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  • Trump accuse Zelensky d’avoir détourné les fonds américains alloués à l’Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2025

    Donald Trump n’a pas mâché ses mots. Il a affirmé que Volodymyr Zelensky a détourné une partie des fonds américains alloués à l’Ukraine depuis le début de la guerre.

    « Le président Zelensky m’a dit la semaine dernière qu’il ne savait pas où était passée la moitié de l’argent qu’on leur a donné », a-t-il déclaré, soulignant un manque de transparence dans la gestion des aides financières.

    En outre, Trump a dénoncé l’absence d’élections en Ukraine depuis le début de l’invasion russe en février 2022. Bien que le mandat de Zelensky aurait dû prendre fin en mai 2024, la loi martiale et la guerre ont empêché la tenue de tout scrutin.

    « Il refuse de tenir des élections, est très bas dans les sondages ukrainiens, et la seule chose à laquelle il était bon a été de mener Joe Biden à la baguette », a-t-il ajouté, qualifiant Zelensky de « dictateur sans élections ».

    Une guerre « qui n’aurait jamais dû commencer »

    Trump a également reproché à l’Ukraine d’avoir initié le conflit avec la Russie. « Vous auriez dû mettre un terme il y a trois ans. Vous n’auriez jamais dû la commencer », a-t-il lancé, suggérant que le président ukrainien porte une part de responsabilité dans cette guerre. Il a également critiqué l’engagement financier des États-Unis, estimant que les 350 milliards de dollars dépensés pour soutenir l’Ukraine étaient une erreur.

    « Une guerre qui ne pouvait pas être gagnée, qui n’aurait jamais dû commencer », a-t-il écrit sur son réseau social, Truth Social.

    Réactions de Zelensky et contexte international

    Volodymyr Zelensky a répondu à ces accusations en qualifiant Trump de victime de la « désinformation russe ». Le président ukrainien a défendu son bilan, rappelant que son pays lutte pour sa survie face à une invasion massive.

    Les États-Unis en négociations avec la Russie

    Alors que les tensions diplomatiques s’intensifient, Trump a affirmé que les États-Unis étaient en train de « négocier avec succès une fin de la guerre avec la Russie ». Cette déclaration intervient après une réunion entre les chefs de la diplomatie américaine et russe à Ryad, en Arabie saoudite.

  • Trump veut troquer des armes à l’Ukraine contre les terres rares du pays

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2025

    Trump veut troquer des armes à l'Ukraine contre les terres rares du pays

    Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, a souligné que les Américains avaient les yeux rivés sur les richesses naturelles de l’Ukraine depuis un certain temps déjà.

    « Kiev est prêt à vendre l’Ukraine »

    Maria Zakharova a commenté la déclaration du président américain Donald Trump selon laquelle les États-Unis sont intéressés par l’acquisition des terres rares d’Ukraine et cherchent à obtenir des garanties à ce sujet de la part de Kiev.

    « Apparemment, le président américain a vu que Kiev était prêt à vendre l’Ukraine pour conserver le soutien militaire et financier des États-Unis et a apparemment décidé d’aborder ce conflit d’un point de vue commercial », a déclaré Mme Zakharova lors d’une conférence de presse.

    « Avec l’aide du régime corrompu de Kiev, ils ont réussi à mettre la main notamment sur des terres agricoles, fertiles, sans trop d’efforts. Maintenant qu’ils ont mis la main sur ce sol fertile, les sponsors du régime de Kiev cherchent ce qui reste. Cette fois, ils se sont tournés vers ce qui se trouve sous la terre », a-t-elle déclaré.

    Uranium, titane, lithium, etc

    Maria Zakharova a rappelé que Zelensky avait exprimé cette idée dans son soi-disant « plan de victoire » en octobre 2024, lorsqu’il avait proposé aux « partenaires » de conclure un accord avec l’Ukraine « sur la protection conjointe des ressources critiques de l’Ukraine, les investissements conjoints et l’utilisation du potentiel économique ukrainien ».

    « Que veulent-ils dire quand ils parlent des ressources critiques du pays ? Bien sûr, il s’agit des terres rares – uranium, titane, lithium, etc. Le 4 février, Zelensky s’est empressé d’assurer à Washington qu’il était prêt à exploiter conjointement ces minéraux et a remercié les États-Unis pour leurs efforts de soutien à l’Ukraine », a noté Zakharova.

    Une « compensation » de la part de l’Ukraine en échange du soutien de Washington

    Tout cela rejoint les propos d’Alain Escada dans sa vidéo sur les financements américains et la subversion. Le président américain Donald Trump a déclaré qu’il souhaitait que l’Ukraine fournisse aux États-Unis des minéraux de terres rares en guise de paiement pour son soutien financier aux efforts de guerre du pays contre la Russie.

    S’adressant aux journalistes à la Maison Blanche, Trump a déclaré que l’Ukraine était disposée à le faire, ajoutant qu’il souhaitait une « compensation » de la part de l’Ukraine en échange du soutien de Washington.

    « Nous disons à l’Ukraine qu’elle possède des terres rares de grande valeur », a déclaré M. Trump. « Nous cherchons à conclure un accord avec l’Ukraine en échange de ses terres rares et d’autres choses. »

    Les terres rares de grande valeur

    Les terres rares sont un groupe de 17 métaux utilisés pour fabriquer des aimants qui transforment l’énergie en mouvement pour les véhicules électriques, les téléphones portables et autres appareils électroniques.

    L’US Geological Survey considère que 50 minéraux sont essentiels à l’économie et à la défense nationale du pays, notamment plusieurs types de terres rares, de nickel et de lithium.

    L’Ukraine possède d’importants gisements d’uranium, de lithium et de titane, même si aucun n’est considéré comme faisant partie des cinq plus grands gisements mondiaux en termes de volume. La Chine est le premier producteur mondial de terres rares et de nombreux autres minéraux essentiels.

    Plusieurs médias ukrainiens ont rapporté lundi que le soi-disant plan de victoire que le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy a élaboré et partagé avec les dirigeants américains l’année dernière incluait une discussion sur le partage de ces minéraux avec les alliés.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Zelensky bientôt lâché par l’OTAN ?

    Publié par Guy Jovelin le 03 février 2025

    Zelensky bientôt lâché par l'OTAN ?

    Selon les services de renseignement russes, l’OTAN a prévu de « rendre publiques les informations selon lesquelles le « président » Zelensky et son équipe ont détourné plus de 1,5 milliard de dollars provenant uniquement de fonds destinés à l’achat de munitions ».

    Dévoiler un gigantesque système de corruption qui a enrichi Zelensky et son entourage

    Les pays membres de l’OTAN envisagent de lancer une vaste campagne discréditant Vladimir Zelensky et devant conduire à le destituer du pouvoir, a indiqué le service de presse du Service russe de renseignement extérieur (SVR) dans un communiqué.

    « L’OTAN aimerait voir le chef du régime de Kiev partir, idéalement par le biais d’élections pseudo-démocratiques. L’alliance estime que ces élections auront lieu en Ukraine au plus tard cet automne. En amont de la campagne électorale, le siège de l’OTAN élabore des plans pour une campagne de révélations visant à saper la crédibilité de Zelensky »

    Selon le SVR, le plan consiste à « rendre publiques les informations selon lesquelles le « président » et son entourage ont détourné plus de 1,5 milliard de dollars de fonds destinés à l’achat de munitions ». En outre, l’OTAN aurait prévu « la révélation d’un système dans lequel des paiements destinés à 130 000 soldats ukrainiens tombés au combat – qui restent officiellement répertoriés comme personnels en service actif – ont été acheminés à l’étranger par Zelensky et ses associés », a déclaré le SVR. « Ils prévoient également de lever le voile sur les cas répétés d’implication du « commandant en chef suprême ukrainien » dans la vente de grandes quantités d’armes et de véhicules donnés par l’Occident à divers groupes armés dans les pays africains ».

    Ainsi, « même l’OTAN se rend compte que le temps de Zelensky est révolu », indique le communiqué.

    Gel du conflit ?

    « Les dirigeants de l’OTAN veulent à tout prix préserver l’Ukraine comme bastion antirusse », a déclaré le service de renseignement russe. « Leur objectif est de « geler » le conflit en guidant les parties belligérantes vers un dialogue sur un « début de règlement ». »

    « Washington et Bruxelles semblent être d’accord sur le fait que le plus grand obstacle à cette évolution est Zelensky, qui, en coulisses, est qualifié de « poids mort » en Occident », explique le SVR, ajoutant que Bruxelles est convaincu que l’armée ukrainienne « sera très bientôt incapable de contenir l’assaut croissant de l’armée russe ».

    « Avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis, l’incertitude grandit quant à la poursuite de l’aide militaire de l’Occident à Kiev », ajoute-t-il.

    Léo Kersauzie

     

    Source : medias-presse.info

  • Zelensky aux Etats-Unis et la rencontre avec Trump

    Publié par Guy de Laferrière le 29 septembre 2024

    Vendredi 27 septembre 2024, Donald Trump a reçu le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Trump Tower de New York
    Vendredi 27 septembre 2024, Donald Trump a reçu le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Trump Tower de New York

    Voyage à vide pour Zelensky aux États-Unis : Biden ne cède pas sur les missiles à longue portée. The Economist l’invite à revenir à la réalité. Et Trump lui rappelle qu’il a un « bon rapport avec Poutine ».

    Zelensky revient des Etats-Unis les mains vides : pas de missiles à longue portée pour atteindre la Russie

    Zelensky revient des Etats-Unis les mains vides mais en ayant renoué les liens avec Trump. Biden lui a refusé l’autorisation d’utiliser des missiles à longue portée contre la Russie, malgré la pression féroce des médias internationaux pour qu’il cède. De plus, même son « plan pour la victoire de l’Ukraine », élaboré à la hâte avant de partir, a été accueilli avec une indifférence polie, car il était fou dès le titre. Le tout assaisonné de mots de soutien à la cause.

    L’avertissement de Poutine sur les risques d’un conflit atomique a été entendu à l’étranger, également parce que, pendant que Zelensky illustrait aux Américains comment il utiliserait des missiles à longue portée contre la Russie, la Russie révolutionnait sa doctrine nucléaire pour faire face au danger imminent, prouvant que Vladimir Poutine n’avait pas parlé en vain.

    Pour une fois, aux États-Unis, les esprits les plus clairs ont prévalu, auxquels les agences de renseignement ont donné la parole. Ainsi le New York Times : « Les agences de renseignement ont conclu qu’accéder à la demande de l’Ukraine d’utiliser des missiles occidentaux contre des cibles situées au plus profond de la Russie pourrait provoquer de fortes représailles sans changer substantiellement le cours de la guerre. »

    The Economist et le retour à la réalité

    Pour adoucir la pilule, l’Amérique a donné huit milliards supplémentaires au pétitionnaire ukrainien, dont quatre resteront aux États-Unis, plus une batterie de Patriotes, qui s’ajoutera aux nombreux déjà détruits, et divers armements, qui ne pourront pas combler les lacunes produites par la désastreuse invasion de Koursk ; ainsi que la promesse de former dix-huit (18) pilotes pour le F-16. Quant à la demande de donner à l’Ukraine des garanties de sécurité au format OTAN, elle a tout simplement été ignorée.

    Si la guerre ne touche pas nécessairement à sa fin, quelque chose, ou plutôt beaucoup, a changé. C’est ce que démontre l’article publié dans The Economist intitulé : La guerre va mal. L’Ukraine et ses alliés doivent changer de cap.

    « Si l’Ukraine et ses partisans occidentaux veulent gagner, écrit The Economist, ils doivent d’abord avoir le courage d’admettre qu’ils sont en train de perdre. Au cours des deux dernières années, la Russie et l’Ukraine se sont livrées une guerre d’usure coûteuse. C’est insoutenable. » Puis, rejetant le « plan de victoire » de Zelensky, il note : « En réalité, l’Ukraine a besoin de quelque chose de beaucoup plus ambitieux : un changement de cap urgent. »

    « Les gens sont fatigués de la guerre. Il y a un écart croissant entre la victoire totale que de nombreux Ukrainiens disent vouloir et leur volonté ou leur capacité à se battre pour elle. » À l’étranger aussi « la fatigue se fait sentir » reconnait encore The Economist. En outre, admet l’influent quotidien américain, « Donald Trump pourrait très bien devenir président des États-Unis. Il est capable de tout, mais ses paroles suggèrent qu’il veut vendre l’Ukraine au président russe Vladimir Poutine ».

    La rencontre entre Donald et Volodymyr : « Si nous gagnons, nous résoudrons » la guerre « très rapidement », a déclaré Trump

    En réalité, The Economist travestit la réalité : l’ancien Président des États-Unis parle de mettre fin à la guerre, ce que The Economist commence à considérer lui-aussi comme la seule option valable et ce quoi qu’il en coûte pour l’Ukraine et son territoire. Une option envisagée à demi-mot également par John Kirby, le coordinateur des communications stratégiques au Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche : lors de sa conférence du 26 septembre dernier Kirby a reconnu que les autorités ukrainiennes devront faire des concessions territoriales pour résoudre le conflit avec la Russie. En nuançant ce revirement à 180° par le rappel que toutefois, la décision dépendra du président ukrainien lui-même.

    Zelensky sentirait-il le vent tourné ? Allant à l’encontre de son animosité pour Donald Trump, qu’il a souvent exprimée sur les réseaux sociaux, il a insisté lourdement à la fin de son séjour américain pour rencontrer le candidat à la Maison Blanche. Ce dernier, plutôt dans la semaine avait critiqué la politique guerrière de Zelensky : s’exprimant mercredi en Caroline du Nord, il a qualifié l’Ukraine de « démolie » et son peuple de « mort ». « N’importe quel accord – le pire accord – aurait été meilleur que celui que nous avons maintenant », a affirmé le candidat républicain. « S’ils avaient conclu un mauvais accord, il aurait été bien meilleur. Ils auraient abandonné un peu et tout le monde serait vivant, tous les bâtiments seraient debout et toutes les tours vieilliraient pendant encore 2000 ans. »

    Hier, vendredi 27 septembre 2024, Donald Trump a ainsi reçu le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Trump Tower de New York et a réitéré sa position. Il tentera de jouer un rôle de médiateur pour mettre fin à la guerre entre la Russie et l’Ukraine, grâce également aux « excellentes relations » avec les présidents russe et ukrainien Vladimir Poutine. « J’ai de bonnes relations » avec Volodymyr Zelensky et « j’ai aussi de bonnes relations avec le président Poutine ». « Si nous gagnons, nous résoudrons » la guerre « très rapidement », a déclaré Trump lors de sa rencontre avec le président ukrainien. Le président ukrainien a interrompu les remarques de Donald Trump en disant : « J’espère que nous aurons de meilleures relations entre nous. » Remarque à laquelle Trump a répondu, un brin ironique : « Oh, je vois », a répondu Trump. « Mais il faut être deux pour danser le tango, vous savez, et je pense que nous allons avoir une bonne réunion aujourd’hui. Et je pense que le fait que nous soyons ensemble aujourd’hui est un très bon signe ».

     

    « C’est une guerre, et le président est d’accord avec moi : c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu » a conclu Trump.

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Du coup la vaccination et Zelensky c'est fini ?

    Publié par Guy de Laferrière le 11 octobre 2023

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