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Un homme qui se prend pour une femme dans une prison pour femmes du New Jersey a mis enceintes deux codétenues, incitant les autorités à le transférer dans un autre établissement.
En 2021, le New Jersey a adopté une loi permettant aux prisonniers d’être logés conformément à leur identité de genre choisie.
Le grand maître du Grand Orient de France Georges Serignac déclare dans un entretien :
[…] La liberté de conscience a été beaucoup travaillée à la fin du 19e siècle et au début du 20e dans les loges. Il y a eu également tout le progrès sur les droits de la femme de disposer de son corps, la contraception, l’abolition de la peine de mort. Tout cela a été travaillé en loge.
Aujourd’hui, nous travaillons sur tout ce qui est la bioéthique, le transhumanisme, le développement durable. Nous travaillons sur le temps long. Nous avons des commissions et des loges qui travaillent sur toutes ces questions. Dans le cadre de l’égalité hommes-femmes, nous travaillons sur la lutte contre la violence faite aux femmes, la prise en compte de la problématique des migrants. Il y a aussi les problèmes écologiques. Il faut que les sociétés prennent en compte d’une manière à la fois humaniste et généreuse ces questions. On ne peut pas faire comme si c’était un non-sujet. Les francs-maçons doivent s’en saisir et faire des propositions à travers le travail dans les loges. […]
Quels sont vos rapports avec l’Eglise catholique ?
Aujourd’hui, l’épiscopat français a parfaitement admis la laïcité républicaine. À travers ce qu’on a pu ressentir, elle n’en est plus un adversaire. Plus du tout. Il n’y a plus de conflit. Il y a quand même certains éléments de l’Église plus à droite, même très extrême, qui la remettent en question. La position officielle de l’archevêque de Paris, le primat des Gaules, les grands leaders qui ont toujours eu un discours sans ambiguïté tiennent aujourd’hui des discours tout aussi sans ambiguïté qui ne sont plus en conflit avec la laïcité, et même avec la franc-maçonnerie. […]
On ne prend pas position politiquement. Jamais sauf contre l’extrême-droite, le totalitarisme, la xénophobie, ce qui se trouve dans nos règlements généraux. Il est inconcevable que nous prenions des positions partisanes puisque nous avons parmi nos membres des gens de toutes les tendances politiques, au nom de leur liberté de conscience, donc également politique. La franc-maçonnerie n’est pas un parti politique. C’est, en revanche, un rempart républicain par rapport aux grands principes, l’idée maçonnique étant indissociable de l’idée républicaine.
Au-delà de cela, les grands principes républicains peuvent s’appliquer partout parce qu’ils sont universels. Liberté, égalité, fraternité sont la devise républicaine, et celle du Grand Orient. Ce sont des principes universels. Nous faisons un effort considérable pour garder notre indépendance par rapport aux partis politiques. Nous considérons que nous sommes plus forts lorsque nous sommes libres. […]
Rappelons que le jugement négatif de l’Eglise sur les associations maçonniques demeure inchangé, parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’Eglise, et l’inscription à ces associations reste interdite par l’Eglise.
Les mis en cause ont nié avoir été à l’origine des feux. Ils invoquent une confrontation avec des agresseurs à coups de mortiers en sortant de soirée.
Ils étaient quatre mis en cause. Trois d’entre eux viennent d’être reconnus coupables d’être à l’origine des feux déclenchés samedi dernier aux Sables-d’Olonne (Vendée). L’un d’entre eux a été incarcéré mercredi, rapporte France Bleu.
Les trois prévenus sont des vacanciers, pour la plupart sans emploi. Celui qui a été incarcéré l’a été en raison de son casier judiciaire, il avait déjà écopé d’une peine qu’il n’avait pas purgée. Il a été condamné à 24 mois de prison dont 14 mois de sursis assortis d’un sursis probatoire.
Les mis en cause, âgés de 20 à 23 ans ont nié avoir été les auteurs des feux. Ils assurent avoir été agressés lors d’une sortie entre amis par deux jeunes. L’agression aurait impliqué des mortiers et l’un des artifices serait tombé sur la plage arrière de leur voiture.
Une dizaine de feux dans la région
Quelques minutes plus tard, une autre confrontation à coups de mortiers aurait eu lieu avec ces mêmes jeunes, ont plaidé les mis en cause.
C’est un des plus grands succès des Rolling Stones. Le premier morceau de leur célèbre album Sticky Finger, le plus vendu de l’histoire du groupe. Le single qui a occupé la première place du classement Billboard Hot 100 aux Etats-Unis, la deuxième au Royaume-Uni. Depuis sa sortie en 1971, les Stones ont interprété Brown Sugar lors de chaque tournée. Charlie Watts, le batteur du groupe mort à la fin d’août, l’a jouée lors de son dernier concert, et elle aurait été sa dernière chanson avec les Stones sans les rappels de Gimme Shelter et Satisfaction.
Mais le titre et ses paroles controversées faisant explicitement référence à l’esclavage ne sont plus au programme. Comme le relève le Los Angeles Times,Brown Sugar ne figure plus sur la liste des chansons jouées lors des concerts du « No Filter Tour » depuis que la tournée, qui porte l’emblématique groupe anglais aux quatre coins des Etats-Unis, a repris après avoir été interrompue par le Covid-19. Interrogé sur les raisons de cette absence, le guitariste Keith Richards a répondu : « Je ne sais pas. J’essaie de comprendre avec les filles où est le problème. N’ont-elles pas compris que c’est une chanson qui parle des horreurs de l’esclavage ? Mais elles essayent de l’enterrer. Je ne veux pas entrer en conflit avec toute cette merde en ce moment. »
Brown sugar, avec son texte polysémique qui traite tout à la fois de l’esclavage, de la drogue et de sexe, a toujours suscité la controverse quant à ses interprétations et provoqué le scandale. Cette chanson, qui se serait appelée « Black Pussy » (« chatte noire ») si Mick Jagger ne s’était pas ravisé, est entièrement l’œuvre du chanteur du groupe, auteur à la fois des paroles – écrites en quarante-cinq minutes lors du tournage de Ned Kelly, de Tony Richardson, en 1969 – et du célèbre riff de guitare qui ouvre le morceau.
De quoi est-il question ? D’une femme noire réduite en esclavage, violée et battue par ses maîtres blancs qui vantent ses mérites sexuels ? D’une métaphore de la consommation d’héroïne, aussi appelée « brown sugar » ? Ou les paroles évoquent-elles les relations que Mick Jagger a eues avec des femmes noires ? Interrogé sur la question en 1995 dans le magazine Rolling Stone, le chanteur répondait : « Dieu sait de quoi je parle dans cette chanson. C’est un tel fourre-tout. Tous les sales sujets d’un seul coup. » (…)
Quand on est sort de prison et qu’on ne respecte pas les termes de sa conditionnelle, que l’on fait en plus l’objet d’une obligation de quitter le territoire et que l’on vient d’acheter du cannabis, il est normal de détaler quand on aperçoit la police.
Younes, 26 ans, a pris les jambes à son cou, dès qu’il a aperçu la voiture de la bac de Perpignan. C’est bien sûr la meilleure manière de se faire remarquer. Un policier pique un sprint pour le rattraper, il l’agrippe par l’épaule, mais le fuyard se dégage et envoie le poursuivant sur un poteau de véranda, il se blesse assez sérieusement. Un deuxième fonctionnaire le rejoint. Le suspect se défend, il serre l’agent à la gorge et se dégage. Il faudra le renfort d’un 3e policier pour enfin le maîtriser.