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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1962

  • Faire plier la Turquie.

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    L'agression opérée le 10 juin par la marine turque contre une frégate française en mission au large de la Libye pour le compte de l'organisation atlantique, constitue bel et bien  un acte de guerre. En se contentant de dénoncer un "incident qui met en lumière la mort célébrale de l'OTAN", Emmanuel Macron tente d'égarer  les esprits par une réaction verbale sans portée, dérivative et hors sujet.
     
    Dérivative, parce que l'OTAN dont la Turquie demeure un membre choyé par la pseudo-communauté occidentale, loin d'être au bord de l'agonie reste, malgré les prises de position distanciées de Donald Trump, un instrument majeur de la domination américaine et continue de pousser ses pions à l'est de l'Europe.
     
    Hors sujet, car ce que l'on attendrait d'un Président de la République française serait une mise en garde sévère, naturellement suivie d'effets si cet avertissement ultime n'était pas entendu, adressée à la Turquie contre toute nouvelle action touchant des éléments militaires ou civils de notre souveraineté nationale.
     
    La Turquie a enclenché une offensive globale visant à terme à la reconstitution de l'empire ottoman. Offensive économique au Maghreb, identitaire dans les Balkans, militaire en Libye ou Ankara soutient et arme le GNA islamiste et s'oppose frontalement au Maréchal Aftar qui bénéficie quant à lui de l'aide de l'Egypte qui reste pour la Turquie un objectif majeur à abattre. La proximité d'Erdogan avec les frères musulmans éradiqués par le Président Al Sissi et la volonté d'Ankara de peser durablement et profondément sur l'avenir de la région contiennent les ferments d'un conflit programmé.
     
    La France doit choisir son camp. 
     
    Si la France était un État national, la Turquie se verrait avertie que tout nouvel "incident" maritime mettant en cause un de nos bâtiments se traduirait par une riposte immédiate et que tout navire hostile serait coulé.
     
    La Turquie serait prévenue que toute intrusion politique visant à mobiliser sa diaspora contre les intérêts français entraînerait la rupture des relations diplomatiques et l'expulsion sans délais de tous ses ressortissants hors du territoire national.
     
    La Turquie saurait que tout chantage à l'ouverture des voies nationales serait sanctionné par des rétorsions économiques drastiques. Mais il est vrai que dans un État national, le rétablissement des frontières et la volonté d'en finir par tous les moyens avec la déferlante avant de l'inverser par la rémigration,  rendraient toute tentative en ce sens d'Ankara nulle et non avenue.
     
    Dans un État national, enfin, la France, étant sortie de l'OTAN et s'étant dotée des moyens diplomatiques et militaires de sa politique, serait libre de ses actions extérieures et de ses alliances nécessaires.
  • Pantin (93) : le syndicat Alliance dénonce une fresque comparant la Police au Ku Klux Klan

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    Par  le 23/06/2020

    « Je pense que stigmatiser la police, c’est faire de la politique et satisfaire un certain électorat. Je pense qu’aujourd’hui, quand on est élu, on doit être responsable et on ne doit pas stigmatiser la police française. Et on demande au ministre de l’Intérieur de se saisir de cette affaire puisque les fresques aujourd’hui sont en train de fleurir un petit peu partout.

    Il y a Stains, il y a également Pantin avec un policier qui a une cagoule du Ku Klux Klan sur la tête, qui est en train de pointer son arme sur un enfant qui lui tend des bonbons. Ca n’a pas sa place sur le territoire français. La police française n’agit pas de cette manière-là. Et plus on va tolérer ce genre de choses, plus on va attiser la haine envers les policiers. » […]

    Grégory Goupil, Alliance 93, France Info

    Vidéo à partir d’1h21 :

     
     
    Source : fdesouche
  • Les dessous d’Assa Traoré

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    L’étrange nébuleuse associative autour d’Assa Traoré main dans la main avec l’assurance maladie pour subventionner la subversion d’Assa Traoré : employée d’une fondation Rothschildl la nouvelle égérie « indigéniste »  de l’anti-racisme et de l’extrême-gauche aurait été en arrêt maladie bidon pendant un an si l’on en croit les révélations du journal Causeur qui titre « L’étrange arrêt-maladie d’Assa Traoré ».

    « La porte-parole du comité Vérité pour Adama était salariée de l’Oeuvre de protection des enfants juifs-Baron Edmond de Rothschild jusqu’en décembre 2019. Elle a milité pendant un an alors qu’elle était officiellement en arrêt-maladie » écrit le journaliste Erwan Seznec dans l’édition d’hier. Il souligne pareillement la mystification du discours victimaire de celle qu’il nomme « l’Angela Davis tricolore » :

    « Assa Traoré répète souvent qu’elle a appris le décès d’Adama alors qu’elle se trouvait en Croatie pour « déplacement professionnel ». C’est exact, mais à préciser. En tant qu’éducatrice spécialisée, elle encadrait avec une collègue un groupe de sept adolescents en voyage à Rabac, une station balnéaire de la côte Adriatique. Une semaine de vacances offerte à des jeunes défavorisés, ce qui cadre mal, bien sûr, avec le discours martelé par le comité Adama sur les populations racisées-abandonnées-persécutées des cités. »

    Dans un livre paru au Seuil en mars 2017 et écrit avec Elsa Vigoureux, du Nouvel Observateur, continue Causeur, Assa Traoré « n’évoque ces détails. Elle ‘remercie la fondation Opej pour sa compréhension et son soutien’, en dernière page, sans développer le sigle. Selon nos informations, ce soutien n’était pas seulement moral. Assa Traoré n’est pas retournée travailler après le décès de son demi-frère. Elle s’est mise en arrêt maladie. Un arrêt qui s’est prolongé, nous a-t-elle précisé, jusqu’en août 2017. »

    Un arrêt bien rempli à en juger par la suite de l’article :

    « [on] peut facilement vérifier qu’elle a fait preuve durant ces douze mois d’un allant formidable, enchaînant les meetings, les déplacements et les interviews. Elle reçoit Libération pour un portrait publié en septembre 2016. Le 13 octobre suivant, elle répond à Jeune Afrique. Le 5 novembre, porte-voix en main, elle anime un petit cortège place de la République, à Paris. Le 17 novembre, elle se manifeste au conseil municipal de Beaumont-sur-Oise, pour réclamer la vérité. Le 31 décembre, elle met en ligne ses vœux en vidéo sur Médiapart, à l’invitation du site. En janvier 2017, elle tient la vedette dans l’émission La Clique, de Mouloud Achour. En 2018, même énergie : elle parle à Bastamag et Reporterre, elle se déplace en banlieue. Elle fait un entretien croisé avec Angela Davis, publié par la revue Ballast, en janvier 2019. Elle est en Une des Inrocks en avril 2019 et annonce qu’elle relance sa ligne de vêtements, dans la rubrique « Où est le cool ? ». En avril 2019, elle publie un second livre chez Stock, avec l’universitaire Geoffroy de Lagasnerie. Elle termine l’année 2019 comme vedette d’une soirée de soutien réunissant l’écrivain Edouard Louis, l’économiste Thomas Porcher, l’ex-footballeur Vikash Dhorasoo, la chanteuse Camélia Jordana, la militante Rokhaya Diallo, etc. ».

    « Tout ceci est-il bien conforme avec le repos que suppose un arrêt-maladie ? » se demande Erwan Seznec de Causeur :

    « La question semble embarrasser au plus haut point l’Opej. ‘Oui, elle travaillait chez nous, mais nous avons reçu des directives du siège et nous ne devons pas en parler’, nous a répondu l’Opej de Sarcelles. Au siège, le directeur général Johan Zittoun, répond que ‘les salariés sont soumis au secret professionnel le plus strict, ce qui les empêche de divulguer la moindre information concernant [le] personnel’. Il invoque ‘l’impérieuse nécessité de préserver les travailleurs sociaux afin qu’ils restent concentrés sur leur mission quotidienne’.

    « Mission ? Assa Traoré n’aurait-elle pas plutôt bénéficié d’un arrêt de travail complaisamment prolongé ? »

    Pour quelqu’un qui se dit une victime du « racisme systémique » des Français et de l’Etat, voilà un traitement plus que bienveillant, complaisant ! Dont bien de simples Français de souche aimeraient bénéficier…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Carte de l’esclavagisme dans le Monde

    Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2020

    Par  le 22/06/2020
  • La France a rapatrié dans la nuit dix enfants de djihadistes français de Syrie

    Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2020

    Par  le 22/06/2020

    Dix enfants de djihadistes français, qui étaient retenus dans des camps de déplacés sous contrôle kurde en Syrie, ont été rapatriés en France dans la nuit du dimanche au lundi 22 juin, a annoncé le ministère français des Affaires étrangères.

    La France a procédé ce jour au retour de dix jeunes enfants français mineurs, orphelins ou cas humanitaires, qui se trouvaient dans des camps du nord-est de la Syrie, a-t-il indiqué dans un communiqué.