Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2025

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Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2025

Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2025

« Nous ne donnerons pas notre argent, nous ne donnerons pas nos armes et nous n’irons pas à la guerre pour mourir pour l’Ukraine », a déclaré le Premier ministre hongrois.
La Hongrie ne permettra pas aux dirigeants de l’Union européenne de l’impliquer dans le conflit militaire en Ukraine et n’a toujours pas l’intention de fournir une assistance militaire à ce pays, a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orban lors d’un rassemblement devant le Parlement à la suite de la Marche pour la paix contre la guerre à Budapest.
« Nous ne donnerons pas notre argent, nous ne donnerons pas nos armes et nous n’irons pas en guerre pour mourir pour l’Ukraine », a déclaré le Premier ministre. « La guerre russo-ukrainienne n’est pas notre guerre », a souligné Orban.
Il a souligné que les dirigeants de l’UE continuaient de soutenir les opérations militaires en Ukraine et avaient déjà formé une « alliance militaire » baptisée « Coalition des volontaires ». « Ceux qui sont prêts à envoyer d’autres personnes mourir et à fournir encore plus d’armes et d’argent à l’Ukraine », a ajouté le Premier ministre, rappelant que l’UE avait déjà dépensé 180 milliards d’euros en aide militaire à Kiev.
Selon lui, si Bruxelles n’avait pas entravé les efforts de paix du président américain Donald Trump, le conflit aurait été résolu depuis longtemps. Orban a réaffirmé que la Hongrie soutiendrait ces efforts pour instaurer la paix en Europe.
Pierre-Alain Depauw
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2025
Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2025

Extrait d’un article paru dans La Nef, écrit par Witold Griot, ancien auditeur de l’École normale supérieure, agrégé d’histoire et docteur en histoire contemporaine, enseignant en lycée :
[…] Hérodote mentionne déjà le terme de « Palestine » au Ve siècle avant Jésus-Christ ; pour lui, il s’agit d’une subdivision de la Syrie. Dans la nomenclature de la Rome impériale, notamment après l’expulsion définitive des Juifs de leur terre en 135, le territoire recouvre à peu près celui du mandat de Palestine dessiné par les Britanniques après la Grande Guerre, à l’exception de sa partie méridionale, le désert du Néguev. L’usage de ce terme se perd largement après la conquête arabe au VIIe siècle, et n’est ressuscité par les Occidentaux qu’au XIXe siècle. Les Palestiniens portent ainsi un nom étranger à leur propre tradition historique. Ce ne sont pas les seuls : « Ukraine » provient d’un terme russe qui signifie « région frontalière », ce qui n’empêche pas les Ukrainiens d’exister en tant que peuple, comme nous le rappelle l’actualité.
Qu’en est-il d’une éventuelle adéquation entre la Palestine et un peuple ? Une population peut-elle s’en réclamer l’unique et légitime détentrice ? La Bible, comme l’archéologie, nous renseignent sur le fait que les Hébreux n’ont pas été son premier occupant. Avant eux, on y trouvait des populations aux origines obscures, largement influencées par la civilisation égyptienne, les « Cananéens ». À la fin du deuxième millénaire avant le Christ, deux peuples principaux repeuplent cette terre après l’effondrement de la société cananéenne : l’ensemble hétéroclite des « Peuples de la mer », au premier rang desquels les célèbres Philistins, et le peuple hébreux, nouvellement arrivé dans la région. Leur lutte sanglante finit par tourner à l’avantage d’Israël, mais les Philistins se maintiennent longtemps autour de la ville antique de Gaza.
Ce fait donne lieu à une récupération historique comme il en existe beaucoup dans les genèses nationales : l’Organisation de libération de la Palestine a fait des Philistins les ancêtres des Arabes palestiniens, afin de prouver la légitimité, voire l’antériorité du peuplement arabe de la Palestine. Cette théorie a du plomb dans l’aile, puisqu’il semble établi, malgré les origines mystérieuses des Philistins, que leur langue n’était pas sémitique. Le peuplement arabe de la Palestine est donc bien postérieur à celui des Juifs. Il s’est durablement renforcé à l’occasion de la conquête arabe, notamment sous les Abbassides (3). Là encore, cela ne discrédite pas la présence des Arabes en Palestine : une bonne partie des terres des pays slaves, par exemple, a été occupée jusqu’aux Ve-VIe siècles par des populations majoritairement germaniques avant leur migration à l’Ouest, et personne ne conteste la légitimité des Polonais et des Tchèques à vivre dans leurs pays respectifs. En outre, la judéité de la Palestine n’est pas intégrale : à aucun moment de l’Antiquité, les Hébreux n’ont été seuls à y vivre, même s’ils en ont été longtemps l’élément dominant.
Il ressort donc de ce petit détour de l’histoire qu’aucun des deux peuples résidant actuellement en « Palestine » ne peut revendiquer l’intégralité du territoire. C’est d’ailleurs pour cela qu’il paraît impropre de dénommer les Arabes locaux « Palestiniens », car cela viendrait à en faire les seuls habitants légitimes de ce territoire et, implicitement, à nier le droit des Juifs à y habiter. […]
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2025
Système de folie et en folie; contre la France et les Français (suite...) Tom Boyer rappelle quelques chiffres :
"Pendant que des millions de Français peinent à se loger, l’OFII offre 52 000 nuits d’hôtel par jour aux migrants en 2025.
• Facture annuelle : 1,2 milliard d’€, payés par nos impôts.
• Délai d’attente : 30 secondes au téléphone.
• 31 directions en France + 7 bureaux à l’étranger pour mieux organiser l’accueil.
Et après, on nous dit qu’il n’y a pas d’argent pour nos hôpitaux, nos retraites ou nos étudiants…"
Source : lafautearousseau