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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 742

  • Auterive (31) : Une famille à bout de nerfs vit sous le caillassage nocturne de sa maison par une bande de jeunes. “Ces jeunes nuisent au vivre-ensemble de notre commune”, déplore le maire

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

    Depuis de longues semaines, une bande de jeunes, pour le moment impossibles à appréhender, font vivre un véritable enfer à une famille des beaux quartiers d’Auterive.

    La première fois, c’était à la fin de l’hiver, lors des vacances de février. Depuis, à chaque période de congés scolaires, ça recommence. « Ils arrivent un peu avant minuit et là c’est l’enfer, ça caillasse pendant près de 2 heures », raconte Muriel, une quadragénaire installée ici avec son mari et sa fille, dans l’un des nouveaux quartiers plutôt huppés d’Auterive.

    Difficile d’imaginer sur ce balcon résidentiel à l’atmosphère benoîte qu’un déferlement de violence et de bêtise vienne soudain s’abattre la nuit venue. Une violence qui fait froid dans le dos quand on fait le tour extérieur du propriétaire et que l’on relève les profonds éclats dans les murs, les volets, les parois…

    (…) « On connaît ces jeunes qui nuisent au vivre-ensemble sur notre commune. On les attrape parfois », confie René Azéma, le maire d’Auterive. « Attraper », c’est justement ce qu’auraient suggéré à Muriel et Ludovic les gendarmes, en une sorte de self-défense. « Oui, on m’a dit de mettre des caméras et d’attraper moi-même ces jeunes », affirme Ludovic, qui se dit prêt à s’armer d’objets pour passer à l’action.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Entre 2017 et 2019, 22394 personnes ont fait une demande de titre de séjour en France pour trouble psychiatrique

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

     

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    Haut Conseil de la santé publique (PDF)

  • Quand une journaliste évoque les frappes ukrainiennes sur les hôpitaux, censure en direct sur BFM TV

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

    Quand une journaliste évoque les frappes ukrainiennes sur les hôpitaux, censure en direct sur BFM TV.

    Quand Anne-Laure Banse, la reporter de BFM à Kherson, explique que les Ukrainiens bombardent Kherson, les hôpitaux et la ville, 3 secondes plus tard, antenne coupée: « Ah, on a perdu Anne-Laure ! ».

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1582650582350721028

     

  • Dans les Yvelines, 5 600  primo-arrivants apprennent le français pour une « intégration réussie »

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2022

    Le principal frein à une intégration réussie : l’absence de maîtrise de la langue française.  Pour lutter contre cet obstacle, la ville et l’État encouragent son apprentissage grâce à des cours du soir. Dans les Yvelines, 5 600 primo-arrivants suivent des cours de français.

    En arrivant en France pour retrouver son épouse, Souleiman s’est heurté à plusieurs difficultés. Il a par exemple loupé son examen du Code de la route. Puis s’est retrouvé incapable de corriger les devoirs de sa fille. Pour se défaire de ce handicap quotidien, ce diplômé en comptabilité a étudié le Français dans une association de Mantes-la-Jolie. « Au début c’était difficile : dans mon pays, la deuxième langue c’est l’Anglais, pas le Français ! » précise-t-il.

    Ce jeune Pakistanais de 29 ans est désormais intégré à un dispositif reconnu par l’État : le projet d’accueil et d’intégration. Le premier de ces contrats en Île-de-France vient d’être signé à Mantes-la-Jolie. Ces contrats, c’est un peu « l’école de la France ».

    Pour faire simple, il s’agit d’accompagner des personnes étrangères afin de favoriser leur intégration. Plusieurs vecteurs sont utilisés comme l’accès au logement, au travail… Dans cette commune de presque 43 000 habitants où 26 % de la population est de nationalité étrangère, c’est l’apprentissage du Français qui a été retenu comme facteur principal d’intégration.

    Cinq associations ont été retenues pour enseigner la langue aux « primo-arrivants » via des cours du soir. La municipalité est chargée de mailler le territoire et de faciliter le travail des associations. L’État, lui, contribue financièrement et met à disposition ses services. « Dans une ville comme Mantes-la-Jolie, on peut s’appuyer sur un très riche tissu associatif. Nous avons les moyens d’épauler beaucoup de monde », assure Pascal Courtade, préfet délégué pour l’égalité des chances. Dans les Yvelines, 5 600 primo-arrivants suivent des cours de français, mais à travers plusieurs dispositifs. « L’idée, c’est créer un guichet unique pour faciliter son accès », résume Pascal Courtade.

    Et ensuite ? Ensuite, direction l’emploi. Depuis une vingtaine d’années, élus et pouvoirs publics assument plus facilement leur volonté d’optimiser l’intégration des migrants à des fins économiques. C’est encore plus vrai avec les tensions durables sur le marché de l’emploi. […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Prêtre tué, étudiante violée : avant le meurtre de Lola, la non-exécution des OQTF a déjà fait scandale

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2022

    La situation administrative de Dahbia B., principale suspecte du meurtre atroce de la jeune Lola, fait polémique. Depuis le 21 août dernier, cette Algérienne de 24 ans était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). La veille, elle était interpellée à l’aéroport d’Orly par les services de police qui constataient alors le défaut de son titre de séjour. Une OQTF, sans rétention, lui était délivrée dans la foulée avec un délai de départ volontaire de trente jours.

    Plusieurs crimes et délits récents ont impliqué des individus faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire. Le 9 août 2021, un prêtre catholique – le père Olivier Maire -, était tué en Vendée par un Rwandais de 40 ans qui lui assénait de violents coups à la tête. Le suspect, Emmanuel Abayisenga, avait été visé par trois arrêtés de reconduite à la frontière depuis son arrivée, illégale, en France en 2012. Un an avant le meurtre, en juillet 2020, il avait été arrêté après avoir incendié la cathédrale de Nantes. Autre affaire retentissante : l’agression sordide d’une étudiante de 20 ans, à Angers, le 31 août 2020. La jeune femme avait été séquestrée, frappée et violée chez elle. Son agresseur présumé, Erjan I., avait déjà été condamné au moins six fois depuis 2018 pour vols avec effraction, outrages, rébellion ou encore agressions sexuelles. Deux interdictions de territoire avaient été prononcées à son encontre. Mais le trentenaire, qui se déclarait de nationalité kosovare, n’avait pas été expulsé. Dans la nuit du 20 au 21 mai 2021 à Palaiseau, une retraitée de 69 ans s’était retrouvée nez à nez avec des cambrioleurs, deux Algériens de 19 et 21 ans en situation ­irrégulière. L’un d’eux, sous le coup d’une OQTF, l’avait violée sous la menace d’un couteau.

    Délinquance des étrangers 

    Autre exemple récent : un refus d’obtempérer à Grenoble, dans la nuit du 4 au 5 octobre, durant lequel la passagère d’un véhicule a été tuée dans des échanges de tirs avec des policiers. Le conducteur, un Marocain de 30 ans, avait ouvert le feu sur les fonctionnaires avant de prendre la fuite. Cet individu avait été condamné en 2012 à huit ans d’emprisonnement pour des tirs sur des policiers près d’Avignon alors qu’il était recherché pour braquage. Sorti en 2020 et à nouveau recherché pour avoir marché dans les rues de La Tour-du-Pin (Isère) avec un fusil d’assaut, il était visé par une obligation de quitter le territoire. S’il ne faisait pas l’objet d’une OQTF, le terroriste islamiste tunisien Ahmed Hanachi, qui avait tué deux jeunes femmes à l’arme blanche gare Saint-Charles à Marseille en 2017, était également en situation irrégulière. Interpellé pour le vol d’un blouson à Lyon deux jours avant l’attentat, il n’avait pas pu être placé en centre de rétention car la personne de permanence à la préfecture du Rhône, ayant autorité pour signer l’obli­gation de quitter le territoire, était absente.

    […]

     

    Le Figaro via fdesouche