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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 3

  • Elle compare Lola au mouton du sacrifice de l’Aïd et ne manifeste aucun remords : plongée dans l’esprit diabolique de Dahbia Benkired.

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2025

    Le procès de Dahbia Benkired, accusée d’avoir violé, torturé et assassiné la fillette de 12 ans Lola Daviet le 14 octobre 2022 à Paris, débute ce vendredi 17 octobre 2025 devant la cour d’assises de la capitale. Âgée de 24 ans à l’époque, cette jeune femme sans antécédents judiciaires risque la réclusion criminelle à perpétuité pour meurtre et viol sur mineur de 15 ans, assortis d’actes de torture et de barbarie. Plusieurs expertises psychiatriques ont été nécessaires pour confirmer sa responsabilité pénale, malgré une personnalité décrite comme “pathologique sévère” et manipulatrice.

    Une Enfance Brisée et une Vie Chaotique
    Née en Algérie dans un foyer marqué par les violences paternelles, l’alcoolisme et la précarité, Dahbia Benkired affirme avoir subi des abus sexuels durant son enfance. Arrivée en France irrégulière vers 20 ans avec ses deux sœurs, elle traverse une rupture brutale en 2020 avec la mort soudaine de sa mère. S’ensuit une existence nomade : hébergements chez des amis ou partenaires, consommation intensive de cannabis, emplois précaires (serveuse en bar de nuit, ouvrière en boulangerie). Sans projet ni ambition, elle est qualifiée de “mauvaise graine de la famille” par l’une de ses sœurs, qui la dépeint comme une menteuse experte en manipulation émotionnelle.

    Les experts diagnostiquent chez elle des traits psychopathiques modérés, des signes esquissés de schizophrénie, mais aucune pathologie invalidante. En détention provisoire, son comportement s’emballe : elle se rase la tête, ingère du plâtre, se déshabille et se frappe la tête contre les murs, soulignant une “grande dangerosité” sans folie avérée.

    Des Aveux Erratiques et des Motivations Opacifiées
    L’enquête révèle une suspecte d’abord muette lors de sa garde à vue le 15 octobre 2022 : “Je ne sais plus”, répète-t-elle face aux questions sur son emploi du temps. Les preuves – vidéosurveillance montrant Lola entrant avec elle dans l’immeuble de sa sœur (rue Manin, XIXe arrondissement), témoignages – convergent vers Dahbia. Ce n’est qu’à sa quatrième audition qu’elle avoue, avec une indifférence glaçante : face aux photos du corps ligoté et dénudé de Lola, elle lâche “Ça ne me fait ni chaud ni froid”. Elle se rétracte vite, invoquant un “cauchemar”.

    Les mobiles restent flous. Victime et accusée ne se connaissaient pas, mais un altercation mineure avec la mère de Lola – refus d’un pass pour l’immeuble – aurait déclenché la rage. Dahbia décrit Lola comme un “fantôme” aux yeux altérés, un “diable en personne” terrifiant, justifiant l’asphyxie par un scotch couvrant tout le visage. Les coups de couteau au dos et au cou ? Une vision hallucinatoire d’un “mouton” sacrifié, évoquant le rite de l’Aïd al-Adha : elle aurait même marqué “1” et “0” au rouge à lèvres sous les pieds de la victime, imitant les tatouages sur les bêtes. Rien de religieux, selon l’enquête ; plutôt un délire post-conflit.

    Le viol, admis crûment (“Je l’ai abusée un peu jusqu’à prendre mon plaisir”), est “regretté” lors de la reconstitution, écho possible de ses propres traumatismes. Après le meurtre, elle trimballe le corps inanimé de Lola dans une mallette noire pendant des heures, suivant un parcours hasardeux.

    Un Procès pour Décrypter l’Indécryptable
    Ses avocats, Mes Valois et Bertier, espèrent que les six jours d’audience (jusqu’au 24 octobre) éclaireront le mobile. Ce drame, survenu par hasard au pied de la résidence de Lola, a choqué le pays par son atrocité gratuite et l’absence de logique. Pour les proches de la victime – dont le père, emporté par le chagrin –, ce procès pourrait offrir un début de réponses après trois ans de tourments. Un cas rarissime dans les annales criminelles, où l’errance mentale flirte avec l’horreur pure.

    Le Parisien via fdesouche

  • Testament de Marie-Antoinette, reine de France assassinée par les républicains un 16 octobre

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2025

    Le 16 octobre 1793, à 4h30 du matin, soit 8 heures avant son exécution, la Reine rédige sa dernière lettre, à l’adresse de la sœur de Louis XVI, Marie-Elisabeth.
    Ce sera son émouvant testament.

    « C’est à vous, ma sœur, que j’écris pour la dernière fois : je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère, comme lui, innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments.

     

     

    Je suis calme comme on l’est quand la conscience ne reproche rien ; j’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants : vous savez que je n’existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse! J’ai appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre ; je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra : recevez pour eus deux ici ma bénédiction. J’espère qu’un jour, lorsqu’ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins.

    Qu’ils pensent tous deux à ce que je n’ai cessé de leur inspirer : que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie ; que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur. Que ma fille sente qu’à l’âge qu’elle a elle doit toujours aider son frère par des conseils que l’expérience qu’elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer; que mon fils, à son tour, rende a sa sœur tous les soins, les services que l’amitié peut inspirer ; qu’ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union. Qu’ils prennent exemple de nous : combien, dans nos malheurs notre amitié nous a donné de consolation; et dans le bonheur on jouit doublement, quand on peut le partager avec un ami ; et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille ? Que mon fils n’oublie jamais, les derniers mots de son père, que je lui répète expressément :  » qu’il ne cherche jamais à venger notre mort. »

    J’ai à vous parler d’une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine; pardonnez-lui, ma chère sœur ; pensez à l’âge qu’il a, et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu’on veut, et même ce qu’il ne comprend pas : un jour viendra, j’espère, où il ne sentira que mieux tout le prix de vos bontés et de votre tendresse pour tous deux. Il me reste à vous confier encore, mes dernières pensées ; J’aurais voulu les écrire dès le commencement du procès ; mais outre qu’on ne me laissait pas écrire, la marche en a été si rapide que je n’en aurais réellement pas eu le temps.

    Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée ; n’ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s’il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop, s’ils y entraient une fois, je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j’ai pu commettre depuis que j’existe. J’espère que, dans sa bonté, il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps pour qu’il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais, et à vous, ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j’aurais pu vous causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu’ils m’ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J’avais des amis; l’idée d’en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j’emporte en mourant ; qu’ils sachent, du moins, que, jusqu’à mon dernier moment, j’ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur; puisse cette lettre vous arriver! Pensez toujours à moi; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfans : mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours. Adieu, adieu, je ne vais plus m’occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m’amènera peut-être un prêtre ; mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot, et que je le traiterai comme un être absolument étranger. ((La reine désigne ici les prêtres « assermentés », c’est-à-dire qui ont prêté le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, condamnée par Rome,  et qui sont considérés comme ne faisant plus partie de l’Eglise catholique.))»

     

    Source : contre-info

  • Le retour de la « vaccination » covidiste et du masque à Genève

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2025

    Covid - 1984

    La folie covidiste n’a pas disparue, loin s’en faut. En témoignent l’appel du médecin cantonal de Genève qui recommande vivement les injections Covid + grippe et le masque « en cas de symptômes »…

    Voilà ce qu’on peut lire au Teletext du 13 octobre 2025 :

    « GENÈVE : Canpagne pour la vaccination lancée

    La campagne de prévention contre les virus respiratoires de l’hiver est lancée à Genève. Le Département de la santé rappelle les gestes simples et recommande les vaccins contre le Covid-19 et la grippe aux plus vulnérables.

    Les personnes de plus de 65 ans, les femmes enceintes et les personnes atteintes de maladies chroniques sont concernées. Le coût des vaccins est exceptionnellement pris en charge par l’assurance maladie de base, sans réserve de la franchise et de la quote-part.

    L’office cantonal de la santé rappelle les gestes simples qui permettent de lutter contre les virus : aérer régulièrement, se laver les mains et porter un masque en cas de symptômes. »

    On peut néanmoins espérer que les gogos qui se laisseront prendre au piège seront beaucoup moins nombreux. Néanmoins, de Paris à Bruxelles, de Lyon à Genève, on croise toujours en effet ici ou là des individus au visage recouvert d’un masque médical.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Montgenèvre (05) : une croix centenaire hélitreuillée du haut d’une montagne au nom de la laïcité, les habitants dénoncent “une atteinte à nos racines”

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2025

    À 2 500 mètres d’altitude, sur le mont de la Plane, les habitants de Montgenèvre n’en reviennent toujours pas. En octobre 2024, un groupe de randonneurs passionnés avait rénové à leurs frais un vieux calvaire du XIXᵉ siècle, « en état de délabrement avancé ». Leur geste, voulu comme un hommage au patrimoine local, a tourné à la polémique. Jugeant l’installation « attentatoire au principe de laïcité », la mairie a fait appel à un hélicoptère pour retirer la croix la semaine dernière.

    « Ça coûte au moins cinq mille euros ce genre de vol », s’indigne Arnaud Violland, l’initiateur de la rénovation. L’homme affirme avoir tenté d’expliquer à la mairie qu’« il y avait une symbolique locale et patrimoniale ». Dans une lettre d’avril dernier, il écrivait : « Cette croix existait déjà à cet emplacement, mais elle était ancienne et fragile. Ayant à cœur la préservation du patrimoine local, j’ai entrepris avec des amis, à nos frais et de manière anonyme, de la remplacer par une structure plus robuste, respectant toutes les normes de sécurité. » Aucun retour ne lui a jamais été adressé.

    L’affaire divise profondément la commune. Certains voient dans ce retrait « une provocation », d’autres « une dérive laïcarde hors sol ». Le maire, lui, invoque la neutralité publique : la croix se trouverait sur une « parcelle privée » et n’avait « pas vocation à remplacer l’ancien calvaire ». Mais pour nombre d’habitants, l’image de l’hélicoptère décrochant la croix restera celle d’un pays qui « efface son histoire à coups de rotor ».

    Le JDD via fdesouche

  • Après l’arnaque de la « France Black Blanc Beur », voici le « patriotisme jambon-beurre ».

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2025

    Après l’arnaque de la « France Black Blanc Beur », voici le « patriotisme jambon-beurre »..
    La France fantasmée par Cnews et la droite MEDEF : des Français « de toutes les couleurs et de toutes les religions »… (tant que tout le monde consomme, paye ses impôts et travaille 39 heures par semaine jusqu’à 67 ans).
    Dans le vraie vie, ce paradis multiculturel existe déjà, ça s’appelle les États-Unis d’Amérique (pays au bord de la guerre civile raciale), l’Afrique du Sud (oú les fermiers blancs vivent reclus avec des armes), le Qatar (où les immigrés sont les domestiques des locaux) ou encore le Liban…
    Une Nation sans peuple historique majoritaire n’est qu’un bateau ivre trimballé par les flots 

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