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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 832

  • Yvelines : trois hommes soupçonnés d’avoir détourné 650.000 euros dans une fraude au chômage partiel pendant la crise du Covid-19

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022

    Soupçonnés de fraudes au chômage partiel, trois hommes ont été interpellés par la police judiciaire et devront s’expliquer l’année prochaine devant le tribunal judiciaire de Versailles (Yvelines). Les enquêteurs de la police judiciaire les soupçonnent d’avoir détourné environ 650.000 de fonds publics entre avril 2020 et janvier 2021. Quatre autres personnes, suspectées de les avoir aidés à blanchir ces sommes, comparaîtront à leurs côtés.

    La crise sanitaire a profité à de nombreux malfaiteurs, bien décidés à profiter des aides versées par l’Etat. Deux frères originaires de Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines, et leur cousin originaire du sud de la France, sont suspectés d’avoir commis, durant plusieurs mois, des escroqueries au chômage partiel. A la clé : près de 650.000 euros de fonds publics détournés, indique à 20 Minutes une source policière. Les trois hommes devront s’expliquer en janvier 2023 devant le tribunal judiciaire de Versailles, aux côtés de quatre personnes soupçonnées de les avoir aidés à toucher ces sommes d’argent.

    C’est un renseignement transmis par Tracfin – le service de renseignement de Bercy – qui a conduit le parquet de Versailles à saisir la division de lutte contre la criminalité financière de la police judiciaire de la ville. Les enquêteurs identifient très vite les trois hommes et découvrent le système élaboré qu’ils avaient mis en place entre avril 2020 et janvier 2021. « Ce montage consistait à créer des dossiers fictifs pour se faire indemniser pour le chômage dans le cadre de la crise sanitaire », décrypte une source policière. Pour blanchir cet argent, un autre montage, « un peu plus complexe », avait été mis en place avec l’aide de membres de leur famille ou d’amis d’enfance. En tout, 650.000 euros ont transité sur des comptes bancaires, en France ou à l’étranger.

    En mai 2021, la PJ passe à l’action et interpelle les trois hommes, déjà connus de leurs services. Lors des perquisitions, les policiers mettent la main sur 30.000 euros en liquide, et saisissent la même somme sur des comptes bancaires. Originaires de Rennes et d’Ile-de-France, plusieurs personnes, soupçonnées d’être complices des escroqueries, ont été convoquées et auditionnées par les enquêteurs. Elles aussi devront s’expliquer à la barre du tribunal judiciaire de Versailles l’année prochaine.

    20 minutes via fdesouche

  • « Je suis ici aujourd’hui parce que je n’appellerais pas un garçon une fille » : en Irlande, un enseignant envoyé en prison pour outrage au tribunal, il refusait d’utiliser le pronom « iel » à propos d’un élève transgenre

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022


    Enoch Burke a été incarcéré à la prison de Mountjoy pour outrage au tribunal après avoir dit à un juge qu’il ne respecterait pas une ordonnance du tribunal l’empêchant de se rendre au travail alors qu’il était suspendu, affirmant que cela violerait ses croyances religieuses.

    L’instituteurs’est opposé à une demande d’emprisonnement de l’école de l’hôpital Wilson, déclarant: « J’aime mon école. Je suis ici aujourd’hui parce que je n’appellerais pas un garçon une fille. ». Il a dit au juge Michael Quinn : « Ce n’est pas quelque chose que je ferai. C’est en violation de ma conscience. »

    Le chrétien évangélique a été suspendu à plein salaire le 24 août en attendant l’issue d’une procédure disciplinaire après s’être heurté au directeur et au conseil d’administration de l’école au sujet d’une demande que les enseignants s’adressent à un élève transgenre sous un nouveau nom et utilisent le pronom « il » (he) au lieu de « iel » (they).

    Cependant, il a continué à se présenter au travail, ce qui a incité le pensionnat diocésain de l’Église d’Irlande à demander et à obtenir une injonction interlocutoire de la juge Siobhan Stack mercredi dernier l’empêchant de venir dans ses locaux de Multyfarmham, dans le comté de Westmeath, jusqu’au 7 septembre.

    Malgré cet ordre, il continuait à venir à l’école chaque matin. Cela a conduit à une nouvelle demande du conseil d’administration, et Mme la juge Miriam O’Regan a ordonné vendredi que M. Burke soit arrêté et traduit devant le tribunal aujourd’hui.

    Rosemary Mallon, avocate du conseil d’administration de l’école, a déclaré au juge Quinn qu’il ne cherchait pas à punir M. Burke, mais cherchait simplement à le contraindre à respecter l’ordre de se tenir à l’écart de ses locaux. « C’est le cœur lourd que l’école a dû présenter cette demande », a-t-elle déclaré.

    L’avocat a déclaré que le propre récit de M. Burke satisfaisait à la norme pénale de preuve au-delà de tout doute raisonnable qu’il avait violé l’ordonnance et continuerait à le faire.

    M. Burke, qui se représentait lui-même, était assis à l’avant du tribunal sur un banc réservé aux avocats principaux après avoir été invité à le faire par le juge. Il a confirmé que s’il n’était pas emprisonné, il avait l’intention de se présenter au travail à l’école demain matin.

    Le juge Quinn a déclaré que la seule question dont il pouvait se préoccuper était de savoir s’il y avait eu violation délibérée de l’ordonnance de Mme le juge Stack et qu’il ne pouvait pas se préoccuper des questions soulevées par M. Burke au sujet de sa suspension.

    Le juge a déclaré qu’il n’était pas contesté que M. Burke ne s’était pas conformé à l’ordonnance et qu’il était convaincu que l’enseignant était coupable d’outrage au tribunal.

    « J’ordonne qu’il soit incarcéré à la prison de Mountjoy et qu’il y reste jusqu’à ce qu’il purge son outrage ou jusqu’à ce qu’il rende une nouvelle ordonnance de ce tribunal », a déclaré le juge Quinn.

    Plus tôt, M. Burke avait déclaré au tribunal: « Je suis enseignant et je ne veux pas être en prison. Je veux être dans ma classe aujourd’hui. »

    M. Burke a serré dans ses bras son père Sean et son frère Isaac, qui regardaient depuis le corps du tribunal, avant d’être emmenés par la garde.

    […]

     

    Independent via fdesouche

  • Metz : un automobiliste de 50 ans meurt après une agression à coups de nunchaku

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022

    fdesouche

    Koba 06/09/2022 à 13h17

    Une bagarre a éclaté vendredi dans le quartier de Vallières à Metz entre deux automobilistes. L’un d’eux est décédé à l’hôpital des suites de ses blessures. Une enquête est ouverte.

    Un homme est mort à Metz des suites d’une altercations. Les faits se sont déroulés vendredi 2 septembre dans le quartier de Vallières. Pour une raison encore inconnue, deux automobilistes ont échangé des insultes et des coups, rue de la Corchade.

    L’un des deux protagonistes, un homme âgé de 50 ans selon le Républicain Lorrain, a été hospitalisé et il a succombé deux jours plus tard à ses blessures.

    (…) France Bleu


    Un mort après une rixe au nunchaku entre automobilistes

    Une altercation entre automobilistes, survenue vendredi après-midi, a viré au drame. Pour une raison encore inconnue, les violences ont succédé aux mots. Blessé et inconscient, un des protagonistes, âgé de 50 ans, est décédé à l’hôpital dimanche.

    (…) Le Républicain Lorrain

  • Covid-19. Retour du masque, vaccination… Un projet de loi très controversé en Allemagne

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022

    Covid-19. Retour du masque, vaccination… Un projet de loi très controversé en Allemagne

     

    Par Nicolas Faure, spécialiste de l’Allemagne et traducteur (à ne pas confondre avec Nicolas Faure d’I-Média et Sunrise !) ♦ Le 3 août dernier, le gouvernement allemand a proposé un projet de loi sur la « protection contre les infections » visant à contrer une nouvelle vague de coronavirus annoncée pour cet automne. Depuis le mois de juin, les « experts » s’attendent à ce que l’augmentation du nombre d’infections par le coronavirus en automne et en hiver pèse à nouveau lourdement sur le système de santé en Allemagne et sur les infrastructures critiques pour la population et l’État allemand. Les ministres allemands de la Santé Karl Lauterbach (SPD) et de la Justice Marco Buschmann (FDP) ont donc présenté au début du mois des mesures pour contrer le Covid-19, mesures qui devraient être applicables dès le mois d’octobre prochain.

     

    Une énième campagne de vaccination (avec différents vaccins) est donc prévue dans un plan en sept points. « L’objectif est de combler de manière ciblée les lacunes en matière de vaccination », a déclaré Karl Lauterbach.
    Le port du masque devrait être à nouveau obligatoire dans les magasins et les administrations, toujours à partir du mois d’octobre pour se protéger contre le coronavirus. Il est également prévu dans cette proposition que les Länder allemands puissent prendre eux-mêmes la décision de manière plus autonome, le cas échéant.

    Le durcissement de cette loi sur la « prévention des infections » se heurte à de plus en plus de critiques. « Ostensiblement, c’est un mauvais choix », a commenté le député CDU Erwin Rüddel à la radio Deutschlandfunk. Lauterbach sème la panique dans toute l’Allemagne, alors que nous devrions avoir un « automne et un hiver relativement calmes concernant le coronavirus », a déclaré ce membre de la commission de la santé du Bundestag.

    Lire cette vidéo sur YouTube.

     

    La CDU/CSU, le FDP et l’AfD critiquent les nouvelles restrictions Covid-19

    Au sein du groupe parlementaire du FDP, des voix s’élèvent également pour demander à Lauterbach et Buschmann de corriger le tir. « Je ne comprends pas pourquoi, par exemple, l’obligation de porter un masque à l’extérieur pourrait être instaurée », a déclaré le vice-président du Bundestag Wolfgang Kubicki (FDP) au journal Die Welt. Son collègue de groupe Frank Schäffler, lui, s’irrite de la possibilité de réintroduire l’obligation de porter un masque dans les écoles.

    « Je suis certain que la loi sur la protection contre les infections ne trouvera pas de majorité dans sa forme actuelle », a promis le député Christoph Hoffmann (FDP). Le projet que Lauterbach et Buschmann ont négocié est un texte consensuel qui permettra aux Länder d’imposer à nouveau, à partir du mois d’octobre, des obligations très strictes relatives au Covid. Ils pourront par exemple renforcer l’obligation de porter un masque dans les bus, les trains et les avions.

    Rejet cinglant de l’AfD

    Le projet de Lauterbach de limiter à l’avenir le statut vaccinal à trois mois a suscité une indignation particulière. « Le fait que Lauterbach puisse même contraindre les citoyens à accepter un abonnement de vaccination de trois mois avec les dispositions absurdes, discriminatoires et pratiquement inapplicables de sa proposition de loi pousse à l’extrême l’irrationalité et le mépris du citoyen par la folle politique de santé de ce gouvernement », s’est insurgée Alice Weidel, présidente du parti et du groupe parlementaire AfD.

    « Nous demandons également la suppression de toute obligation de port de masque et de test. Il est prouvé que les masques ne protègent qu’insuffisamment contre l’infection – mais ils contiennent en revanche des composants qui nuisent considérablement aux porteurs en cas d’utilisation prolongée. Cela vaut tout particulièrement pour les enfants et les adolescents, qui comptent déjà parmi les plus grands perdants du fanatisme affiché par le ministre de la Santé en matière de vaccination », toujours selon Weidel.

    Comme on pouvait s’y attendre, le ministre de la Justice Buschmann (qui est pourtant membre du FDP) n’a pas tenu sa promesse en matière de liberté et il semble bien que le « ministre de la Panique » Lauterbach veuille s’imposer, en force, et sur toute la ligne.

    Il faut dire qu’aucune des prédictions apocalyptiques de Lauterbach ne s’est réalisée ces dernières années. Le système de santé n’a pas été surchargé à cause de la pandémie, et l’Allemagne n’a pas non plus enregistré une augmentation du nombre des décès, si l’on tient compte de l’évolution démographique.
    On a l’impression que la « pandémie » n’est qu’un prétexte pour imposer, à nouveau à l’automne, la restriction des libertés fondamentales normalement garanties par la Constitution. Car les Allemands sont confrontés à de véritables problèmes qui n’ont plus rien à voir avec le Covid-19, mais qui résultent bel et bien d’une politique gouvernementale exclusivement motivée par l’idéologie.

    Tout comme en France depuis plusieurs mois, il faut arrêter les mesures coercitives inutiles, superflues et nuisibles dans leur intégralité et dans toute l’Allemagne, et rendre aux gens leur propre responsabilité en matière de protection de la santé.
    Pour rappel, selon un récent sondage INSA, 58 % des Allemands déclarent ne pas vouloir se faire vacciner tous les trois mois, comme le préconise Lauterbach.

    Nicolas Faure
    06/09/2022

     

    Source : polemia

  • Le 5 septembre 1944, débutait le martyre de la ville du Havre : 2 000 habitants tués par les Anglais, une garnison allemande indemne

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022

    Posté par Eric Martin  Il y a 7 heures

    Le 5 septembre 1944, débutait le martyre de la ville du Havre : 2 000 habitants tués par les Anglais, une garnison allemande indemne