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Sur BFMTV, Jordan Bardella, Président du Rassemblement National, a déroulé ce que serait son programme s‘il accédait à un poste de gouvernement, Premier ministre ou Président de la République. Une copie incolore du politicien du système.
Jordan Bardella, Président du Rassemblement National, invité de « Face à BFM
Le 5 novembre dernier, Jordan Bardella, Président du Rassemblement National, était l’invité de « Face à BFM ». Au cours de l’interview il a répondu à une diversité de sujets, de l’examen du budget aux prochaines échéances électorales.
Vers la fin de l’émission, un des chroniqueurs, Apolline de Malherbe, l’a interrogé sur les « brebis galeuses », la « parole raciste décomplexée », les « anciens militants du GUD », sur « certains qui se reconnaissent chez vous » de ces gens-là qui peuvent « se sentir décomplexés » et tenir des propos antisémites, racistes, homophobes… « Comment », en résumé, lui demande Mme de Malherbe, « au lendemain d’une éventuelle victoire du RN », va-t-il « se démarquer », « anticiper », par rapport à ces « catégories-là » ?
« Donc ce n’est pas le Rassemblement National, ce sont des militants d’extrême-droite » précise Jordan Bardella en interrompant la chroniqueuse. Et de préciser sa pensée lors de sa réponse :
Soumission à la pensée unique et aux diktats politiquement corrects du système
« D’abord, je demanderai à mon ministre de l’Intérieur de dissoudre sans exception tous les groupuscules d’ultragauche et d’ultradroite (…) les deux sans aucune différence ».
« Parce que les gens qui dans notre démocratie utilise l’insulte raciale en l’occurrence, la violence, les agressions, propos homophobes pour exprimer des idées nauséabondes et bien s’exposeront non seulement à la dissolution administrative de leur groupuscule, et nous le ferons dès notre arrivée au pouvoir, mais ils s’exposeront également à l’arsenal judicaire ferme et implacable que je déploierai. Et cet arsenal judiciaire et implacable, il ne fera pas le tri entre l’ultra gauche et l’ultra droite car moi je combats la violence en politique. (…) Je ferai preuve d’une sévérité la plus totale avec ces propose et avec ces actes. »
La preuve est fait avec une telle réponse, de la soumission de Jordan Bardella à la pensée unique et aux diktats politiquement corrects du système. Lorsque l’on sait que c’est la gauche depuis plus de 80 ans, et son relai préféré, les juges rouges, qui décide de ce qui est « ultra », « nauséabond », « raciste », de ce qui est « violent » en politique, de ce qui est « homophobe » qui pourrait être une simple parole de la Bible, de ce qui est « antisémite » qui pourrait être une simple parole contre la politique actuelle de l’État d‘Israël, l’on a à craindre que la politique « sévère » de Jordan Bardella ne sera que la continuité de la politique subjectiviste et répressive que l’on connait sous Macron et ses prédécesseurs, c’est-à-dire majoritairement contre des catholiques, des nationalistes, des patriotes, les vrais.
Avec Bardella, le mouvement politique catholique Civitas aurait tout autant été dissous
Avec Bardella, le parti politique catholique Civitas aurait tout autant été dissous, sous de faux prétextes et de fausses accusations de « racisme, antisémitisme, d’« appels à entrer en guerre contre la république », qu’il le fut par Darmanin, l’un des ministres de l’Intérieur de Macron. D’ailleurs, aucun député du RN n’avait à l’époque bronché ni défendu Civitas, au contraire, certains avaient applaudi à cette inique dissolution.
Ne nous y trompons pas, le jeune mais déjà soumis Jordan Bardella est adoubé par le système et n’est pas du camp des catholiques, des nationalistes et des patriotes. Il est une pâle copie d’Emmanuel Macron…
Chaque année, à la minute près, les gardiens du temple de l’égalité rejouent le même rituel : à partir du 10 novembre à 11h31, les femmes travailleraient gratuitement selon les féministes. Elles brandissent l’Insee comme une arme mais on oublie de lire les notes de bas de page : ces chiffres bruts ne comparent pas des postes équivalents, ni des temps de travail similaires. On additionne des pommes et des poires, des cadres à temps plein et des temps partiels choisis, puis on crie à l’injustice patriarcale.
Le prétendu « écart salarial » devient un mythe utile, un épouvantail commode pour désigner le mâle oppresseur. Pourtant, nul complot n’interdit aux femmes d’être ingénieurs, chefs d’entreprise ou ministres. Beaucoup font d’autres choix de vie — non par contrainte, mais par préférence. Vouloir concilier vie familiale et emploi stable n’est pas une soumission : c’est un arbitrage.
Et si le vrai scandale n’était pas la prétendue inégalité mais la disparition du modèle où un salaire suffisait à faire vivre une famille ? Aujourd’hui, l’émancipation s’appelle double emploi, nounou hors de prix ou enfants confiés à la crèche dès trois mois. Est-ce un progrès ou une régression masquée ?
Plutôt que de répéter les mantras d’un féminisme comptable, il serait temps de redonner sa valeur au choix, au foyer, à la maternité. Un « salaire parental » permettrait enfin aux femmes françaises de choisir librement leur rôle, sans culpabilité ni dépendance. Et de relancer la natalité.
“Regroupement familial”. C’est sous cette bannière (plus administrative que romantique) que les deux époux, mariés au Bangladesh, se retrouvent à Toulouse en 2018. Rapidement pourtant, des tensions s’installent dans le couple.
En octobre 2021, la femme est admise aux urgences pour des troubles du comportement. Elle confie alors aux soignants que son mari la bat depuis deux ans : “La veille, il m’a frappée avec un bâton, traînée par les cheveux, donné des coups de pied”. Elle dit s’être défendue “en le mordant”. (…)
Une deuxième alerte survient en février 2023. Cette fois, la femme se réfugie dans une association d’hébergement d’urgence à Blagnac, en pleurs, choquée, avec des traces sur le visage et le corps. Elle raconte les coups, un étranglement, des insultes et dit vivre “isolée, enfermée, sans droit de sortie”. (…)
Le procureur insiste sur les constats médicaux : “À chaque passage aux urgences, ses propos sont corroborés par des constatations médicales”. Il requiert pour ce primo délinquant, inconnu de la justice, 6 mois de prison avec sursis probatoire, et interdiction de contact. (…)
Le tribunal tranche : coupable. Six mois d’emprisonnement avec sursis simple et 2 000 € de dommages et intérêts à verser à la victime.