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ukraine - Page 21

  • Ukraine : la plus grande centrale nucléaire d’Europe sous contrôle russe, exactions contre les orthodoxes

    Publié par Guy Jovelin le 05 mars 2022

    Ukraine : la plus grande centrale nucléaire d’Europe sous contrôle russe, exactions contre les orthodoxes

    Nicolas Hellemme nous propose sa synthèse quotidienne sur la situation en Ukraine vue par les officiels russes (à mettre en parallèle avec les synthèses vues par les officiels ukrainiens et diffusés par tous nos médias) :

    Ce 4 mars, les forces russes ont continué à progresser sur plusieurs axes. Après des combats la nuit à proximité immédiate de la centrale nucléaire d’Energodar (six réacteurs dont un en arrêt technique), cette dernière, la plus grande d’Europe, a été placée sous contrôle russe et la situation stabilisée à ses abords.

    Dans le Donbass, les forces unies russes, de la République de Lougansk (LNR) et de la république de Donetsk ont continué à avancer au nord et au nord-ouest de Slaviansk ainsi qu’autour de Marioupol encerclée, 16 localités ont été libérées.

    Dans le sud du pays, l’armée russe a avancé contre le regroupement de forces ukrainiennes à Priluki et coupé la route Marioupol – Zaporojie avant de poursuivre son offensive vers le nord, en direction de Guliajpole.

    Des hackers ukrainiens ont été arrêtés dans la région de Moscou après avoir attaqué des réseaux de banques et des hôpitaux la veille. L’intensité des attaques D-DOS en provenance d’Ukraine contre des cibles civiles russes a notablement chuté. Toujours en Russie, les médias occidentaux BBC et Deutsche Welle, ainsi que les médias financés par les pays occidentaux comme Meduza et Echo de Moscou ont cessé d’émettre, en réponse à la censure de RT et de Sputnik sur le territoire des pays de l’UE.

    La Russie a commencé à distribuer massivement des produits alimentaires dans les parties de l’Ukraine qu’elle contrôle : 230 T d’aide humanitaire russe ont été distribuées à Melitopol, plusieurs dizaines de tonnes dans les villages autour de Kharkov, 160 tonnes à Kherson – où les chaînes de TV ukrainiennes n’émettent plus et ont été remplacées par des chaînes russes, sur les mêmes canaux.

    De violents combats au nord-ouest de Kiev, où les autorités ukrainiennes démentent la fuite du président Zelensky vers la Pologne et affirment avoir repoussé les troupes russes. Par ailleurs des frappes ciblées ont eu lieu contre les regroupements de pillards et ultra-nationalistes à Kharkov

    Dans l’ouest de l’Ukraine, les exactions se multiplient contre les églises orthodoxes – plusieurs d’entre elles ont été pillées ou incendiées, notamment en Transcarpathie mi-février, à Snovsk le 22 janvier dernier, à Samakovka en Bucovine et dernièrement à Kolomya. Le culte orthodoxe a carrément été interdit pour « menées anti-ukrainiennes » et « clivage des ukrainiens sur le plan religieux » dans la municipalité de Gorodok près de Lvov.

     

    Source : lesalonbeige

  • Quand les médias envoient de jeunes Français se faire tuer pour l’Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2022

    lesmoutonsrebelles

    Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo de BFM :

    « Si on y va, c’est qu’on sait que ça ne concerne pas juste l’Ukraine, parce ce sont tous les intérêts de tous les pays ouest européens qui sont situés là-bas », explique à BFM TV un jeune Français de 25 ans sans lien avec l’Ukraine et qui se fait appeler Jo.

    « Si on ne fait rien en Ukraine, qu’est-ce qui vous dit que Vladimir Poutine va s’arrêter à l’Ukraine ? », interpelle-t-il.

    Le jeune homme, qui explique avoir choisi de ne pas prévenir ses proches de son projet pour ne pas « les faire paniquer » et « pour éviter qu’ils (le) dissuadent d’aller là-bas », se dit prêt, sur place, à prendre les armes si nécessaire.

    « Ce n’est pas pour autant que je n’ai pas peur. Dans une guerre, il n’y a jamais de gagnant, on sait ce qu’on risque », assure-t-il.

    Volodymyr Zelensky avait appelé les Européens ayant une expérience du combat à se rendre en Ukraine pour combattre l’armée russe, reprochant à leurs dirigeants une réponse trop « lente » face à l’invasion de Moscou.

    Lire la suite de l’article sur bfmtv.com

  • L’Ukraine, les Etats-Unis et les laboratoires d’armes biologiques aux frontières russes

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2022

    La guerre russo-ukrainienne qui a délogé le covid des salles de rédaction plonge ses racines dans de multiples causes complexes mais sans s‘avancer exagérément il est concevable de dire qu’elle est la face visible d’un conflit plus ample qui oppose deux pays, la Russie et les Etats-Unis, tant sur le plan militaire qu’économique, culturel, civilisationnel.

    Accepter le Nouvel Ordre Mondial, post covid-19, qui se dessine sous la houlette des Etats-Unis et du Forum Economique Mondial et dont la pandémie a été un accélérateur, n’est pas une option raisonnable pour Vladimir Poutine et pour l’avenir de la Grande Russie. L’élargissement de l’OTAN à l’Est est un signe de cette puissance américaine qui se traduit en autres par la présence de laboratoires biologiques américains aux portes de la Russie.

    Ces installations basées en Ukraine constitueraient, selon des sources impartiales, un des « casus belli » qui a poussé Poutine à envahir son voisin de l’ouest. Plusieurs fois, le gouvernement russe a insisté sur la dangerosité de ces recherches.

    En avril 2021, lors d’un entretien avec le journal Kommersant, Nikolai Patrushev, le conseiller en chef pour la sécurité du président russe, a déclaré que Moscou avait « de bonnes raisons de croire » que les États-Unis développaient des armes biologiques le long des frontières de la Russie et de la Chine. A la journaliste qui l’interrogeait sur les allégations selon lesquelles la Chine aurait « délibérément causé » la pandémie de coronavirus, il a répondu :

    « Je vous suggère de regarder comment de plus en plus de laboratoires biologiques sous contrôle américain se développent considérablement dans le monde et par une étrange coïncidence, principalement aux frontières russe et chinoise. »

    « Nous et nos partenaires chinois avons des questions. On nous dit qu’il existe des stations sanitaires et épidémiologiques pacifiques près de nos frontières, mais pour une raison quelconque, elles rappellent davantage Fort Detrick dans le Maryland, où les Américains ont travaillé dans le domaine de l’arme biologique pendant des décennies. »

    Il a ajouté que les autorités de ces juridictions n’avaient « aucune idée réelle de ce qui se passe dans leurs murs » et qu’il y avait des épidémies « inhabituelles pour ces régions » dans les zones voisines, bien qu’il n’ait précisé aucune maladie. Il a même été plus loin dans ses accusations. Lorsqu’on lui a demandé directement s’il croyait que les Américains développaient des armes biologiques là-bas, Patrushev a répondu :

    « Nous avons de bonnes raisons de croire que c’est exactement le cas. 

    Le porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères russes Maria Zaharova, au cours d’une conférence de presse, tient quasiment les mêmes propos. Un extrait de son allocution est reproduit dans un documentaire de 2018 de la journaliste bulgare Dilyana Gaytandzhieva, longue enquête sur ces laboratoires américains basés dans des Etats voisins de la Russie.

     

    Plus proche de nous dans le temps, le site de l’Ambassade des Etats-Unis en Ukraine décrit sur son site le Programme de réduction des menaces biologiques dont l’Ukraine est partenaire : 

    « Le programme, de réduction des menaces biologiques du département américain de la Défense collabore avec des pays partenaires pour contrer la menace d’épidémies (délibérées, accidentelles ou naturelles) des maladies infectieuses les plus dangereuses au monde ».

    Cependant, observent des internautes, dès le début de l’opération russe en Ukraine, « l’ambassade des États-Unis vient de supprimer tous les documents de son laboratoire Ukraine Bioweapon du site web », documents qui ont pu être archivés et diffusés sur les réseaux sociaux (liens en-dessous de l’article). « Ces laboratoires sont co-dirigés par l’EcoHealth Alliance de Fauci et la rumeur veut que toute l’opération militaire russe en ce moment consiste officieusement à sécuriser et/ou à détruire ces laboratoires et à recueillir des preuves » écrit l’internaute qui les diffuse et qui souligne :

    « Programme de réduction des menaces ? Est-ce pour cette raison que nous n’avons jamais su que nous avions 15 laboratoires d’armes biologiques en Ukraine ? ».

    Laboratoires dont le président Zelensky était au courant, ce qui montre la collusion entre cet homme de Schwab avec l’OTAN. Le président ukrainien nage en eaux troubles.

    Suite au prochain numéro.  

    Francesca de Villasmundo

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  • Ukraine : des milliers de migrants syriens, irakiens ou afghans se mêlent au flot des réfugiés ukrainiens pour tenter de franchir la frontière polonaise et d’entrer dans l’UE, certains “se font passer pour des étudiants” (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2022

    Le flot de réfugiés venu d’Ukraine ne se tarit pas, il change de nature. Côté ukrainien, des milliers de migrants syriens, irakiens, afghans ou kurdes pris en otage l’été dernier par le dictateur biélorusse Alexandre Loukachenko se retrouvent désormais mêlés au flux. Coincés là, dans une nouvelle impasse.

    Des milliers de migrants originaires d’Afrique, d’Asie et de Proche-Orient arrivent en Ukraine à pieds après plusieurs jours de marche, près de la frontière polonaise

    Shehyni, en territoire ukrainien, ce mardi, fin de matinée (…) Des milliers de réfugiés que l’on ne connaît plus que par ce vocable de « migrants » et qui désigne toute immigration ni européenne ni blanche, des milliers de réfugiés irakiens, syriens, kurdes ou africains, des hommes quasi-exclusivement, sont coincés entre deux rangées de barrières métalliques surmontées de barbelés. Parqués, le terme est plus juste, dans un étroit corridor jonché de détritus, d’excréments aussi.

    Depuis combien de temps ces gens n’ont-ils pas dormi, ni mangé, ni bu… Depuis combien de temps n’ont plus eu chaud… Debout dans le vent qui vous fend la figure en deux, ils attendent. Quoi on ne sait pas, ils ne sauraient plus le dire puisque la plupart n’espèrent même plus passer la frontière qui est là pourtant, toute proche. Ils attendent c’est tout. Certains s’endorment d’un coup, la tête contre le grillage, d’autres sont prostrés dans un coin. Des miliciens vêtus de gilets jaunes ou verts et armés de batte de baseball maintiennent la discipline que l’on sent fragile. La tension est pour tout dire extrême.

    Ces réfugiés-là ne sont pas les bienvenus en Ukraine qui entend s’en débarrasser au plus vite et ils sont encore moins les bienvenus en Pologne où ils ont déjà été refoulés. C’était entre le mois d’août dernier et celui de novembre quand le dictateur biélorusse Alexandre Loukachenko, pour protester contre les sanctions de l’Europe à son égard, avait décidé de faire exploser une bombe humaine aux frontières de l’Union.

    Des milliers de migrants avaient alors été acheminés en Biélorussie puis jetés contre les frontières lituaniennes et polonaises. Repoussés violemment, la plupart étaient restés en Biélorussie, faute de pouvoir rentrer chez eux. Avec cette guerre, les revoici sur les routes. Loukachenko, allié de Poutine, a ouvert les vannes et les a poussés dehors à coups de pied dans le dos pour se débarrasser de cette population encombrante et, aussi sans doute, ajouter du chaos à l’horreur.

    Alors, ces jeunes hommes se sont remis en route. Ils ont marché des jours et des nuits, usant les semelles de leurs mauvaises chaussures de sport de contrefaçon. Et ils ont fini par arriver aux confins de l’Ukraine après avoir parfois tenté de se faire passer pour des étudiants étrangers qui fuient également le pays. (…)

    (…) Le Progrès via fdesouche

  • Guerre en Ukraine : 14 légionnaires d’origine ukrainienne arrêtés cette nuit à Paris

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2022

    Des interpellations directement liées à la guerre en Ukraine sont survenues dans la nuit du mardi 1er au mercredi 2 mars, à Paris. Les forces de l’ordre ont arrêté un car en partance pour la Pologne, et conduit leurs occupants au département de contrôle des flux migratoire (DFCM).

    Selon nos informations, 14 légionnaires d’origine ukrainienne (9 en permission et 5 en situation irrégulière) se trouvaient à bord. Les policiers les soupçonnent d’avoir voulu atteindre l’Ukraine via la Pologne, soit pour rejoindre leurs familles, soit pour prendre part aux combats. Ces hommes bénéficiaient d’une permission et ne sont donc pas considérés comme des déserteurs. Mais une enquête est en cours pour déterminer leurs intentions.

    La Légion autorise depuis peu ses combattants d’origine ukrainienne à aller chercher les membres de leur famille dans les zones frontalières avec leurs pays d’origine. Mais concernant les légionnaires interpellés cette nuit ils n’auraient pas suivi le protocole mis en place pour cela par la Légion étrangère.

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