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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 834

  • C’était un 14 septembre…

    Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2022

    Robert Brasillach se présente volontairement à la préfecture de police de Paris, afin d’obtenir la libération de sa mère, arrêtée le 25 août dans le seul but de l’obliger à se livrer.
    Bien qu’il n’y ait pas de mandat d’arrêt contre lui, il est transféré au camp de Noisy le Sec, puis, le 15 octobre à Fresnes. On lui reproche ses articles dans Je suis partout.
    En prison, il écrit, en moins de cinq mois, un essai sur André ChénierLe dialogue des Frères ennemis, un Chœur parlé pour la journée des absents, une Lettre à un soldat de la classe 60.

    Ne se faisant aucune illusion sur le résultat des recours déposés par son avocat ou de la demande en grâce signée par les plus grands écrivains français et adressée au général De Gaulle, il attend son exécution dans sa cellule.
    Robert Brasillach termine les Poèmes de Fresnes, avec les chaînes au pied, dans la cellule des condamnés à mort. Ils sont écrits alors que l’auteur n’a ni stylo ni papier. Il avait réussi à se procurer une plume qu’il cacha dans une pipe et du papier qu’il arrachait d’un carnet. C’est par son avocat que ces poèmes sont sortis de Fresnes.

     

     

    Pour des livres de Brasillach et sur lui, cliquer ici.

     

    Source : contre-info

  • Nouveau décret gouvernemental: Les Hongroises obligées d’écouter le coeur du foetus avant de pouvoir avorter

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    lesobservateurs

    Les Hongroises obligées d'écouter le coeur du foetus avant de pouvoir avorter Les femmes enceintes souhaitant avorter en Hongrie devront au préalable être confrontées «d'une manière clairement identifiable» par leur obstétricien aux «fonctions vitales» du foetus. C'est ce que prévoit un amendement publié tard lundi soir au Journal officiel.

     

    Extrait de: Source et auteur

  • Allemagne : la police démantèle un réseau de trafic d’êtres humains syriens, soupçonnés d’avoir aidé des combattants de Daech à entrer dans le pays

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    Les autorités allemandes ont annoncé le démantèlement d’un réseau de trafic d’êtres humains. Les criminels syriens auraient fait passer la frontière à des jeunes compatriotes. Particulièrement choquant : Des combattants de Daesjh auraient également été introduits clandestinement en Allemagne.

    Mardi matin, 400 agents de la police fédérale allemande ont perquisitionné 20 appartements attribués aux membres et aux aides d’un gang syrien de trafiquants d’êtres humains. Au centre de l’opération : les petites villes de Korbach et Frankenberg, où six mandats d’arrêt ont été exécutés par les forces spéciales de l’unité d’élite GSG9. Selon les investigations, au moins trois des suspects étaient même armés. L’accusation : gang et trafic commercial d’étrangers.

    Le gang de trafiquants syriens, composé d’au moins huit hommes et d’une femme, était bien organisé. Au moins une voiture “éclaireur” roulait en tête, à la recherche de fourgons de police. Puis ils étaient suivis par des camionnettes et des fourgons transportant des migrants illégaux. Les hommes payaient entre 400 et 2000 euros pour passer clandestinement la frontière allemande.

    Au total, le gang serait responsable d’au moins 147 entrées illégales et aurait perçu 177 000 euros pour celles-ci. Le témoin dont le témoignage a déclenché l’enquête est désormais également soupçonné d’être impliqué dans les affaires de son ex-petit ami. Elle aurait elle-même effectué au moins un transit avec des migrants depuis la frontière entre la Pologne et le Bélarus jusqu’en Allemagne. La femme (28 ans) a également déclaré que son ex-petit ami syrien avait même fait venir d’anciens combattants d’IS en Allemagne. Les autorités n’ont cessé d’enquêter sur ces soupçons, mais sans succès jusqu’à présent.

    Exxpress via fdesouche

  • La CAF atteste qu’une famille du Bas-Rhin composée d’un couple et de leurs dix enfants a bien reçu 5789,53 euros de diverses allocations sociales au mois d’août

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    Au moment où le débat sur l’assistanat est étrangement relancé par le secrétaire général du Parti communiste, Fabien Roussel, qui défend «une gauche du travail et pas des allocs», une photographie partagée sur les réseaux sociaux génère l’indignation de certains internautes, qui dénoncent les «allocations généreuses transférées de la poche de ceux qui travaillent du matin au soir vers celle de ceux qui sont au foyer et au chômage».

    L’image présente une feuille de prestations supposément versée par la CAF du Bas-Rhin au mois d’août 2022, et dont le montant total des prestations atteint 5 789,53 euros. Selon le détail présenté sur cette feuille, la famille a bénéficié de l’aide personnalisée au logement (APL), de l’allocation de base de prestation d’accueil du jeune enfant (Paje), de l’allocation de rentrée scolaire ainsi que des allocations familiales avec conditions de ressources et du revenu de solidarité active (RSA).

    Contactée par CheckNews, la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) indique que cette feuille est authentique et correspond bien à une famille vivant dans le Bas-Rhin. Elle précise qu’il s’agit d’une famille composée «d’un couple et de leurs dix enfants, âgés de 0 à 19 ans». Les parents sont tous deux bénéficiaires du RSA, et leurs enfants sont tous à charge.

    […]

     

    Libération

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  • Kaddour Merad

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    Il y a deux jours, le «comédien» Kad Merad déplorait la baisse de la fréquentation dans les salles de cinéma. Les gens ne vont plus dans les salles obscures, c'est dramatique à ses yeux, il tire la sonnette d'alarme : le cinéma français va mourir !
    Deux jours plus tard, c'est-à-dire demain, sort le film Citoyen d'honneur, avec Kad Merad. C'est l'histoire d'un écrivain algérien qui vit en France et qui souhaite s'en retourner aux sources, dans son pays d'origine.
    Voilà Kad, voilà en grande partie pourquoi le cinéma français crève : parce qu'il le mérite. Parce que vos films dégoulinants de moraline gauchiste, vos leçons de vie de bobos, vos thèmes un million de fois répétés à l'écran, on n'en peut tout simplement plus.
    Ce ne sont pas les spectateurs-déserteurs qui tuent le cinéma français, c'est vous qui, film après film, ajoutez un clou supplémentaire à son cercueil. Et bon débarras !