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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 4

  • De l’OPA israélienne sur Radio Courtoisie à l’opération de contrôle des partis et médias du camp national sur tout ce qui concerne le sionisme

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2025

    Auteur : 

    De l'OPA israélienne sur Radio Courtoisie à l'opération de contrôle des partis et médias du camp national sur tout ce qui concerne le sionisme

    Transformer le nationalisme français en national-sionisme

    Alain Escada, président de Civitas International, revient sur l’offre faite par un riche israélien de racheter Radio Courtoisie. Alain Escada commente ce qui n’est pas une simple anecdote mais, selon lui, le reflet d’une vaste opération encours depuis plusieurs années d’ingérence israélienne sur le terrain politique français afin de contrôler le positionnement des partis et médias du camp national sur tout ce qui concerne le sionisme.


  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2025

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  • Horreur !

    Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2025

    Cette horreur - qu'elle nous inflige elle-même, au milieu de la beauté du Paris de nos Rois - n'est-elle pas, au fond, comme un bonne allégorie de Marianne ?

    Relisons notre grand royaliste que fut Verlaine :

    "Marianne est très vieille et court sur ses cent ans,
    Et comme dans sa fleur ce fut une gaillarde,
    Buvant, aimant, moulue aux nuits de corps de garde,
    La voici radoteuse, au poil rare, et sans dents.

    La bonne fille, après ce siècle d'accidents,

    A déchu dans l'horreur d'une immonde vieillarde

    Qui veut qu'on la reluque et non qu'on la regarde.

    Lasse, hélas ! d'hommes, mais prête comme au bon temps.

    Juvénal y perdrait son latin,

    Saint-Lazare

    Son appareil sans pair et son personnel rare,

    A guérir l'hystérique égorgeuse des Rois.

    Elle a tout, rogne, teigne... et le reste, et la gale !

    Qu'on la pende pour voir un peu dinguer en croix

    Sa vie horizontale et sa mort verticale !"

     

    A massive green inflatable frog sculpture with long limbs bends forward on a paved plaza, its wide open red mouth visible from the side. Ornate historic buildings with columns and arches surround the square under a partly cloudy sky. People stand nearby observing the installation, with some white bases on the ground.

     

    Source : lafautearousseau

  • 25 octobre 732 : Charles Martel arrête les Arabes à Poitiers

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2025

    En 711, soit à peine 80 ans après la mort de Mahomet, les arabo-musulmans atteignent l’Espagne, qu’ils traversent en 8 ans, et occupent en 719 le Languedoc actuel.
    Cette province, entre les Pyrénées et le Rhône, s’appelle alors Gothie, en souvenir des Wisigoths, ou Septimanie, d’après ses sept villes principales (sa capitale Narbonne, Agde, Béziers, Nîmes, Maguelone, Lodève et Elne).

    Arrêtés à Toulouse, en 721, par le duc Eudes d’Aquitaine, les envahisseurs tournent alors leurs regards vers l’Est et prennent Nîmes, Arles et Autun en 725.

    En 732, ils s’approchent de Tours, la ville de Saint Martin.
    A la demande de l’Eglise, le Duc des Francs, Charles Martel, vient au secours d’Eudes, Duc d’Aquitaine.

    Après avoir rassemblé une armée à la hâte, Charles Martel rejoint les troupes musulmanes, à Moussais, à proximité d’une voie romaine reliant Châtellerault à Poitiers.

    Le samedi 25 octobre 732, 1er jour du ramadan, les envahisseurs musulmans se décident à engager la bataille, au nord de Poitiers.
    Leur chef, Abd al-Rahman, est tué pendant la bataille.
    Sa cavalerie, légère et désordonnée, se heurte au « mur infranchissable » que forment les guerriers francs, à pied, mais disciplinés et bardés de fer.

    De son côté, Charles Martel attribue sa victoire à l’intercession de la Vierge Marie et parle des anges combattant aux côtés des Francs.

    C’est son fils, le roi Pépin le Bref, qui va libérer Narbonne et chasser définitivement les musulmans de Septimanie en 759, trois ou quatre décennies après leur arrivée.

     

    Source : contre-info

  • Halloween : le piège du démon déguisé en fête pour enfants

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2025


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    Le 31 octobre approche : nos rues vont bientôt se remplir d’enfants déguisés en squelettes, sorcières et fantômes. On nous présente Halloween comme une simple fête populaire, un jeu inoffensif. La Conférence des évêques de France, dans son souci d’ouverture au monde, en vient à la considérer comme une « occasion de redécouvrir la Toussaint ».

    Mais pour qui garde un regard de foi, il est impossible de ne pas voir derrière ce folklore païen une entreprise de déchristianisation subtile, orchestrée par l’Ennemi de nos âmes. Ce n’est pas le déguisement en soi qui souille l’âme, mais la complaisance avec le mal. Jouer avec le démon, c’est déjà lui ouvrir une brèche.

    Halloween plonge ses racines dans la fête celtique de Samhain, célébration païenne des morts et des esprits, que l’Église avait jadis christianisée en instituant la fête de la Toussaint et celle des fidèles défunts. Mais en renouant aujourd’hui avec ces superstitions anciennes, notre société apostate ne fait que rouvrir les portes que les saints avaient refermées depuis plus d’un millénaire.

    Ce que le christianisme avait purifié par la grâce, le monde moderne le profane à nouveau sous le masque de la dérision. Les déguisements macabres, les symboles occultes et la fascination pour les ténèbres n’ont rien d’innocent : ils nourrissent l’imaginaire du mal et banalisent le diabolique. Le démon, qui ne demande qu’à être invoqué sous couvert de plaisanterie, se réjouit de voir les enfants se familiariser avec l’horreur et la mort plutôt qu’avec la sainteté et la lumière.

    Halloween, c’est l’inversion même de la Toussaint. Au lieu de contempler la gloire des saints, modèles de vertu et intercesseurs auprès de Dieu, les enfants glorifient les démons, les sorcières et les revenants. Au lieu de prier pour les âmes du purgatoire, ils réclament des bonbons en menaçant de jeter des sorts. Cette inversion n’est pas anodine : elle prépare les esprits à la confusion, à la perte du sens du bien et du mal.

    Comment ne pas voir que cette fête, si « sympathique » en apparence, détourne les cœurs du vrai combat spirituel ? En riant du diable, on oublie qu’il existe réellement et qu’il cherche la perdition des âmes. Le pacte avec le démon n’est jamais loin lorsque l’on joue à l’invoquer, fût-ce sous couvert d’amusement. On renie ainsi, souvent sans s’en rendre compte, les promesses de son baptême : « Je renonce à Satan, à ses pompes et à ses œuvres ».

    Il est tragique de voir des familles catholiques participer à ces mascarades. Certains prêtres eux-mêmes, influencés par le modernisme ambiant, osent parler d’« évangéliser Halloween », ou d’en « christianiser la fête ». Quelle naïveté ! On ne baptise pas le poison. L’unique antidote à Halloween, c’est la célébration fervente de la Toussaint et la prière pour les morts.

    Parents, au lieu de laisser vos enfants courir après les fantômes, emmenez-les prier devant les tombeaux de leurs ancêtres, allumez une bougie, expliquez-leur la beauté du Ciel et la réalité de l’enfer. Faites-leur découvrir les vies des saints plutôt que les masques des damnés.

    Dans un monde qui glorifie les ténèbres, le chrétien doit être lumière. Refuser Halloween, c’est un acte de résistance spirituelle ; c’est proclamer que le Christ est vainqueur de la mort, que les saints triomphent de l’enfer, et que nous sommes appelés à la vie éternelle, non à la peur et à la superstition.

    Alors, ce 31 octobre, que chacun choisisse son camp : celui de la croix ou celui du déguisement. Car nul ne peut servir deux maîtres.

    « Ce que l’homme honore, il finit par l’imiter. » – Saint Augustin

     

    Source :lesalonbeige