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ukraine - Page 3

  • Macron, un dangereux “va t’en guerre” en Ukraine qui nous met en danger et nous ridiculise

    Publié par Guy de Laferrière le 27 février 2024

    Armons-nous et partez : le ridicule et la

    folle prétention d’un président start-up !

    Le lundi 26 février 2024 au soir, lors de la conférence de soutien à l’Ukraine, le Président Macron a déclaré : « Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu » à la suite des derniers succès russes sur la ligne de front, notamment la prise de la ville Avdeevka aux forces ukrainiennes.

    Plus tard dans la conférence, il a rajouté : « Nous ne souhaitons pas entrer en guerre avec le peuple russe, mais nous sommes déterminés à garder la maîtrise de l’escalade”.

    Tout et son contraire dans la même déclaration comme pour rassurer la population.

    Mais quelle mouche l’a piqué ?

    Se rend-il compte de ce genre d’affirmation ? Se rend-il compte que la France deviendrait co-belligérante  dans ce conflit, entraînant de facto tous les pays de l’OTAN dans une confrontation généralisée avec les russes qui ont plus de deux ans d’expérience dans une guerre de haute intensité à laquelle nos troupes ne sont pas préparées ?

    Il est fou, complément fou, nous sommes dirigés par un fou.

    S’il est conscient de ce qu’il affirme en mesurant toutes les conséquences, c’est qu’il est bien dirigé par des éléments sournois mondialistes qui, ne trouvant pas de solution pour déstabiliser le monde, souhaitent ardemment déclencher une guerre.

    La perte de son peuple lui importe peu.

    La propagande à plein tube explique au quidam français que le soutien des ukrainiens est une bonne chose, que tout va bien. Et à force de rabâcher, les français lambda y croient. Sauf que, quand l’engrenage sera en route, quand l’ours russe déferlera sur nos troupes pour en faire qu’une bouchée, quand les bodybags (sacs mortuaires en français) rentreront par centaines de ce conflit qui n’est pas la nôtre, cela sera trop tard.

    Trop tard pour s’apercevoir que cette guerre ne nous concerne pas, trop tard pour arrêter le flot des poulets, des céréales ukrainiennes mondialisées en Europe, trop tard pour se préparer à la guerre de haute intensité voté dans la LPM[1] 2024-2030 avec déjà des coupes budgétaires sur le fonctionnement, donc l’entraînement.

    Tout est fait à l’envers, ce monde de fous nous dévore petit à petit.

    Alors que nous reste-t-il ? L’Espérance et la prière en ce temps de Carême pour résister et nous battre localement pour faire notre devoir d’Etat à notre petit niveau, nos petites victoires et nous regrouper urgemment à la campagne comme le déclame Alain Escada dans toutes les conférences qu’il anime pour résister quand les temps sombres arriveront décrits dans l’Apocalypse ou dans les différents messages de la Très Sainte Vierge Marie.

    Anatole Castagne

    [1] LPM : loi de programmation militaire

     

    Source : medias-presse.info

  • Aide militaire à l'Ukraine

    Publié par Guy de Laferrière le 17 février 2024

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  • La présence de troupes britanniques en Ukraine serait une « déclaration de guerre », risquant une réponse nucléaire, selon Medvedev.

    Publié par Guy de Laferrière le 15 janvier 2024

    Medvedev

    En réaction au « sans précédent » accord d’aide militaire récemment conclu entre Kiev et le Royaume-Uni, et avec le Premier ministre britannique Rishi Sunak dans la capitale ukrainienne, le Kremlin a émis un avertissement , déclarant que le déploiement de troupes britanniques en Ukraine serait une « déclaration de guerre« .

    Les paroles alarmantes et virulentes ont été prononcées par l’ancien président russe, Dmitry Medvedev, à l’arrivée de Sunak à Kiev pour la présentation du paquet d’aide à la défense de plus de 3 milliards de dollars. Cet nouvel accord en matière de sécurité a suscité l’indignation à Moscou.

    Face à l’absence d’indications dans l’accord de sécurité officiel indiquant un déploiement de troupes britanniques à l’intérieur du pays dévasté par la guerre, il semble que des éléments tels qu’un approfondissement du partage du renseignement aient suffi à susciter les soupçons du Kremlin quant à une escalade des ‘troupes sur le terrain’ de l’Occident.

    L’accord « officialise une gamme de soutiens que le Royaume-Uni a fournis et continuera de fournir pour la sécurité de l’Ukraine, y compris le partage du renseignement, la cybersécurité, la formation médicale et militaire, et la coopération industrielle de défense », avait annoncé Downing Street.

    Medvedev a publié sa réponse sur les réseaux sociaux. Importamment, il occupe actuellement le poste de vice-président du Conseil de sécurité russe, et il a déclaré :

    « Que signifie cela ? Cela signifie une seule chose – ils risquent de se heurter à l’action du paragraphe 19 des fondements de la politique d’État de la Russie en matière de dissuasion nucléaire », a écrit Medvedev sur l’application de messagerie Telegram.

    « Il faut s’en souvenir », a ajouté Medvedev.

    Selon Reuters, il a déclaré que « certains commandants militaires ukrainiens envisageaient de frapper des sites de lancement de missiles à l’intérieur de la Russie avec des missiles à longue portée fournis par l’Occident ».

    Cela fait suite à la précédente affirmation du ministère russe de la Défense selon laquelle des troupes britanniques sont déjà présentes sur le terrain en Ukraine, au moins dans un rôle « conseil ».

    Bien que seul le président Poutine soit finalement le décideur final du déploiement des armes nucléaires russes, la menace de Medvedev était sinistre et a attiré l’attention de l’Occident à un moment où plusieurs points de tension confligents existent dans le monde, principalement en raison de ce qui suit :

    Le paragraphe 19 de la doctrine nucléaire russe de 2020 énonce les conditions dans lesquelles un président russe envisagerait d’utiliser une arme nucléaire : généralement en réponse à une attaque utilisant des armes nucléaires ou autres armes de destruction massive, ou à l’utilisation d’armes conventionnelles contre la Russie « quand l’existence même de l’État est mise en danger ».

    Medvedev a spécifiquement mentionné le point « g » du paragraphe dix-neuf qui traite de la réponse nucléaire à une attaque avec des armes conventionnelles.

    Pendant la guerre qui a duré près de deux ans, l’ancien président Medvedev s’est fait remarquer en tant que faucon intraitable, lançant des menaces nucléaires à plusieurs reprises, particulièrement lorsqu’une escalade était perçue venant de l’Ukraine ou de ses alliés occidentaux. La Russie avait précédemment positionné des armes nucléaires tactiques en Biélorussie, ce que l’Occident a considéré comme une escalade significative.

    Source : Zero Hedge

    Traduction : Les Moutons Rebelles

  • Ukraine : en coulisse, les Occidentaux parlent de négociations

    Publié par Guy de Laferrière le 08 novembre 2023

    Volodymyr Zelensky s'oppose à des négociations de paix
    Volodymyr Zelensky s’oppose à des négociations de paix

    Est-ce la fin de partie pour Volodymyr Zelensky ? Selon des sources américaines, des responsables américains et européens ont commencé à discuter discrètement avec le gouvernement ukrainien de ce que pourraient impliquer d’éventuelles négociations de paix avec la Russie pour mettre fin à la guerre.

    La contre-offensive ukrainienne lancée au printemps dernier s’avère être un échec total

    La contre-offensive ukrainienne lancée au printemps dernier s’avère être un échec total, plus personne de sérieux n’ose contredire ce fait. Le Times lui-même a, dans une analyse détaillée, révélé que, à la suite de cette contre-offensive ukrainienne, « la Russie contrôle désormais près de 200 miles carrés de territoire supplémentaire en Ukraine par rapport au début de l’année ». Les forces russes contrôlent les objectifs fixés par le président russe, Vladimir Poutine, au début de ce qu’il appelle une « opération militaire spéciale », c’est-à-dire les oblasts (provinces) ukrainiens de Donetsk et de Louhansk, appelées communément le Donbass. La Russie contrôle également la plupart des oblasts de Zaporizhzhia et de Kherson, lui donnant ainsi un pont terrestre vers la péninsule de Crimée.

    L’hiver qui approche n’annonce rien de bon pour l’Ukraine qui manque cruellement de soldats et de motivation au sein de la population pour continuer cette guerre contre la Russie. En outre, l’opinion mondiale et surtout américaine, focalisée sur le nouveau théâtre de guerre au Proche-Orient, s’est lassée, si l’on en croit divers sondages, de la guerre en Ukraine. Mais également la capacité de l’Occident fournir des armes à l’Ukraine s’amenuise, notamment en raison de la réactivation guerrière du conflit israélo-palestinien.

    Des responsables américains et européens ont commencé à discuter discrètement de négociations de paix

    Ainsi le quotidien américain NBC News, en date du 4 novembre dernier, affirmait que « Des responsables américains et européens ont commencé à discuter discrètement avec le gouvernement ukrainien de ce que pourraient impliquer d’éventuelles négociations de paix avec la Russie pour mettre fin à la guerre, selon un haut responsable américain actuel et un ancien haut responsable américain familier avec ces discussions ».

    Ces responsables occidentaux craignent, explique NBC News, « que la guerre soit dans une impasse et quant à la capacité de continuer à fournir de l’aide à l’Ukraine… Les responsables de l’administration Biden s’inquiètent également du fait que l’Ukraine soit à court de forces, alors que la Russie dispose d’un approvisionnement apparemment inépuisable, ont déclaré des responsables. L’Ukraine est également confrontée à des difficultés de recrutement et a récemment été témoin de protestations publiques contre certaines des exigences de conscription à durée indéterminée du président Volodymyr Zelensky ».

    Le plan envisagé pour ces négociations prévoit des renoncements territoriaux pour l’Ukraine

    Le plan envisagé pour ces négociations prévoit des renoncements territoriaux pour l’Ukraine :

    « Les discussions ont porté sur des grandes lignes de ce à quoi l’Ukraine pourrait devoir renoncer pour parvenir à un accord, ont indiqué les responsables. Certaines des discussions, que les responsables ont qualifiées de délicates, ont eu lieu le mois dernier lors d’une réunion de représentants de plus de 50 pays soutenant l’Ukraine, y compris des membres de l’OTAN, connus sous le nom de Groupe de contact de défense avec l’Ukraine, ont indiqué les responsables. »

    Ces négociations pourraient arriver avant la fin de l’année toujours selon ces sources américaines : selon elles, « l’Ukraine n’avait probablement que jusqu’à la fin de l’année ou peu de temps après avant de commencer des discussions plus urgentes sur les négociations de paix ». « Les responsables américains ont partagé leur point de vue sur un tel calendrier avec leurs alliés européens », précise NBC News.

    Ainsi, même si pour l’instant Zelensky repousse l’idée même de négociations avec Moscou, le sort de l’Ukraine est quasi oublié, et plié en coulisse, pendant que les regards sont tournés vers Gaza et le réel massacre des populations civiles qui s’y déroule. Ce qui évite aux politiciens va-t-en-guerre impuissants et aux matamores de plateaux télévisés qui prédisaient la défaite totale de la Russie et se levaient contre toute idée de négociations diplomatiques, de commenter la défaite de leurs pronostiques guerriers irréalistes, et de contempler les centaines de milliers de morts ukrainiens qui jonchent le sol du Donbass et qui se dressent devant eux, faute de négociations de paix signées à temps.

    Tant de morts ukrainiens pour rien !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Le conflit en Ukraine oublié, Zelenesky persona non grata en Israël

    Publié par Guy de Laferrière le 18 octobre 2023

    Auteur : 

    Le président ukrainien Vlodomyr zelensky

    Un conflit chasse l’autre : la reprise de la lutte armée entre Israël et les Palestiniens fait oublier la guerre en Ukraine qui durait depuis le 24 février 2022, oublier la défaite des néo-conservateurs américains. Zelensky, l’homme de l’année, l’homme de la tournée des assemblées nationales, devient une « persona non grata » en Israël.

    Exit les petits drapeaux ukrainiens sur les comptes twitter, les experts ukrainiens sur les plateaux télévisés, place à la guerre au Proche-Orient

    Les petits drapeaux ukrainiens sur les comptes twitter, les bandeaux télévisés glorifiant l’Ukraine sur les chaines d’infos en continue, les monuments historiques illuminés aux couleurs jaune et bleu, les « experts » ukrainiens invités partout, c’est fini. Place au drapeau israélien et à la nouvelle campagne de peur. Le monde se détourne de Zelensky, le monde ne verra pas ainsi la défaite ukrainienne, qui est une défaite otanienne, et plus précisément une défaite des néo-conservateurs américains.

    Israël a répondu gentiment à Zelensky mais fermement : alors que le président ukrainien a demandé à effectuer une visite de solidarité à la suite de l’attaque du Hamas contre Israël, on lui a répondu que « le moment n’était pas venu », rapportent les médias en hébreu. Un signe que la roue tourne pour Volodymyr qui d’ailleurs n’a pas manqué d’exprimer sa crainte « que l’attention internationale risque de se détourner de l’Ukraine, et cela aura des conséquences ».

    Les conséquences sont déjà là : l’armée russe « améliore ses positions » sur le front, y compris autour d’Avdiïvka, a affirmé le 15 octobre Vladimir Poutine, et Moscou a qualifié la contre-offensive d’ « échec total ».

    La contre-offensive ukrainienne est un « échec total » que l’Occident atlantiste occulte en détournant le regard du côté de la Méditerranée

    Jeffrey Sachs, l’économiste américain, partageait cette analyse dès le 5 octobre dernier. Le conflit au Proche-Orient ne peut que la renforcer :

    « Nous entrons dans la phase finale des 30 années de débâcle des néoconservateurs américains en Ukraine. Le plan néoconservateur visant à encercler la Russie dans la région de la mer Noire par l’intermédiaire de l’OTAN a échoué. »

    C’est ce qu’a écrit Jeffrey Sachs dans un article publié sur Consortium news.

    « …les espoirs des néoconservateurs d’une expansion de l’OTAN vers l’est, vers l’Ukraine, la Géorgie et au-delà », détaille Sachs, « ont été anéantis » en raison de quatre événements qu’il détaille.

    Le premier est que la Russie est en train de gagner la guerre, le deuxième est « l’effondrement du soutien à la stratégie néoconservatrice américaine en Europe ». La Pologne ne parle plus avec l’Ukraine. La Hongrie s’oppose depuis longtemps aux néoconservateurs, et d’ailleurs Orban a rencontré aujourd’hui 17 octobre le président russe en Chine. La Slovaquie a élu un gouvernement anti-néoconservateur et dans les différents pays de l’UE, le soutien aux dirigeants qui suivent la ligne néoconservatrice s’effondre.

    Le troisième facteur concerne les difficultés américaines à continuer de financer l’Ukraine, difficultés mises en évidence par la récente victoire des républicains trumpiens à la Chambre. Enfin, le quatrième est représenté par la possibilité d’une contre-offensive russe, rendue possible par le fait que les forces ukrainiennes ont été décimées lors d’assauts inconsidérés.

    La défaite ukrainienne est aussi la défaite de l’Europe de Bruxelles

    Malheureusement la défaite de l’idéalisme des néo-conservateurs est aussi la défaite de l’Europe, qui la paiera cher, en termes de déclin économique et d’affaiblissement géopolitique (Paris a déjà perdu la Françafrique…).

    Tout cela entraînera parallèlement une instabilité politique et sécuritaire sur le Vieux Continent, instabilité qui sera immanquablement amplifiée avec l’importation sur le sol européen du conflit au Proche-Orient. La répercussion de l’explosion de violence en Palestine est déjà à l’œuvre, les récents attaques islamistes à Arras et à Bruxelles par des « loups solitaires » pourraient bien n’être qu’un commencement…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info