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poutine - Page 15

  • Un sénateur américain exhorte «quelqu’un en Russie» à se «débarrasser» de Vladimir Poutine [VIDEO]

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2022

    Le 3 mars, le sénateur républicain de la Caroline du Sud Lindsey Graham a appelé «quelqu’un en Russie» à se «débarrasser» du président Vladimir Poutine pour rendre «un grand service» à la Russie et au reste du monde, alors que l’intervention militaire russe en Ukraine se poursuit. «Quelqu’un en Russie doit mettre les pieds dans le plat […] et se débarrasser de ce type», a affirmé le sénateur républicain lors d’une émission télévisée sur Fox News.

    Y a-t-il un colonel Stauffenberg plus efficace dans l’armée russe ?

    «Y a-t-il un Brutus en Russie ?», s’est interrogé Lindsey Graham, en faisant référence à l’un des assassins de l’empereur romain Jules César. Il s’est également demandé s’il existait au sein de l’armée russe «un colonel Stauffenberg [mais en] plus efficace», une référence cette fois à l’officier allemand Claus von Stauffenberg, auteur d’un attentat à bombe manqué contre Adolf Hitler en 1944. «Vous rendriez un grand service à votre pays et au reste du monde», a-t-il ajouté.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1499575636641337368

     

     

    Il a ensuite enfoncé le clou dans une série de tweets, ajoutant que «les seuls qui peuvent arranger ça, ce sont les Russes». «Facile à dire, difficile à faire. À moins que vous ne souhaitiez vivre dans l’obscurité pour le reste de votre vie, être isolé du reste du monde dans une pauvreté abjecte, et vivre dans l’obscurité, vous devez mettre les pieds dans le plat», a-t-il conclu.

    Lindsey Graham – qui était un proche allié de l’ex-président Donald Trump – a présenté ce 4 mars au Sénat américain une résolution condamnant le président russe et ses chefs militaires, les accusant de commettre des «crimes de guerre» et des «crimes contre l’humanité» en Ukraine.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Guerre en Ukrainienne : et si l’objectif de Poutine était d’empêcher le Nouvel Ordre Mondial de Davos ?

    Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2022

    En pleine crise russo-ukrainienne, qui n’est autre que la partie émergée d’un plus vaste conflit, celui qui oppose la Russie à l’OTAN et à son vassal l’Union Européenne, deux visions du monde, celle ultra-progressiste promue par le camp des Etats-Unis, et celle culturellement plus traditionnelle soutenue par Poutine, des axes de puissances économiques, l’Eurasie d’un côté, les Atlantistes de l’autre, la journaliste Rachel Marsden, qui anime une émission sur Sputnik France, a publié un éditorial paru sur l’autre média russe Russia Today le 28 février dernier, dans lequel elle s’interroge sur le Forum Economique mondial (FEM) et ses implications dans les gouvernements occidentaux. En sous-titre, elle écrit :

    « Beaucoup plus de lumière doit être faite sur l’agenda du Forum économique mondial et ses tireurs de ficelles ».

    Le nombre d’agents du Forum Economique Mondial, appelé communément Davos, implantés dans des postes importants dans les divers gouvernements du monde entier reflète cette volonté de l’élite internationale qui se réunit annuellement à Davos autour de Klaus Schwab d’infiltrer et de diriger les politiques nationales. Pour bâtir ce Nouvel Ordre Mondial. Rachel Marsden énumère, dans son éditorial, les preuves de cette collusion entre les politiques au pouvoir et le FEM, collusion que Schwab lui-même a vanté devant un auditoire de la John F. Kennedy School of Government de l’Université Harvard :

    « Ce dont nous sommes très fiers, c’est de la jeune génération, comme le premier ministre Trudeau… Nous pénétrons dans les cabinets. »

    Trudeau dont l’actuelle ministre des Finances et vice-première ministre canadienne, Chrystia Freeland, siège au conseil d’administration du FEM, aux côtés de l’ancien gouverneur de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre, Mark Carney. Cette même Freeland qui n’a pas hésité à geler les avoirs des camionneurs canadiens participant au Freedom Convoy.

    Le choix de Rachel Marsden de traiter le sujet de l’infiltration des gouvernements par des agents du FEM n’est pas anodin ou indifférent à la guerre d’invasion diront certains, de libération diront d’autres, qui se déroule en Ukraine. L’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial qui serait encore et toujours dominé par le camp progressiste en est une des causes, un NOM auquel s’oppose la Russie de Poutine tant pour des raisons de sécurité militaire, de puissance économique, de bipolarité mondiale que de détestation de la non-civilisation arc-en-ciel promue par les Atlantistes.

    Les Etats-Unis ont avoué que cette guerre pourrait être déterminante pour la gouvernance d’un nouvel ordre mondial. Jeudi dernier, le porte-parole du département d’État, Ned Price, a déclaré :

    « La Russie et la République Populaire de Chine veulent aussi un ordre mondial. Mais c’est un ordre qui est et serait profondément illibéral. … C’est un ordre qui est, à bien des égards, destructeur plutôt qu’additif ».

    Or, en déclarant que la Russie et la Chine « veulent également un ordre mondial », Price admettait tacitement que les États-Unis et d’autres nations occidentales veulent avoir leur propre « ordre mondial ». Ses propos laissent entendre que ce que nous voyons est une bataille pour savoir qui dirigera finalement « l’ordre mondial ».

    Price a en outre utilisé le terme « profondément illibéral » pour décrire un « ordre mondial » dirigé par la Russie et la Chine, et cela suggère qu’un « ordre mondial » dirigé par les États-Unis et d’autres nations occidentales serait « libéral ».

    Si vous recherchez sur Google l’expression « ordre mondial libéral », vous constaterez qu’elle est utilisée par les élitistes depuis de nombreuses années. Mais ce mot « libéral » est trompeur car si dans pratiquement tous les pays occidentaux aujourd’hui, même les partis politiques censés être « conservateurs » sont extrêmement libéraux sur le plan moral, la crise du covid a été une démonstration éclatante qu’ils tendent vers un contrôle social et absolu de leurs citoyens, par l’instauration de mesures extrêmement liberticides, le tout étant un avant-goût d’un totalitarisme étatique digne du communisme passé. Faut-il rappeler qu’un des slogans de Davos est :

    « Vous ne possèderez rien mais vous serez heureux » !

    Et faut-il rappeler aussi que les gouvernements qui ont instauré la pire tyrannie sanitaire covidienne ont à leur tête des créatures de Schwab, ces Young Global Leader, politiciens aux dents longues et mondialistes assumés ?

    Les Etats-Unis le savent bien : la guerre en Ukraine a pour fondement non point la maîtrise absolue d’un Nouvel Ordre Mondial par la Russie, comme ils veulent le faire croire au monde, mais par l’arrêt de l’expansion de l’OTAN à l’Est, aux frontières russes, de cet OTAN qui est le fer de lance de l’impérialisme états-unien sur le monde, et de l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial dont il serait le maitre, la fin d’ « mondialisme ‘occidento-centré’ » autour des Etats-Unis.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • “La Turquie choisit l’Occident” : comment Erdogan bascule face à Poutine après l’invasion russe

    Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2022

    "La Turquie choisit l'Occident" : comment Erdogan bascule face à Poutine après l'invasion russe

    La guerre en Ukraine met un terme à la politique d’équilibre entre Russes et Américains pratiquée par Ankara ces dernières années.

    Jusqu’à présent, Moscou semblait le plan B parfait pour Recep Tayyip Erdogan. Ces dernières années, alors que la Turquie s’éloignait de ses alliés de l’Otan et d’une perspective d’adhésion à l’Union européenne (UE), le président turc s’est efforcé de développer de bons rapports avec le Kremlin. Il est allé jusqu’à acheter le système de défense antiaérienne russe S-400 en 2017, au prix de lourdes sanctions américaines et de l’expulsion d’Ankara du programme d’avions de combat de dernière génération F-35. 

    Mais l’invasion de l’Ukraine, un pays avec lequel Ankara entretient d’excellentes relations, a rendu intenable cette politique d’équilibre entre la Russie et l’Occident. “Dans ce contexte de tensions extrêmes et de retour d’une forme de Guerre froide, la Turquie va à nouveau choisir le camp occidental, c’est très clair”, affirme ainsi Sinan Ülgen, ancien diplomate et directeur du centre de réflexion stambouliote Edam. 

    (…)

    www.lexpress.fr via fdesouche

  • Poutine met en alerte la « force de dissuasion » russe, qui peut comprendre une composante nucléaire

    Publié par Guy Jovelin le 28 février 2022

     

    (Moscou) Le président russe Vladimir Poutine a annoncé dimanche mettre en alerte la « force de dissuasion » de l’armée russe, qui peut comprendre une composante nucléaire, au quatrième jour de l’invasion de l’Ukraine par Moscou.

    « J’ordonne au ministre de la Défense et au chef d’état-major de mettre les forces de dissuasion de l’armée russe en régime spécial d’alerte au combat », a déclaré M. Poutine lors d’un entretien avec ses chefs militaires retransmis à la télévision.

    Plus tôt, Vladimir Poutine avait accusé l’Ukraine de ne pas « saisir l’opportunité » de pourparlers qu’il veut imposer en Biélorussie, pays d’où la Russie a lancé une partie de son invasion de l’Ukraine.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur LaPresse

  • Poutine met en alerte la « force de dissuasion » russe, qui peut comprendre une composante nucléaire

    Publié par Guy Jovelin le 27 février 2022

     

    (Moscou) Le président russe Vladimir Poutine a annoncé dimanche mettre en alerte la « force de dissuasion » de l’armée russe, qui peut comprendre une composante nucléaire, au quatrième jour de l’invasion de l’Ukraine par Moscou.

    « J’ordonne au ministre de la Défense et au chef d’état-major de mettre les forces de dissuasion de l’armée russe en régime spécial d’alerte au combat », a déclaré M. Poutine lors d’un entretien avec ses chefs militaires retransmis à la télévision.

    Plus tôt, Vladimir Poutine avait accusé l’Ukraine de ne pas « saisir l’opportunité » de pourparlers qu’il veut imposer en Biélorussie, pays d’où la Russie a lancé une partie de son invasion de l’Ukraine.

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur LaPresse