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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1660

  • Et voilà l’Union des travailleurs et paysans bolchéviques (à Paris 16e)

    Publié pa Guy Jovelin le 18 février 2021

    Et voilà l’Union des travailleurs et paysans bolchéviques (à Paris 16e)

    Le Journal Officiel du 16 février nous apprend la création de l’Union des travailleurs et paysans bolchéviques.

    C’est assez lunaire de constater qu’en 2021, malgré les quelques 100 millions de morts (fourchette basse) du communisme en 2020, des marxistes y croient encore.

    Ce nouveau parti a pour objet de

    produire, diffuser et promouvoir au niveau national et à l’international, des idées, des solutions pratiques, juridiques et politiques visant à améliorer la vie quotidienne et les conditions de vie des travailleurs et paysans agriculteurs, de lutter avec tous les moyens de droit contre l’exploitation et les atteintes aux droits et aux intérêts légitimes des travailleurs et paysans agriculteurs

    Détail cocasse : ce parti qui veut défendre les travailleurs et paysans agriculteurs a son siège dans le 16e arrondissement parisien.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’abominable inhumanité du projet de loi macro-néronien sur la « bioéthique »

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2021

    L’abominable inhumanité du projet de loi macro-néronien sur la « bioéthique »

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    De Bernard Antony :

    Alors que par ailleurs les processus de désintégration de la France s’accélèrent, les débats sur le projet de loi de « bioéthique » pourraient aboutir au vote par l’Assemblée nationale des pires textes de la culture de mort produits dans notre pays.

    Ainsi, alors que l’on commente ce jour même sur France-Inter l’exploit médical ayant permis la naissance dans un utérus greffé d’un bébé après seulement 32 semaines de gestation, voilà que nombre de parlementaires veulent légaliser la pratique de l’I.M.G (Interruption Médicale de Grossesse) jusqu’au neuvième mois.

    Autrement dit, après celle de l’acte de mort de l’avortement, la légalisation de l’infanticide !

    Le projet de loi prévoit aussi la légalisation de la PMA (Procréation Médicalement Assisté) pour des…couples de femmes.

    Autrement dit, une manipulation de la vie à une fin contraire à l’ordre naturel du couple humain constitué d’un homme et d’une femme.

    Ainsi, la révolution sociétale permettrait un acharnement dans la mort, et simultanément, une dénaturation de la famille.

    Mais la loi ferait aussi que deviendrait désormais possible la fabrication « d’embryons chimères animal-homme » afin de permettre le développement d’organes humains dans des embryons d’animaux.

    Comment ne pas voir que cela signifiera la porte ouverte à toutes les monstruosités ? Ce sera une grande victoire du docteur Frankenstein.

    Ainsi, la République en marche macronéronienne veut-elle nous conduire vers le pire « meilleur des mondes ».

    On vérifie là que non seulement elle favorise les racismes antifrançais et antichrétien mais de plus en plus, par le mépris de la dignité humaine, un véritable racisme antihumain.

     

    Source : lesalonbeige

  • A Strasbourg, comment Erdogan tire les ficelles de la communauté turque

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2021

    Les députés votent ce mardi en première lecture le projet de loi contre le «séparatisme» islamiste. A Strasbourg, deux institutions particulièrement opaques, le Ditib et le Milli Görüs, servent de relais au pouvoir turc.

    Dans le quartier de Koenigshoffen, à l’ouest de l’agglomération strasbourgeoise, qui compte près de 30 000 habitants originaires d’Anatolie, on marchande principalement en turc. Cette communauté évolue souvent en vase clos entre une myriade d’établissements, d’associations et de médias turcophones. « Un dicton populaire dit : le Turc n’a pas d’autre ami que le Turc, regrette Hulliya Turan, adjointe à la mairie, elle-même d’origine kurde. C’est très ancré dans les mentalités. »

    Le plus grand consulat turc d’Europe

    Certains de ces lieux communautaires sont directement liés au régime du président Recep Tayyip Erdogan, qui couvre la cité alsacienne d’attentions. Mi-2019, le plus grand bâtiment diplomatique turc dans le monde a été inauguré au bord du bassin de l’Ill, à deux pas du Conseil de l’Europe. Côté canal, les promeneurs ne distinguent pas le drapeau rouge de la Turquie. Pourtant, le consulat est monumental : 8900 m2 et cinq bâtiments en grès rose des Vosges et carreaux d’Iznik.

    D’autres institutions sont encore plus opaques, comme le Ditib, une organisation affiliée au ministère turc des Affaires religieuses. Derrière la caisse d’une boucherie turque, Hamza, 23 ans, fréquente parfois les mosquées Ditib. Elles sont au nombre de 270 en France, dont 73 dans le Grand-Est, et les imams y sont envoyés et payés par Ankara. « Elles sont peut-être plus proches de la Turquie que les autres, mais j’ai l’impression qu’elles restent quand même indépendantes », imagine le jeune homme. (…)

    Ditib dispose d’un centre de formation d’imams et d’un collège-lycée

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Tarn : le cafetier de Lavaur qui avait tué un jeune cambrioleur en 2009 est libéré sous bracelet électronique

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2021

    fdesouche

    […]

    Par deux fois un jury populaire condamne Luc Fournié à une peine bien plus lourde que celles requises par le procureur général. En 2015, les jurés de la cour d’assises du Tarn le condamnent à 7 ans d’emprisonnement pour meurtre. La défense et le procureur avaient plaidé l’acquittement. Ils ont échoué à convaincre que Luc Fournié était dans son droit et qu’il n’avait voulu que défendre sa famille. La peur, le sentiment d’abandon malgré le signalement fait aux gendarmes, la volonté de protéger les siens seront opposés à la disproportion de la riposte, le guet-apens, la préméditation. Le 30 avril 2015, la cour d’appel de Toulouse remet en liberté le cafetier.

    En décembre 2016, rejugé par la cour d’assises de Haute-Garonne, Luc Fournié voit sa peine alourdie: 10 ans de prison. Une nouvelle fois, le jury populaire va au-delà des réquisitions du parquet. Arrivé libre, Luc Fournié quittera le tribunal pour rejoindre la prison. Il sera libéré, quelques semaines plus tard, jusqu’au rejet du pourvoi en cassation qui le conduira, ce coup-ci, derrière les barreaux. […]

    L’article en intégralité sur La Dépêche

  • Tarbes (65) : voisin de la prison, ce couple de retraités est excédé par les intrusions incessantes dans leur propriété

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2021

    Depuis quatre ans, des passeurs ne cessent de s’introduire au domicile de Jean-Pierre Deveze. Portables et sachets de drogue se retrouvent dans leur jardin. Un ras-le-bol pour ce couple de  retraités.

    Chez Jean-Pierre et Évelyne, la fête des voisins n’a jamais existé. « On a toujours des gens qui rentrent, on n’est pas tranquille, on ne sait pas ce qu’ils peuvent faire par-là ». Installé rue Jean-Larcher depuis près de 27 ans, le couple de retraité entretient leur maison comme un véritable havre de paix. Arbustes taillés au centimètre près, pelouse parfaitement soignée et depuis peu, grillages et barbelés délicatement fixés sur le pourtour du jardin.

    Du cannabis dans l’herbe

    (…) Une fois les produits atterris dans le jardin, des jeunes se chargent de récupérer et de renvoyer. De jour comme de nuit. « Au début c’était des portables, maintenant c’est de la drogue. Ils passent par le parking et longent les toits des garages et sinon par le mur de l’église protestante».

    Rencontre fortuite

    Jean-Pierre a rusé d’astuces système D mais rien n’y fait. Ce va-et-vient inquiète sa femme. Surtout depuis qu’ils sont tombés nez à nez avec l’un d’eux. « L’été dernier, avec des amis dans le jardin, un jeune s’est pointé sur le toit du garage, commence Évelyne. Il a demandé de le laisser lancer quatre paquets en échange de 50€ et il est reparti. Maintenant, on ne sait plus quoi faire. Le mur est haut, plus le grillage. Pendant les vacances, on est parti quatre jours et au retour on avait des chaises sur la terrasse, un dessin d’une biche sur le mur. Ils s’étaient installés ». Et même si la police municipale se déplace, l’insécurité pèse de plus en plus. « Avant on recevait des ballons quand ils jouaient dans la cour, ça ne me dérangeait pas, on ne l’a jamais pris sur la tête », plaisante-t-elle. (…)

    La Dépêche Via fdesouche