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Alors qu’Emmanuel Macron tente d’enfumer l’opinion publique en prétendant vouloir ouvrir le débat sur l’immigration, l’Assemblée Nationale se prépare à honorer Carola Rackete, la “capitaine” du Sea Watch, navire qui est entré de force au port de Lampedusa, au mépris des injonctions du gouvernement italien (à l’époque, Salvini était ministre de l’Intérieur) et de sa police, pour y débarquer des immigrés illégaux.
L’Assemblée Nationale la recevra comme une héroïne le lundi 23 septembre. Avec pour intention manifeste de vanter une fois de plus l’accueil inconditionnel de tous les immigrés qui souhaitent s’installer chez nous.
L’une des personnalités les plus marquantes, et aussi des plus attachantes, du mouvement national est incontestablement celle de Roger Holeindre. Militaire, il a combattu en Algérie et en Indochine ; journaliste, il a été grand reporter à travers le monde, écrivain, il a publié de nombreux ouvrages poltiques et historiques, militant, il a été l’un des responsables de la campagne Tixier-Vignancour en 1965, l’un des fondateur du FN en 1973 et il a été député de Seine-St-Denis en 1986... Aujourd’hui président du Cercle national des combattants, le CNC, il est une figure reconnue et respectée du monde combattant... Toute sa vie, il n’a eu qu’un seul idéal : la France.
Roger a eu 90 ans en avril dernier. Dans ce livre entretien réalisé avec le journaliste Arnaud Menu, il raconte sa vie, ses engagements, ses espoirs et aussi ses peines. Comme on dit souvent dans les milieux nationalistes lorsque Roger Holeindre fait trembler les murs en poussant l’une de ses gueulantes légendaires contre le Système : « et oui, c’est Roger... »
C'est Roger, entretiens réalisés avec Arnaud Menu, Les Bouquins de Synthèse nationale, 160 pages, 20 euros, sortie le 12 octobre 2019.
"Des dizaines de milliers d'agriculteurs crèvent car on n'a pas d'argent pour eux. En revanche, on ouvre la bourse pour les centaines de milliers de migrants ... L'immigration coûte des milliards." - @andrebercoff
Créés au début de l’année 2019, les Tolosates tentent de créer une structure solidaire et enracinée à Toulouse. Spécialisés dans les maraudes auprès des sans-abri, ses militants souhaitent aider « les nôtres avant les autres ».
Un article de France 3 Midi-Pyrénées a défrayé la chronique ce mardi 17 septembre. On y apprend qu’un « groupe proche des identitaires et de néo-fascistes » aurait le malheur de distribuer des sandwichs aux sans-abri toulousains. Face à cet article jugé « calomnieux », par le groupe concerné, les Tolosates ont répondu par un communiqué. Pour Infos-Toulouse, ils présentent leur vérité.
Infos-Toulouse :Qui sont les Tolosates ? Tolosates : Les Tolosates sont un mouvement humanitaire privilégiant « les nôtres aux autres ». Ce mouvement est composé de jeunes Français désireux de venir en aide aux personnes démunis. Il y a aussi bien des salariés que des étudiants.
Vous avez été l’objet de toute l’attention de France 3. Comment avez-vous réagit à la sortie de l’article ? L’article écrit par Laurent Dubois et publié sur France 3 Midi-Pyrénées ne nous a pas surpris étant donné que nous avions été approchés via notre page Facebook par cette même personne. Nous avions décidé de ne pas donner suite à ses sollicitations. Toutefois à la sortie de l’article nous avons décidé de répondre à ces propos calomnieux par le biais d’un communiqué disponible sur notre page.
Quelles sont vos actions ? Les actions mises en place sont principalement les maraudes, la prise de contact avec les sans-abri de Toulouse de façon à connaître leurs besoins et de pouvoir leur apporter une aide appropriée. Nous tenons à préciser qu’une maraude vestimentaire aura lieu courant octobre pour que les sans-abri puissent faire face à l’hiver qui arrive.
Comment organisez-vous vos maraudes ? Est-ce une façade présentable ? Nos maraudes sont organisées sur notre temps libre et avec nos propres moyens financiers et les dons que nous pouvons recevoir. Les Tolosates ne sont pas une façade c’est une communauté qui vient en aide aux plus démunis en adoptant une préférence nationale.
« Les Tolosates n’ont absolument aucun lien avec Génération Identitaire »
Autre chose, le journaliste met en avant vos goûts pour les sports de combat. Qu’en est t’il ? « Un esprit sain dans un corps sain » est l’un de nos slogans. En effet, des formations intellectuelles comme physiques sont mises en place afin d’acquérir une qualité de mode de vie en accord avec nos valeurs.
On vous accuse d’être proche de la section toulousaine de Génération Identitaire ? Avez vous des liens ? Nous n’avons absolument aucun lien avec Génération Identitaire.
On vous prête également des liens avec un mouvement « néo fasciste » d’après France 3. Qu’en est-il réellement de vos contacts avec les autres mouvements ? Nous avons des contacts avec des mouvements Français et Européen qui ont la même cause que la nôtre.
Quels sont les projets des Tolosates ? Nos projets à court terme sont de continuer à aider les plus démunis, de leur apporter encore plus de solidarité. À moyen terme, de pouvoir mettre en place une cellule d’aide pour les formalités administratives et une aide au relogement. Enfin, à long terme nous souhaitons ouvrir un local pour faciliter nos démarches d’aides, pour pouvoir faciliter nos distributions alimentaires et vestimentaires.
Grande-Bretagne – The Sun signale que le projet d’interdiction de manger du chien ou du chat est bloqué par crainte d’offenser les populations immigrées originaires d’Extrême-Orient.
Le ministère de l’Environnement voulait faire inscrire dans la loi que la possession de viande de chien ou de chat constituait une infraction pénale. Michael Gove, l’ancien ministre du département de l’Environnement, de l’Alimentation et des affaires rurales l’avait ordonné durant l’été bien.
Le Sun a cependant révélé que des fonctionnaires sont intervenus pour bloquer cette mesure. Le député Giles Watling s’est entendu répondre par le ministère de la Justice qu’une des raisons de ce blocage résidait dans le fait que le gouvernement ferait preuve d’ »insensibilité culturelle » s’il dictait aux autres communautés ce qu’il est permis de manger.