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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2028

  • Toulouse : 4 fusillades en un week-end malgré le confinement

    Publié par Guy Jovelin le 01 mai 2020

    fusillades
    © Pixabay

    Toulouse deviendrait-elle Chicago ? Le confinement n’arrête pas les incidents impliquant les armes à feu. Entre règlements de compte et mystère sur les raisons de ces violences, pas moins de quatre fusillades ont été recensées en l’espace d’un week-end à Toulouse. 

    On a beau être en période de confinement, les armes sortent de chez elles. Et pas seules, les tireurs les accompagnent tout autant. En l’espace de trois jours, trois fusillades ont été répertoriées sur la ville rose, blessant trois personnes. 

    Une première fusillade vendredi soir à Bagatelle

    Vendredi soir, vers 20h30, les pompiers découvrent, rue du Lot dans le quartier de Bagatelle, un jeune homme de 18 ans touché à la gorge. La victime a été pris pour cible par un ou plusieurs assaillants quelques minutes plus tôt. Opéré dans la nuit, ses jours sont désormais hors de dangers mais le mystère demeure encore sur les raisons de son agression. Selon La Dépêche, la famille de la victime serait bien connu de la justice, notamment deux d’entre eux auraient déjà été condamnés lourdement par la cour d’assise. Mais les enquêteurs vont avoir du mal à établir les raisons de cette tentative d’homicide, puisque même la victime ou les quelques témoins ne souhaitent visiblement collaborer avec les autorités, rapporte le quotidien. L’arme n’a pas non plus été retrouvée. Le parquet a confié l’enquête au service régional de la police judiciaire de Toulouse. 

    Lire aussi : Mirail : une nuit d’émeutes en plein confinement

    Il prie dans son appartement et reçoit une balle

    Samedi soir, dans le quartier du Mirail, c’est cette fois un habitant du quartier qui a été touché par un tir. Alors qu’il priait dans sa maison, une balle aurait ricoché dans son appartement avant de le toucher à la main. Âgée de 51 ans, la victime a été transformé en urgence au CHU Purpan. Là encore, l’origine du tir n’a pas été éclaircie et on ne sait même pas si le quinquagénaire était visé, souligne La Dépêche. 

    Une heure et demie plus tard, dans le quartier d’Empalot, rue d’Antibes, une dizaine de coups de feu ont été entendus par des habitants du secteur. Selon des témoins, « une personne habillée en noir et vêtue d’un casque de moto se serait approchée d’un logement situé au rez-de-chaussé, arme à la main, avant d’ouvrir le feu », rapporte le quotidien. Une dizaine d’impacts de balle ont été relevés sur la vitre. Le locataire âgé de 54 ans, pris pour cible n’a pas été blessé. Là encore, peu de précisions autour de cette tentative d’homicide, les enquêteurs du Groupe d’appui judiciaire devront faire la lumière sur cette exécution manquée. 

    Lire aussi : La liste des quartiers sensibles de Haute-Garonne

    À Croix-Daurade, un homme dans un état grave

    Le week-end s’est conclu comme il a commencé. Vers 20h30, rue du Général Albert d’Amade (quartier Croix-Daurade), un homme a été blessé par balles. Selon des témoins, « un individu serait sorti d’une berline noire qui circulait à proximité de la victime », rapporte La Dépêche. Une dizaine de coups de feu ont été entendu. La victime a été transportée à l’hôpital et se trouverait dans un état « grave », selon le journal. L’agression aurait eu lieu près d’un point de vente de stupéfiants. L’enquête est désormais entre les mains du parquet de Toulouse. 

    La rédaction d’Infos-Toulouse

     

    Source : infos-toulouse

  • La liste des quartiers sensibles de Haute-Garonne

    Place des Faons Toulouse quartiers sensiblesBâtiment de la place des faons dans le quartier des Izards à Toulouse.

    La liste des quartiers sensibles a été mise à jour. En Haute-Garonne, pas moins de six zones sont définis par le ministère de la Ville. 

    Toulouse et Cugnaux sont principalement concernés par la liste établie par le ministère de la Ville. Six zones sont définies comme quartiers sensibles où délinquance, violences urbaines, règlements de compte, viols, trafics de drogue ou d’armes, ou encore implantation de l’islamisme bénéficient d’un terreau favorable. 

    Des quartiers où la vie est de plus en plus rythmée par les délinquants, et où la police est régulièrement prise pour cible par les trafiquants en tout genre. Des émeutes ont même éclatées épisodiquement dans ces territoires qualifiés de « non-droit » par une partie de la classe politique. Un climat dont les premières victimes sont les habitants eux-mêmes, souvent forcés de chercher à aller vivre ailleurs par tous les moyens possibles. 

    Les quartiers sensibles en Haute-Garonne

    Classés en quatre niveaux, selon la gravité de la situation, Toulouse compte pas moins de cinq zones répertoriées.

    Niveau 1:
    Toulouse: le Grand Mirail (Reynerie-Bellefontaine-Faourette-Bagatelle-Bordelongue)

    Niveau 2:
    Toulouse: Empalot
    Toulouse: les Izards

    Niveau 4:
    Cugnaux: Vivier
    Toulouse: Bourbaki
    Toulouse: Ginestous

    Lire aussi : On lui doit les quartiers du Mirail et d’Empalot

    Ailleurs en Occitanie 

    11 AUDE
    Niveau 2:
    Carcassonne: la Conte
    Carcassonne: Ozanam
    Niveau 3:
    Carcassonne: Cité saint Jacques
    Narbonne: Razimbaud

    30 GARD
    Niveau 1:
    Nimes: ZUP Pissevin-Valdegour
    Niveau 2:
    Nimes: Mas de Mingue
    Nimes: Chemin bas d’Avignon
    Niveau 3:
    Ales: les Cevennes-Prés saint Jean
    Niveau 4:
    Bagnols sur Cèze: les Escanaux
    Beaucaire: Centre
    Saint Gilles: Sabatot

    32 GERS
    Niveau 4:
    Auch: ZUP Garros

    34 HERAULT
    Niveau 1:
    Montpellier: la Paillade-Hauts de Massane
    Niveau 2:
    Beziers: la Deveze
    Montpellier: le Petit Bard-Pergola
    Sète: Ile de Thau
    Niveau 3:
    Béziers: les Arènes
    Montpellier: Cité Gely
    Montpellier: les Cevennes
    Niveau 4:
    Béziers: Centre-Faubourg
    Frontignan: Quartier Nord
    Lunel: la Roquette
    Montpellier: Pas du Loup-Val de Croze-Paul Valéry

    65 HAUTE PYRENEES
    Niveau 3:
    Tarbes: Laubadere

    81 TARN
    Niveau 3:
    Castres: Laden-Petit Train
    Niveau 4:
    Albi: Cantepau
    Albi: Lapanouse-Saint Martin
    Carmaux: Quartiers Nord (Cambous-Cerou-Europe)
    Castres: Aillot-Bisséous
    Gaillac: Vieux Gaillac

    82 TARN ET GARONNE
    Niveau 4:
    Montauban: les Chenes

    La rédaction d’Infos-Toulouse.

     

    Source : infos-toulouse

  • «Nous comptons 61.100 détenus, à la date du 23 avril, pour 61.109 places. La population détenue a ainsi diminué de 11.500 personnes depuis le 16 mars»,

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2020

    Par  le 29/04/2020

    Le nombre de détenus dans les prisons françaises a diminué de 11.500 depuis le 16 mars en raison de la crise du coronavirus, faisant chuter le taux de population carcérale en dessous de 100%, a déclaré mercredi 29 avril la ministre de la Justice Nicole Belloubet.

    «Nous comptons 61.100 détenus, à la date du 23 avril, pour 61.109 places. La population détenue a ainsi diminué de 11.500 personnes depuis le 16 mars», a annoncé au Monde la garde des Sceaux, évoquant «une situation sans précédent»«Le taux d’occupation moyen des prisons est désormais inférieur à 100% des capacités», a-t-elle poursuivi. Les établissements pénitentiaires étaient confrontés depuis des années à une surpopulation chronique, ce qui a valu à la France d’être condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) en janvier.

    Pour Nicolas Belloubet, «cette diminution s’explique majoritairement par la réduction de l’activité pénale liée à la baisse de la délinquance dans le contexte du confinement». De plus, 5300 détenus qui étaient «à quelques semaines de la fin de leur peine» ont été libérés.

  • Marseille : la police contrôle les sportifs, pas les marchés fréquentés par les immigrés

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2020

    Posté par Eric Martin  Il y a 15 heures
     
    Marseille : la police contrôle les sportifs, pas les marchés fréquentés par les immigrés

    Marché de Noailles aujourd’hui à Marseille 1er arrondissement jour de ramadan bon corona à tous

  • Une scandaleuse cérémonie religieuse à Biarritz pour les funérailles d’un patron notoirement homosexuel

    Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2020

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    Le journal La Dépêche a publié dans sa rubrique nécrologique l’annonce du décès de Jean-Philippe Ruggieri, directeur général du grand groupe immobilier NEXITY.

    L’annonce nous apprend que le défunt avait 51 ans, 2 enfants.

    Parmi les personnes qui font part du décès figure Guillaume DUJON, « son époux » (sic).

    Or, l’annonce nécrologique de ce riche défunt notoirement homosexuel signale que les funérailles étaient accompagnées d’une cérémonie religieuse à l’église de Biarritz.

    Rappelons pourtant que, selon les règles de l’Eglise catholique, il n’aurait pas pu avoir de funérailles dans une église, son homosexualité notoire confirmée par son “mariage” avec un autre homme en faisant un pécheur public selon la théologie morale et le droit canon.

    Même si l’actuel Code de droit canonique préfère l’expression “pécheur manifeste”, il est toujours stipulé dans le canon 1184 :

    Doivent être privés des funérailles ecclésiastiques, à moins qu’ils n’aient donné quelque signe de pénitence avant leur mort, les (…) pécheurs manifestes auxquels les funérailles ecclésiastiques ne peuvent être accordées sans scandale public des fidèles.

    Ce qui signifie que même un prêtre conciliaire ne pouvait accorder de funérailles ecclésiastiques à ce chef d’entreprise.

    Des catholiques ont interrogé le curé du lieu qui a répondu par la formule habituelle : les temps ont changé.

    L’évêché n’a rien trouvé à redire !!!

     

    Source : medias-presse.info