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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin

  • Non à l’éducation sexuelle obligatoire à l’école : la France doit respecter les enfants et les droits des parents

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2025

    Non à l’éducation sexuelle obligatoire à l’école : la France doit respecter les enfants et les droits des parents

    De l’ECLJ :

    Cette rentrée scolaire est marquée par l’application du nouveau programme d’éducation à la sexualité, imposé à tous les établissements publics et privés, de la maternelle au lycée.

    Nous l’avons étudié avec attention et la réalité est indéniable: le contenu de ce programme est scandaleux.

    Il ne s’agit pas d’une simple présentation de la vie affective, neutre et bienveillante pour améliorer la santé des enfants. C’est un programme de promotion de la sexualité précoce, qui pousse les enfants à faire tout type d’expérience, y compris le «questionnement de genre» en faisant du consentement et du désir les seuls axiomes de moralité à respecter.

    Il oblige les enfants à parler de leur intimité, à aborder les questions de puberté et de sexualité bien avant d’y être confrontés et enseigne aux enfants tous les stéréotypes féministes contre les hommes, le mariage, la grossesse, etc.

    Ce programme dit EVARS (Éduquer à la Vie Affective et Relationnelle et à la Sexualité) est obligatoire, contient des objectifs de notions à acquérir et fait l’objet d’évaluations. Or qui dit évaluation dit réponse juste ou fausse. Le caractère normatif de ce programme est donc indéniable: il vise à banaliser les relations sexuelles précoces sous toutes leurs formes.

    Le gouvernement a choisi d’imposer ce programme à tous les établissements scolaires au mépris du droit fondamental des parents, les premiers éducateurs, de donner à leurs enfants une éducation conforme à leurs convictions religieuses et philosophiques.

    Même les établissements privés sous contrat sont obligés d’appliquer ce programme d’éducation à la sexualité; les parents ne peuvent pas obtenir pour leurs enfants une dispense de ces cours et n’ont aucun droit de savoir quels supports pédagogiques seront utilisés, ni le contenu précis ni la date des séances.

    C’est inadmissible et contraire aux droits naturels des parents, garantis en droit international.

    C’est pourquoi l’ECLJ va saisir un comité des Nations unies: le Comité des droits économiques, sociaux et culturels chargé de faire respecter un Pacte international qui oblige les États «à respecter la liberté des parents et, le cas échéant, des tuteurs légaux, de choisir pour leurs enfants des établissements autres que ceux des pouvoirs publics, […] et de faire assurer l’éducation religieuse et morale de leurs enfants, conformément à leurs propres convictions.»

    Juristes pour l’Enfance avec d’autres associations françaises et des centaines de parents avaient saisi le Conseil d’État pour qu’il annule ce programme avant son application. Cette juridiction de plus en plus inféodée à la «gauche» n’a pas rempli son office et a approuvé ce programme EVARS.

    Face à ce déni de droit, l’ECLJ va porter la requête de ces associations à l’ONU pour faire respecter la morale et les droits des parents.

    Nous avons besoin de votre soutien pour obtenir une réaction forte de ce Comité. Signez et partagez dès à présent cette pétition pour soutenir ce recours international:

    la France doit respecter les enfants et les droits des parents

    Le droit des parents d’instruire et d’éduquer leurs enfants est remis en cause de manière systématique par les gouvernements français. Aujourd’hui, dans la loi, les parents sont relégués au rôle de «membres de la communauté éducative» (L.111-4 Code de l’éducation). Il est temps de réagir.

    Alors que l’immense majorité des parents est insatisfaite de l’école publique, l’État cherche à interdire l’école à la maison, ferme ou bloque l’ouverture des écoles privées hors-contrat dès qu’il en a l’occasion et oblige les établissements privés à s’aligner sur toutes les dérives du public.

    L’ECLJ déposera sa requête auprès du Comité des Nations unies dans un mois.

    C’est une véritable procédure effective que nous avons déjà initiée par le passé et qui peut réellement pousser l’Éducation nationale à revoir sa copie.

     

    Source : lesalonbeige

  • Racisme anti-blancs: Première victoire pour l’AGRIF dans l’affaire de Crepol

    Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2025

    Racisme anti-blancs: Première victoire pour l’AGRIF dans l’affaire de Crepol

    Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

    Dans l’affaire de CREPOL, le juge d’instruction de Valence et, en appel, la Chambre de l’instruction de Grenoble avait déclaré l’AGRIF irrecevable en sa constitution de partie civile.

    La chambre criminelle de la Cour de cassation vient de casser l’arrêt de la Chambre d’instruction de la Cour d’appel de Grenoble du 10 septembre 2024 en toutes ses dispositions, et l’affaire a été renvoyée devant la même chambre de l’instruction, autrement composée. L’arrêt de la Cour de Grenoble était en effet inadmissible et nous sommes heureux de ce que notre avocat à la Cour, Maître Bruno Le Griel, puisse ainsi voir ses efforts récompensés. Une nouvelle audience sera donc fixée pour statuer sur la recevabilité de l’AGRIF. Comme le disait Georges-Paul Wagner, pour l’AGRIF, il ne suffit pas d’avoir raison. Il faut avoir 100 fois raison. C’est dans cet esprit que l’AGRIF continue de mener ses actions judiciaires.

    Rappelons que dans l’affaire du drame de Crépol, dans lequel de nombreuses victimes ont été plantées à coups de couteaux et dans lequel le malheureux Thomas Perroto est décédé, le Procureur de la République a confirmé que neuf témoignages « rapportent des propos hostiles disant clairement que l’hostilité est dirigée – je cite- contre les blancs » tout en refusant de retenir la circonstance aggravante de racisme.

     

    Source : lesalonbeige

  • Equipe de France de foot.

    Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2025

    De l'Équipe de France à l'équipe de françafrique, devenue carrément d'Afrique, sauf le dernier, en bas à droite, qui doit se sentir bien seul...

    En tout cas, nous, on n'est plus concernés, et "cela" ne nous regarde plus, ne nous intéresse plus...

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    Source :lafautearousseau

  • Dette publique française

    Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2025

    On dit ça, on dit rien... Et ce simple rappel n'est pas à jour : il manque 2024 et 2025 : au rythme où Macron y va !...

    Alors, ce Système de folie et en folie : STOP OU ENCORE ?

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    Source : lafautearousseau

  • Pardon de reparler des sanctions

    Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2025

    Auteur : 

    À ceux qui me reprochent de me répéter, je dirai que ce n’est pas moi qui me répète, c’est l’histoire et surtout l’actualité qui bégaie.

    Ainsi, la coalition des volontaires qui s’est réunie à Paris ce 5 septembre parle d’un nouveau « paquet de sanctions » contre la Russie pour le cas où cette dernière ne se soumettrait pas aux injonctions du mari de Brizitte.

    D’autres ont essayé de soumettre la Russie. Le moins qu’on puisse dire est qu’ils ont eu des problèmes mais l’un des effets de certaines substances est une sensation d’invincibilité. Ainsi, il suffit de renifler d’un peu trop près certaines poudres, et vous vous sentez plus fort que Napoléon et Hitler.

    Donc, pour nous résumer, nous en étions restés à la promesse de la « coalition des volontaires » d’envoyer des forces armées en Ukraine après la signature d’un accord de paix. Nous avions rappelé que pour signer il faut être deux et que la Russie ne signera pas d’accord de paix à n’importe quelles conditions et que – encore une fois le moins qu’on puisse dire – nous sommes loin, très loin d’un accord. Mais la « coalition des volontaires » a de quoi contraindre la Russie. Elle va adopter des sanctions. La mesure s’étant révélée jusqu’ici d’une efficacité telle qu’il n’y a pas de raisons d’en changer. Ce qui n’a pas marché au bout de 18 tentatives n’a pas de raisons de ne pas marcher au bout de 19.

    Pourtant, lorsqu’on parle de « sanctions » sait-on vraiment de quoi on parle ?

    Mon dictionnaire me dit qu’il s’agit de « mesures punitives ». Synonyme : « Peine ». Or pour prononcer une telle mesure, encore faut-il en avoir la compétence et/ou l’autorité. Pour autant que je sache, aucune autorité en ayant la compétence n’a prononcé de sanctions de quelque nature que ce soit contre la Russie. Donc appeler « sanction » les mesures prises par un groupe d’État est inapproprié voire abusif. Il ne s’agit en réalité de rien d’autre que de représailles contre un État qui empêche ce groupe d’États de conduire ses projets géopolitiques. Nous ne porterons aucun jugement moral sur ce dernier point, mais c’est bien de le savoir. Il est également utile de savoir que les mêmes États qui imposent ces mesures y dérogent dans certains domaines. Ainsi, les États-Unis, pourtant à l’initiative de ces sanctions, continuent d’importer entre autre des engrais et de l’uranium enrichi d’origine russe au motif que ce sont des denrées vitales pour le pays. Il ne nous appartient pas ici de nous demander pourquoi la Russie n’utilise pas la privation de ces denrées comme levier stratégique.

    Nous avons donc bien compris que les « sanctions » sont juste un élément de pure dialectique pour faire du chantage à qui renâclerait à se laisser imposer la pax americana.

    Car il s’agit bien d’un chantage. Les prétendues sanctions ne sont rien d’autre que la prise en otage de toute une population. Et tant pis si ça ne marche pas. Tant pis pour les centaines de milliers de morts privés de médicaments et de vivres en Irak. Tant pis pour la misère liée à l’embargo à Cuba. Or ni Castro ni Saddam Hussein n’ont été soumis par des sanctions.

    Donc croire, comme le font Macron et sa clique de prétendus volontaires, que des prétendues sanctions ajoutées aux prétendues sanctions vont changer quoi que ce soit aux événements. Faute de temps et de place nous ne discuterons pas ici des effets des sanctions en Russie, mais il faut tout de même savoir qu’il est bon an mal an possible, au moins à Moscou, de se procurer à peu près tout. En effet, lorsqu’on parle de sanctions, on ne peut faire l’impasse sur le détournement desdites sanctions. Il se murmure que l’École des hautes études en sciences économiques de Moscou aurait un projet de cursus d’étude qui intègrerait la manière de continuer de faire des affaires en dépit des sanctions. En d’autres termes, comment détourner les sanctions.

    Mais la coalition des prétendus volontaires a plus d’un tour dans son sac.

    Ainsi, il a été décidé d’appliquer ce que Jupiter a appelé lors de sa conférence de presse, des « sanctions secondaires ». Il s’agit d’appliquer des représailles à ceux qui, n’ayant pas cessé tout commerce avec la Russie, revendent des biens d’origine russes à ceux qui, contraints ou non, appliquent les représailles de l’Union américano-européenne. Là, il faut qu’on m’explique.

    En effet, si lorsque la Russie s’est émue de ce que l’Ukraine ou d’autres pays envisageaient d’adhérer à l’OTAN, on lui a fait remarquer que tout pays souverain est libre de contracter un traité d’adhésion avec qui bon lui semble. On pourrait donc rétorquer que tout pays souverain est loisible de passer des contrats commerciaux avec qui lui semble bon. Mais là, tout d’un coup, la morale, voire la raison du plus fort est toujours la meilleure.

    Rien n’a changé depuis La Fontaine.

    Jacques Frantz

     

    Source : medias-presse.info