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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 7

  • Une proposition de loi veut interdire les discours « antirépublicains »… Les mouvements royalistes bientôt interdits ?

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2025

    Emmanuel Macron tenant discours au Grand Orient de France

    C’est un changement radical qui se prépare dans l’ombre des loges maçonniques. Et ce n’est pas un hasard si la proposition de loi dont nous allons vous parler est déposée en 2025, peu de temps après la demande d’Emmanuel Macron, lors de sa visite aux francs-maçons de la Grande Loge de France, de préparer les célébrations du 120e anniversaire des lois de séparation de l’Eglise et de l’Etat.

    Plus d’une vingtaine de députés, parmi lesquels Laurent Wauquiez, ont présenté une proposition de loi visant à « interdire et sanctionner les contenus et discours à caractère antirépublicain ».

    Les mouvements royalistes seraient de facto interdits

    Comme au sujet des écoles et de la loi contre le séparatisme, les motifs invoqués tentent de faire croire que c’est l’islamisme qui serait visé. Mais, en pratique et dans les faits, ce sont les mouvements royalistes et contrerévolutionnaires qui seront directement ciblés. Il serait ainsi interdit de remettre en cause la laïcité et « l’universalisme républicain » ou de contester « les principes républicains fondamentaux ». Sur de tels critères, l’Action française, les mouvements légitimistes et les publications de type Politique Magazine ainsi que les moindres blogs, chaînes vidéos ou canaux sociaux monarchistes se verraient frappés d’interdiction et sévèrement réprimés.

    Interdit aussi de prôner le Christ-Roi ?

    Et indirectement tout ce qui relève du catholicisme traditionnel serait également en ligne de mire.

    La proposition de loi pointe en effet aussi du doigt tout ce qui prônerait « un projet politique et social fondé sur l’instauration d’un ordre religieux substitutif à l’Etat laïque ». A partir d’un tel raisonnement, serait-il encore permis de réclamer le règne du Christ-Roi sur la société sans risquer la prison ou de lourdes amendes ? Rappelons-nous qu’avant-même cette proposition de loi, c’est sur un tel raisonnement que Civitas fut interdit en France.

    En outre, les opérateurs de plateformes en ligne seraient tenus de pratiquer une censure radicale de tout ce qui conteste les fameuses valeurs républicaines.

    La république française qui se qualifie de patrie des droits de l’homme prend de plus en plus le chemin d’une prison à ciel ouvert.

    Une proposition de loi veut interdire les discours "antirépublicains"

    Une proposition de loi veut interdire les discours "antirépublicains"

    Une proposition de loi veut interdire les discours "antirépublicains"

    Une proposition de loi veut interdire les discours "antirépublicains"

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Une liberté d’expression à géométrie variable, au service d’un régime qui déteste la France et d’élites qui la trahissent.

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2025

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    Ça s’émeut, ça s’indigne, ça geint. Boualem Sansal, écrivain courageux, serait persécuté par le régime algérien. Quelle découverte ! Voilà soixante ans que l’Algérie est une dictature militaire corrompue, un pays tenu d’une main de fer par une caste d’anciens fellaghas reconvertis en oligarques. Mais il a fallu qu’un intellectuel parle un peu trop fort pour que nos belles âmes s’éveillent enfin.
    Le plus grotesque dans cette affaire, c’est l’indignation sélective de nos gouvernants. Ces mêmes dirigeants français qui rampent devant Alger, qui mendient une entrevue ou un vague geste diplomatique, osent donner des leçons de liberté. Ils acceptent sans broncher que l’Algérie insulte la France, refuse de reprendre ses ressortissants sous OQTF, finance des mosquées radicales sur notre sol. La France officielle, celle des ministres sans colonne vertébrale, se couche, encore et toujours.
    Et pendant qu’on feint de défendre la liberté d’expression à Alger, on la piétine à Paris. On condamne des Français pour des tweets, des tribunes, des propos dissidents. Une batterie de lois liberticides verrouille le débat public : loi Pleven, loi Gayssot, loi Avia, etc. Le délit d’opinion est devenu un sport national.
    Cette affaire Sansal est l’illustration parfaite de l’hypocrisie occidentale : compassion pour les dissidents étrangers, mépris pour les résistants français. Une liberté d’expression à géométrie variable, au service d’un régime qui déteste la France et d’élites qui la trahissent.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Vague de chaleur extrême

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2025

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    Alors que la France s’apprête à subir une vague de chaleur extrême, avec plus de 11 degrés au-dessus des normales saisonnières, le gouvernement ose déclarer, par la voix d’Agnès Pannier-Runacher : « Nous sommes prêts à affronter la canicule. »
    Prêts où ça ?
    - Les chambres d’hôpital ne sont pas climatisées.
    - Les EHPAD n’ont aucun dispositif massif de rafraîchissement.
    - Les écoles deviennent des étuves à ciel fermé, où les enfants et enseignants suffoquent sans qu’aucun plan structurel n’ait été mis en place.
    La vérité, c’est que rien n’est prêt.
    Et pourtant, la canicule tue.
    Nous l’avons vu en 2003 : plus de 15.000 morts, majoritairement des personnes âgées et isolées.
    Dans une déclaration consternante, Patrick Pelloux, médecin médiatique se réclamant de la gauche et ami de François Hollande, ose affirmer : « La climatisation aggrave le réchauffement climatique. »
    Faut-il donc laisser mourir les Français pour sauver un dogme climato-taré ?
    Quand les États-Unis maintiennent tout en dessous de 20°C, la France s’interdit la climatisation au nom d’une idéologie écologiste hors-sol. En l’espèce, les escrologistes veulent sauver la planète mais provoquer la mort de ses habitants. C’est un concept.
    Cette logique « écologiste » n’a rien d’écologique : elle est climatophobe, inhumaine, anti-sociale et elle condamne à mort les plus vulnérables.
    - Elle sacrifie nos aînés.
    - Elle sacrifie nos malades.
    - Elle sacrifie nos enfants.
    Nous accusons l’État français de mettre en danger la vie de milliers de citoyens par obstination idéologique.
    Nous refusons ce choix politique de l’abandon.
    Nous exigeons la généralisation immédiate de la climatisation dans tous les lieux publics sensibles : hôpitaux, EHPAD, crèches, écoles.
    Laisser mourir par idéologie n’est pas une politique : c’est un crime. Un crime d’État dont le gouvernement est responsable.
     
    Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
  • "contre la France et les Français"

    Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2025

    lafautearousseau

    Dans Le Figaro, nouvelle illustration de ce Système "contre la France et les Français" : Les viticulteurs français viennent d’apprendre qu’une subvention européenne de 15 millions d’euros avait été récemment débloquée en faveur de l’industrie viticole sud-africaine...

    l.lefigaro.fr/GMd

    Image

  • C’était un 30 juin : Franco sauvait plusieurs milliers de Pieds-Noirs que De Gaulle voulait abandonner au FLN

    Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2025

    C’est un épisode peu connu, au cours duquel Franco fit preuve d’une courageuse bienveillance envers les Français, en s’opposant fermement à De Gaulle qui préférait qu’ils fussent livrés à la barbarie du FLN. Quelques jours après, dans la même ville d’Oran, c’était le massacre (voir ici).

    Texte de José Castano :

    « Les 29 et 30 juin 1962, l’Espagne du général Franco vint au secours des Oranais malmenés par les sbires du général Katz, en affrétant 2 ferrys, le « Victoria »  et le « Virgen de Africa »

    Pour accoster le long des quais d’Oran, il fallut longuement parlementer avec les autorités françaises réticentes et même donner à la France un ultimatum, risquant un grave incident diplomatique…

    Le 30 juin, à 10 h du matin, malgré l’opposition de De Gaulle, le général Franco donna l’ordre à ses capitaines d’embarquer cette « misère humaine » qui attendait depuis des jours sous un soleil torride, sans la moindre assistance, un hypothétique embarquement vers la France.

    Franco prévint de Gaulle qu’il était prêt à l’affrontement militaire pour sauver ces pauvres gens sans défense, abandonnés sur les quais d’Oran et menacés d’être exécutés à tout moment par les barbares du FLN. Joignant le geste à la parole, il ordonna à son aviation et sa marine de guerre de faire immédiatement route vers Oran.

    Finalement, face à la détermination du général Franco et craignant un conflit armé, de Gaulle céda et le samedi 30 juin, à 13 h, deux ferrys espagnols accostèrent et embarquèrent 2 200 passagers hagards, 85 voitures et un camion.

    Lors de l’embarquement, les courageux capitaines espagnols durent, cependant, s’opposer à la montée d’une compagnie de CRS sur leur bateau (propriété de l’Espagne) dans le but de lister tous les passagers et interpeller les membres de l’OAS fichés.

    Ces capitaines expliqueront n’avoir jamais compris l’attitude arrogante et inhumaine des autorités françaises dans une situation aussi dramatique qui relevait essentiellement d’« assistance à personne en danger de mort »…

    Contre vents et marées, finalement, à 15 h 30, les quais d’Oran, noirs de monde se vidèrent et les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge, à destination du port d’Alicante.

    Durant toute la traversée, se mêlèrent les larmes de détresse, de chagrin… et de joie de ces pauvres gens en route vers leur nouvel exil, conscients d’avoir échappé au pire… Quand, enfin, la côte espagnole fut en vue, une liesse générale s’empara de ces « réfugiés » qui s’époumonèrent à crier avec des sanglots dans la voix « Viva España ! » … « Viva Franco ! ». Ils avaient, pour bon nombre d’entre eux, échappé à une mort programmée par les autorités françaises. Jamais ils ne l’oublieront !

    En mémoire de Jean LOPEZ, coiffeur à Aïn-El-Turck (Oran) qui devait assurer mon embarquement et mon accompagnement jusqu’en Métropole (j’avais 15 ans). Jean fut enlevé précisément au port d’Oran par des ATO (auxiliaires de police du FLN). On ne le revit jamais…

    A sa veuve et à ses deux filles, avec toute mon affection. »

     

    Source : contre-info