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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1657

  • Carcassonne (11) : il faut maintenant réparer les dégâts

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

     

    Le Centre des monuments nationaux (CMN) a demandé au Centre interdisciplinaire de conservation et de restauration du patrimoine (CICRP) de travailler sur la question. Le CICRP, qui dépend entre autres du ministère de la Culture et intervient dans le domaine de la conservation curative, doit élaborer un protocole scientifique pour venir à bout des traces laissées par l’œuvre de Felice Varini sur la cité médiévale.
    Entre ceux qui craignaient que les bandes d’aluminium collées sur la Cité détériorent durablement la pierre et ceux qui juraient que cette œuvre d’art contemporain ne l’altérerait pas, le débat est désormais tranché : les premiers avaient vu juste. Le temps leur a donné raison.

    Source l’indépendant via fdesouche

  • Pau : un responsable d’un centre pour migrants égorgé par un Soudanais, déjà condamné pour des coups de couteau, qui a vu sa demande d’asile refusée (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    fdesouche

     

    Joint par France Bleu Béarn Bigorre, le maire de Pau François Bayrou a exprimé son émotion : “C’est un drame épouvantable, d’autant plus épouvantable que la victime s’est engagée toute sa vie professionnelle dans la défense des migrants et de ceux qui postulent à l’asile ; d’autant plus épouvantable également parce que l’agresseur, l’assassin, a fait de la prison pour des faits d’agression, à l’arme blanche apparemment… À très juste titre sa demande d’asile ou de poursuite de l’asile avait été refusée, il s’est retourné contre le chef de service, c’est d’une violence, d’une absurdité extrême… Il y a tant d’interrogations sur le parcours de cet homme.



    L’auteur présumé venait d’apprendre semble-t-il que sa demande d’asile lui était refusée. Il a donné au moins trois coups de couteau. Le responsable, âgé de 46 ans, a été touché au niveau de la gorge, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé son décès. La brigade anti-criminalité (BAC) de Pau est intervenue très vite et l’homme a été arrêté peu après aux abords de la scène de crime. Âgé d’une trentaine d’année, il est déjà connu de la justice pour des faits de violences. Il sortait de prison selon nos information. il est actuellement en garde à vue.

    Il est connu de la police pour des faits de violence, et avait effectué un passage en prison, mais était inconnu des services de renseignement. Il venait de se voir refuser son statut de réfugié par l’Ofpra, a-t-on précisé de sources policières et municipale.

    France Bleu / CNews


    Ce vendredi 19 février, une agression au couteau s’est déroulée vers 11 heures au Centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) Isard COS, cours Léon-Bérard à Pau. Selon nos informations, le chef de service Asile a été mortellement poignardé

    Le Centre d’accueil pour demandeurs d’asile Isard COS a été le théâtre d’une agression au couteau ce vendredi 19 février vers 11 heures. Selon plusieurs sources, l’auteur des faits serait un Soudanais pensionnaire de la structure depuis plusieurs années. La victime, le chef de servie Asile du Cada, a été mortellement poignardé à la gorge, comme le confirme le directeur de la structure Philippe Ellias.

    Les secours et les forces de police sont rapidement intervenus. L’auteur présumé des faits aurait été appréhendé. La procureure de la République Cécile Gensac se trouve sur les lieux de l’agression. Les conditions précises de ce drame restent à éclairer.

    Sud Ouest


    Un homme a été agressé au couteau ce vendredi en fin de matinée au siège de l’Association Isard-Cos, cours Léon Bérard, qui gère l’accueil des réfugiés à Pau.

    L’homme, un chef de service de la structure qui gère le CADA (centre d’accueil pour demandeurs d’asile, est décédé après plusieurs coups de couteau dont un porté à la gorge. Selon nos informations, le coup aurait été porté par un réfugié soudanais hébergé sur place depuis plusieurs années.

    La République des Pyrénées

  • Coup de filet contre un réseau de mariages blancs qui opérait depuis 20 ans dans toute la France

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    Sept personnes ont été placées en garde à vue mardi 16 février. Six d’entre elles ont été interpellées dans les Ardennes et une en Seine-Saint-Denis. Elles sont soupçonnées d’avoir empoché un peu plus de 2 millions euros grâce à l’organisation de près de 150 unions illégales entre 2016 et 2021. Pour l’heure, 88 unions suspectes ont pu être recensées.

    […]

    Le carnet de « réservations » était plein jusqu’en avril. Grâce à un système de bouche-à-oreille, le réseau offrait à des ressortissants étrangers de se marier avec des Français (es) dans le but d’obtenir la nationalité.

    Outre la fraude au séjour sur le territoire français, le préjudice subi par l’Etat et les organismes sociaux, qui n’a pas encore été évalué, promet d’être important.

    Maria, suspectée d’être à la tête de cette organisation, serait impliquée dans l’organisation directe des mariages, le recrutement des étrangers et des hommes ou femmes de nationalité française candidats et les prises de rendez-vous en mairie. Elle aurait touché 14000 euros par mariage. Après une première incarcération en 2019, c’est sa fille Elodie qui aurait repris le flambeau.

    […]

    Le Parisien via fdesouche

  • L’islamo-gauchisme : mais oui, ça existe dans la « recherche », et pas que dans la « recherche

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    L’islamo-gauchisme : mais oui, ça existe dans la « recherche », et pas que dans la « recherche

    indigènes de la république,islamo-gauchisme

    De Bernard Antony :

    Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur, a eu simultanément la bonne idée de s’inquiéter de la progression de l’islamo-gauchisme universitaire et la mauvaise de ne vouloir l’identifier que dans la « recherche ». Elle a ainsi absurdement demandé au CNRS d’enquêter sur ce phénomène.

    En effet, d’une part, ce n’est pas que dans la « recherche » que l’université est gangrénée, de l’autre le CNRS n’est vraiment pas l’institution la plus épargnée par la subversion de sa finalité à des fins révolutionnaires.

    C’est l’AGRIF qui, la première, il y a maintenant 14 ans, a mesuré l’importance des propos objectivement racistes sous couvert d’antiracisme de l’égérie du PIR (Parti des Indigènes de la République), Houria Bouteldja, et l’a combattue judiciairement.

    Le PIR a été ainsi comme un vecteur central de diffusion des idéologies convergentes « indigénistes », « racialistes » et « décoloniales » se croisant plus ou moins ensuite avec les courants de révolution culturelle venus des campus américains et avec l’impérialisme LGBT.

    Avec un condescendant mépris, Houria Bouteldja, ultra-nationaliste algérienne vivant en France et grâce à la France, a campé sans vergogne son mouvement comme la dernière chance de salut des « Blancs », à la condition que ces derniers, repentants et soumis, le rejoignent sans tarder.

    Elle répondait ainsi à Christine Delphy sur le discours des Indigènes de la République :

    « Le discours ne vous plaît pas…mais prenez-le quand même !

    Ce n’est pas grave, il faut que vous le preniez tel quel ! Ne discutez pas ! Là, on ne cherche plus à vous plaire ; vous le prenez tel quel et on se bat ensemble, sur nos bases à nous ; et si vous ne le prenez pas, demain, la société tout entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc.

    Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront ça. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des moins paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres.

    Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail, il n’y a plus que la haine. Et qui paiera pour tous ? Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous. C’est pour cela que c’est grave et que c’est dangereux ; si vous voulez sauver vos eaux, c’est maintenant.

    Les Indigènes de la République, c’est un projet pour vous ; cette société que vous aimez tant, sauvez-la… maintenant !  Bientôt, il sera trop tard : les Blancs ne pourront plus entrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. Ils devront faire leurs preuves et seront toujours suspects de paternalisme. Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. »

    Ultérieurement, elle déclara : « Aujourd’hui, le PIR rayonne dans toutes les universités ».

    « Nique la France » du chercheur Saïd Bouamam

    Aux côtés d’Houria Bouteldja s’est illustré l’auteur du livre « Nique la France », le « chercheur » Saïd Bouamama. Sous-titré « Devoir d’insolence », ce bouquin est préfacé par le rappeur « Saïdou » annonçant sa « première bombe artisanale », « en voiles, keffiehs et casquettes à l’envers », sa bombe d’appel aux « anticolonialistes, antisionistes, anticapitalistes »…

    En dos de couverture, Bouamama est présenté ainsi : « un sociologue, docteur en socio-économie, militant engagé dans les luttes de l’immigration pour l’égalité réelle des droits en France. Il est directeur de recherche à l’IFAR (Institut de Formation des Agents de Recherche), située à Villeneuve d’Ascq (59) ».

    En couverture, Houria Bouteldja tend un doigt d’honneur significatif. Tout au long du texte, sur pleines pages, sont plusieurs dizaines de photos de personnages faisant le même geste. En page centrale, l’un d’eux porte un « tee-shirt » : « Solidarité avec les militants d’Action Directe ».

    Le chercheur Bouamama est payé pour ce « travail » de haine antifrançaise par son institut de formation des agents de recherche. Mais on entend ce matin sur France-Inter proférer que l’islamo-gauchisme, ça n’existe pas et surtout pas dans la recherche !

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron propose de transférer 3 à 5% des vaccins à l’Afrique : «j’ai plus de 10 millions de nos concitoyens qui ont des familles de l’autre côté de la Méditerranée»

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    Covid-19 : Macron propose de transférer 3 à 5% des vaccins à l'Afrique

    «C’est l’intérêt des Français et des Européens» car «j’ai plus de 10 millions de nos concitoyens qui ont des familles de l’autre côté de la Méditerranée», souligne le président français. «Si on laisse s’installer l’idée que des centaines de millions de vaccins sont en train d’être faits dans les pays riches et qu’on ne commence pas dans les pays pauvres, c’est insoutenable», estime Emmanuel Macron. «C’est plutôt une accélération des inégalités mondiales inédite» et «c’est politiquement insoutenable à terme parce que c’est ce qui permet d’installer une guerre d’influence des vaccins. Et vous voyez bien la stratégie chinoise, la stratégie russe aussi».

    www.lefigaro.fr via fdesouche