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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 11

  • Les tarés du climat

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2025

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    Thomas Joly

    Les tarés du climat bavent de plaisir en regardant le thermomètre grimper à 35°C, comme s'ils mataient du porno ; imaginant ainsi que quelques fortes chaleurs estivales valident leur apocalypse imaginaire. Guignols.

  • Donald Trump réclame l’abandon du procès de Netanyahou, dénonçant une « chasse aux sorcières »

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2025

     
    Le président américain Donald Trump a une nouvelle fois fait parler de lui, cette fois en apportant un soutien appuyé à Benjamin Netanyahu. Dans un message publié le 25 juin sur sa plateforme Truth Social, Trump exige l’arrêt immédiat du procès pour corruption du Premier ministre israélien, qualifiant les poursuites d’injustifiées et motivées politiquement.

    Alors que Benjamin Netanyahu est poursuivi pour corruption, fraude et abus de confiance, Donald Trump prend publiquement sa défense. Le président américain, connu pour ses prises de position tranchées, estime que Netanyahu est victime d’un acharnement judiciaire comparable à celui qu’il dit avoir lui-même subi aux États-Unis.

    « C’est une véritable chasse aux sorcières. Pour un homme qui a tant donné à Israël, c’est tout simplement inconcevable », a écrit Trump sur Truth Social. « Ce procès devrait être annulé immédiatement. Bibi Netanyahu mérite mieux, et Israël aussi. »

    Une posture guerrière saluée

    Donald Trump a également salué la posture de son allié lors du récent conflit opposant Israël à l’Iran. Dans une guerre éclair de douze jours, les forces israéliennes – avec le soutien des États-Unis – auraient neutralisé plusieurs infrastructures nucléaires stratégiques iraniennes. Un tournant que Trump attribue au leadership de Netanyahu.

    « Netanyahu a été un véritable guerrier, sans équivalent dans l’histoire d’Israël. Grâce à lui, l’une des menaces nucléaires les plus redoutées au monde a été éliminée, » a-t-il affirmé.

    Trump a même affirmé qu’aucun autre dirigeant n’aurait pu collaborer aussi efficacement avec lui :

    « Les États-Unis ont sauvé Israël. Et maintenant, ils vont sauver Bibi. »

    Quand Trump sauve son “ennemi” Netanyahu… ?

    À première vue, ce soutien affiché de Donald Trump à Benjamin Netanyahu a de quoi surprendre. Car en coulisses, les relations entre les deux hommes sont loin d’être harmonieuses. Ce n’est un secret pour personne : Trump n’a jamais vraiment digéré que Netanyahu ait reconnu la victoire de Joe Biden en 2020. Depuis, leur entente est largement entachée de rancune. Alors, pourquoi ce revirement soudain ?

    Certains y voient un message stratégique. Car si Donald Trump sait flatter ses alliés quand cela sert ses intérêts, il n’oublie jamais d’envoyer des signaux. Et le signal ici est double : il rappelle à Netanyahu que son procès reste une épée de Damoclès, et qu’il pourrait bien être l’unique solution pour l’en sauver… à condition de coopérer.

    Le soutien affiché n’est peut-être qu’une pièce d’un jeu diplomatique plus large. Trump a déjà vécu cette fracture au sein de sa propre base : lorsqu’il a autorisé des frappes sur les sites nucléaires iraniens, une partie du mouvement MAGA l’a accusé de trahir ses engagements non-interventionnistes. Mais paradoxalement, c’est cette opération risquée qui a contribué à l’arrêt des hostilités entre l’Iran et Israël — même si la paix reste fragile et incertaine.

    Netanyahu, lui, semble engagé dans une fuite en avant. Son procès pour corruption, entamé en mai 2020, a été constamment reporté, souvent à la faveur des conflits régionaux. À chaque nouvelle escalade — que ce soit à Gaza, au Liban ou ailleurs — les audiences sont suspendues. Pour beaucoup, c’est une stratégie de survie politique : maintenir l’État d’Israël dans un état de guerre quasi-permanente pour repousser l’échéance judiciaire.

    Dès lors, le message de Trump pourrait être le suivant : « Arrête les hostilités, je peux encore t’offrir une porte de sortie. » Que ce soit via un asile politique aux États-Unis ou une pression diplomatique pour suspendre le procès, le président américain se pose en sauveur potentiel — à condition que Netanyahu cesse d’utiliser le conflit comme rempart contre la prison.

  • Le Parti de la France rappelle, plus que jamais, son attachement à la famille naturelle et traditionnelle, cellule de base de toute société.

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2025

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    Nous tenons à apporter notre total soutien au Premier ministre hongrois, Viktor Orban, qui a décidé d’interdire la « gay pride » dans son pays.
    Les dirigeants politiques qui défendent la famille et la vie face à la culture de mort doivent être plus que jamais encouragés.
    Les eurodéputés et parlementaires français qui ont fait savoir qu’il se rendraient à cette manifestation LGBT, pourtant interdite, font honte à leur mandat et à notre pays.
    Ils feraient bien mieux de défendre la France et les Français en mettant en place une vraie politique nataliste et de d’encourager la famille plutôt que de prôner sa destruction.
    Le Parti de la France rappelle, plus que jamais, son attachement à la famille naturelle et traditionnelle, cellule de base de toute société.
     
    Alexandre Simonnot - Délégué général du Parti de la France
  • Assez de cette lâcheté judiciaire : il est temps de rendre à la France une justice digne de ce nom.

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2025

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    Le 26 mai 2022, Alban Gervaise, médecin militaire, a été sauvagement assassiné à coups de couteau et égorgé devant sa petite fille de 18 mois par un nord-africain nommé Mohamed L. Un crime d’une barbarie inouïe, motivé par une haine délirante, accompagné de cris fanatiques : « Laissez-moi le finir, au nom de Dieu. C’est le diable ! » Cet acte ignoble restera impuni. Pourquoi ? Parce que le meurtrier a été déclaré pénalement irresponsable au motif qu’il était drogué et dérangé mentalement.
    Ce scandale insupportable illustre les dérives délirantes de notre justice contemporaine, qui préfère soigner les bourreaux plutôt que de rendre justice aux victimes. Un cinglé ou un drogué est-il moins coupable qu’un autre ? Depuis quand l’horreur est-elle excusée par le délire ? Pourquoi un automobiliste alcoolisé est-il condamné, mais un égorgeur « déséquilibré », non ? Pourquoi la justice s’incline-t-elle devant la pathologie mentale quand celle-ci aboutit au meurtre ?
    Le Parti de la France exige l’abrogation immédiate de ce principe d'irresponsabilité pénale, qui nie le droit à la justice pour les victimes. Un criminel, qu’il soit fou, drogué ou mineur, doit répondre de ses actes. Point final.
    Nous réclamons également le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus abominables, comme celui dont a été victime Alban Gervaise. La société doit cesser de protéger les monstres et recommencer à défendre les innocents.
    Assez de cette lâcheté judiciaire : il est temps de rendre à la France une justice digne de ce nom.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Ouverture d’une enquête par le Procureur de la République visant notre camarade Alexandre Hinger : « L’Islam, sixième pilier de la CAF »

    Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2025

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    Le Parti de la France prend acte, sans surprise mais avec une lassitude écœurée, de l’ouverture d’une enquête par le Procureur de la République visant notre camarade Alexandre Hinger, à la suite de la diffusion de sa vidéo satirique intitulée : « L’Islam, sixième pilier de la CAF ».
    Cette procédure est une atteinte manifeste à la liberté d’expression, et révèle, une fois de plus, le glissement inquiétant de notre régime vers une société où la critique de l’idéologie diversitaire - ou utopie du village global - devient un délit de droit commun.
    Faut-il désormais un visa préfectoral pour oser parler de la CAF ?
    Poursuivre pénalement un candidat dont le seul tort serait d’avoir raillé une administration publique — en l’espèce la CAF, bras armé du modèle social — revient à sacraliser cette institution, à lui donner un statut religieux, intouchable, au-dessus de la critique démocratique. C’est là un scandale juridique.
    Plus grave encore, en reprochant à Monsieur Hinger ce rapprochement entre la CAF et l’islam, le parquet insinue lui-même qu’un tel rapprochement serait infamant.
    Dès lors, qui stigmatise qui ?
    N’est-ce pas là une forme de mépris implicite envers les allocataires concernés ?
    Le Parti de la France apporte son soutien total à Alexandre Hinger, et ne pliera jamais face aux intimidations d’un appareil politico-judiciaire aux ordres d’un pouvoir déconnecté du peuple.
    Nous appelons les Français à se mobiliser pour défendre la liberté de ton, la liberté de critique, la liberté de parole, face aux nouveaux censeurs.
    La République n’a pas à choisir ce qui est autorisé ou blasphématoire.
    La liberté d’expression, si elle ne protège que les discours consensuels, n’est plus qu’un simulacre.
    Le Parti de la France n’a pas peur et ne se taira pas. Si dire tout haut ce que tout le monde pense est un délit, alors nous sommes coupables. Tous. Et fiers de l’être.
     
    Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France