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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1345

  • 5700 lits d’hôpitaux fermés en France en 2020.

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2021

    ARTICLE. La crise sanitaire n’aura pas empêché la suppression de lits d’hôpitaux en France, selon l’étude publiée ce mercredi 29 septembre 2021 par le ministère de la Santé. Une diminution « conjoncturelle » et « plus marquée que les années précédentes » à laquelle il faut ajouter la fermeture de 25 établissements de santé…

    En 2020, le nombre de lits d’hospitalisation à temps plein aurait atteint 386 805 unités. Ce qui correspond à une baisse de 5700 lits par rapport à l’année précédente, selon l’étude intitulée « les travaux de la DREES (Direction de recherche, des études, de l’évaluation des statistiques) liés à la crise sanitaire de la Covid-19 », publiée ce mercredi par le ministère de la Santé. 25 établissements publics et privés auraient également fermé en 2020 – malgré le Covid-19 – « sous l’effet des réorganisations et restructurations » indique l’étude. Pour la première fois, en 2020, la France est passée sous la barre des 3000 structures et cliniques ouvertes, avec quelque 2983 établissements fin décembre. Un record.

    D’après le ministère de la Santé, cette baisse est « conjoncturelle » et s’expliquerait par le « contexte d’épidémie »… Beaucoup de chambres doubles auraient été transformées en chambres simples « pour limiter la contagion » et des déprogrammations ont été réalisées en masse pour réaffecter les personnels soignants dans les services de soins les plus critiques. Pour faire face à l’épidémie, le recours aux alternatives de l’hospitalisation à temps plein – le recours à l’hospitalisation partielle (moins de 12h par jour) et à l’hospitalisation à domicile (HAD), par exemple – a également progressé. Une manière comme une autre de rogner les coûts…

    Presque deux fois moins de lits par habitant qu’en 1980

    L’HAD a donc connu une « croissance particulièrement vive » de 10,8%, avec 1369 places d’hospitalisation partielle créées. Le nombre de lits de réanimation a quant à lui augmenté trois fois plus vite qu’en 2019, pour atteindre un total de 6200 lits, soit une augmentation de 14,5%. L’étude décrit cette réorganisation des services de Santé comme « le passage à un système » dans lequel l’hôpital ne serait plus le centre, mais plutôt « une étape dans la prise en charge des patients ».

    Ce « virage ambulatoire » est-il conjoncturel comme le décrit le ministère de la Santé dans son étude ? Ou est-il plutôt une conséquence concrète d’un déclin des services de santé français, né de la fracture de l’hôpital, qui pourrait se pérenniser ? Pour rappel, la France comptait en moyenne 11,1 lits pour 1000 habitants au début des années 1980, et en 2020 il y en avait moins de 6 pour 1000 habitants. Autrement dit, le nombre de lits par habitant a presque baissé de moitié en près d’une quarantaine d’années…

    Source : https://frontpopulaire.fr/

  • Le Royaume-Uni remplace ses livreurs par des robots. La « société sans contact » est en marche !

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 20212

    Avec les confinements et la longue fermeture des restaurants sous prétexte de Covid-19, nous avons vu se multiplier les petits boulots de livreurs. A vélo, en scooter ou même parfois en trottinette électronique, les livreurs sont devenus omniprésents dans toutes les villes. D’autant que, paradoxalement, malgré le développement du télétravail, rares sont les personnes qui en ont profité pour prendre plus de temps pour cuisiner elles-mêmes. L’avachissement se développe avec la malbouffe car il est évident qu’exceptionnels sont les personnes qui se font livrer un plat de qualité.

    Tout cela entre parfaitement dans le schéma du Great Reset promu par le Forum économique mondial de Davos. Mais l’essor de ces livreurs n’est qu’une phase transitoire. L’étape suivante est de les remplacer par des robots ! Certaines sociétés misent sur les drones de livraison tandis que d’autres préfèrent les robots sur roulette.

    Dans tous les cas, pour chaque robot ou drone mis en circulation dans le secteur de la livraison, c’est au moins deux emplois de perdus. Car le robot n’est pas limité par des règlementations sur le nombre d’heures de travail par semaine, le robot ne tombe pas malade, le robot ne fait pas grève, le robot ne revendique pas d’augmentation salariale, le robot ne prend pas de vacances,… Le robot demande seulement un entretien et le rechargement de sa batterie.

    Vous croyez que ceci relève de la science-fiction et n’est pas prêt d’apparaître chez nous ? Détrompez-vous ! Le robot grignote de plus en plus de terrain.

    Dans le pas si lointain Royaume-Uni, des centaines de petits robots de livraison montés sur six roues circulent sur le trottoir dans la quasi indifférence générale. Ils sont déjà 200 à parcourir les rues sans le quartier résidentiel de Milton Keynes, à 80 kilomètres au nord de Londres, et dans la cité voisine de Northampton, livrant les courses ou les repas. Ils seront très vite 500, car cinq nouvelles municipalités, notamment dans la région de Cambridge et le nord de l’Angleterre, ont décidé de les adopter.

    C’est une adaptation au projet de « société sans contact » tel qu’en rêvent Klaus Schwab et ses amis du Forum économique mondial. Et cela fait les affaires de Starship Technologies, qui construit et exploite les robots en question. L’entreprise vient de conclure un nouvel accord avec la chaîne coopérative de supermarchés Co-op qui attend 300 nouveaux robots d’ici la fin de l’année.

    Bardé de caméras et capteurs, le robot est autonome à 99%, selon son fabriquant, une entreprise créée en 2014 par deux fondateurs de Skype et basée à la fois en Estonie et aux Etats-Unis. Si l’automate bloque face à une situation inconnue, un opérateur peut en prendre le contrôle à distance.

    Et figurez-vous qu’on nous présente cette robotisation à marche forcée comme un enjeu environnemental pour éviter que « les clients ne conduisent pour aller dans un magasin, ou ne soient livrés par un véhicule à essence« , explique l’enseigne dans un communiqué. Mais les livreurs humains à vélo sont certainement moins énergivores que des robots. L’explication écologique ne tient donc pas la route.

    En attendant, Starship se développe au Royaume-Uni et aux Etats-Unis mais aussi en Estonie, Allemagne et Danemark. Et Starship n’est bien entendu pas seule dans la course aux robots de livraison. Aux Etats-Unis, Amazon et FedEx expérimentent leurs propres robots de livraison.

    Préparez-vous, ils arrivent !

     

    Source : medias-presse.info

  • Vers une réforme de l’assurance-chômage tellement brutale qu’il faut équiper les agents de Pôle Emploi de bracelets d’alerte en cas d’agression

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2021

    Auteur : 

    La situation sociale et économique devrait prendre un virage catastrophique pour beaucoup dans très peu de temps. Il y avait déjà les effets désastreux des confinements, du télétravail, du passe sanitaire et des licenciements pour refus de plier devant l’obligation vaccinale. Il y a les pénuries annoncées dans des secteurs de plus en plus nombreux et variés, qui entraînent des mises à l’arrêt d’entreprises. Il y a les hausses fulgurantes des prix du gaz, de l’électricité, du charbon, du papier, du diesel, avec des retombées en cascade attendues sur quantité de produits y compris les plus courants. Et le gouvernement met en place une réforme de l’assurance-chômage qui promet de frapper durement les chômeurs. A tel point que Pôle Emploi craint des actes violents contre ses agents.

    Plusieurs agences de Pôle Emploi ont d’ailleurs déjà passer commande de bracelets d’alerte et de boîtiers permettant de signaler une agression ou une incivilité.

    La réforme de l’assurance-chômage doit entrer en vigueur vendredi. Le décret du gouvernement sur le sujet n’est pas encore publié. Et de nombreux agents de Pôle Emploi gardent en tête le drame de Valence il y a huit mois, et redoutent les réactions de certains chômeurs désespérés.

    En région parisienne, une note interne intitulée « Plan d’action sécurité » confirme que 695 bracelets permettant de déclencher l’alerte en cas de danger ont été commandés pour les agents franciliens de Pôle Emploi. Ainsi qu’une centaine de boîtiers dotés d’une sirène multi-tonalité et d’un flash dont l’objectif, selon la note interne, est de « permettre aux agents de pouvoir signaler une agression ou une incivilité » dont ils seraient victimes.

    Ce matériel devrait arriver ces jours-ci, avec priorité pour les agents de la Seine-Saint-Denis.

    La généralisation des caméras de surveillance dans les agences de Pôle Emploi est également envisagée.

     

    Source : medias-presse.info

  • Ne pas laisser à nos ennemis le monopole ni de l'action militante, ni de l'action électorale.

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021

  • Expulsion de Madama : le couple d’enseignants d’extrême-gauche qui accueillait le jeune Malien placé en garde à vue dans le cadre d’une affaire de faux papiers

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021

    Expulsion de Madama : le couple qui accueillait le jeune Malien placé en garde à vue

    Éric Durupt et Véronique de Marconnay – le couple qui accueillait le jeune Malien Madama Diawara – ont été entendus mi-septembre, dans le cadre d’une affaire de faux papiers.

    Le 25 février, Madama Diawara était reçu en préfecture pour remettre aux autorités des extraits d’acte de naissance en provenance du Mali. Alors qu’elle devait être une première étape vers la régularisation de sa situation, la démarche a conduit le jeune homme à être poursuivi par la justice. Suspecté d’avoir fourni de faux documents, il doit être jugé ce mardi 5 octobre, dès 8 h 30, devant le tribunal ponot. Mais le jeune Malien, toujours sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français) n’est pas le seul à être mis en cause dans cette affaire.

    Véronique de Marconnay et Éric Durupt (*), ont été entendus pour « complicité, détention et usage de faux ». Des accusations qu’ils auraient « réfutées en bloc », les considérant « infondées et insensées », relate RESF 43, précisant que « les expertises ne tiennent pas compte de la réalité de la situation en Afrique, notamment les lacunes systémiques de l’état civil au Mali ».

    (…)
    Deux ordinateurs ainsi qu’un téléphone ont été saisis lors de la perquisition au domicile de la famille. Elle serait la première, en France, à être poursuivie pour de tels motifs, selon les membres du Réseau. « Cette mise en cause vise à faire peur et décourager toutes les personnes et les familles qui viennent en aide aux jeunes migrants, en particulier au sein du Réseau éducation sans frontières de Haute-Loire », déplorent-ils.

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