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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 996

  • La Russie demande la levée des sanctions pour éviter une crise alimentaire mondiale

    Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2022

    Un haut diplomate russe a exigé mercredi la levée des sanctions visant Moscou comme condition pour éviter une crise alimentaire mondiale du fait du blocage des exportations de céréales ukrainiennes depuis le début de l’offensive du Kremlin.

    « La résolution du problème alimentaire passe par une approche coordonnée, impliquant notamment la levée des sanctions qui ont été instaurées contre les exportations russes et les transactions financières », a déclaré un ministre adjoint des Affaires étrangères, Andreï Roudenko, cité par les agences de presse russes. Il a également exigé « le déminage par Kiev » des ports de la mer Noire pour que les navires puissent exporter les céréales. À cet effet, le diplomate a affirmé que la Russie était « prête à assurer un couloir humanitaire » aux bateaux.

    Quatrième exportateur mondial de maïs

    Réputée pour ses terres noires très fertiles, l’Ukraine était avant l’offensive le quatrième exportateur mondial de maïs et en passe de devenir le troisième exportateur de blé. Mais le conflit a bouleversé la production agricole ukrainienne et la Russie est accusée par Kiev et les Occidentaux d’empêcher les exportations de céréales via la mer Noire, suscitant le risque d’une grave crise alimentaire mondiale.

    Mardi soir, l’armée russe a, elle, accusé l’Occident de chercher « à sortir le plus vite possible les céréales d’Ukraine (…) sans craindre ce qui se passera dans le pays une fois les réserves de céréales épuisées ».

    Source

  • L’enfer du confinement chinois

    Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2022

    « Aucun écrivain de science-fiction dystopique n’aurait imaginé tomber aussi juste. Les témoignages que publie Le Parisien [sur abonnement – NDCI], ce dimanche 22 mai, glacent le sang, et ce n’est pas une métaphore abusive. Le journal s’est rendu à Roissy, à l’arrivée d’un vol en provenance de Shanghaï. Accueillis avec une émotion comparable à celle de la fin d’une prise d’otages ou d’une longue détention, les expatriés racontent ce qui pourrait bien devenir notre quotidien un de ces jours.

    Harcelés par des drones qui leur diffusaient en permanence, dans les airs, le message « Restez chez vous », réveillés au petit matin par des tests PCR obligatoires, interdits de sortie au point que les ascenseurs avaient été murés, les Français qui ont pu quitter la Chine, au prix de multiples contrôles, ont bien failli devenir fous. Les règles, ajustées quartier par quartier, ont elles aussi flirté avec la folie, comme il convient dans un régime totalitaire.

    La Chine de Mao massacrait les oiseaux, celle de Xi Jinping interdit, quand bon lui semble, les livraisons de nourriture. Les habitants des quartiers confinés, affamés, hurlaient dans leur appartement transformé en prison. Lorsqu’un cas positif était détecté dans un immeuble, la police chinoise embarquait tout le monde dans un centre de rétention.

    Ces centres, qui ont été documentés par d’autres articles, sont une préfiguration du purgatoire : masque 24 heures/24, même pour dormir ; éclairage permanent ; dortoirs à perte de vue, sans la moindre intimité ; tests PCR réguliers… À quoi bon, nous demandons-nous, avec cette bienheureuse nonchalance méditerranéenne qui ne nous a pas encore quittés. Le Covid n’est pas la peste noire. Les masques en extérieur ne servent pas à grand-chose. Les vaccins ne durent pas longtemps et ne protègent, nous dit-on, que des formes graves.

    Le spectacle que nous a offert notre pays, ces deux dernières années, laisse la porte ouverte à de telles dérives et n’est guère à notre honneur : auto-attestations, dénonciations, agents zélés de la SNCF, slogans infantilisants… la seule différence entre nous et la Chine ne résiderait-elle pas dans le degré de professionnalisme ? Nous manquons de pratique et de volontarisme dans l’asservissement de la population, mais notre gouvernement a prouvé qu’il ne manquait pas de motivation.

    Il faut lire cet article, ainsi que ceux qui parlent de « conseils amicaux » diffusés par mégaphone dans les rues de Shanghaï ou de menaces de dégradation du passe sanitaire : en Chine, le refus de test ou de dose supplémentaire ferme l’accès à certains droits. Ce qui nous sauvera, c’est peut-être l’amateurisme anarchique de notre administration. Ah si, aussi : l’esprit « Gaulois réfractaire ». Vous y croyez encore ? »

    Source

  • Pap Ndiaye en 2021 : “La Suisse ne peut pas s’exonérer d’une histoire qui a des liens avec le vaste monde colonial”

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2022

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    Invité jeudi dans La Matinale, Pap Ndiaye, nouveau directeur du Musée national de l’histoire de l’immigration à Paris, estime qu’il nécessaire de “poser calmement et scientifiquement” des questions qui ont “pendant longtemps été mises sous le tapis”, comme la colonisation ou l’esclavage.Il y a quelques jours, le “New York Times” qualifiait Pap Ndiaye (lire encadré) de “Quiet Revolutionary”, le révolutionnaire tranquille. A 55 ans, il a été nommé par Emmanuel Macron en février à la tête du Palais de la Porte Dorée, qui héberge le Musée national de l’histoire de l’immigration et un aquarium tropical, à Paris. “Loin de ces polémiques politiques, un musée de l’histoire de l’immigration présente plutôt cette question dans une longue perspective historique depuis le XVIIIe siècle, en ce qui nous concerne. Le travail des scientifiques et des historiens nous permet de prendre la bonne distance par rapport à des questions qui sont souvent mal traitées dans la vie publique.”

    Selon lui, la Suisse “ne peut pas s’exonérer d’une histoire qui a des liens avec le vaste monde colonial”, qui se déploie à partir du XVIe siècle: “La Suisse n’a pas de passé colonial, au sens où elle n’a pas eu d’empire, mais tous les pays d’Europe ont été liés à l’histoire coloniale des Européens par des relations commerciales ou des investissements de marchands suisses, y compris dans la traite transatlantique.”

    Question sur la statuaire publique

    Faut-il déboulonner les statues liées à l’esclavagisme dans les villes? Entre déboulonner ou garder, le débat est “un peu simple”, selon Pap Ndiaye. Il prend l’exemple de la statue du général Lee, partisan de l’esclavage dans le sud des Etats-Unis, à Richmont, en Virginie. “On peut imaginer un entre-deux qui consiste à conserver la statue, mais à l’accompagner de dispositifs qui détournent le sens originel. Il ne s’agit plus de glorifier un partisan de l’esclavage – ce serait ridicule – mais de montrer que ce général a joué un rôle néfaste dans l’histoire du pays. La présence même de cette statue a plus d’intérêts mémoriels aujourd’hui que sa disparition pure et simple”, juge-t-i

    (…)

    Spécialiste des Etats-Unis et des minorités

    “Ma nomination est d’abord due à mon travail d’historien, j’ai une longue carrière d’universitaire, une carrière à l’international”, expliquait Pap Ndiaye lors d’un entretien à l’AFP. Mais je ne suis pas aveugle à la question du symbole, à laquelle je ne tourne pas le dos. Je m’assume tel quel avec ma couleur de peau et je sais que ma nomination ouvre le champ des possibles à de nombreux enfants non-blancs“, poursuivait-il.

    (…)

    RTS

  • « Protégez vos familles bande de mécréants. Je vais vous trancher la gorge comme en Syrie. » : Un Biscarrossais (40) condamné à six mois en semi-liberté, pour menaces mais relaxé de l’apologie du terrorisme

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2022

    fdesouche

    […]

     

    Dans la nuit du 21 au 22 mai, excédé par le bruit de ses voisins, il leur vomit des insanités pendant plus d’une heure. Avec deux bouteilles de vodka dans le cornet, il récite l’encyclopédie de l’insulte de A à Z agrémentée de quelques références à Daech. « Protégez vos familles bande de mécréants. Je vais vous trancher la gorge comme en Syrie. Je vais boire votre sang. » En face, le groupe de jeunes fêtards, plus hilare qu’inquiet, filme la scène.

    Le magistrat cherche à vérifier si l’apologie du terrorisme est établie. Selon la jurisprudence, le délit n’est constitué que si le prévenu tente de recruter ou de vendre le terrorisme. Sinon, il s’agit de simples menaces. « J’y connais rien du tout. Je n’ai même pas d’origine arabe ou rien, affirme maladroitement le prévenu. Je suis un Espagnol normal. » Pour le parquet, les propos proférés en public peuvent constituer une apologie. Il requiert dix-huit mois de prison dont dix avec sursis.

    « La qualification dépasse la personnalité réelle. C’est plus pathétique qu’autre chose », estime, pour la défense, Me Camille Fournier-Guinut. L’avocate rappelle que son client, en voie de réinsertion, « revient de loin sur le plan pénal ». « Il faut une sanction de nature à lui permettre de décrocher de l’alcool. Ce n’est pas un fou dangereux. » Le tribunal est de cet avis. Relaxé de l’apologie de terrorisme, le trentenaire écope au total de six mois de prison ferme et de trois avec sursis. Il purge sa peine en semi-liberté*.

    Sud-Ouest

    *La semi-liberté est un régime d’exécution des peines privatives de liberté, permettant au condamné d’exercer à l’extérieur de l’établissement pénitentiaire une activité professionnelle, de suivre un enseignement, une formation professionnelle, un stage, de suivre un traitement médical, de participer à la vie de sa famille, tout autre temps disponible étant nécessairement passé à l’intérieur de la prison.

    Wikipedia

  • Rodéo : l’indécence en roue arrière au Festival de Cannes

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2022

    26 Mai 2022, 10:42am | Publié par Thomas Joly

    Chaque année, le gratin culturel du progressisme se retrouve sur la Croisette pour ce qui est devenu l’incontournable rendez-vous du cinéma mondial : le Festival de Cannes. Chaque année sa petite provoc’. Cette édition 2022 du festival au tapis rouge nous a livré son lot de bonnes surprises progressistes. Irruption d’une Femen lors de la montée des marches, plaidoyer pour une Amérique plus inclusive par le réalisateur James Gray ou encore introduction de la « Queer Palm Lab », un appel à projet dédié uniquement aux LGBT… Parmi toutes ces joyeusetés cinématographiques, il en est une qui a particulièrement fait parler d’elle, il s’agit du film-documentaire Rodéo réalisé par Lola Quiveron, jeune réalisatrice homosexuelle qui ne cache pas son intention « d’effacer les stéréotypes de genre » dans ses films.

    Rodéo : un plaidoyer pour l'illégalité et les rodéos sauvages

    Rodéo raconte l'histoire d’une jeune femme, au « genre » « ni féminin ni masculin » et qui s’éprend d’une passion pour la « Bike Life », cette activité motorisée qui consiste à rouler très vite et à faire toutes sortes d’acrobaties au guidon d’une moto ou d’un scooter. Le tout, le plus souvent,> sur des voies publiques.

    Sorte de plaidoyer pour l’illégalité et les rodéos sauvages, le film de Lola Quiveron incarne parfaitement la vision fantasmagorique qu’ont certains réalisateurs français de la banlieue et de la « street culture ». Ils ressuscitent la lutte des opprimés contre les oppresseurs, et la réalisatrice ne s’en cache pas. Dans une interview accordée à Konbini, Lola Quiveron explique qu'en France, « on parle de rodéos urbains ou sauvages, mais ce sont des imageries qui sont réactionnaires ». Elle ajoute : « Quand on cherche à faire du bruit, c’est qu’on veut être entendu. » Évidemment, tout le monde sait que ces bandes de jeunes qui roulent en motocross à 150 km/h et menacent la vie des passants ou des automobilistes français à chaque instant ne cherchent qu’à être « entendus ». Ce petit jeu très drôle a fait des morts innocents à Libercourt, Nantes, Amiens, Clermont-Ferrand, Toulouse...

    L’affaire aurait pu en rester là. Après tout, qui s’étonne aujourd’hui de voir les princes et divas du cinéma mondial, tenants du progressisme le plus décomplexé, distribuer leurs cachetons de moraline à ceux qui veulent bien les gober ?

    Mais Lola Quiveron insiste avec indécence, toujours dans cet entretien pour Konbini, accuse la police de « causer les accidents en prenant en chasse les bikers ». Ne vaudrait-il pas mieux les laisser faire ce qu’ils veulent ? Après tout, ils ont besoin d’être « entendus ». Ce n’est pas l’avis de Michel Thooris, délégué syndical à France Police-Policiers en colère, interrogé par Boulevard Voltaire : « C’est toute une profession qui est insultée, juge-t-il. Ces propos sont diffamants envers la police nationale. Ils sont également mensongers : je voudrais rappeler à cette réalisatrice que nous n’avons plus le droit de prendre en chasse les auteurs de rodéos sauvages. » Exaspéré, le policier ajoute : « On ne peut imputer ces morts à la police ; ce sont ces personnes qui décident de mettre leur vie en danger, mais aussi celles des autres. D’autant plus qu’ils sont rarement pilotes professionnels, ce sont eux et seulement eux qui décident de jouer avec la vie. »

    Diffamantes et trompeuses, les paroles de la réalisatrice Lola Quiveron n’ont, finalement, rien de vraiment disruptif. Depuis quelques années déjà, le Festival de Cannes se politise et fait la part belle aux provocations venues de la gauche. Cette année, nos policiers en auront donc fait les frais, dans un silence assourdissant des pouvoirs publics. Alors que l’actuel climat d’insécurité en France fait peser une menace toujours plus lourde sur les forces de l’ordre et sur les Français, Gérald Darmanin n’a pas eu un seul mot pour ceux que cette réalisatrice accuse d’être des meurtriers.

    Geoffroy Antoine

    Source : http://bvoltaire.fr