024.

    Les révisions, adoptées en première lecture à l'unanimité par les députés au début de l'année, concernaient à la fois le système politique et des garanties socio-économiques. Elles renforcent le pouvoir présidentiel, notamment en matière de nomination des juges.

    Vladimir Poutine a ensuite soumis 24 pages supplémentaires d'amendements adoptées mardi notamment pour défendre les valeurs conservatrices qu'il porte. La Constitution se dote ainsi de la mention de «la foi en Dieu» des Russes ainsi que du principe d'un mariage possible uniquement entre un homme et une femme.

    En outre, si avec la réforme constitutionnelle le Parlement se voit accorder le choix du Premier ministre, le président pourra toujours limoger à sa guise le chef du gouvernement et tout membre du cabinet.

    Autre innovation: les juges, les élus et les responsables politiques au niveau fédéral auront l'interdiction de posséder une nationalité étrangère ou un permis de séjour dans un autre pays.

    Pérenniser le système

    L'opposition a vigoureusement dénoncé cette réforme, affirmant que le président voulait rester au pouvoir indéfiniment. «Poutine est au pouvoir depuis 20 ans, mais il pourra aller (à l'élection) comme si c'était la première fois», s'est insurgé sur Twitter Alexeï Navalny, la figure de proue de l'opposition, dans la foulée du vote des députés.

    Confronté à une chute du niveau de vie et après une impopulaire réforme des retraites, M. Poutine a aussi décidé d'inscrire dans la Constitution le principe d'un salaire minimum garanti et d'une indexation des pensions de retraite.

    Pour les analystes, ces décisions sont surtout destinées à convaincre les Russes de prendre part au «vote populaire» alors que, selon un récent sondage de l'institut indépendant Levada, 64% d'entre eux n'ont pas d'idée claire de ce que les amendements constitutionnels proposent. (ats/nxp)

     

    Source : lematin

  • Pour réussir une grande politique, il faut avoir une vision à long terme...

    Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    Après bientôt 20 ans passés sans interruption à la tête de la Russie —soit en tant que Président, soit comme Premier ministre en charge effective des responsabilités — Vladimir Poutine vient d'ouvrir un vaste chantier constitutionnel destiné à renforcer la la fois les pouvoirs de l'exécutif et ceux de la Douma. Mais l'objectif réel de cette réforme est bien plus ambitieux. Il est clair. Il est légitime. Il est vital pour la Russie et sans doute pour l'Europe : créer les conditions du maintien de Poutine au pouvoir au delà de la fin de son mandat que l'actuelle constitution ne permet pas de renouveller.

    Vladimir Poutine est un homme d'Etat. Il sait que les grandes choses ne se font que dans la durée. Un temps long que le totalitarisme démocratique occidental ne peut appréhender.
     
    Pour leur salut, la France, l'Europe et la civilisation ont besoin, elles aussi, de disposer de cette maîtrise dans la stabilité que seuls les pouvoirs forts sont en capacité d'assurer.

    En France, la monarchie de droit divin a permis cette vision haute et pérenne de l'État. D'une certaine façons, la troisième République, au delà des crises politiques inhérentes à la démocratie, a su installer dans la durée un régime certes altéré et corrompu par la philosophie qui y présidait, mais encore imprégné d'une volonté nationale et patriote marquée par la grande aventure coloniale, le développement de l'Empire et l'élan bleu blanc rouge de 14/18 hélas tourné vers une guerre fratricide. En Italie, en Allemagne, en Espagne, des régimes d'autorité ont voulu inscrire leur action dans une perspective millénaire.
     
    La Cinquième République, mystification absolue de l'organisation de la chose publique, par le caractère bancal et illusoire de ses institutions, par ses alternances et ses ruptures, n'a dans les faits su, quant à elle, que conforter l'instabilité de la République qui l'avait précédée. En pire !
     
    Il existe pourtant un temps long que le Système a institué : celui de la dictature de la finance, de la spéculation, des lobbies, des droits de l'homme, du mondialisme et de l'immigrationnisme. Un Reich prévu pour durer mille ans.
     
    Nous devons nous aussi nous engager dans une perspective longue d'action en profondeur par l'instauration de modes de gouvernement d'autorité durable dégagés des aléas d'alternances hasardeuses. 
     
    Notre combat politique n'est pas un combat politicien. Il est un engagement de long terme destiné à substituer un Système à un autre, un régime à un autre, un édifice à un autre 
     
    Pleinement... Et durablement.
     
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    L'émission Synthèse avec Jean-François Touzé sur Radio Libertés sera très bientôt en ligne... un peu de patience.