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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 9

  • 1er anniversaire des JO : bagarres, mouvements de foule, personnes écrasées, incivilités… Le « concert gratuit » du rappeur Tiakola à La Courneuve (93) marqué par des débordements. “On ne va pas gâcher ça…”

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2025

    Le rappeur s’est produit pour la première fois dans sa ville natale à l’occasion d’un spectacle gratuit organisé par le département de Seine-Saint-Denis. Le comportement ridicule du public a grandement entaché la soirée. (…)

    Le DJ Milan Tavares a lancé les hostilités peu avant 19 heures. Dans la foule, des fans jouent aux cartes. D’autres, collégiens ou lycéens, se pensent malins à pousser tout le monde pour se frayer une place vers l’avant. La majorité des spectateurs se revendiquent Congolais, Algériens, Sénégalais, Ivoiriens, Maliens, ou Camerounais, lorsque le chauffeur de salle fait un tour des origines de chacun.

    L’attente est longue. (…)

    21 heures sonnent, tout le monde attend Tiakola. Mais l’ambiance est mauvaise. Des supposés fans en font tomber d’autres et retardent l’arrivée du chanteur, pourtant prêt à monter sur scène. Un premier débordement. « Je vous prie de bien vouloir vous calmer, sinon on ne pourra pas démarrer, leur demande le chauffeur de salle. Soyez bienveillants, le concert est gratuit. Il y a des enfants avec nous, des familles. Dites-moi si on est contraint d’annuler ? »  (…)

    Après ce rappel à l’ordre, qui dure une dizaine de minutes, Tiakola fait son entrée. Il commence son show, aux côtés de son DJ, avec son single Si j’savais, lequel est suivi de T.I.A. Le rappeur est toutefois obligé d’interrompre au milieu de la chanson. « On ne va pas gâcher ça, interpelle Tiakola. Faites doucement devant. Il y a des familles, des frères et sœurs. Sinon je ne pourrai pas continuer. Faites évacuer les gens s’il vous plaît. » Tiakola se transforme en gendarme, presque toute la soirée. (…)

    Mais il est à chaque fois obligé d’interrompre sa performance pour mettre de l’ordre dans le désordre. Cela dure de nouveau plusieurs minutes. « On est là pour fêter, vous êtes là, vous faites la m…. », regrette l’un de ses collaborateurs. Des personnes en seraient venues aux mains dans la foule. Des chaussures volent, atterrissent sur les têtes de spectateurs n’ayant rien demandé à personne. Pire, une perruque est aperçue dans les airs. C’est un cirque à ciel ouvert. Une spectatrice, dans la foule, se permet de plaisanter : «Vous vous attendez à quoi, on est dans le 93.» Rires jaunes tout autour d’elle. (…)

    Le Figaro via fdesouche

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    ublié par Guy Jovelin le 27 juillet 2025

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  • C’était un 27 juillet : la bataille de Bouvines

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2025

    L’éphéméride du 27 juillet est particulièrement riche mais nous avons opté pour ce seul épisode historique, crucial dans l’histoire de France (et qui eut des conséquences européennes notables).

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    Texte tiré de la revue L’Héritage :

    Le Soleil de Bouvines

    La survie de la France tient à peu de choses. Qu’on se rappelle qu’à la suite du partage de Verdun (843) , elle n’était qu’un royaume à la périphérie du Saint Empire. Menacée à l’Ouest par l’Angleterre, à l’Est par l’Empire, la France n’a dû sa survie qu’à la volonté tenace d’une famille, les Capétiens. Ces efforts conduiront enfin sous le règne de Saint Louis à l’officialisation par la papauté de l’indépendance effective du royaume face à l’Empire.

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    Pour se procurer cette image en carte postale, cliquer dessus

    La bataille décisive de Bouvines est là pour nous rappeler que l’indépendance de notre nation fut toujours fragile et mérita tous les efforts de nos chefs.

    Cette victoire éclatante, de par son retentissement formidable, doit être classée parmi les “mythes fondateurs“ de la nation française. C’est sur un plateau qui domine d’une dizaine de mètres les marécages de Flandres, près de Lille, que s ‘est joué le destin de notre peuple. Pour la première fois depuis l’époque gauloise, une véritable armée populaire, levée par les communes, a réveillé le sentiment national.

    1214 : la situation est grave, dramatique même. Lisons ce qu’en dit Jacques Bainville dans son « Histoire de France » : “Philippe Auguste s’occupait d’en finir avec les alliés que Jean Sans Terre avait trouvé en Flandre, lorsque l’Empereur Othon s’avisa que la France grandissait beaucoup. Une coalition des rancunes et des avidités se forma: le Plantagenêt, l’empereur allemand, les féodaux jaloux de la puissance capétienne, c’était un terrible danger national.“

    Les coalisés espéraient broyer la puissance franque. Jean Sans Terre devait débarquer en Poitou et marcher sur Paris par le Sud. Au Nord s’avanceraient Flamands, Allemands et Hollandais. A l’issue des hostilités, le royaume devait être partagé entre les vainqueurs. Paris devait revenir au comte de Flandre. Averti de ces menaces, Philippe Auguste lève deux armées.

    Dès le 2 juillet, Jean sans Terre, dont l’armée constitue la pointe sud de la tenaille est terrassé par le prince Louis à la Roche- au- Moine, en Anjou. Au nord, Philippe Auguste guette les coalisés massés à la frontière du Hainaut. C’est à Bouvines qu’aura lieu le choc décisif .

    En face de l’armée franque, les Impériaux, animés par la volonté d’anéantir le royaume. Un soleil de plomb écrase la plaine et aveugle les Impériaux. L’Empereur Otton se tient là, dans son armure : un dragon surmonté d’un aigle d’or. Il a juré d’en finir avec la France. Soudain, un silence impressionnant traverse les lignes françaises. Philippe Auguste, au centre de nos troupes, s’adresse aux combattants: « En Dieu est notre espoir, notre confiance. Le roi Otton et son armée ont été excommuniés… Ils sont les ennemis de la religion. »

    Notre général en chef est un Frère Hospitalier, vêtu de la tunique rouge croisée de noir. Puis, les trompettes crachent leur musique de mort.

    Enfin les deux masses d’hommes se heurtent. La bataille est longtemps indécise. Les contingents des communes lâchent pied devant l’infanterie teutonique, Philippe Auguste est même jeté à bas de son cheval avant d’être délivré par des chevaliers francs.

    Le sort de la bataille sera finalement dû à la fougue et au courage de la chevalerie franque, qui trace des sillons de sang dans les rangs impériaux. “On les vit à plusieurs reprises, par escadrons massifs, comme un énorme projectile, traverser de part en part les rangs ennemis.“ (Funck-Brentano, le Moyen-Age).

    Enfin, la victoire tant espérée se profile. Otton s’est enfui, les Impériaux sont défaits. Le nombre de prisonniers est considérable. L’enthousiasme dans le royaume est énorme. Jamais on n’oubliera le soleil de Bouvines.

  • Débarquement "antisémite" à Valence (Espagne)

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2025

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  • Le président Emmanuel Macron envisagerait de reconnaître la France à l’automne.

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2025

    Arlette Info — Le président Emmanuel Macron envisagerait de reconnaître la France à l’automne. De l’avis général c’est une opération qui s”annonce difficile, tant le pays défiguré est méconnaissable. Il faudrait d’ici là procéder à la remigration de quinze ou vingt millions d’occupants coloniaux, interdire la publicité sur la voie publique, se livrer à une massive désignalisation, recrépir les façades victimes de la Grande Pelade, désindustrialiser l’agriculture, reconstituer les paysages détruits, etc.