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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2263

  • Si vous n’avez pas avorté, Big Macron va s’occuper de vos bébés

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2019

    Auteur : Michel Janva

    Si vous n’avez pas avorté, Big Macron va s’occuper de vos bébés

    Notre président orwellien, qui n’a jamais eu d’enfant, a publié ce soir un tweet dont il a le secret :

    Emmanuel Macron @EmmanuelMacron

    De la grossesse aux 2 ans de votre enfant, il y a 1000 jours. 1000 jours déterminants. Rassurez-vous, personne ne naît parent. Mais pour que votre enfant parte bien dans la vie, je lance une commission qui va se pencher sur la manière de vous accompagner durant ces 1000 jours.

    Emmanuel Macron, aux côtés d’Agnès Buzyn, ministre de la santé, et du secrétaire d’État à la protection de l’Enfance Adrien Taquet, a installé ce 19 septembre une commission scientifique chargée d’élaborer un parcours dédié à la petite enfance : une « offre 1 000 jours » qui doit être lancée en 2020. Présidée par le pédopsychiatre Boris Cyrulnik, réunissant des pédopsychiatres, pédiatres, neurologues, spécialistes de l’imagerie du cerveau, cette commission doit proposer aux parents un « parcours d’accompagnement » des parents, dès le 4e mois de grossesse et jusqu’au deuxième anniversaire de l’enfant environ, avec des services et conseils dans plusieurs domaines tels que la nutrition, la prévention contre les perturbateurs endocriniens, l’exposition aux écrans des enfants, l’impact de l’arrivée de l’enfant sur le couple, la naissance d’un bébé prématuré ou en situation de handicap, la place du père, le congé parental…

    Nous sommes dans la droite ligne de l’interdiction de la fessée : l’Etat s’introduit dans nos foyers pour assister les parents dans l’éducation des enfants, jusqu’à prendre leur place…

    Le gouvernement dit s’inspirer d’exemples étrangers, comme la Finlande, qui organise pour les nouveaux parents une quinzaine de rendez-vous, y compris des visites à domicile pour détecter les problèmes familiaux.

    L’Organisation mondiale de la Santé a lancé depuis 2010 l’initiative « 1 000 premiers jours de la vie », reprise en France en 2012 par l’ONG SF-DOHaD (origines développementales de la santé), présidée par l’académicienne Claudine Junien.

    Cette commission scientifique est présidée par Boris Cyrulnik. Or, Boris Cyrulnik estime que les foetus ont une vie affective. Il aborde cette idée dans son livre “Nourritures affectives“. À quoi rêvent les fœtus ? Ce livre examine, depuis le stade fœtal jusqu’à la vieillesse, les pathologies affectives qui sont à l’origine des troubles de la socialisation des individus et donc des maux les plus flagrants de nos sociétés. En toute logique, les “1 000 premiers jours de la vie” concernent aussi les 9 mois de vie de l’enfant dans le ventre de sa mère.

    Pour rappel, Boris Cyrulnik a également combattu la théorie du genre, en traitant de “pervers” ceux qui la défendaient.

    Je pense que le “genre” est une idéologie. Cette haine de la différence est celle des pervers, qui ne la supportent pas. Freud disait que le pervers est celui qu’indisposait l’absence de pénis chez sa mère. On y est.

     

    Source : lesalonbeige

  • Les Balkany et les cornichons du rabbin

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2019

     

    Il y a quelques, une bande dessinée qui avait pour titre Le chat du rabbin connut un certain succès. Aujourd’hui, il pourrait en être fait une parodie qui s’intitulerait Les cornichons du rabbin.

    En effet, Isabelle Balkany a raconté de façon assez surréaliste la visite qu’elle a rendue à son mari Patrick, incarcéré à la prison de la Santé depuis vendredi pour fraude fiscale.

    Isabelle Balkany, maire par intérim de Levallois-Perret, a disposé de 45 minutes pour s’entretenir avec son époux dans la salle dédiée aux parloirs de la prison. Précisons d’emblée que Patrick Balkany est emprisonné dans le quartier réservé aux personnalités médiatiques du centre pénitentiaire et dispose d’une cellule individuelle notamment équipée d’un téléphone fixe avec une carte prépayée et d’une télévision.

    Le Parisien relate le récit d’Isabelle Balkany :

    “Il est très fatigué et souffre énormément de son dos mais il est médicalement très suivi et je l’ai trouvé égal à lui-même : serein et déterminé.”

    “Il explique que le plus difficile c’est le bruit, jour et nuit, mais que l’administration pénitentiaire est bienveillante et adorable.”

    Sur Europe 1, Isabelle Balkany ajoute quelques détails cocasses :

    “Il ne parle pas de la cellule, la seule chose qu’il m’a dite, c’est que la bouffe était immonde, que surtout c’était froid. Ce matin, par exemple, il a eu un steak et des pâtes glacés. Il a dit ‘je fous direct à la poubelle’. Le pain est immonde”

    “Les aumôniers ont le droit d’amener de la bouffe. L’aumônier, qui est en plus un copain du rabbin de Levallois, est venu le voir hier [mardi] matin. Il se trouve que le rabbin est ashkénaze, comme mon mari, alors le rabbin lui dit : ‘vous voulez que je vous amène quelque chose ?'”. Réponse de l’intéressé : “‘De la carpe farcie, des cornichons, et des harengs‘”. Il a fait sa commande ashkénaze au rabbin.”

     

    Source : medias-presse.info

  • Pour qui va rouler la “Convention de la droite” ?

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2019

    A quoi doit donc servir la “Convention de la droite” qui se tiendra le 28 septembre à la Palmeraie ?

    Officiellement, elle a pour objectif de “construire l’alternative au progressisme”. Mais lorsqu’on s’aperçoit que cette convention débutera à 13h “jusqu’à tard dans la nuit”, avec une trentaine d’intervenants, cela laissera de toute évidence peu de temps à des interventions fouillées. Sans compter que sur ces quelques heures de convention, des débats se tiendront avec des contradicteurs tels que le “philosophe” Raphaël Enthoven, surtout célèbre pour être l’ex de Carla Bruni épouse Sarkozy, ou le député LREM Aurélien Taché.

    Au vu du programme, cette “convention de la droite” tiendra plutôt du barnum médiatique, avec des tas de fortes personnalités cherchant à se voler la vedette. Mais pas sûr qu’on puisse y voir plus clair au sujet des idées communes défendues ni des objectifs politiques concrets ambitionnés.

    Bien sûr, tout le monde pense à l’élection présidentielle de 2022. Mais derrière quel candidat (ou quelle candidate) pourrait se rassembler cette droite-là ?

    Marion Maréchal (qui n’aime plus être appelée Le Pen) se diront certains, comme s’il s’agissait d’une évidence. Mais voilà des mois que Marion Maréchal avance puis recule ses pions au point que plus personne ne sait quelles sont ses véritables intentions politiques. Le sait-elle elle-même ? Il est permis d’en douter quand on la voit rechercher par tous les moyens l’attention médiatique tout en répétant qu’elle ne souhaite pas affronter sa tante Marine Le Pen.

    Eric Zemmour, alors, diront d’autres. C’était le vœu de son ami Patrick Buisson, ex-conseiller de Sarkozy. Mais Buisson a refusé de participer à cette “convention de la droite”. Et Zemmour semble lui-aussi indécis sur la place qu’il devra/voudra occuper en 2022.

    Laurent Wauquiez, dans ce cas, affirment quelques calculateurs. Car l’ancien président des Républicains et toujours président de la région Auvergne-Rhône-Alpes se fait discret mais ne réfléchit pas moins à la façon de revenir dans la course pour la présidentielle de 2022. Il encourage donc en douce ses amis à se rendre à cette convention. Il y voit une bonne occasion de renforcer Marion et donc d’affaiblir Marine. Selon les proches de Wauquiez, c’est la voie royale pour qu’il s’impose. Il serait d’ailleurs prêt à promettre un ministère à Nicolas Dupont-Aignan pour le rallier à son panache de nouveau “rassembleur”.

    Bref, vous l’aurez compris, au soir du 28 septembre, vous ne saurez toujours pas pour qui roule cette “convention”, chacun voyant midi à sa porte.

    Mais il y aura le show. Ivan RioufolPaul-Marie CoûteauxGilles-William Goldnadel et Gilbert Collard rivaliseront pour attirer à eux micros, caméras et photographes.

    Tout va bien, la droite est sauvée…

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Arabie saoudite engluée dans le pétrole et les armes

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2019

    Rédigé par notre équipe le 19 septembre 2019.

    Pays un des plus belliqueux et peut-être le plus dangereux de la planète, l’Arabie saoudite parvient à garder le soutien des grandes puissances. Préparation et financement du terrorisme, soutien inconditionnel de l’Etat islamique, va-t-en-guerre au Yémen et dépeceur au sein même de ses consulats, l’Arabie saoudite est un monstre que tout le monde prétend ne pas voir. Une abomination aux pieds d’argile, car une fois le pétrole touché, c’est la panique dans le désert saoudien…

    Lorsqu’en 2015, l’Arabie saoudite a commencé à couvrir de bombes son voisin yéménite, personne ou presque ne pensait que la guerre s’éterniserait. Le premier surpris n’est autre que celui qui a déclenché ce conflit : le prince héritier Mohammed ben Salmane. L’homme espérait réduire en cendres un pays qui a le malheur de compter une forte minorité chiite et malgré les milliards déversés, les exactions commises et les énormes mensonges propagés, l’Arabie saoudite est dans un bourbier qu’elle a créé. L’attaque par une dizaine de drones subie contre deux de ses installations pétrolières ce samedi 14 septembre illustre l’échec cuisant de sa politique belliqueuse et vient souligner sa grande fragilité. Malheureusement, les soutiens américains et même français sont toujours aussi fidèles au poste.

    La grande hypocrisie internationale

    Il n’y a pas que sur les sujets économiques que nos dirigeants racontent n’importe quoi. La géopolitique n’est souvent qu’un tissu de mensonges où des industriels comme les Etats-Unis et la France mettent du cœur à l’ouvrage. Du côté français, on se lave les mains des massacres commis au Yémen. La France ne fait pas partie de la coalition grotesque mis en place par l’Arabie saoudite pour y loger ses pantins. La France n’est malheureusement pas étrangère à la famine qui tue depuis de longs mois la population yéménite. Car en plus d’évacuer consciencieusement cette horreur des écrans radars, la France macronienne y participe activement avec des navires de guerre construits dans l’Hexagone et vendus à l’Arabie saoudite. Depuis des années, nos dirigeants jurent la main sur le cœur qu’aucune arme française ne sert contre le Yémen. Sauf que depuis deux jours, les preuves irréfutables et en image montrent qu’une corvette et une frégate vendues par la France participent au blocus illégal et meurtrier contre le Yémen…

    Interrogé, Matignon a lancé un ridicule et incompréhensible : « la France exerce un contrôle des exportations des matériels de guerre strict, transparent et responsable ». Si la définition des termes « strict », « transparent » et « responsable » a fortement évolué ces derniers temps, alors la position des autorités françaises est tenable. Malheureusement, la novlangue n’a pas encore atteint tous les cerveaux. Et quand on apprend par dessus le marché que la société Naval Group dont l’actionnaire majoritaire est l’Etat, continue d’assurer la maintenance de la frégate mise en cause, on comprend que la direction préfère ne faire aucun commentaire. Novlangue ou silence, l’objectif est le même : éviter de s’associer à un crime auquel les dirigeants français sont liés.

    Les autorités françaises mentent, et que dire de la diplomatie américaine ? Depuis des décennies, Washington ferme les yeux. Les attentats du 11 septembre ? Juste un coup incroyable imaginé au fond d’une grotte afghane. Le financement du terrorisme international ? Un conte pour faire peur aux enfants. L’Etat islamique ? Un ennemi de l’Arabie saoudite… Plus c’est gros plus ça passe alors, Mike Pompeo, le secrétaire d’Etat américain hurle que l’attaque contre le pétrole saoudien est l’œuvre de l’Iran… Que les Yéménites revendiquent immédiatement l’attaque, qu’ils soient déjà parvenus à frapper l’Arabie saoudite ne changent rien à l’histoire que veut s’écrire la diplomatie américaine. Le coupable désigné est Téhéran et les représailles seront terribles. Il faut quand même être arrivé dans la fange intellectuelle et morale pour déplorer un retour de bâton contre l’Arabie saoudite. A force de semer la terreur, Riyad récolte du pétrole explosif.

    Les Américains profitent de la hausse des cours du pétrole. Washington et Paris vont réussir à vendre encore plus de matériel militaire à Riyad, mais on crie sur tous les toits que la situation au Moyen-Orient est affreusement tendue et qu’on a tout fait pour l’éviter… Les Saoudiens n’ont eu droit qu’à une toute petite partie de la monnaie de leur pièce et d’autres déboires pourraient bien survenir. Officiellement, le temps est aux réparations et aux discours rassurants. Autrement dit on met une couche de sable sur le pétrole perdu dans l’attaque de drones et on affirme que la production reprendra un cours normal dès la fin du mois. Pourtant tout a changé, car les mensonges des soutiens sont exposés et la faiblesse saoudienne visible comme jamais.

     

    Source : 24heuresactu

  • Les gros mensonges de l’économie mondiale

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2019

    Rédigé par notre équipe le 18 septembre 2019.

    Dans notre univers mondialisé, le moindre événement qui a lieu à l’autre bout du monde a des conséquences parfois étonnantes et généralement négatives sur l’économie, nous dit-on. Ce schéma se vérifie une nouvelle fois avec les attaques de drones subies par l’Arabie saoudite ce 14 août. Des installations pétrolières saoudiennes touchées et c’est toute l’économie mondiale qui souffre au bout de quelques heures. Selon les discours officiels, les prix du pétrole augmentent et mettraient en danger l’économie. Ça semble logique dans l’absolu, mais cela ressemble surtout à une excuse pour justifier une trajectoire aussi famélique qu’inavouable.

    Quand les Etats-Unis vont bien tout va bien. Cette petite rengaine d’économistes biberonnés aux médias a vécu. La première puissance mondiale (ou la deuxième, les économistes ne sont même pas d’accord à ce sujet) ne donne plus le la au niveau mondial. Alors que l’économie américaine reprend des couleurs après un double mandat Obama marqué par une descente aux enfers, la trajectoire de l’économie mondiale n’est pas du tout la même. C’est doublement dommageable pour ceux qui nous disent l’économie, car ils ne peuvent pas faire du Trump bashing à ce sujet. Ils sont obligés de trouver d’autres explications à la mauvaise santé des  économies européenne et mondiale.

    Une avalanche de raisons parfois contradictoires

    Depuis un an, le conflit commercial sino-américain suscite les pires craintes chez les économistes. Les contre-sanctions succèdent aux sanctions et ce cycle sans fin ne connaît que de rares pauses que certains osent présenter comme un début de règlement pacifique d’un conflit qui les dépasse… Les hostilités entre les deux premières économies du monde font sans aucun doute des dégâts, mais personne ne sait à quel point. Les estimations sont encore moins précises que les prévisions de croissance, alors pour donner des chiffres et un impact réel, les économistes se creusent encore la tête. Et puis, il y a tellement de choses à discuter que la guerre américano-chinoise est bonne à ressortir quand on ne trouve plus d’explication facile sous le coude.

    Heureusement, en ce moment il y a l’arrêt partiel de la production de pétrole en Arabie saoudite. Le pays sème la guerre et l’horreur au Yémen (en partie avec des armes françaises) et vient de subir une petite contre-offensive sur ses installations pétrolières dans l’est du pays. Pas de morts, mais beaucoup de soucis, car sans le pétrole l’Arabie saoudite n’est rien. L’annonce de l’attaque a plongé les observateurs dans l’angoisse et dès lundi les cours du Brut se sont envolés. La loi de l’offre et de la demande avec pour victimes les consommateurs français, européens et asiatiques. Le gouvernement Philippe assure que la hausse ne sera que de « quelques centimes », mais pourquoi est-elle répercutée dès aujourd’hui alors que le pétrole dans les stations essence a été payé il y a déjà des mois ? Comme toujours, les hausses sont immédiates, les baisses très passagères et l’Etat toujours aussi goinfre avec une facture constituée à 60 % de taxes !

    Le fameux pouvoir d’achat s’étiole et on est en droit de se demander ce qu’il en reste avec des événements qui se succèdent et qui sont censés couler les économies française et européenne. Le Brexit, la crise qui ne dit pas son nom dans les pays du sud de l’Europe, une croissance française amorphe, des banques droguées à la création monétaire… La situation est catastrophique, et pour camoufler l’échec de tout un système, l’idée de balancer du fric aux particuliers pour qu’ils consomment refait surface. Bien entendu, il n’en sera rien, mais en arriver à de telles propositions montre que l’économie européenne est morte sous les coups d’une mondialisation dans laquelle la perte d’indépendance monétaire et fiscale ont été des handicaps impossibles à dépasser. Le fait est que personne ne peut prédire le futur de l’économie mondiale, mais il est certain que la France et une bonne partie de l’Europe sont parties pour se refracasser la tête la première contre le mur.

     

    Source : 24heuresactu