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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 695

  • Le président de la Fédération allemande des enseignants : « Plus il y a d’immigrés, plus les résultats scolaires sont mauvais »

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

    « Plus il y a d’immigrés, plus les résultats scolaires sont mauvais »

    Pourquoi les écoles allemandes sont-elles si mauvaises en comparaison avec le reste du monde (30e place) ? Une étude récente de l’Institut de recherche économique (Université de Munich) montre que 23,8% de tous les élèves “n’atteignent pas les compétences de base qui devraient être transmises à l’école”.

    Le président de la Fédération allemande des enseignants, Heinz-Peter Meidinger, parle clairement : “Une cause décisive de la baisse des performances dans les écoles primaires est l’augmentation de plus de 50% de la proportion d’élèves issus de l’immigration au cours des dix dernières années“. Selon Meidinger, plus leur proportion est élevée, “plus le niveau de performance est bas, du moins en général – c’est ce qu’ont montré les études de PISA”.

    Meidinger a également souligné : “Si une grande partie de la classe n’est plus du tout en mesure de suivre l’enseignement, l’enseignant doit bien sûr abaisser les objectifs. Le niveau de performance des enfants non issus de l’immigration diminue alors également”.

    (…) Bild.de via fdesouche

  • Twitter dissout l’ensemble de son bureau à Bruxelles, suscitant l’inquiétude de l’UE en matière de contrôle des contenus en ligne

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

    Twitter a démantelé l’ensemble de son bureau de Bruxelles, suscitant l’inquiétude de responsables européens qui se demandent si la plateforme respectera les nouvelles règles strictes de l’Union européenne en matière de contrôle du contenu en ligne.

    Julia Mozer et Dario La Nasa, qui étaient chargés de la politique numérique de Twitter en Europe, ont quitté l’entreprise la semaine dernière, selon cinq personnes ayant connaissance de ces départs.

    Ils avaient dirigé les efforts de l’entreprise pour se conformer au code de désinformation de l’UE et à la loi sur les services numériques, entrée en vigueur la semaine dernière, qui fixe de nouvelles règles sur la manière dont les grandes entreprises doivent assurer la sécurité des utilisateurs en ligne.

    D’autres cadres de Twitter dans le petit mais vital bureau de Bruxelles, considéré comme un canal crucial pour les décideurs européens, avaient quitté l’entreprise au début du mois lors des réductions de personnel qui ont entraîné la suppression de la moitié de ses 7 500 employés.

    Mozer et La Nasa ont survécu à la réduction initiale des effectifs, mais ne travaillent plus dans l’entreprise depuis que le nouveau propriétaire, Elon Musk, a lancé un ultimatum la semaine dernière pour que le personnel s’engage à adopter une “culture de travail hardcore”. Il n’est pas clair si les deux hommes ont démissionné ou ont été licenciés.

    Musk et La Nasa ont refusé de faire des commentaires. Twitter n’a pas répondu aux demandes de commentaires.

    Les départs de Bruxelles sont symptomatiques d’une tendance mondiale, de l’Inde à la France, où des cadres locaux de Twitter qui occupaient des postes clés pour traiter avec des représentants du gouvernement ont brusquement quitté l’organisation ces dernières semaines dans le cadre de réductions généralisées.

    Cette situation a suscité une inquiétude croissante quant à la question de savoir si l’entreprise dispose du personnel nécessaire pour assurer le respect des lois locales destinées à contrôler le contenu en ligne, ce qui pourrait exposer l’entreprise à des poursuites judiciaires et à des mesures réglementaires.

    “Je suis préoccupé par la nouvelle du licenciement d’une si grande quantité de personnel de Twitter en Europe”, a déclaré au Financial Times Věra Jourová, vice-présidente de l’UE en charge du code de la désinformation. “Si vous voulez détecter et prendre des mesures efficaces contre la désinformation et la propagande, cela nécessite des ressources.

    “En particulier dans le contexte de la guerre de désinformation russe, j’attends de Twitter qu’il respecte pleinement la législation européenne et honore ses engagements. Twitter a été un partenaire très utile dans la lutte contre la désinformation et les discours de haine illégaux et cela ne doit pas changer.”

    Financial Times via fdesouche

  • Saint-Ouen (93) : son logement squatté depuis des années, ce septuagénaire handicapé et diabétique entame une grève de la faim. “Je me suis toujours tenu à carreau, mais là j’ai envie de prendre le fusil”

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

    Son logement secondaire à Saint-Ouen est occupé illégalement depuis 17 ans par plusieurs squatters. Une décision de justice de janvier 2022 ordonne l’expulsion des occupants. Pourtant, rien n’a changé pour Marcel Correia, 74 ans. Face à l’immobilisme des services de l’Etat, cet habitant de Badens invalide et diabétique a commencé une grève de la faim lundi 21 novembre.

    Je me suis toujours tenu à carreau, on m’a toujours appris le respect, mais là, j’ai une envie, c’est de prendre le fusil.” Ce cri de désespoir, c’est celui de Marcel Correia, un septuagénaire vivant à Badens, qui s’est mis en grève de la faim lundi 21 novembre pour protester contre le squat de sa résidence secondaire à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). 

    Cet ancien expert-comptable qui avait “investi pour sa retraite” dans cet appartement, divisé en cinq sous-logements, ne peut plus en jouir depuis 17 ans. Les précédents locataires qui ne payaient plus leurs loyers depuis des années et des années ont laissé place en 2020 à un groupe de sept squatters, sommés par une ordonnance de janvier 2022 du tribunal de Saint-Ouen, que nous avons pu consulter, de quitter les lieux. Mais depuis presque un an maintenant, malgré des lettres de relance à la mairie et au ministère de l’Intérieur, des constats d’huissier, des demandes de réquisition de la force publique… la situation n’a pas évolué.

    (…) Le retraité est contraint de vivre à Badens, chez ses enfants, qui possèdent une exploitation viticole. “Le pompon, c’est quand j’ai appris que je devais payer trois années de taxe foncière, alors que je n’ai pas la jouissance du bien, et qu’on m’a prélevé directement sur ma caisse de retraite“, développe le septuagénaire pour justifier de sa réaction tardive, 17 ans après. Une taxe dont il a d’ailleurs demandé l’allègement… cela lui a été refusé. 

    Les tentatives de dialogue avec les occupants sont quasiment nulles et les seules visites entre les deux parties sont celles des huissiers de justice. “Ils ont mis un gros chien dans la cour“, assure Karine, sa nièce. Il s’agit même de trois “chiots de type molossoïde“, comme le relate un des constats d’huissier. D’autres constatations font état de la présence de trois femmes et quatre hommes, dont certaines personnes “très agressives et refusant de coopérer“.

    (…) L’Indépendant via fdesouche

  • Épidémie de nominations: « Emmanuel Macron n’a pas créé le recasage » mais « il l’a perpétué, amplifié […] trahissant par là même ses promesses »

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

    […]

    Chaque mercredi, le compte-rendu du Conseil des ministres ressemble, pour une bardée de ministres ou parlementaires déchus, au tirage du Loto. L’heureuse élue de la semaine s’appelle Amélie de Montchalin.

    L’ancienne ministre, économiste de profession, a été nommée ambassadrice, représentante permanente de la France auprès de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Fin juin, elle perdait son siège de députée et – en conséquence – son poste de ministre de la transition écologique.

    Cinq mois plus tard, après avoir été envoyée par la rumeur dans plusieurs ambassades européennes, Amélie de Montchalin a trouvé chaussure à son pied. Et la chaussure est confortable: un bureau dans le XVIe arrondissement de Paris, moyennant une rémunération de haut fonctionnaire et des avantages en nature.

    Le destin étant bien fait, la ministre qui est devenue diplomate mercredi est celle qui a mis en œuvre la suppression du corps diplomatique, au printemps dernier.

    L’élue essonnienne, battue en juin dernier, n’est pas la première gagnante de la grande loterie macroniste. Avant elle, nombre des soutiens du chef de l’État se sont vu remercier de leur engagement par des nominations de consolation.

    Fidèle parmi les fidèles, Christophe Castaner a reçu l’honneur d’un double atterrissage la semaine dernière. L’ancien ministre de l’intérieur a été nommé président du conseil d’administration d’Autoroutes et tunnel du Mont-Blanc, deux jours après avoir été nommé au conseil de surveillance du Grand Port maritime de Marseille (GPMM).

    […]

    Jean Castex […] président de la RATP […]

    Emmanuelle Wargon […] à la tête de la Commission de régulation de l’énergie […]

    Agnès Buzyn […] Cour des comptes […]

    Brigitte Bourguignon […] inspectrice générale des affaires sociales […]

    Florence Parly : selon Les Échos et La Tribune, l’ancienne ministre des armées devrait prendre la présidence d’Air France-KLM au printemps 2023 […]

    Pierre-Olivier Costa, directeur de cabinet de Brigitte Macron, dirige depuis le 12 novembre le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem), sur nomination du chef de l’État dont il était (aussi) le conseiller spécial.

    Un choix présidentiel qui a surpris, sinon indigné, dans les milieux culturels, où personne n’avait jusque-là entendu parler de l’intérêt de Pierre-Olivier Costa pour les civilisations méditerranéennes. Quant à Didier Lallement, l’ancien préfet de police de Paris, il est désormais secrétaire général à la mer – lui non plus n’avait jamais affiché de passion pour la biodiversité marine ou l’aquaculture.

    Évacuons d’emblée un argument facile, régulièrement exhumé: non, Emmanuel Macron n’a pas créé le recasage, vieille pratique de la vie politique française. Il l’a simplement perpétué, amplifié à certains égards, trahissant par là même ses promesses de «République exemplaire» et de réinvention démocratique. […]

    Le pire exemple de cela se trouve peut-être au Conseil constitutionnel. S’il est une institution qui devrait résister aux pressions politiques et aux soubresauts de l’instant, c’est bien celle de la rue de Montpensier. Emmanuel Macron y a nommé en mars une de ses ministres, Jacqueline Gourault, trois ans après y avoir casé Jacques Mézard, un autre membre du gouvernement.

    […]

    Médiapart via fdesouche

  • Népal : Près de 20% de la population privée de droits civiques par les autorités afin d’éviter un Grand Remplacement

    Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2022

    Ces trois Népalais de 20, 22 et 32 ans sont nés sur ces terres de l’extrême sud du pays, mais ils y vivent aujourd’hui comme des immigrés clandestins. «Je ne peux pas ouvrir de ligne téléphonique ou de compte en banque à mon nom, hériter des terres de mes parents, avoir un permis de conduire ou un travail légal», énumère, désespéré et le regard sombre, Suraj Chaudhary, celui du milieu. L’administration refuse de lui fournir un certificat de citoyenneté, document indispensable pour se voir octroyer la nationalité népalaise. Comme ses amis d’infortune, Suraj est apatride dans son propre pays. «Ma mère est népalaise, mais mon père est indien, donc les autorités ont refusé de me reconnaître comme népalais.» Le Népal a une conception patriarcale de la transmission de la nationalité népalaise : selon la Constitution de 2015, toute personne née de père népalais obtient la nationalité automatiquement par le droit du sang, alors que si la mère est népalaise et le père étranger, l’enfant ne peut prétendre qu’à une «naturalisation», souvent compliquée, voire impossible à obtenir. Elle dépend du bon vouloir d’une administration tatillonne et elle-même patriarcale.

    (…)

    Ses deux parents sont pourtant népalais, mais son grand-père paternel ne l’était pas, ce qui a justifié un refus de l’administration. Une étrange et restrictive interprétation de la loi, qui serait particulièrement appliquée à la population des provinces frontalières de l’Inde. Physiquement, ces Népalais des plaines ressemblent davantage aux Indiens qu’aux Népalais des montagnes de Katmandou, aux yeux plus bridés. Arjun Kumar Sah, le vétéran du trio, âgé de 32 ans, a une expérience parlante et traumatisante de cette discrimination. «Quand je suis allé réclamer mon certificat de citoyenneté, le responsable administratif du district m’a renvoyé brutalement, en me lançant : “Vous, les Indiens, vous voulez envahir notre pays et devenir plus nombreux que nous. Vous voulez nous remplacer pour nous diriger !”»

    (…)

    Le gouvernement népalais ne communique pas de chiffres sur le nombre de personnes affectées – et refuse même de parler d’«apatrides» – mais une étude du Forum pour les femmes, la loi et le développement a calculé qu’en 2011, 23 % de la population de plus de 16 ans ne disposait pas de certificat de citoyenneté, ce qui la prive de ses droits civiques, comme enregistrer un mariage ou une naissance, voter ou ouvrir un compte en banque. La situation législative n’ayant pas évolué depuis, l’association estime qu’environ 6,7 millions de Népalais vivent aujourd’hui dans cet enfer administratif perpétuel, qui détruit leurs rêves d’avenir.

    (…)

    Pour Bhim Rawal, député du PCN-MLU et ancien ministre de l’Intérieur, cette précaution peut se justifier : «Cette question de l’accès à la citoyenneté a un enjeu géopolitique important, car le Népal est entouré par les deux pays les plus peuplés du monde, l’Inde et la Chine. Nous devons donc être très vigilants vis-à-vis de cette question démographique.» Cette crainte de l’invasion, voire du «remplacement», est particulièrement dirigée contre les Indiens, car la frontière indo-népalaise est ouverte, sans besoin de visa pour la traverser, et que les deux populations sont culturellement très proches – même religion hindoue majoritaire et langue similaire. Les échanges et les unions sont donc courants. A la différence de la Chine, dont la frontière est filtrée, l’accès bloqué par la chaîne de l’Himalaya et avec qui la culture est éloignée. Les mariages entre Népalais et Chinois sont donc rares.

    Libération via fdesouche