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À Apt (84), harcelée depuis des semaines par leur voisin africain irascible, une mère de famille a craqué et a eu une altercation avec lui et sa smala. La scène a été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux. Aussitôt un déferlement de haine s’est déclenché sur Twitter, relayé par les débiles mentaux de la Ligue de Défense Noire Africaine (LDNA), groupuscule raciste anti-blancs (voir ici et là), dont le leader se faisant appeler Egountchi Behanzina été condamné, entre autres, en 2014 à sept ans de prison pour viol sur personne vulnérable.
Une poignée d’entre-eux est venue parader, en toute impunité et en plein confinement, devant la maison que la famille française a fui après avoir reçu de nombreuses menaces de mort.
Trop de manifestations de violence qu’il ne peut supporter, aussi. « Je ne vais pas aller m’amuser à me faire cracher dessus », résume-t-il. Ce qui lui est arrivé ces derniers temps de la part de patients mécontents. Alors qu’il venait de « passer une demi-heure à les soigner ».
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Car en 1997, sa première épouse et mère de ses deux fils, qui travaillait avec lui, avait été grièvement blessée de plusieurs coups de couteau par un patient en colère. Elle est décédée cinq ans plus tard après avoir « perdu la tête ».
L’arme fatale contre le Covid19 du gouvernement : un plan de 20 millions d’euros pour booster le vélo en France. On parle de Bourg en Bresse ? Non de la quatrième puissance du monde.#Raoult
L'avion Halifax était un pionnier des bombardiers britanniques.
Pourtant épargnée jusque là par la guerre, les Toulousains connaissent l’horreur et l’angoisse du conflit mondial dans la nuit du 6 avril 1944, lorsque les alliés bombardent la ville. En quatre temps, les bombes britanniques coûteront la vie d’une soixantaine de Toulousains.
Pourtant éloigné du front, Toulouse a subit des dégâts durant la Seconde guerre mondiale. À la veille de la « libération » de Toulouse, le 19 août 1944, les bombardiers alliés ont effectué plusieurs raids sur des sites stratégiques de la ville, alors aux mains des Allemands. Les victimes, elles, sont bien Toulousaines.
Dès le 6 avril 1944, une quarantaine de bombardiers anglo-américains survolent Toulouse et visent les usines de Montaudran et de Saint-Martin du Touch. Partis d’Afrique du Nord, les appareils ont gagné Toulouse à une altitude de 1 500 mètres. Dès minuit, c’est trois quart d’heure auxquels la ville rose se voit la proie des bombes alliées. Des engins allant jusqu’à 2 000 kilogrammes. Il ne reste que des décombres, 1 000 sinistrés et 22 morts.
Un mois plus tard, dans la nuit du 2 au 3 mai, une centaine de bombardiers refont irruptions dans le ciel de la ville. Ils visent la Poudrerie, la gare Raynal, Saint-Martin du Touch, l’Arsenal et le pont d’Empalot. Les bombardements sont imprécis et de multiples projectiles s’écrasent un peu partout dans le quartier Matabiau. Cette nuit là, 45 Toulousains perdent la vie.
Ils reviennent aussi nombreux, le 25 juin suivant, s’en prenant cette fois aux aérodromes militaires allemands à Blagnac et Francazal. Aucune victime n’est à déploré, tout comme le 12 août où le quatrième et dernier raid est mené. Les dépots d’essence sont détruits et les Allemands quitteront Toulouse les 19 et 20 août 1944.
Ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du Budget, Charles Prats estime que 2,5 millions d’individus «fantômes» bénéficieraient de 30 milliards de prestations sociales indues.