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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2

  • 9 août 1945, 11h 02, Nagasaki, la ville la plus chrétienne du Japon n’est plus que cendres

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2025

    Auteur : 

    9 août 1945, 11h02. La seconde bombe atomique est larguée sur Nagasaki, à la verticale du quartier chrétien d’Urakami, tuant sur le coup plus de 35 000 personnes – la première ayant été larguée sur Hiroshima le 6 août 1945 -. Un souffle de tempête pulvérise tout, à l’hypocentre un vide aspirant envoie en l’air débris et êtres humains. La chaleur est intense, d’environ 5000°C, un éclair, l’effet de souffle, puis les conséquences de la radioactivité sur les organismes : maux de tête, nausées, vomissements, vertiges et, souvent, la mort.  Tout est réduit en cendre, la nuit se fait… L’enfer est sur terre !

    Puis, dans ce  » désert nucléaire  » des ombres sortent de leurs abris de hasard. Parmi eux Takashi Nagai, médecin et chercheur en physique nucléaire, sauvé par les murs épais de l’hôpital, organise les secours avec une petite équipe. Il était donc particulièrement qualifié pour décrire l’explosion, ses effets et ses conséquences.

    Son journal publié en 1949, devient un succès mondial. Il y raconte la bombe et ses effets, les soins hésitants prodigués aux irradiés, la tristesse de voir son pays écrasé et sa fascination pour les scientifiques qui ont inventé l’énergie atomique. Mais qu’en fera l’humanité ? Le bien ou le mal ?

    [ Il faut savoir aussi que :  l’enfer sur Nagasaki ? Oui, et pourtant un petit jardin est épargné. Après l’explosion atomique, ce jardin demeurera presque intact et personne ne périra dans son enceinte. “Jardin de l’Immaculée”, fondé par le père franciscain Maximilien Kolbe (1894-1941) à Nagasaki. Les frères y priaient le rosaire quotidiennement. ]

    Le son d’une cloche vibre dans l’espace comme un appel à la paix.

    Un récit poignant. Nouvelle traduction réalisée à partir de l’adaptation, en 2021, du premier manuscrit, qui raconte au quotidien cette tragique épreuve et devient un succès mondial.

    Plus d’informations, recensions et commandes sur LIVRES EN FAMILLE

    Les cloches de nagasaki, Takashi Nagai, Editions Ontau, 216 pages, 20€

    Pour les plus jeunes, une bande dessinée raconte Nagasaki :

    Nagasaki 1945 – Takashi et Midori Nagaï, un destin brisé par la bombe, une vie offerte pour la paix. Une oeuvre magistrale couronnée par le Prix international de la BD chrétienne en 2025.

    Retrouvez l’article sur MPI  : Nagasaki 1945

     

     

    Source : medias-presse.info

  • Scouts et guides de France : la foi peut-elle encore tracer la ligne ?

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2025

    Picture of Alienor de Pompignan

    Marine Rosset
    capture X

    À peine nommée, déjà partie. Moins de deux mois après son élection à la présidence des Scouts et Guides de France (SGDF), Marine Rosset a annoncé, ce mercredi 6 août, qu’elle se retirait de ses fonctions. Une décision prise, affirme-t-elle, sous la pression « intenable » d’attaques venues de l’extérieur du mouvement. Dans une interview au journal La Croix, l’ancienne candidate NUPES et actuelle élue socialiste à la mairie du Ve arrondissement de Paris évoque une cabale, nourrie à la fois « par l’extrême droite » et une partie « dubitative » de l’Église. Une cabale, dit-elle, autant politique que personnelle.

    Une présidence trop visible ?

    À écouter Marine Rosset, les critiques qu’elle a subies seraient un prétexte commode pour en masquer d’autres, inavouables. « La critique sur mon engagement politique était souvent un moyen de me critiquer sans évoquer mon homosexualité », avance-t-elle.

    Homosexuelle, mariée civilement à une femme, mère d’un enfant né par PMA, favorable à l’IVG, Marine Rosset assumait pleinement l’exposition publique de ses choix de vie. Mais difficile de prétendre à une ligne cohérente quand ces engagements entrent frontalement en contradiction avec ceux d’un mouvement catholique. Historiquement rattaché à une anthropologie chrétienne, celui-ci n’a jamais fait mystère de son attachement à la famille comme cellule de base de la vie spirituelle et sociale.

    Dès lors, ce ne sont pas des « attaques homophobes » – que les SGDF eux-mêmes disent avoir condamnées – qui interrogent, mais bien l’aveuglement à vouloir faire porter au mouvement catholique les couleurs d’un progressisme politique largement incompatible avec ses fondements.

    Un changement de cap… en trompe-l’œil ?

    Pour lui succéder, le mouvement a nommé Pierre Monéger, 62 ans, inspecteur de l’Éducation nationale, engagé depuis plus de quarante ans dans le scoutisme. Un profil plus classique, en apparence. Dans sa première déclaration, il assure vouloir rester fidèle à la ligne impulsée par Marine Rosset : « permettre que le plus grand nombre de jeunes puisse découvrir ou approfondir sa foi », mais aussi « rejoindre les publics les plus éloignés du scoutisme ». Une profession de foi tournée vers les « périphéries » chère au défunt pape François, mais sans mention explicite de l’enseignement de l’Église ni des objets de la pédagogie de Baden-Powell.

    Pas sûr, donc, que ce changement de président soit aussi net qu’il n'en a l’air. Le mouvement, de son côté, a tenu à « regretter une vague d’attaques personnelles, dont certaines à caractère homophobe ». Une condamnation de principe qui semble évacuer toute possibilité de désaccord doctrinal sincère. Comme si le simple fait de rappeler la vocation catholique du mouvement devenait suspect.

    Une ligne sous tension

    Marine Rosset aura peut-être eu le mérite d’incarner avec clarté la nouvelle direction prise par l’organisme scout français le plus important. Mais son départ précipité souligne aussi le malaise profond qui le traverse : entre volonté de conserver le statut de mouvement catholique et tentation d’adhérer aux codes d’une gauche sociétale revendiquée, la ligne devient trouble.

    « Mener une relecture de la période écoulée, avec lucidité et écoute, afin d’en tirer des enseignements utiles pour l’avenir », promet aujourd’hui la direction des SGDF. Encore faudrait-il que cette relecture accepte de regarder la réalité en face : lorsqu’on demande à un mouvement catholique de renoncer à être catholique, ce n’est pas l’extrême droite qu’on combat. C’est sa propre raison d’être.

     

    Source  : bvoltaire

  • C’est Nicolas qui paie cette propagande

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2025

    C’est Nicolas qui paie cette propagande

    Mais tout le monde sait…

     

    Source : lesalonbeige

  • Province dans laquelle la viticulture tient une place prépondérante, le Languedoc brûle; il est ravagé, sinistré... Pourquoi ?

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2025

    lafautearousseau

    Province dans laquelle la viticulture tient une place prépondérante, le Languedoc brûle; il est ravagé, sinistré...

    Pourquoi ?

    Écoutez Christophe Barthès, qui en donne l'une des principales raisons :

    "Le 15 octobre 2024, nous avions prévenu, et nos gouvernants n’ont pas voulu nous entendre : la vigne est le meilleur Canadair au monde, et sans vigne, l’Aude serait en proie à des incendies..."

    (extrait vidéo 0'34)

    https://x.com/BarthesChristop/status/1953070468128289045

    Or, cela fait plusieurs années maintenant que, sur les ordres de "Bruxelles" et/ou du gouvernement (?) de la république idéologique, "on" arrache des vignes : aberration économique et écologique qui sévit aussi, bien évidemment, dans le Languedoc.

    On voit bien, là, le résultat de soi-disant "politiques" dictées par des incompétents, assis derrière leurs bureaux, obscurs tâcherons/bureaucrates, petits clercs besogneux mais totalement hors-sol, coupé des réalités du terrain, qu'ils ne connaissent pas...

    Les pompiers en action face à deux incendies dans l'Aude

     

  • 7 août 1932 : « loi des épis » et génocide ukrainien

    Publié par Guy Jovelin le 07 août 2025

    holodomor_v1Le 7 août 1932, le gouvernement de l’URSS promulgue une loi qui punit de dix ans de déportation, voire de la peine de mort, « tout vol ou dilapidation de la propriété socialiste », y compris le simple vol de quelques épis dans un champ.

    Cette « loi des épis » survient alors que les campagnes soviétiques connaissent un début de famine du fait des réquisitions forcées par le pouvoir et de la « dékoulakisation » (élimination des paysans considérés comme riches).

    On estime qu’en Ukraine, au moins six millions de paysans vont mourir de faim dans les mois suivants, de par la responsabilité des autorités communistes.
    Cette « Grande famine » (« Holodomor », « extermination par la faim » en ukrainien), intentionnellement entretenue et amplifiée par Staline (qui s’appuyait sur de nombreux cadres soviétiques juifs – d’où un ressentiment longtemps tenace des Ukrainiens envers cette communauté) est assimilée à un génocide par la plupart des historiens ainsi que par les Ukrainiens.

     

    Source : contre-info