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ukraine - Page 16

  • LE PROGRAMME BIOLOGIQUE MILITAIRE UKRAINIEN

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2022

    http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/

    PAR  LE 

    By Thierry Meyssan, Réseau Voltaire 

    voltairenet.org

    13 min

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    À partir de 2014, l’État ukrainien a débuté plusieurs programmes militaires secrets. Le premier et le plus connu est sa collaboration avec le Pentagone dans 30 laboratoires différents. Selon les États-Unis, ce programme visait à détruire les armes biologiques que l’Union soviétique avait fabriquées et entreposées en Ukraine. C’est évidemment peu probable car on ne voit pas, 31 ans après l’indépendance et 8 ans après le début de ce programme, pourquoi il en resterait encore. Au contraire, selon la Russie, le Pentagone faisait sous-traiter par l’Ukraine des recherches sur des armes interdites par la Convention sur l’interdiction des armes biologiques de 1972. Sur la base de documents saisis lors de son opération spéciale, elle affirme notamment que des expériences ont été menées à leur insu sur des malades mentaux à l’hôpital psychiatrique n° 1 (Streletchyé, région de Kharkov) et qu’un agent tuberculeux a été manipulé pour infecter la population du district de Slavianoserbsk (République populaire de Lougansk). Ou encore que ces laboratoires menaient « des expériences extrêmement dangereuses visant à renforcer les propriétés pathogènes de la peste, de l’anthrax, de la tularémie, du choléra et d’autres maladies mortelles en recourant à la biologie de synthèse ». Un autre projet concerne les chauves-souris en tant que vecteurs de transmission d’agents de guerre biologiques potentiels, tels que la peste, la leptospirose, la brucellose, les filovirus ou les coronavirus.

    Ces accusations gravissimes ne sont toujours pas clairement réfutées ou établies. La séance que la Russie avait convoquée à ce sujet au Conseil de sécurité des Nations unies, le 11 mars 2022 [6], n’a rien donné. Après avoir nié, la sous-secrétaire d’État, la Straussienne Victoria Nuland (et épouse de Robert Kagan), a déclaré lors d’une audition au Sénat US, le 8 mars 2022 : « L’Ukraine a… des installations de recherche biologique. Nous craignons que les troupes russes ne tentent d’en prendre le contrôle. Nous essayons donc, avec les Ukrainiens, de nous assurer que ces matériaux de recherche ne tombent pas entre les mains des forces russes si elles se rapprochent ». Malgré ces incohérences, les Occidentaux ont fait bloc derrière Washington, accusant Moscou de mentir. À leurs yeux, il est tout à fait normal que des États disposent de collections de ces maladies afin de les étudier, leur présence ne doit pas être interprétée comme destinée à fabriquer des armes. Les laboratoires ukrainiens sont régulièrement surveillés par l’OSCE (organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe) [7]. Il n’en reste pas moins que cette interprétation ne permet pas de comprendre les propos de Madame Nuland et ne rend pas compte de catastrophes comme, par exemple, l’épidémie de grippe porcine qui a tué 20 soldats ukrainiens en janvier 2016 et à contraint 200 autres à être hospitalisés

    L’ambassadeur russe, Vassili Nebenzia, a notamment dénoncé des recherches sur la transmission de maladies dangereuses par des ectoparasites comme les poux et les puces. Il a rappelé que des expériences similaires avaient « été menées dans les années 40 par la tristement célèbre Unité 731 de l’armée japonaise, dont les membres se sont réfugiés aux États-Unis pour échapper à la justice ». L’unité 731, c’est l’équivalent japonais du service du Dr Josef Mengele à Auschwitz.

    Comme si cela ne suffisait pas, Monsieur Nebenzia s’est interrogé sur le transfert de plusieurs milliers d’échantillons de sérum sanguin de patients d’origine slave, d’Ukraine à l’Institut de recherche Walter Reed de l’armée US. Des recherches, selon lui, visant sélectivement des groupes
    ethniques spécifiques comme celles que le Dr. Wouter Basson mena pour l’Afrique du Sud de l’apartheid et Israël durant sa période coloniale contre les noirs et les arabes (« Coast Project »).

    L’administration de l’Onu a botté en touche, assurant tout ignorer de ce programme et renvoyant aux mesures de confiance prévues par le Traité. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir qu’elle avait eu connaissance de l’existence de ce programme, mais en ignorait les détails. Elle a confirmé par écrit à l’agence Reuters qu’elle avait « fortement recommandé au ministère ukrainien de la Santé et aux autres organismes responsables de détruire les agents pathogènes à haut risque afin de prévenir toute fuite potentielle » [8]. La presse chinoise, quant à elle, évoque des expériences visant à transformer des insectes en cyborgs afin de féconder ou de stériliser des cultures (Opération « Insects Allies »).

    Réunion d’experts des ministères de la Défense et de la Santé des Etats-Unis, de Pologne et d’Ukraine, organisée par la société d’Hunter Biden et de Christopher Heinz en 1996.
    Source : Science and Technology Center in Ukraine
     

    Ces expériences militaires, quelles qu’elles soient, ont été commandées indirectement par le Centre national de Renseignement médical (National Medical Intelligence Center) via l’Agence de la Défense pour la réduction des menaces (Defense Threat Reduction Agency — DTRA) et la société US Rosemont Seneca Technology Partners (RSTP). Cette dernière a été fondée par Hunter Biden et Christopher Heinz, respectivement fils du président Joe Biden et beau-fils de John Kerry [9]. Tous les résultats de ces recherches ont été envoyés au laboratoires biologiques militaires de Fort Detrick qui ont autrefois joué un rôle de premier plan dans le programme d’armes biologiques des États-Unis.

    Comme l’a souligné le représentant chinois au Conseil de sécurité : « Toute information ou piste sur des activités biologiques militaires doit susciter une grande attention de la part de la communauté internationale (…) Les États-Unis disent qu’ils sont pour la transparence. S’ils estiment que ces informations sont fausses, ils n’ont qu’à fournir les données pertinentes et apporter des éclaircissements afin que la communauté internationale puisse se prononcer à ce sujet ».

    Selon les Nations unies, si les Etats-Unis ont fourni régulièrement des rapports sur leurs activités biologiques dans le cadre de la Convention sur l’interdiction des armes biologiques, l’Ukraine n’en a jamais déposé [10]

    La Russie a pris plusieurs mesures. D’abord elle a détruit avec précaution les conteneurs de 26 de ces laboratoires ukrainiens (4 autres ont échappé à l’armée russe). Ensuite, elle a invité ses alliés de l’OTSC (Organisation du Traité de sécurité collective) à surveiller les accords qu’ils avaient pu passer avec les États-Unis. L’Arménie et le Kazakhstan ont mis fin à ces recherches. Enfin, les membres de l’OTSC ont interdit l’accès de tout personnel de Défense étranger dans leurs laboratoires.

    SOURCE

  • Ces armes envoyées en Ukraine qui disparaissent et pourraient bien être retournées contre nous

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2022

    Auteur : 

    Eric Denécé, ancien analyste du renseignement, aujourd’hui directeur du Centre français de Recherche sur le Renseignement, explique comment l’envoi par l’Occident d’armes en Ukraine risque rapidement de permettre tant à des mafias qu’à des réseaux islamistes de retourner ces armes – dont des missiles – contre nous.

     
     
  • Ukraine : une base de données sur les pertes militaires ukrainiennes

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Des soldats russes fouillent des soldats ukrainiens évacués d’Azovstal, selon des images fournies mardi par le Ministère russe de la défense.

    Après avoir rendu publiques les données sur près de 700 mercenaires étrangers dans les rangs de l’armée ukrainienne, le think tank russe Rybar a mis en ligne ce 25 mai un site nommé Wartears qui recense les pertes militaires ukrainiennes depuis le 24 février (morts, disparus et prisonniers de guerre).

    Le site compile aussi les diverses listes de prisonniers de diverses formations ukrainiennes qui ont pu être publiées ou transmises à la Croix Rouge.

    Ces derniers jours le nombre de prisonniers de guerre en Ukraine a fortement augmenté :

    • Du 16 au 20 mai pas moins de 2439 combattants dont 800 ultra-nationalistes d’Azov se sont rendus à Mariupol
    • Les 23 et 24 mai près de 500 combattants ukrainiens issus de l’armée régulière comme des bataillons territoriaux transférés depuis l’ouest du pays se sont rendus lors de l’offensive russe sur (Krasny) Liman dans le Donbass
    • Depuis le 20 mai, plusieurs dizaines de combattants ukrainiens se rendent chaque jour en unités constituées ou par petits groupes un peu partout sur le front.

    L’armée ukrainienne, à de rares exceptions, ne ramasse pas les corps de ses morts, ni ses blessés, et ne les rapatrie pas pour éviter de devoir payer aux familles les indemnités légales – tant que les soldats sont « disparus« , ils ne sont pas réputés morts.

    Le site Wartears

  • Ukraine : Emmanuel Macron promet à Volodymyr Zelensky d’intensifier les livraisons d’armes

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

     

    Elles «se poursuivront et gagneront en intensité dans les jours et semaines qui viennent, de même que l’acheminement d’équipement humanitaire», a promis le président français qui, ce faisant, honore des engagements pris en avril dernier.

    A l’époque, Volodymyr Zelensky avait remercié la France pour ses «envois de matériel militaire d’envergure qui contribuent à la résistance ukrainienne», et Emmanuel Macron avait assuré que cet appui continuerait. Depuis le début de l’offensive russe, le 24 février, la France a livré plus de 800 tonnes d’aide humanitaire à l’Ukraine, dont 13 véhicules de secours additionnels ce week-end.

    Les échanges entre les deux chefs d’Etat ne sont toutefois pas toujours sans reproche. Le 12 mai dernier, Volodymyr Zelensky a ainsi accusé son homologue français de vouloir ménager une «porte de sortie» à Vladimir Poutine dans le conflit. Le président ukrainien estimait alors qu’Emmanuel Macron n’avait «pas besoin de faire de concessions politiques» à la Russie.

    La présidence française avait répliqué que le locataire de l’Elysée «n’a jamais rien discuté avec Vladimir Poutine sans l’accord du président Zelensky» et, ce mardi, la relation entre les chefs d’Etat français et ukrainien semblait à nouveau au beau fixe.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Ukraine : drapeau blanc à Azovstal

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

    Neuf soldats ukrainiens auraient quitté l’aciérie d’Azovstal à Marioupol en agitant le drapeau blanc de la capitulation. La source vient de Moscou. La nouvelle est publiée par l’agence de presse russe Ria Novosil. Qui mentionne le commandant Alexander Khodakovsky, de la brigade Vostok de la République populaire de Donetsk dans un entretien avec la radio russe Rossiya 1.

    Aucune confirmation n’est arrivée du côté ukrainien pour le moment. Dans la nuit, le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait fait savoir que « des négociations très compliquées et délicates se poursuivaient pour sauver notre peuple à Marioupol, de l’aciérie d’Azovstal ».

    Un accord aurait été obtenu. Les soldats ukrainiens blessés à l’usine pourront sortir. Ils seront transférés dans un hôpital de Novoazovsk, dans la République populaire autoproclamée du Donbass. Cela a été annoncé par le ministère russe de la Défense.

    Selon l’édition d’aujourd’hui d’Il Giornale.it, le conseiller du maire ukrainien de Marioupol, Petro Andryushchenko, vient de faire savoir que Moscou a menti en disant que l’armée ukrainienne hisserait le drapeau blanc et que les troupes russes continueraient de bloquer toutes les sorties du bunker. Il y a encore environ un millier de soldats ukrainiens dans l’aciérie. Les civils retenus dans Azovstal auraient quant à eux été tous évacués : « Nous avons évacué des civils. Maintenant, tout est plus simple. Les opérations militaires ne mettent plus en danger des innocents. Nous avons les mains libres, nous sommes libres de les utiliser pour combattre » souligne Ilya Samoilenko, 27 ans, commandant en second des derniers combattants restants, via la plateforme Zoom.

    Le site de Xavier Moreau, Stratpol, Centre d’analyses politico-stratégiques, affirme cependant dans un tweet que « la reddition d’Azovstal » a commencé :

    « Tous les blessés seront soignés. Les soldats seront échangés, les ukronazis et les mercenaires considérés comme des droits communs passeront -dans le meilleur des cas- quelques dizaines d’années en Sibérie. La DNR (La République populaire de Donesk) applique la peine de mort. »

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1526192602726694912

     

    Il est certain que pour Zelensky et son mentor Biden, -et l’Etat profond qui tire les ficelles-, qui veulent que la guerre soit la plus longue possible pour affaiblir la Russie, la reddition de cette forteresse, symbole de la résistance ukrainienne dans le monde, serait une lourde défaite. Maintenir le flou sur ce qu’il en est réellement de ce dernier bastion des derniers combattants ukrainiens de Marioupol, afin de se laisser du temps pour trouver des solutions, -ce qui est somme toute plutôt irréaliste- et faire passer le président Poutine pour un tortionnaire, est dans leur intérêt.

    Il faudra attendre quelques jours pour en savoir plus sur la véracité de cette reddition d’Azovstal.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info