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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1656

  • Paris classée ville la plus dangereuse de France devant Bobigny et Marseille

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2021

    […] Paris est effectivement, avec un nombre total de 314.530 crimes et délits en 2019 pour une population de plus de 2 millions d’habitants, la ville où le risque de crime ou d’agression est de 1 pour 7. Ce triste record la classe au premier rang des départements les plus dangereux de France.

    Se hisse à la deuxième position de ce classement peu glorieux Bobigny et le département de la Seine Saint Denis. […]

    sur la troisième marche du podium de l’insécurité, Marseille […]

    Lyon et Montpellier arrivent en 4e et 5e position […]

    CNews via fdesouche

  • Afrique du Sud : un nouveau fonds d’urgence pour les entreprises touchées par le covid-19 si elles sont possédées par des Noirs

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2021

    Le National Empowerment Fund (NEF) et le ministère du commerce, de l’industrie et de la compétition ont lancé un fonds d’urgence pour aider les entreprises appartenant à des Noirs à se remettre de la crise économique induite par le covid-19.

    L’institution a déclaré que le nouveau fonds annoncé samedi proposera des prêts commerciaux et des refinancement en fonds propres avec un taux d’intérêts maximal de 2,5%.

    Les entreprises éligibles pourront recevoir entre 250 000 et 10 millions de rands […]

    News24.com via .fdesouche.com

  • 1979, un Français fabrique une voiture à hydrogène

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2021

    La station d’avitaillement du premier bus fonctionnant avec une pile à hydrogène est officiellement inaugurée ce 19 septembre à Pau. En 1979, un Français réalisait un prototype de voiture roulant à l'hydrogène. Lui utilisait des panneaux solaires pour l'énergie nécessaire à la fabrication de son carburant

    Juin 1979. Ce reportage de France3 Nantes nous présente l'invention de Jean-Luc Perrier, 35 ans, professeur technique à Angers. Pas de pile à hydrogène dans ce prototype. Il s'agit ici de l'adaptation d'un moteur de série, alimenté à l'eau et à l'hydrogène, sur une voiture. Son prototype fonctionne. Très enthousiaste, il décrit le procédé utilisé : 

    "Au-dessus du carburateur, nous trouvons trois tubes d'arrivée d'hydrogène. Deux pour la mise en route et le ralenti et un autre tube pour la mise en régime en puissance. L'alimentation à pression régulière se fait grâce à un détendeur… à partir de la bouteille d'hydrogène qui se trouve dans le véhicule."

    A l'arrière de la voiture, posée sur le siège, se trouve une bonbonne d'hydrogène qu'il extirpe rapidement tout en continuant son exposé : "grâce à l'hydrogène que nous trouvons dans la nature de manière abondante (H2O), l'eau qui peut être séparée de l'oxygène, l'hydrogène est un combustible qui remplace le gaz naturel et qui peut être utilisé aussi bien pour le chauffage que pour la locomotion. Et lorsque l'hydrogène de la bouteille se combine avec l'oxygène de l'air, nous retrouvons l'énergie qui a été au départ nécessaire (H2O) pour séparer l'hydrogène de l'oxygène."

    Le commentaire ajoute : "De la vapeur d'eau tout simplement sort donc de ce tube d'échappement. D'où plus de pollution ! Autre avantage : autonomie multipliée par deux. Pas d'usure et un gaz moins explosif que l'essence. Donc moins dangereux."

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    Le journaliste se demande alors pourquoi ne pas dépasser le stade du prototype ? "Première raison : on ne sait pas bien stocker ce gaz."

    Jean-Luc Perrier donne ensuite la seconde raison pour laquelle personne n'a construit de véhicule ou de transport urbain qui fonctionneraient à l'hydrogène. A cause de sa fabrication et de son coût de production : "Actuellement, l'hydrogène est fabriqué avec du pétrole ou avec des gaz de hauts fourneaux ou par cracking de l'ammoniaque, alors que dans l'avenir, si on peut le fabriquer avec l'énergie nucléaire ou encore mieux avec l'énergie solaire - ce qui permettrait aux pays arabes d'avoir toujours un produit à nous vendre et pour nous d'avoir toujours un produit à consommer - de réduire le problème énergétique de façon pratiquement infinie."

    Pour en savoir plus sur le Fébus de Pau.

    Le tram-bus à hydrogène fait partie d’une flotte de huit véhicules dont la mise en service est prévue en fin d’année. Le 6 septembre 2019, il a été présenté aux Palois. Fébus est le premier bus à haut niveau de service de 18 mètres au monde fonctionnant avec une pile à hydrogène. Il a une capacité de 125 passagers et une autonomie de 240 kilomètres par jour. Le véhicule est animé par un moteur électrique de 200 kW (270 chevaux) fourni par l’équipementier allemand Siemens et utilise une pile à combustible de 100 kW du canadien Ballard.

    La station d'avitaillement a été construite en partenariat avec ENGIE/GNVert, elle sera alimentée par le biais d’un électrolyseur fourni par ITM Power. Sa capacité de production est de 268 kilos d’hydrogène par jour, cet électrolyseur alimentera 8 points de distribution.

    Du 14 au 22 septembre prochains, Fébus sera exposé à la foire de Pau.

    Pour aller plus loin

    JT du 20h00 : les carburants de demain.  (3 février 1977)

    JT de 13h00 : la voiture à hydrogène. Michel Chevalet dans un laboratoire à Malakoff montre les différentes possibilités de stockage de l'hydrogène.  (15 avril 1978) 

    Soir 3 : Inova 79, le moteur à hydrogène. A l'occasion de la semaine mondiale de l'innovation, l'exposition Inova présente le moteur à hydrogène. Démonstration des possibilités de ce moteur. Paul Perroud, du Centre d'études nucléaire de Grenoble explique le fonctionnement de ce moteur. (1er avril 1979)

    Florence Dartois

    Source : https://www.ina.fr/

  • Musulmans et Juifs s’inquiètent : le vaccin anti-Covid est-il halal et casher ?

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2021

     
     
    Les télévisions belges RTBF et VRT font état d’un débat éthique qui se développe dans les communautés musulmanes et juives au sujet du vaccin contre le Covid-19.

    Beaucoup de musulmans de Belgique s’interrogent. Est-ce que se faire vacciner pendant le ramadan est considéré comme une “entorse au jeûne” ? Et surtout ces vaccins sont-ils halal ?

    Le doute sur l’éventuelle présence de gélatine de porc dans les vaccins contre le coronavirus est né notamment suite à une demande du président indonésien Joko Widodo en juillet 2020. Il avait exhorté le Conseil théologique de son pays à examiner en profondeur le vaccin chinois contre le coronavirus Sinovac pour lequel le pays avait déjà passé commande.

    La plus haute instance islamique du pays a déclaré en janvier que le vaccin chinois était “halal”. Mais les musulmans vivant en Europe se posent la question au sujet des vaccins utilisés chez nous.

    D’autre part, les campagnes de vaccination vont prendre plusieurs mois dans les différents pays d’Europe et vont donc chevaucher le mois de ramadan (qui débutera à la mi-avril).

    Certains vaccins peuvent en effet contenir de la gélatine de porc, ce qui est de nature à contrarier tant les musulmans pratiquants que les juifs pratiquants..

    En raison des compositions différentes des différents vaccins qui sont utilisées dans le monde entier, le débat oppose les théologiens musulmans  dans plusieurs pays.

    La controverse fait également rage au sein de certaines communautés juives au sujet des vaccins et de la gélatine. Septante médecins juifs britanniques ont signé une lettre ouverte à la fin de l’année dernière. Ils y ont affirmé que le vaccin Pfizer-BioNTech était casher et ne rendait pas infertile.

     

    Source : medias-presse.info

  • Les élèves des lycées indépendants discriminés au Bac : Référé-suspension au sujet du bac 2021

    Publié par Guy  Jovelin le 20 février 2021

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    Communiqué de l’association Créer son école :

    Le Ministère de l’Education nationale a fait savoir qu’il n’accorderait pas le bénéfice du contrôle continu aux lycéens hors contrat, en remplacement des épreuves de spécialité du bac prévues pour mars 2021 (qui viennent d’être annulées pour raisons sanitaires). Les lycéens des établissements publics et sous contrat passeront, quant à eux, ces matières en contrôle continu, sans stress, sans révision, et sans exposition au risque de la Covid.

    Au contraire, pour les élèves des établissements hors contrat et les candidats libres, le mois de juin sera celui de tous les dangers puisqu’ils devront passer dans des centres d’examen de grandes tailles non seulement ces épreuves de spécialité mais aussi les épreuves de tronc commun (lesquelles porteront sur deux ans au lieu d’une seule année comme c’est les cas pour les autres candidats).

    Il est difficile de comprendre ce qui pourrait justifier ce « deux poids-deux mesures », et conduire, dans les conditions sanitaires actuelles, à discriminer ces élèves ainsi et à les exposer à des risques sanitaires plus importants que leurs camarades, au terme de deux années scolaires chaotiques et éprouvantes.

    Dès que le décret sera publié (ce qui est imminent, selon le Ministère), l’association Créer son école déposera un référé suspension.

    Anne Coffinier, présidente de Créer son école:

    « En 2021, deux bacs de valeurs inégales risquent donc se côtoyer. Le bac hors contrat correspondrait alors au bac à l’ancienne, avec 100% des points obtenus en épreuves de fin d’année. Il serait plus difficile à obtenir que le nouveau bac, en vigueur dans les lycées publics et sous contrat, qui repose majoritairement sur le contrôle continu. Un double standard qui risque de pousser les élèves les plus faibles à trouver refuge dans les lycées publics, et qui pourrait bien faire du bac hors contrat un label recherché demain pour l’entrée dans les études supérieures ou le monde du travail. »

     

    Source : lesalonbeige