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A gauche, le portrait reconstitué « scientifiquement » diffusé par la BBC depuis 10 ans. A droite, la reconstitution nouvelle.
En 2016, la série Noirs et Britanniques : une histoire oubliée, diffusée par la BBC, annonçait avec délices – via son présentateur noir, un certain professeur Olusoga –, qu’un squelette de l’époque romaine provenait d’Afrique subsaharienne.
Une plaque a été apposée pour commémorer son héritage, mais qui a ensuite été retirée lorsqu’une étude a suggéré que la femme était plus susceptible d’être originaire de Chypre, avec un teint méditerranéen.
Mais une nouvelle analyse ADN du squelette réalisée par des scientifiques du Musée d’histoire naturelle vient de montrer que la femme était originaire du sud de l’Angleterre et qu’elle était blanche, avec des cheveux blonds et des yeux clairs…
D’ailleurs, récemment, tous les médias français s’étaient enflammés pour l’idée d’un ancêtre des Britanniques « à la peau noire » (Cheddar Man », il y a 10 000 ans), affirmation plus que téméraire, ne reposant là encore sur aucun fondement scientifique.
Evidemment le but de cette propagande mensongère, médiatique et pseudo-scientifique, n’est que de faire accepter aux Européens leur disparition par submersion et métissage…
En pleine nuit, dans l’opacité la plus totale, des dirigeants hors-sol engagent 90 milliards d’euros pour financer une guerre étrangère, sans jamais avoir demandé l’avis des peuples qu’ils prétendent représenter. Aucun référendum, aucun débat démocratique digne de ce nom : seulement des oukases technocratiques et une fuite en avant idéologique.
Cet argent, c’est celui des classes moyennes européennes déjà étranglées par l’inflation, la dette et l'assistanat de l'immigration. Et il est destiné à soutenir un régime ukrainien dont la corruption endémique est documentée depuis des années, y compris par les institutions occidentales elles-mêmes. Voilà donc la nouvelle priorité de l’Union européenne : la guerre plutôt que la paix, Kiev plutôt que nos hôpitaux, nos agriculteurs et nos familles.
Quant au pillage des avoirs russes gelés, heureusement qu’il n’a pas eu lieu. Ce vol pur et simple aurait constitué un casus belli évident avec une puissance nucléaire, mais aussi un précédent juridique désastreux. Qui investirait encore en Europe si la propriété privée peut être confisquée au gré des rapports de force géopolitiques ? Ce serait la fuite massive des capitaux, l’effondrement de notre crédibilité et la ruine économique à long terme.
Assez de dogmatisme, assez d’aveuglement. Cette guerre a déjà fait trop de morts, trop de destructions, trop de veuves et d’orphelins. Il est temps de sortir de la logique de l’escalade et de travailler enfin à une solution de paix réaliste, qui n’humilie aucun des deux belligérants. L’Europe n’a pas vocation à être le carburant d’une guerre sans fin. Place à la paix, place aux peuples.
Le ministère de l’Intérieur reconnaît une intrusion informatique ayant permis de consulter des fichiers sensibles et d’extraire « quelques dizaines » de fiches, notamment liées au TAJ et au FPR. Deux enquêtes (judiciaire et administrative) sont ouvertes et la CNIL a été saisie.
Le scandale, c’est la cause : selon les déclarations de Laurent Nuñez, l’accès a été facilité par des codes/mots de passe récupérés via les messageries, avec des pratiques indignes d’un ministère régalien (échanges d’identifiants, manque de discipline élémentaire).
Cette affaire n’est pas un accident : c’est le résultat d’une numérisation mal maîtrisée, d’une irresponsabilité et d’une incompétence au sommet, aggravées par une dépendance technologique qui affaiblit notre souveraineté numérique.
Nous exigeons :
• sanctions immédiates et révocation de tout responsable ayant laissé circuler des accès de façon laxiste ;
• audit indépendant et transparence sur l’ampleur réelle des compromissions ;
• refonte des règles d’accès (MFA généralisé, gestion des identités, coffre-fort à secrets, contrôle strict des messageries) — car une simple PME applique déjà ces bases.
L’État doit cesser d’être une passoire : la sécurité nationale ne se gère pas « à la légère ».
Maxime Morlon - Secrétaire général adjoint du Parti de la France
35 000 euros ! C’est le montant faramineux qui est réclamé à un père de famille pour de simples autocollants pro-vie collés sur des vélos…
Rappelez-vous, nous avions évoqué cette affaire. En mai 2023, dans Paris, l’arrière d’un nombre conséquent de bicyclettes de location avait été recouvert d’un autocollant sympa avec le slogan « Et si vous l’aviez laissé vivre ? » assorti du dessin d’un fœtus grandissant, puis devenant un bébé et enfin… un cycliste joyeux.
Il n’en fallait pas plus pour choquer des hommes et des femmes par ailleurs insensibles au sort des centaines de milliers de fœtus avortés chaque année, bébés tués dans le ventre de leur mère.
La direction de Vélib’ avait déposé une plainte. Et Anne Hidalgo, maire de Paris, avait plastronné qu’elle allait « prendre toutes les mesures pour que cela ne se reproduise pas ».
Séisme chez les bobos féministes pro-avortement
Moins soucieux des bébés humains que des bébés phoques, David Belliard, adjoint au maire EELV, parlait d’une « campagne honteuse, à l’opposé des valeurs du service (Vélib) et de Paris ». « Je constate qu’il y a une nouvelle fois une offensive réactionnaire ». Guerrier d’opérette, l’élu écologiste avait cru devoir ajouter : « Nous serons très fermes parce que c’est une des illustrations de cette guerre contre le droit des femmes qui est en train de se jouer, même si cette guerre doit se faire sur des vélos. Je ne sais pas précisément combien de vélos ont été impactes, mais ils seront évidemment déstickés le plus rapidement possible, on ne veut pas de ça dans l’espace public. Il faut réagir fort, je souhaite qu’une plainte soit déposé car c’est d’abord une dégradation de matériel et d’entrave à l’IVG, et c’est puni par la loi ».
Plus retournée par ce joli autocollant que par les images d’un fœtus avorté, Isabelle Rome, ministre à l’Égalité entre les femmes et les hommes, avait rétorqué sur Twitter que l’avortement était « un droit fondamental des femmes », ajoutant : « Nous ne laisserons personne y porter atteinte ». Le ministre des Transports Clément Beaune parlait d’un geste « écœurant ». Et le ministre de la Santé, François Braun, avait dénoncé une « honteuse campagne anti-IVG dans les rues de Paris ». « Face aux réactionnaires, le Gouvernement et la majorité seront toujours aux côtés des femmes pour garantir la liberté de choix », avait insisté le matamoresque ministre.
Du côté, du collectif des Survivants, un communiqué rappelait ceci :
« Chaque vie vaut la peine d’être vécue. À l’heure où une proposition de loi vise à inscrire l’avortement dans la Constitution, les Survivants ont décidé d’agir au nom de tous ceux qui nous manquent. Nous ne tolérerons pas une norme suprême dichotomique où l’avortement, au même titre que le droit à la vie deviendrait un droit fondamental. »
Père de famille étranglé financièrement
Plus de deux ans ont passé et le tribunal vient de trancher. Et Emile Duport communique :
J’ai été condamné à 36 000 € d’amende par la Mairie de Paris pour avoir collé des messages pro-vie sur des Vélibs.
Merci, du fond du cœur, pour l’aide que vous pourrez apporter.
Peu après 20 h 30, une patrouille de la brigade spécialisée de terrain croise un automobiliste. Un détail attire leur attention : il conduit avec des écouteurs, une infraction au Code de la route. (…) Rapidement, l’automobiliste reconnaît conduire sans permis et avoir consommé des stupéfiants.
Âgé de 26 ans, l’individu est immédiatement menotté puis conduit au commissariat pour être placé en garde à vue. Pendant ce temps, des policiers inspectent sa voiture. La découverte est glaçante : à l’arrière du véhicule, un gilet pare-balles est relié à des fils électriques, eux-mêmes connectés à une batterie. Les intervenants craignent alors d’être en présence d’un véritable engin explosif. Une alerte est transmise à la hiérarchie, qui sollicite l’intervention des démineurs.
A-t-on échappé à une attaque terroriste ? Après de longues vérifications, la réponse est non. Les spécialistes des explosifs confirment l’absence de toute matière dangereuse. Le dispositif, très réaliste, n’est qu’une imitation.
Entendu en garde à vue, le suspect affirme que cette fausse bombe devait servir d’accessoire pour le clip musical d’un rappeur prochainement tourné à Toulouse, une version qui reste à vérifier. Selon nos informations, cet homme, déjà connu de la justice, n’a jamais été impliqué dans une affaire en lien avec la religion. Son audition se poursuit afin de déterminer d’éventuelles suites judiciaires. (…)